Adeline, découvre les plaisirs du sexe 2 - histoire érotique

Délicatement, il prend la main d'Adeline et la pose sur son membre dressé comme un mât de cocagne. La main fébrile, presse plusieurs fois le manche vivant, elle sent battre le sang dans la hampe, elle descend sa main jusqu'aux bourses velues pleines de bon jus, dont Adeline en ignore le goût et la texture.
Les deux échangent encore un baiser. Adeline ne lâche pour autant la verge tendue, et encore moins les bourses qu'elle ne cesse de triturer, elle se rend compte que celles de son mari sont toutes fripées et sans semence.




Après avoir encore échangé leurs salives, les deux amants cessent de s'embrasser, il se passe quelque chose entre eux qui est indéfinissable, ils se regardent un long moment, leurs yeux pétillent comme du champagne.
Avec une douceur extrême, Mathias retire la nuisette de son amante. Et, la bascule lentement sur le lit, pendant un bon moment, il admire son corps, avant de poser ses mains un peu caleuses dessus. Chaque caresse sur son corps fait soupirer Adeline. C'est la première fois qu'un véritable homme s'occupe de son corps.

Edouard ne quitte pas des yeux le couple, il entend ronronner sa femme comme une chatte que l'on flatte de la main. Il est rayonnant de bonheur. Tout en caressant le corps fébrile, Mathias lui donne en même temps de petits baisers. Adeline défaille, elle soupire bruyamment. Les mains tournent autour de ses seins, les frôlent pour augmenter le plaisir. Mais dès qu'il s'en empare pour les presser doucement, Adeline pousse un gémissement qui prouve que la jeune femme prend du plaisir aux attouchements de plus en plus précis du jardinier.

Les doigts s'enfoncent profondément dans la chair tendre des seins en faisant geindre Adeline. Deux doigts tournent sur les aréoles grenelées, en frôlant les mamelons. Automatiquement, les petits mâts de chairs se dressent. Mathias les roule doucement entre ses doigts, les presse de temps en temps pour stimuler Adeline. Mais dès qu'il aspire un mamelon, Adeline se cabre, en poussant un gémissement qui fait sursauter son mari.


La bouche du jardinier s'active sur les bouts qui deviennent de plus en plus épais. Mathias délaisse les mamelons qui commencent à devenir douloureux, sa bouche descend sur le torse, glisse sur le ventre et se pose sur le nombril. Quelques coups de langue le fouillent un court instant. C'est ainsi qu'Adeline découvre un nouvel attouchement, elle souffle comme un dragon. Plus la bouche s'approche de son temple en feu, plus elle geint. Jamais elle n'a mouillé autant. Soudain, elle se cambre comme un pont. La bouche de son amant vient de se poser sur son fruit trop mûr qui rejette son jus. La langue passe entre les grandes lèvres, et monte à la recherche de la perle des plaisirs.

Un gémissement terrible, sort de la gorge de la jeune femme. Matthias vient de lui aspirer le clito et se met à le sucer pour lui faire prendre encore du volume. Le jardinier n'a pas usurpé sa réputation. Adeline entre ses bras fond de plaisir. Une première jouissance la fait cabrer, sa vulve rejette un flot de cyprine impressionnant. Mathias en avale une partie, l'autre tombe sur le lit.


Le corps de son amant se met à fortement frissonner, elle délire :

-Edouard, Edouard, je vais mourir, je deviens folle, c'est fantastique ce que Mathias me fait, oh comme c'est bon !

Adeline n'a pas fini de gémir, la langue agile de son amant s'enfonce profondément dans son puits d'amour et en fouille chaque recoin. Une seconde jouissance la fait gémir encore plus fort. Son corps s'agite, pris de spasmes violents. Edouard s'approche, il caresse le front de sa femme qui est en sueur, il lui dit :

-Jouis, jouis ma chérie, lâche-toi totalement !

Mathias se redresse, il se place entre les cuisses de la jouisseuse, et frotte son gland contre la vulve détrempée. Il l'appuie contre et pousse doucement. Les grandes lèvres s'écartent, le gland s'engage dans la gaine brûlante qu'il distend.
Adeline serre les dents, elle grimace. La verge puissante de son amant s'enfonce très lentement dans son ventre.
Mathias sent une résistance, il cesse de pousser, et se met à lui embrasser les seins, gober les mamelons. Il s'accroche aux hanches d'Adeline et donne un coup de reins violent. Adeline pousse un cri en se cabrant, une violente brûlure lui traverse le ventre. Son hymen vient de céder, elle s'agrippe à son amant comme elle le peut en geignant.

Edouard lui donne un baiser sur le front et lui dit :

-Te voila femme maintenant ma chérie !

Mathias commence à faire un très lent va-et-vient, à chaque aller et retour, elle ressent une douleur dans le ventre. Mais au fur et à mesure, la douleur s'estampe. Les gémissements de douleur, magiquement, deviennent des gémissements de plaisir. Mathias peut la violenter un peu plus fort, ses coups de boutoir se font plus brutaux. Adeline est au bord de la syncope, le pieu qui lui fore le ventre, peu à peu l'emmène au plaisir extrême. C'est en poussant un gémissement presque inhumain, qu'elle jouit encore une fois. Son corps est celui d'une hystérique, il ne cesse de s'agiter. Le gland large et épais du jardinier, ne cesse de buter contre le col son utérus. Cela provoque chez Adeline de nombreux orgasmes.


Adeline inconsciemment donne elle-même, donne des coups de reins redoutable. Ses râles sont ceux d'une agonisante. Mathias retire entièrement sa verge du ventre de son amante, pour la lui replonger brutalement le plus profondément possible. Il entreprend une chevauchée fantastique. Adeline s'accroche à lui en poussant encore un gémissement de jouissance. Enfin, Mathias lui remplit le ventre de sa semence épaisse. Il donne encore quelques estocades avant de se retirer.