A1, à 2 à 3 c'est mieux

- Par l'auteur HDS MG8895 -
Récit érotique écrit par MG8895 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : A1, à 2 à 3 c'est mieux Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-10-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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Note attribuée à cette histoire érotique par les lecteurs :
(8.0 / 10)
Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

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A1, à 2 à 3 c'est mieux
Je lisais le dernier livre de Jane HARPER « Canicule », j’étais entré dans ce polar australien aux rebondissements palpitants, lorsque mon mobile m’avertissait de l’arrivée d’un nouveau message : « Cher Monsieur, je n’ai cessé de penser à vous, mon mari est rentré de son voyage professionnel et désire faire votre connaissance. Je vous propose vendredi soir, 19h00, vous connaissez l’adresse, j’attends votre réponse avec impatience ».
Si vous lisez mes récits, les personnages qui vont suivre, vous seront familiers. Juste pour vous remettre sur la piste, (j’avais aidé « cette pauvre dame » à charger et à décharger ses courses puist réparé la fuite à son lavabo)… . Je suis sûr que vous avez trouvé.
Ma réponse fut rapide : « Chère Madame, c’est avec un réel et grand plaisir que j’accepte votre invitation, je serai ponctuel… ». J’avais hâte de retrouver ma bourgeoise autoritaire et dominatrice.
Le jour venu, j’avais passé une chemise fermée par une cravate, un pantalon de toile blanche, des chaussures basses en cuir noirs et un pull jeté, façon châle, sur mes épaules. A 19 heures tapantes, je sonnais au portail. Madame est venue à ma rencontre, me salua d’une poignée de main ferme puis m’invita à la suivre. Elle portait une grande robe de soie noire, toujours montée sur de hauts talons.
Elle excusa l’absence de son mari qui a été retenu à la suite d’une grève des aiguilleurs du ciel, retardant, de facto, son retour de l’étranger. Je vous propose de diner en tête à tête et d’improviser si nécessaire. Le programme ne me déplaisait pas et revivre une nouvelle aventure avec cette nymphomane. Que me réservait-elle ?
Le diner était copieux mais diététique, arrosé de 2 bonnes bouteilles : «Côtes Rôties 1976», oui, je sais, Madame m’a gâté. Le repas s’est déroulé sans surprise, nous échangeâmes sur divers sujets. Une domestique nous servait et le repas terminé, Madame lui donna congé. Vous imaginez la suite… .
Madame s’est levée, s’est approchée de mon visage, a planté son regard dans le mien, a pris ma cravate en main m’étranglant, doucement, et me susurra à l’oreille : - Sauras-tu me faire jouir ce soir ?
Elle planta son genou sur mon entre jambes appuyant le strict nécessaire pour m’exciter. Elle me tira de ma chaise et me fit monter les marches pour nous conduire dans une pièce tamisée et chaude. Un lit rond trônait au centre de la chambre. La déco était succincte mais, un cadre attirait mon regard. Un tableau sombre, sorte de vitre. Je n’ai pas eu le temps de m’attarder sur cet objet que Madame me poussa violemment sur lit.
Aussitôt, elle se rua sur moi, allongé sur le dos, elle est venu placer ses deux jambes de chaque côtés de mon visage, releva sa robe et plaqua son sexe brûlant de désir sur ma bouche, me forçant à l’ouvrir. Elle ondulait et frottait sa vulve sur mon visage. Je suffoquais.
Elle jouait de son clitoris sur mes lèvres que je goûtais avec délice. J’aimais son odeur de sexe propre mais souillé par sa mouille. Je bandais déjà très fort.
Elle avança davantage son siège pour que je puisse lisser son anus. J’avais son trou sur ma langue tendue, aucun son ne sortait de sa bouche, seuls, les bruits de succions sur sa chatte mouillée et de cul huilé par ma salive, résonnaient. Elle me dominait et ça, elle adorait. Je tentai de lui prendre les seins mais, elle les plaqua à hauteur de ma tête. J’étais son jouet, sa chose, je lui bouffais sa chatte et son cul qui lui engendrait une jouissance interne mais invisible. Ses yeux révulsés la trahissaient.
Derrière, l’intrigant cadre qui ornait un pan de la pièce, se trouvait Monsieur. Je ne l’apprendrai que plus tard. Il nous regardait, entièrement nu, en se masturbant, confortablement installé dans un large fauteuil. Il ne pouvait plus éjaculé mais éprouvait un certain plaisir. Il s’était placé un toy dans l’anus et jouissait comme il pouvait. La scène dont il se délectait, le comblait. Voir son épouse se donner du plaisir et se faire prendre par un inconnu, le ravissait.
Madame a joui mais elle en voulait plus. Elle me déshabilla rapidement, arrachant presque mes habits. Elle se jeta sur mon membre, se l’enfonça au fond de sa gorge. A chaque retrait, des fils de bave salivaire reliaient ma queux à sa bouche, elle me fit gicler très rapidement, avalant goulument ce jus blanchâtre et gluant. Sa langue n’en laissait aucune goutte, me pompant le nœud frénétiquement.
Sans répit, elle est venue s’empaler, montait puis descendait le long de ma tige, faisant ressortir à chaque va et vient, mon gland pour racler son clitoris et pour se faire jouir. Elle coulait de jus, de cyprine. Elle souillait de sa mouille mes testicules que je sentais couler le long de ma raie, jusqu’à mon anus. C’était divin.
Elle quitta ma tige pour me pratiquer un anulingus royal. Elle flirtait à l’aide sa langue avec mes stries anales, ses doigts bien mouillés, s’aventuraient et virevoltaient dans mon intimité. Elle massant doucement mais fermement ma petite noix. Je jutais de précum, ses palpations prostatiques me mettaient en transe et je jouissais, perdant tout repère. Elle me branlait rapidement, me léchait les couilles, repartait vers l’anus pour revenir, endiablée, sur mon gland sorti de son fourreau, pour me happer et enfourner mon chibre au fond de sa gorge.
- Crache maintenant, je veux ton jus, je veux ton sang, je veux te pomper et te vider les burnes.
Elle était comme possédée, hystérique, les yeux retournés, elle se doigtait la chatte comme une dingue, elle finit par jouir en se tordant de plaisir, en râlant et en hurlant. Des soubresauts la secouaient et la torturaient d’orgasmes torrides.
Mon foutre s’est mis à gicler, ses deux doigts dans mon cul pour me presser la prostate et faire sortir la totalité de ma semence. Elle se tartina la bouche de mon nectar, se lécha les doigts, pour s’écrouler ivre de fatigue.
Monsieur sortit de son repère d’observation, pour venir nous rejoindre, mais ça, c’est une autre histoire… .
Fiction, réalité, fantasme !
Je vous laisse le soin de deviner !

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