MAÎTRE NAGEUR

- Par l'auteur HDS MG8895 -
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Auteur homme.
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Récit libertin : MAÎTRE NAGEUR Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-01-2022 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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MAÎTRE NAGEUR
Comme tous les jeudis, je me suis rendu à la piscine pour y faire mes longueurs et à l’issue, pour me détendre dans les bassins attenants hydro massant.
J’ai de bonnes sensations, je suis à l’aise dans mes brassées et les longueurs s’enchaînent sans difficulté. Mes cinquante allers et retours effectués et un peu harassé, je quitte le bassin pour aller me détendre et récupérer, dans le bassin à bulles. Les jets d’eau propulsés sur les différentes parties de mon corps me font un bien fou. J’insiste sur les membres supérieurs et inférieurs sans négliger la colonne vertébrale et en particulier les lombaires. Cette zone m’est particulièrement douloureuse et ces hydro massages ont une incidence remarquable sur mes douleurs.

J’avais remarqué que les jets à mi hauteur permettaient des massages ciblés et bienfaisants sur les parties intimes. Je ne comprenais pas pourquoi certaines personnes stagnaient à cet endroit et ce, de façon prolongée. Alors que l’occasion m’était donnée, j’ai voulu comprendre l’immobilité de ces personnes à cet endroit tant convoité.
J’ai vite compris, le jet à tout de suite atteint mon entre jambes, percutant directement mes bijoux de famille et ma tige. Je me suis reculé et de fait, le jet devint moins puissant et par conséquent supportable. Il suffisait de se positionner à bonne distance et à bonne hauteur, pour que le jet d’eau devienne un masseur agréable. D’abord perturbé par les sensations produites dans un lieu public, je prenais goût à me faire masser les parties intimes et la rondelle.

Un maître nageur a remarqué ma position prolongée à l’endroit prisé et a rapidement quitté son siège de surveillance, pour venir à ma rencontre. Il est jeune, musclé, blond, 1,80 m. Il porte un ensemble maillot et un short très court, de couleur rouge. Un masque chirurgical lui cache la bouche et le nez et malgré cet accessoire, je devinais un beau visage surmonté de très beaux yeux verts. Il me regardait avec insistance et je me demandais bien pourquoi.

Il s’est approché du bord du bassin et me demanda si j’appréciais cet emplacement. J’étais un peu confus de cette question mais, il me rassura très vite en m’expliquant que les initiés venaient souvent à cet endroit. Son regard était malin et concupiscent. Le charme que dégageait ce jeune homme provoquait un trouble. Etait-ce le jet d’eau sur mes boules et sur mon orifice qui générait cet état, je me le demande encore aujourd’hui.

Soudainement, il me demanda si j’étais intéressé par la visite des installations et des machines permettant le bon fonctionnement de la piscine. Il m’informait qu’il terminait son service dans l’heure qui suivait et que si, je le souhaitais, de l’attendre dans le hall d’accueil.

Il est venu vers moi, alors que je sirotais une boisson énergisante. Toujours dans son ensemble rouge aux sérigraphies du bassin aquatique. Nous portions nos masques respectifs, il m’invita à le suivre. Nous avons pris une porte dérobée et après avoir descendu une dizaine de marches, nous arrivions dans une petite pièce à la lumière tamisée par les éclairages des issues de secours. Il m’apprenait son prénom, Pietr et je lui susurrai le mien. Il m’invita à chausser des sur-chaussures, de me dévêtir, de me mettre torse nu et en short, eu égard à la forte humidité ambiante dans les locaux à visiter.

Nous avons traversé plusieurs salles et Pietr m’expliquait avec passion les fonctionnalités des différentes machines croisées. Un dédale de tuyaux, de ventilateurs, de pompes hydrauliques. Il mettait du cœur à ne pas être trop technique afin que je reste concentré sur la visite. C’était très intéressant. Il faisait très chaud, nos corps perlaient de condensation. Nous nous serions crus dans un hammam ou un bain turc. Je comprends mieux que Pietr m’ait conseillé de me déshabiller. C’est dans un passage très étroit que tout a commencé.
Pietr me précédait et il fallait se faufiler entre de grosses gaines techniques, pour accéder à une autre salle. Il faisait très sombre ; l’espace était vraiment très étroit et à un moment donné, Pietr s’est immobilisé et nos corps se sont collés. J’étais contre son dos humide, je sentais mes tétons pointer, la chaleur de l’endroit, cette peau douce, l’exhalaison de son parfum boisé, toute cette atmosphère m’électrisait. Pietr ne bougea plus, il tourna la tête et me sourit d’un air complice. Je ne comprenais pas ce qui se passait en moi, une douce chaleur m’enfiévrait le bas du ventre au niveau du pubis. Ma gorge se nouait, mon cœur se mit à battre, je déglutissais avec difficulté, ma bouche s’était subrepticement asséchée.

Pietr posa sa main sur mon épaule et m’attira à lui, il plaqua ses lèvres sur les miennes. Je ne pouvais pas me dégager, les gaines jouaient un rôle de préhension. Pietr savait ce qu’il faisait et où le faire. Ses lèvres étaient douces et sucrées. Il m’embrassait tendrement, pourquoi me laissais-je envoûté par ce jeune homme athlétique ? Subrepticement, sa langue s’est fourvoyée entre mes lèvres pour taquiner la mienne. Que devais-je faire ? C’était bon, nos langues jouaient maintenant, sa main caressait ma poitrine, agaçant mes tétons. Ma queue se cabrait, je sentais mon anus se contracter, Il était expert pour me faire triquer ce jeune coquin.

Il me palpa le ventre, ses gestes m’excitaient, il effleura mon sexe avec sa main et constata mon érection. Aussitôt son excitation se fit jour et la vigueur des ses baisers trahissait son excitation, quasi frénétiques. Il me dévorait la bouche, me suçait la langue, il l’aspirait comme si c’était un chibre, je la tirais à la limite de son frein, il y mettait tant d’ardeur et aspirait si fort que j’avais le sentiment qu’il allait la gober, il me faisait presque mal mais, la douleur s’estompait grâce aux ressentis dans le pubis. Je lui pénétrais la bouche avec ma langue, après qu’il me l’ait défoncée aussi. Sa main était sur ma queue maintenant, il me masturbait doucement, il ne voulait pas que je vienne trop vite. Je ne savais pas si je devais lui rendre la pareille ou m’abstenir, c’est Pietr qui me guida la main. Il avait un sexe fin et long, il coulait beaucoup. La perception de ce liquide m’excita davantage.
Nous perlions, ce qui nous rendait la masturbation moins douloureuse. Il avait une main douce, ses mouvements étaient précis et pertinents, il mettait et relâchait la pression de ses doigts, de façon juste et nécessaire. Son pouce jouait de mon frein et de gland.

Il avait tout prévu, il nous tira de notre piège tendu par ses soins, pour me pousser sur un tapis de mousse, laissé là, comme par hasard, dans ce local dit de contrôle. Aussitôt, coucher sur le dos, il vint parcourir d’abord mon cou, suivi de mon torse auréolés de mes seins tendus puis glissa sa langue sur mon ventre autour de mon nombril. Je bandais très fort et mon sexe faisait saillie dans mon short. Il le retira avec volupté pour s’emparer de mon membre décalotté et suintant de précum. Il me prit en bouche et me pratiqua une fellation lente et langoureuse. Sa langue enveloppait mon gland et ma tige. Le piercing qu’il avait sur son mollusque taquinait le frein de mon prépuce. Mon sang tapait contre mes tempes, mes oreilles bourdonnaient. Je me surpris à lui frotter la tête pour l’encourager. Des bruits de succions alternaient avec mes soupirs et mes plaintes, un maître de la pipe.

Il me léchait les bourses, les prenait à pleine bouche pour les recracher comme de gros noyaux de pêche. Sa langue était fringante et joueuse. Elle papillonnait. Soudain, il releva mes jambes, appuya sur celles-ci, pour qu’elles reposent sur mon torse et soudain des fourmillements naquirent sur ma rosace, quel bonheur, il me striait les fronces. De la pointe de sa langue, il titillait le centre de mon trou alors qu’il écartait mes fesses à l’extrême en faisant ressortir mon rectum. Je pouvais ressentir son souffle chaud et irrégulier sur mon anatomie.

Je penchai la tête et j’aperçu un flacon de gel et des préservatifs. J’étais excité comme jamais, je bandais très dur, je devenais dingue, j’en voulais encore plus. Il voulait me recevoir. Il s’était mis en levrette et il s’écartait lui-même les fesses, ce qui me permettait d’apercevoir son beau cul luisant, ses couilles pendaient. Je commençai à lui astiquer son long manche et je me suis diriger sur ses couilles. Je les gobais, les parcourais de ma langue pleine de salive. Son cul bien propre m’attira, je ne pu résister à y placer mes lèvres et mon mollusque. Animal j’étais ! Et Pietr râlait, gémissait, visiblement, il aimait mes caresses.

Je voulais maintenant le pénétrer, j’étais trop excité, je passai rapidement un préservatif, j’ai enduit ma queue et son trou de gel. J’ai positionné mon gland sur son orifice bien ouvert et boursouflé par de nombreuses sodomies. Il m’appelait et m’invitait à entrer. Alors, j’ai poussé doucement, d’abord mon gland a disparu puis mon membre entier s’est engouffré. Je le possédais lentement mais profondément. Il bandait fort également, il jutait, je lui tordais les tétons, je lui malaxais les testicules.
Il me demanda d’aller plus fort et plus vite. Je le claquais contre mes hanches, de grands coups qui lui défonçaient le cul à grands coups boutoirs, mes couilles claquaient contre les siennes. Il gueulait de plaisir, il m’incitait à maintenir la cadence. Il me cramponnait, enfonçait ses doigts dans mes cuisses. Je tétanisais par l’effort consenti. Mes cuisses, mes abdominaux brulaient. Une main arrimée sur son épaule et l’autre sur son bassin pour avoir plus de force et d’amplitude. Les chocs subits le comblaient.
Je sentais mon gland et mon frein tendu à l’extrême, je me sentais venir, alors, je me suis enfoncé le plus profondément possible et je restai ainsi. La décharge électrique m’irradia le dos et surtout les lombaires. La prostate avait libéré mon sperme. J’éjaculais par saccades, m’arrachant des cris de luxure, mon cul pompait rapidement et violemment, projetant ma semence dans le réservoir de la capote.
J’attrapai un préservatif et je le déroulai sur la longue tige de Pietr. Il prit le tube de gel et badigeonna mon trou et sa tige. Je le voulais en moi et lui voulait me faire jouir par le cul. Il me prit en missionnaire. J’ai senti le moment ou son gland tentait de s’introduire, j’ai poussé et je lui ai demandé de venir en moi.
Sa bite glissait en moi facilement. Il est monté très grand et c’est la première fois que je ressentais cette prospection aussi profonde. J’ai cru que j’allais m’évanouir, Sa bite allait loin, très loin dans mon antre. Je contractais légèrement le sphincter pour amplifier les sensations sur ma prostate et Pietr s’appliquait à bien me limer les parois et à me frotter la noix gonflée. Je sentais son long membre progresser et se retirer, il explorait mon conduit méticuleusement. C’était divin.
Je lâchais des cris à chaque coup de queue. Il me branlait, me déhanchait pour donner plus de profondeur à sa sodomie. Je lui agrippais les fesses pour qu’il s’enfonce le plus profondément possible. Il m’embrassait, me tétait les seins. Je perdais pied, je jouissais par le cul et pour la deuxième fois j’éjaculais. Mon sperme chaud coulait sur mon ventre, il me branla pour que le jus sorte totalement. Sa longue et fine bite dans mon cul provoquait des spasmes continus et aidait à l’éjaculation. Mes abdominaux, mes jambes, mon ventre se tordaient de plaisir, de jouissance et de bonheur. Le vrombissement des machines environnantes conjugués à la moiteur ambiante accentuaient ma torpeur et ma gravitation.
Il se retira, j’avais le cul dilaté et en feu. Ma bite bandait encore, mais j’étais trop exténué pour le reprendre. Pour remercier Pietr, je retirai la capote et je le suçai goulument, avalant ses dernières gouttes de sperme légèrement amer. La tête renversée en arrière, il me caressait la tête et poussait très fort pour que je l’enfourne au fond de ma gorge. J’avais des hauts le cœur, lorsqu’il retirait sa bite, des gros fils de salive pendaient au bout de son gland. Je le branlai violemment et il est venu très vite, lui aussi pour la deuxième fois. Alors que j’avais introduit deux doigts dans son cul et que je lui massais la noix prostatique ; son foutre chaud, moins abondant, se déversa sur ma main.

Nous étions fourbus mais heureux de nous être donnés autant de jouissance. Je pense que je revisiterai ces installations. La réputation des maîtres nageurs n’est plus à démontrer. Sauve qui peut !...

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