Acteur porno 03 La boite de nuit - histoire érotique

Acteur porno 03La boite de nuit

Les jours qui suivaient Louis était dans la boite de nuit tous les soirs. Il s'y s'entait bien. Il était prévu qu'il prendrait son boulot, les répétitions pour le lundi suivant. En attendant, et bien son spectacle, il fallait l'écrire.

Le boss avait particulièrement aimé la première rencontre, le mec s'était sorti un gros gode de son cul, il était venu avec et sans plus de formalité il est reparti avec … Il faut dire que ça avait un peu épaté tout le monde.

On lui écrivait donc un petit scénario qui exploiterait toutes ses capacités. Autant celles de se faire défoncer le cul que celles de défoncer un cul. Il en avait une belle et il n'était pas que passif. Il était endurant, autant comme passif que comme actif.

En attendant il passait des soirées de VIP, il était reçu comme un prince. Le premier soir il avait fait connaissance avec un strip-teaseur bien monté, il n'avait pas pu aller plus loin.

Le dernier soir du week-end arrivait, la soirée avait été particulièrement chaude, l'alcool avait coulé à flot, le patron était content. Louis était resté toute la soirée, il avait fait connaissance avec des clients habitués. Ce ne sont pas tous de vieux cochons pervers, non, il y en a aussi des jeunes …
Il y a de tout, il y en a qui voudraient bien monter sur la scène, mais il y a une grande piste de danse pour tous. Louis s'y montrait, il avait dansé et bien remué son corps pendant une bonne partie de la soirée. Il avait reçu un très bon accueil, il faut reconnaître qu'il était très beau, et il n'était pas du tout farouche.

Régulièrement il regardait vers la piste de danse, ça n'avait échappé à personne qu'il regardait le strip-teaseur qu'il avait rencontré le premier soir, ça ne faisait que deux jours remarquez, et les regards que ces deux hommes s'échangeaient ne cachaient plus les désirs qu'ils avaient l'un pour l'autre.

Je ferais remarquer à ceux qui pensent que ce milieu est léger, superficiel et que les mecs ne pensent qu'à se sauter dessus, que c'est là une vision est très surfaite. C'est deux là se connaissent déjà depuis deux jours et n'ont toujours pas baisé ensemble … Ce qui prouve que même dans ce milieu de débauchés il y en a encore qui on un certain sens des valeur et savent attendre … au moins un créneau horaire qui leur laisse un peu de temps.

Bon le premier soir, Louis était accaparé de toutes parts, le second soir c'est Gaétan, le strip-teaseur s'appelle Gaétan, qui n'était pas là. Louis l'avait cherché partout mais n'avait pas osé demandé. Enfin il était absent ! Et le troisième soir … bein justement on était le troisième soir.

Louis allumait son nouveau copain Gaétan, enfin son prochain nouveau copain Gaétan, il le regardait dans les yeux à ce moment ou un client lui caressait le torse. Gaétan le regardait avec un regard vicieux en enfonçait lentement sa queue dans la gorge de Steeve. Gaétan était en plein spectacle sur la scène, Louis était sur la piste de danse et ils ne se lâchaient pas des yeux.

Gaétan retenait la tête de Steeve, son camarade et partenaire du soir. Louis caressait le torse musclé et fort de ce jeune client à qui il n'avait même pas demandé le prénom.

Gaétan donnait des coups de bassin dans la gorge de Steeve. Louis glissait sa main dans le pantalon de son partenaire de danse.

Gaétan lançait à Louis des baisers provocateurs, et Louis lui répondait de la même manière, en se caressant son torse d'une manière provocante et racoleuse.

C'est à distance et pendant la moitié de la soirée qu'ils se sont chauffé ces deux là. Les employés de la boite rigolaient à les voir faire, leur jeux n'était pas passé inaperçues.

L'heure avançait, la fièvre commençait à retomber, la scène se libérait et les clients étaient autorisés à y monter. Seul, de tous les danseurs Gaétan était resté, il s'était en partie rhabillé, il avait son pantalon et bien sûr des chaussures. Et juste devant lui Louis apparaissait, dans le flot de lumière d'un projecteur, ça les faisait rire, c'était leur collègue de l'éclairage qui s'amusait.

Les deux hommes se regardaient et se rapprochaient et finalement se prenait dans les bras et se couvraient de baisers et de caresses. Ils dansaient comme le feraient naturellement deux amants. Ils étaient encore plus beaux ensemble que séparément. Gaétan était torse nue, Louis avait sa chemise grande ouverte.

La peau caressait la peau, et si l'ambiance se calmait, on approchait de l'heure de la fermeture, entre ces deux là, la chaleur ne retombait pas, c'était même plutôt le contraire. Ils étaient chauds comme la braise.

La salle se vidait, il était tard, très tard. La musique s'arrêtait, un seul couple restait à se balancer et à se caresser au rythme d'une musique qui ne jouait plus que dans leurs tête. Ils ont mis un moment avant de s'en rendre compte. C'est le regard perdu dans le regard de l'autre qu'ils relevaient la tête. Ils se souriaient, se donnaient un dernier baiser.

– Il faut aider les autre à nettoyer la salle. Glissait Gaétan à l'oreille de Louis.

Ils s'y mettaient tous les deux. Louis ne travaillait pas vraiment dans la boite, il ne commençait que le lendemain mais il lui semblait naturel de participer. C'était la corvée de tous les soirs, chacun s'y mettait et les choses avançaient vite. Le patron y tenait, c'est plus agréable d'arriver dans une salle propre et bien rangée plutôt que dans une salle ou la saleté à macéré et s'est imprégné pendant toute une journée. Une fois par semaine, la salle était lavée à fond, c'était le lundi matin.

Louis n'est pas rentré chez lui ce soir. Il a suivi Gaétan. Ils n'ont pas voulu aller avec les autres qui continuaient la fête. Ils ne se levaient pas avant midi, ils n'étaient pas pressés d'aller se coucher.

Louis et Gaétan avaient envie de faire autre chose. Ils se sont retrouvé sur le grand lit de Gaétan, ils oavaient commencé à partager, ils ont continué à partager, c'est vrai qu'ils avaient déjà commencé à partager un peu de tendresse, un peu de cette tendresse virile.

Ils s'arrachaient leurs vêtements. Ils se couvraient de baisers, se mordillaient et s'arrachaient des gémissements de plaisir. C'était comme une lute ou chacun tentait de prendre le dessus sur l'autre sans pour autant lui faire mal, sans lui porter un coup. Une lute ou il fallait immobiliser l'autre pour pouvoir mieux l'embrasser et abuser de lui.

Gaétan était le plus fort, il avait retourné Louis sur le dos, il s'était assis sur son bassin ce qui faisait rire Louis.

– Dans cette position là moi, c'est moi qui t'encule sans nos pantalons ! Lui lançait Louis.
– Je connais les mecs comme toi, des promesses toujours des promesses !

À partir de là il se retrouvaient rapidement torses nues. Et leurs caresses devenaient encore plus sensuels, encore plus douces, encore plus viriles.

Louis détendait tous ses muscles, il ne résistait plus. Gaétan en profitait pour se glisser contre lui et se régaler de la douceur de sa peau. Louis le recevait par des caresses, des baisers, des câlins. Puis sans prévenir il bandait tous ses muscles et en un mouvement vif il retournait Gaétan sur le dos. Il rigolait Gaétan, ils s'était fait avoir par surprise.

Louis ouvrait sa braguette et proposait une queue déjà bien ferme à sa victime. Les deux hommes se détendaient et Gaétan prenait la queue de Louis dans la bouche. Là leurs mouvements se calmaient, ils ne souhaitaient pas donner ou recevoir un coup de dents involontaire.

Louis posait ses genoux en haut des bras de son compagnon, il l'immobilisait totalement et lui glissait sa queue dans la bouche. Gaétan suçait jusqu'au moment ou il se plaignait. '' Tu me fait mal là, tes genoux, tu m'écrases . ''. Louis réagissait aussitôt, le but n'était pas de faire mal à son partenaire. Il se dégageait.

Gaétan en profitait pour le retourner sur le dos et continuer à lui sucer la queue. Il lui retirait également son pantalon, et c'est entièrement nu que Louis se retrouvait entre les bras de son compagnon qui continuait à lui sucer la queue.

Tout en faisant cela, Gaétan retirait son pantalon et ce qu'il lui restait de vêtements. Et de nouveau, la lute reprenait dans les éclats de rire. Le but là semblait être de profiter le plus possible de la douceur de la peau de l'autre.

Par moment plus aucun des deux ne bougeait, ils se faisaient juste un câlin, un gros câlin.

– Je vais t'enculer. Déclarait Gaétan.
– Oui, vas y défonce moi le cul. Rajoutait Louis en se retournant.

Gaétan caressait et couvrait de baisers le dos de Louis qui là ne bougeait plus et se laissait faire. Gaétan s'amusait à faire réagir Louis en le mordillant puis, il lui glissait un doigt dans le cul. Il le lubrifiait longuement avant de prendre position.

Louis avait l'air d'aimer, tout le monde l'avait remarqué le premier jour ou il était arrivé avec un gode dans le cul. Aussi Gaétan ne prenait aucune précaution, il prenait position et sans prévenir poussait sa queue dans le cul de Louis, bien à fond dans son cul, en quelques secondes c'était son ventre qui s'écrasait sur les fesses de Louis.

Louis à hurlé … '' Oh oui, vas y, défonce moi, encore … ''. Il aimait ça Louis, il aimait, ça ne faisait aucun doute. Gaétan lui limait le cul avec force, rapidement il ne se retenait plus.

– Je ne te fais pas mal ? Demandait Gaétan à Louis.
– Défonce moi le cul ! Lui répondait Louis. Vas y défonce moi le cul, fais moi mal.

Il n'en fallait pas plus pour que Gaétan se lâche totalement. Il limait son partenaire avec force, rapidité, ses mouvements étaient amples, il se retirait presque complètement et revenait de toutes ses forces. Il faisait claquer son ventre sur les fesses de Louis.

Louis continuait à râler de plaisir. Il gueulait mais ne se plaignait pas, au contraire, il en redemandait et Gaétan lui en donnait.

Au bout d'un moment Louis était devenu presque mou dans les bras de Gaétan.

– Ça va ? Demandait Gaétan.

C'est dans un gémissement épuisé que Louis répondait.

– Oui vas y ! J'en peux plus mais vas y, pousse moi à la limite, au delà.

A ce moment Gaétan avait du mal à se retenir de jouir, il n'essayait plus et quelques secondes plus tard il éjaculait dans le cul de Louis en criant de plaisir. Tous ses muscles se sont contractés, il a tremblé de tout son corps et il a senti le corps de Louis lui répondre.

Ensuite il s'effondrait sur le corps de Louis. Ils étaient tous les deux épuisés. Ils ne se souvenaient plus de combien de temps ça avait duré, combien de temps Louis s'était fait défoncer le cul, mais le jour se levait.

Gaétan débandait et sa queue se retirait toute seule. Il donnait un baiser sur l'épaule de Louis, qui lui répondait par un léger sourire. Ils respiraient tous les deux fort mais leur calme revenait. Ils se sentaient bien.

– Je peux rester là ou je suis ? Demandait Gaétan.

Il était toujours allongé sur son partenaire et l'utilisait comme un coussin.
Louis rigolait à cette question.

– Ça va, tu es confortable. Lui répondait Louis.
– JE suis confortable ? C'est toi que je trouve confortable dans cette position.

Gaétan se laissait glisser à côté de son camarade, le prenait dans ses bras et … Ils s'endormaient tranquillement, enlacé l'un contre l'autre.

Ils se sont levé tard, ils étaient toute douceur l'un pour l'autre, ils ont mangé en prenant leur temps.

– Tu en as une belle dis donc, je ne sais pas si elle est plus ou moins grosse que la mienne. Commentait Gaétan.
– Ça doit se valoir. Répondait Louis.
– On ne trouve pas toujours facilement quelqu'un qui peut se la prendre sans pleurer sa mère.
– Moi j'aime bien. Rajoutait Louis.
– Tu plutôt actif ou passif.
– En fait je suis plutôt passif mais avec une queue de plus de vingt centimètres on me demande toujours d'intervenir. Répondait Louis en rigolant.
– C'est sûr que ta queue, on va te la demander.
– Tu ne seras pas jaloux ?
– Il faut savoir partager. Et puis tant que ça ne sort pas du boulot …
Ils étaient déjà clairement attirés l'un par l'autre.

Ils se préparaient à partir pour le bureau, enfin je voulais dire pour la boite de nuit. Quand ils arrivaient l'après midi était déjà bien avancé, tout le monde n'était pas encore arrivé, la salle était nickel, c'était une société spécialisé qui s'en chargeait.

La semaine reprenait, toute l'équipe était au rendez vous, en fait toute l'équipe participait à toutes les activités, depuis le service au bar, au service en salle, en passant par le spectacle sur scène. Les jours de grande influence, c'étaient les derniers jours de la semaine mais dès le mardi ça commençait, et souvent ça commençait très fort. Souvent en fin de soirée, sur scène, ça dégénérait mais les clients ne s'en plaignaient pas.

Là c'était la répétition. Chacun se préparait et jouait son rôle sur scène. L'ambiance était détendu.

C'était la première journée de travail de Louis.

A suivre

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