Aéroport 2
Récit érotique écrit par Sucette [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-05-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Aéroport 2
Aéroport 2
Pierre : Une lucarne s'ouvre, on me tend une gamelle de riz et de poisson ainsi qu'une bouteille d'eau. Je dois manger avec les doigts.
Pour mes besoins, un seau métallique.
Le lendemain matin, un bol de lait caillé et une galette de sorgho font office de petit déjeuner .
On m'extirpe de ma cellule pour un nouvel interrogatoire. Ils veulent savoir qui sont mes fournisseurs et mes commanditaires.
Je répète ce que j'ai dit la veille, la vérité, le ton est de plus en plus menaçant.
Deux gardiens pénètrent dans la pièce, je suis couché ventre sur la table. Les pieds attachés à ceux de la table, les mains attachées sous la table m'interdisant de me relever. Je reçois une vingtaine de coups de cravache.
On m'étale un onguent sur mes plaies qui me brûle, on me repose les mêmes questions, ils ajoutent que ma femme m'a accusée et qu'elle est repartie en France.
Comme je ris, il m'enduise du même produit l'anus avec leurs doigts et le font pénétrer. La douleur est insupportable comme si l'on m'arrachait mes entrailles.
Les hommes s'en vont et me laissent en état.
A leur retour, je supplie que l'on me détache, mes sphincters ont lâché et je suis conduit dans une pièce ou l'on me lave et récure au jet et à la brosse. Je suis reconduit dans ma cellule, je devrais dire mon cachot où je reste un temps qui me paraît très long.
Quelques jours plus tard, on me permet de me laver, je suis coiffé et rasé pour être présenté au juge.
Un avocat d'office me conseille de plaider coupable. Ma peine me permettra d'être extradé, l'état français ayant obtenu un arrangement.
La nouvelle junte veut manifester son autorité et montrer au reste du monde qu'elle est déterminé à lutter contre tous les trafics.
Procès expédié en moins d'une heure, je suis condamné à vingt ans de travaux forcés.
Et je ne suis pas encore dans l'avion. Mes aveux ayant été obtenus, le jeu diplomatique va commencer et en attendant je dois purger ma peine.
Je suis conduit en cellule avec d'autres condamnés de droits communs
Je vais y rester trois mois.
Mes effets personnels sont toujours confisqués, à nouveau fouillé intimement, je retrouve ma tenue de prisonnier et je suis placé dans une cellule avec trois autres condamnés de droit commun.
Dernier arrivé, j'écope du lit le plus bas près du lieux d'aisance. L'odeur de la cellule est forte. Le bruit de la prison épouvantable, il y règne un climat de violence palpable.
Les gardiens ne valent pas mieux, ils sont violents, rançonnent les prisonniers, sont de tous les trafics.
Le premier soir, les gardiens viennent me chercher et m'emmènent dans leur vestiaire où Il n'y a pas de caméra. Là, il me déshabille , se moque de ma petite bite blanche, il m'oblige à me décalotter. Ils n'ont jamais vu de bite non circoncise. Ils me tripotent, m'oblige à me masturber, je ne peux qu'obéir, je vois leurs pantalons se tendre, je suis honteux et excité, mon sexe s'allonge malgré moi, ils m'encouragent. Je n'ai plus éjaculé depuis plusieurs semaines, plusieurs jets maculent le sol.
Je dois essuyé avec mes doigts et ma langue sous leur quolibets.
Ils me reconduisent dans ma cellule. Le garde leur parle de moi dans la langue locale, ils rient mais je ne comprends rien. Pour eux aussi, je dois me déshabiller, ils m'observent sous tous les angles, m’écartent les fesses, ouvrent ma bouche. J'ai l'impression que je suis un esclave mis aux enchères qu'on examine.
Mon intuition se révélera en dessous de la réalité. Domestique le jour, esclave sexuel la nuit.
C'est l'extinction des feux. Une bougie est allumée. Je suis toujours nu, une main m'appuie sur la tête, je m'agenouille, je sens un gros boudin frotter sur mes lèvres. Il frappe pour que j'ouvre la bouche.
C'est assurément un beau morceau qui a pris de la consistance, maintenant, il frappe ma joue d'un côté et de l'autre, on entend le bruit sourd quand il atteint ma joue.
Mes genoux me font mal, il faut que je réponde à sa sollicitation. Ces activités ne me sont pas étrangères. Cela me rappelle ma jeunesse quand j'étais à l'internat et mes débuts à l'armée.
Ensuite, j'ai toujours aimé les ambiances de vestiaire après un match, les toilettes publiques un peu glauques, j'ai eu des relations sexuelles entre hommes. J'ai poussé la porte de sauna gay et goûté aux fruits défendus.
L'excitation me gagne, j'ouvre largement la bouche et je gobe l'engin qui glisse dans mon gosier.
Je salive énormément et l'inconnu ressort et revient. Il donne de grands coups de rein et me tiens l'arrière du crâne, je participe de ma langue et le suce avec avidité, cela faisait longtemps que le n'avais goûté à un pareil engin puis je sens un tressaillement et de longs jets tapissent le fond de ma gorge. Je déglutis et une partie coule sur mon menton et ma poitrine.
Il frotte son gland sur mon visage et réinvestit ma bouche pour que je nettoie.
Je me relève et rejoints ma paillasse.
Dans la nuit, celui qui occupe le lit du dessus se lève pour pisser, je suis réveillé et au première loge, j'entends le jet sur la faïence et je respire des effluves caractéristiques.
Il est debout devant moi, la combinaison aux chevilles, il m'attrape, me redresse, m'assoit au bord du lit et prend ma tête qu'il applique sur son pubis. Le message est clair, j'ouvre la bouche qu'il investit.
Il entame un long va et vient. Je fatigue, je plaque la langue contre mon palais, je tête son gland, il tourne la tête pour varier les angles, je bave abondamment.
Il me redresse, me déshabille et me place à genoux sur le matelas, les fesses vers lui. Il crache sur ses doigts et mon anus et y présente son gland. Je pousse et il me pénètre peu à peu. Il s’y reprend à plusieurs reprises quand je sens ses poils du pubis sur ma peau.
La douleur est vive mais si je crie, je vais réveiller ses voisins qui à leur tour vont vouloir de moi.
C'est en silence que je subis ce viol même si la douleur a fait place au plaisir de me sentir investi profondément. Je me caresse instinctivement et du pécum s’écoule dans ma main.
Ses mouvements sont amples à l'image de la fellation. Ma parole, c'est un acteur porno ce type, cela doit faire dix minutes, il claque mes fesses, accélère et jouit bruyamment dans mes intestins.
Ce que je redoutais s'est concrétisé, quand je me retourne, les deux acolytes sont debout et observent la scène.
Le plus jeune sort une verge longue et fine et me place au milieu de la pièce à genoux, il prend mes hanches et me sodomise d'une traite, mon conduit bien lubrifié par le sperme de son prédécesseur.
Son glaive me pourfend.
Le plus âgé et dominant me saisit les mâchoires pour que je l'embroche à nouveau.
Quand le jeune me pousse en avant, d'un coup de rein puissant, la massue de l'autre me pénètre jusqu'à la gorge me créant des hauts le cœur . Cela les fait rire et ils répètent le mouvement inlassablement. Puis ils décident de permuter.
Le passage est bien élargi et il s'enfonce sans peine, mon anus est complètement dilaté, je sens le cylindre me ramoner puis il se dégage pour venir jouir sur mon visage comme a fait le plus jeune quelques instants plus tôt.
Je suis recouvert de sperme dans les cheveux, le front, le nez , la bouche et le menton.
Je me lave comme je peux avec les mains. Le sperme colle à mes doigts et je parviens tout de même à me rendormir .
La scène se répétera à de nombreuses reprises. La situation ne fera qu'empirer, je suis la risée de tous, je suis le souffre douleur, on m'insulte, on me crache dessus, les colis que je reçois via l'ambassade sont systématiquement confisqués et détournés.
En France, une campagne de soutien s'est discrètement ouverte par des amis qui s'informe auprès des affaires étrangères et je reçois la visite du consul qui me tient informé et me demande d'être patient.
Il essaie en vain d'obtenir que je sois placé en cellule individuelle mais cela ne changerait pas grand-chose en effet, je suis aussi harcelé en promenade et aussi violenté par les gardiens.
J'effectue les travaux les plus dégradants en récurant les latrines et les douches ainsi que les bacs à ordures. Je suis régulièrement arrosé d'eau sale. Je dois aussi frotter les vêtements les plus sales quand je suis affecté à la buanderie.
Le pire a lieu aux douches où je suis prostitué par les gardiens. Alors que le temps de douche n'est que de quelques minutes pour chaque détenu, je dois y rester bien plus longtemps.
Il y a des douches collectives où l'ensemble de plusieurs cellules se lavent et il y des douches individuelles pour les privilégiés. Il y a un hammam où le détenu est nettoyé au savon noir et rincé avec des seaux d'eau chaude, il peut aussi se faire massé par un autre détenu. Les gardiens ont leur propre hammam.
C'est là que j'officie en général mais pas toujours.
Aux douches des détenus, je suis dirigé dans une pièce avec un vestiaire. Sur trois côtés des patènes pour suspendre les combinaisons et les serviettes. Au milieu un banc et une alcôve plus sombre à l'extrémité qui fait office de douche sur trois côtés .
Je suis nu, un pagne autour des reins et préposé à la distribution du savon noir et des serviettes. Les détenus se déshabillent et se lavent dans l'alcôve, je dois leur passer la serviette. Invariablement, on me demande de laver le dos, les fesses et je me retrouve plaqué au mur, l'anus enduit de savon noir et brutalement sodomisé par tous les présents dans la pièce.
En une heure, c'est parfois une douzaine de détenus qui profiteront de mon corps.
Les gardiens qui organisent l'abattage, savent parfaitement ce qui s'y passe. C'est en sorte une récompense pour service rendu et le moyen de calmer les gars.
Eux même ne sont pas en reste. Ils ont leur séance particulière individuelle dans leurs locaux.
Les détenus racontent qu'ils ont aussi la visite de prostituées qui sont contrôlées par la mafia en échange de petits services : Un témoin gênant est retrouvé pendu, de la drogue circule ainsi que des téléphones portables mais aussi, ils font du chantage auprès d'épouses ou de filles pour les autoriser à avoir des relations sexuelles avec leur conjoint. Les relations, elles, seront filmées à leur insu.
L'épouse d’un pakistanais est venue au parloir, le lendemain le prisonnier a été pris à partie puis conduit au cachot, maltraité, il a dû accepter de livrer sa jeune épouse.
En ce qui concerne, suite à un pari lors d'une soirée arrosée, il ont décidé de me travestirpar une prostituée.
Mon crâne rasé a été affublé d'une perruque blonde, mon visage et mon corps épilé complètement au rasoir et à la cire, poudré, j'ai été maquillé outrageusement, fardé, une guêpière rouge et noire, des bas résille, un string en dentelle, des prothèses de seins en silicone. J'agitais un éventail pour me rafraichir.
j'ai dû leur servir à boire, me pavaner au milieu des prostituées qui profitait de ma langue et je devais suivre certains hommes dans une pièce voisine où ils utilisaient ma bouche ou mes fesses.
Je recevais aussi des claques et je devais toujours sourire.
Il me faisait boire et j'étais tout de même très excité.
Au bout d'une heure, j'ai eu le droit de me laver et revêtir à nouveau ma combinaison de détenu.
Enfin, après trois mois de ce traitement, je fus extradé vers la France .
J’ai mis des années à récupérer et à retrouver une existence normale , j'ai divorcé et aujourd'hui je vis maritalement avec un homme noir, bien membré et dominant.
Mon épouse vit en Afrique mais c'est une autre histoire
A suivre.
Pierre : Une lucarne s'ouvre, on me tend une gamelle de riz et de poisson ainsi qu'une bouteille d'eau. Je dois manger avec les doigts.
Pour mes besoins, un seau métallique.
Le lendemain matin, un bol de lait caillé et une galette de sorgho font office de petit déjeuner .
On m'extirpe de ma cellule pour un nouvel interrogatoire. Ils veulent savoir qui sont mes fournisseurs et mes commanditaires.
Je répète ce que j'ai dit la veille, la vérité, le ton est de plus en plus menaçant.
Deux gardiens pénètrent dans la pièce, je suis couché ventre sur la table. Les pieds attachés à ceux de la table, les mains attachées sous la table m'interdisant de me relever. Je reçois une vingtaine de coups de cravache.
On m'étale un onguent sur mes plaies qui me brûle, on me repose les mêmes questions, ils ajoutent que ma femme m'a accusée et qu'elle est repartie en France.
Comme je ris, il m'enduise du même produit l'anus avec leurs doigts et le font pénétrer. La douleur est insupportable comme si l'on m'arrachait mes entrailles.
Les hommes s'en vont et me laissent en état.
A leur retour, je supplie que l'on me détache, mes sphincters ont lâché et je suis conduit dans une pièce ou l'on me lave et récure au jet et à la brosse. Je suis reconduit dans ma cellule, je devrais dire mon cachot où je reste un temps qui me paraît très long.
Quelques jours plus tard, on me permet de me laver, je suis coiffé et rasé pour être présenté au juge.
Un avocat d'office me conseille de plaider coupable. Ma peine me permettra d'être extradé, l'état français ayant obtenu un arrangement.
La nouvelle junte veut manifester son autorité et montrer au reste du monde qu'elle est déterminé à lutter contre tous les trafics.
Procès expédié en moins d'une heure, je suis condamné à vingt ans de travaux forcés.
Et je ne suis pas encore dans l'avion. Mes aveux ayant été obtenus, le jeu diplomatique va commencer et en attendant je dois purger ma peine.
Je suis conduit en cellule avec d'autres condamnés de droits communs
Je vais y rester trois mois.
Mes effets personnels sont toujours confisqués, à nouveau fouillé intimement, je retrouve ma tenue de prisonnier et je suis placé dans une cellule avec trois autres condamnés de droit commun.
Dernier arrivé, j'écope du lit le plus bas près du lieux d'aisance. L'odeur de la cellule est forte. Le bruit de la prison épouvantable, il y règne un climat de violence palpable.
Les gardiens ne valent pas mieux, ils sont violents, rançonnent les prisonniers, sont de tous les trafics.
Le premier soir, les gardiens viennent me chercher et m'emmènent dans leur vestiaire où Il n'y a pas de caméra. Là, il me déshabille , se moque de ma petite bite blanche, il m'oblige à me décalotter. Ils n'ont jamais vu de bite non circoncise. Ils me tripotent, m'oblige à me masturber, je ne peux qu'obéir, je vois leurs pantalons se tendre, je suis honteux et excité, mon sexe s'allonge malgré moi, ils m'encouragent. Je n'ai plus éjaculé depuis plusieurs semaines, plusieurs jets maculent le sol.
Je dois essuyé avec mes doigts et ma langue sous leur quolibets.
Ils me reconduisent dans ma cellule. Le garde leur parle de moi dans la langue locale, ils rient mais je ne comprends rien. Pour eux aussi, je dois me déshabiller, ils m'observent sous tous les angles, m’écartent les fesses, ouvrent ma bouche. J'ai l'impression que je suis un esclave mis aux enchères qu'on examine.
Mon intuition se révélera en dessous de la réalité. Domestique le jour, esclave sexuel la nuit.
C'est l'extinction des feux. Une bougie est allumée. Je suis toujours nu, une main m'appuie sur la tête, je m'agenouille, je sens un gros boudin frotter sur mes lèvres. Il frappe pour que j'ouvre la bouche.
C'est assurément un beau morceau qui a pris de la consistance, maintenant, il frappe ma joue d'un côté et de l'autre, on entend le bruit sourd quand il atteint ma joue.
Mes genoux me font mal, il faut que je réponde à sa sollicitation. Ces activités ne me sont pas étrangères. Cela me rappelle ma jeunesse quand j'étais à l'internat et mes débuts à l'armée.
Ensuite, j'ai toujours aimé les ambiances de vestiaire après un match, les toilettes publiques un peu glauques, j'ai eu des relations sexuelles entre hommes. J'ai poussé la porte de sauna gay et goûté aux fruits défendus.
L'excitation me gagne, j'ouvre largement la bouche et je gobe l'engin qui glisse dans mon gosier.
Je salive énormément et l'inconnu ressort et revient. Il donne de grands coups de rein et me tiens l'arrière du crâne, je participe de ma langue et le suce avec avidité, cela faisait longtemps que le n'avais goûté à un pareil engin puis je sens un tressaillement et de longs jets tapissent le fond de ma gorge. Je déglutis et une partie coule sur mon menton et ma poitrine.
Il frotte son gland sur mon visage et réinvestit ma bouche pour que je nettoie.
Je me relève et rejoints ma paillasse.
Dans la nuit, celui qui occupe le lit du dessus se lève pour pisser, je suis réveillé et au première loge, j'entends le jet sur la faïence et je respire des effluves caractéristiques.
Il est debout devant moi, la combinaison aux chevilles, il m'attrape, me redresse, m'assoit au bord du lit et prend ma tête qu'il applique sur son pubis. Le message est clair, j'ouvre la bouche qu'il investit.
Il entame un long va et vient. Je fatigue, je plaque la langue contre mon palais, je tête son gland, il tourne la tête pour varier les angles, je bave abondamment.
Il me redresse, me déshabille et me place à genoux sur le matelas, les fesses vers lui. Il crache sur ses doigts et mon anus et y présente son gland. Je pousse et il me pénètre peu à peu. Il s’y reprend à plusieurs reprises quand je sens ses poils du pubis sur ma peau.
La douleur est vive mais si je crie, je vais réveiller ses voisins qui à leur tour vont vouloir de moi.
C'est en silence que je subis ce viol même si la douleur a fait place au plaisir de me sentir investi profondément. Je me caresse instinctivement et du pécum s’écoule dans ma main.
Ses mouvements sont amples à l'image de la fellation. Ma parole, c'est un acteur porno ce type, cela doit faire dix minutes, il claque mes fesses, accélère et jouit bruyamment dans mes intestins.
Ce que je redoutais s'est concrétisé, quand je me retourne, les deux acolytes sont debout et observent la scène.
Le plus jeune sort une verge longue et fine et me place au milieu de la pièce à genoux, il prend mes hanches et me sodomise d'une traite, mon conduit bien lubrifié par le sperme de son prédécesseur.
Son glaive me pourfend.
Le plus âgé et dominant me saisit les mâchoires pour que je l'embroche à nouveau.
Quand le jeune me pousse en avant, d'un coup de rein puissant, la massue de l'autre me pénètre jusqu'à la gorge me créant des hauts le cœur . Cela les fait rire et ils répètent le mouvement inlassablement. Puis ils décident de permuter.
Le passage est bien élargi et il s'enfonce sans peine, mon anus est complètement dilaté, je sens le cylindre me ramoner puis il se dégage pour venir jouir sur mon visage comme a fait le plus jeune quelques instants plus tôt.
Je suis recouvert de sperme dans les cheveux, le front, le nez , la bouche et le menton.
Je me lave comme je peux avec les mains. Le sperme colle à mes doigts et je parviens tout de même à me rendormir .
La scène se répétera à de nombreuses reprises. La situation ne fera qu'empirer, je suis la risée de tous, je suis le souffre douleur, on m'insulte, on me crache dessus, les colis que je reçois via l'ambassade sont systématiquement confisqués et détournés.
En France, une campagne de soutien s'est discrètement ouverte par des amis qui s'informe auprès des affaires étrangères et je reçois la visite du consul qui me tient informé et me demande d'être patient.
Il essaie en vain d'obtenir que je sois placé en cellule individuelle mais cela ne changerait pas grand-chose en effet, je suis aussi harcelé en promenade et aussi violenté par les gardiens.
J'effectue les travaux les plus dégradants en récurant les latrines et les douches ainsi que les bacs à ordures. Je suis régulièrement arrosé d'eau sale. Je dois aussi frotter les vêtements les plus sales quand je suis affecté à la buanderie.
Le pire a lieu aux douches où je suis prostitué par les gardiens. Alors que le temps de douche n'est que de quelques minutes pour chaque détenu, je dois y rester bien plus longtemps.
Il y a des douches collectives où l'ensemble de plusieurs cellules se lavent et il y des douches individuelles pour les privilégiés. Il y a un hammam où le détenu est nettoyé au savon noir et rincé avec des seaux d'eau chaude, il peut aussi se faire massé par un autre détenu. Les gardiens ont leur propre hammam.
C'est là que j'officie en général mais pas toujours.
Aux douches des détenus, je suis dirigé dans une pièce avec un vestiaire. Sur trois côtés des patènes pour suspendre les combinaisons et les serviettes. Au milieu un banc et une alcôve plus sombre à l'extrémité qui fait office de douche sur trois côtés .
Je suis nu, un pagne autour des reins et préposé à la distribution du savon noir et des serviettes. Les détenus se déshabillent et se lavent dans l'alcôve, je dois leur passer la serviette. Invariablement, on me demande de laver le dos, les fesses et je me retrouve plaqué au mur, l'anus enduit de savon noir et brutalement sodomisé par tous les présents dans la pièce.
En une heure, c'est parfois une douzaine de détenus qui profiteront de mon corps.
Les gardiens qui organisent l'abattage, savent parfaitement ce qui s'y passe. C'est en sorte une récompense pour service rendu et le moyen de calmer les gars.
Eux même ne sont pas en reste. Ils ont leur séance particulière individuelle dans leurs locaux.
Les détenus racontent qu'ils ont aussi la visite de prostituées qui sont contrôlées par la mafia en échange de petits services : Un témoin gênant est retrouvé pendu, de la drogue circule ainsi que des téléphones portables mais aussi, ils font du chantage auprès d'épouses ou de filles pour les autoriser à avoir des relations sexuelles avec leur conjoint. Les relations, elles, seront filmées à leur insu.
L'épouse d’un pakistanais est venue au parloir, le lendemain le prisonnier a été pris à partie puis conduit au cachot, maltraité, il a dû accepter de livrer sa jeune épouse.
En ce qui concerne, suite à un pari lors d'une soirée arrosée, il ont décidé de me travestirpar une prostituée.
Mon crâne rasé a été affublé d'une perruque blonde, mon visage et mon corps épilé complètement au rasoir et à la cire, poudré, j'ai été maquillé outrageusement, fardé, une guêpière rouge et noire, des bas résille, un string en dentelle, des prothèses de seins en silicone. J'agitais un éventail pour me rafraichir.
j'ai dû leur servir à boire, me pavaner au milieu des prostituées qui profitait de ma langue et je devais suivre certains hommes dans une pièce voisine où ils utilisaient ma bouche ou mes fesses.
Je recevais aussi des claques et je devais toujours sourire.
Il me faisait boire et j'étais tout de même très excité.
Au bout d'une heure, j'ai eu le droit de me laver et revêtir à nouveau ma combinaison de détenu.
Enfin, après trois mois de ce traitement, je fus extradé vers la France .
J’ai mis des années à récupérer et à retrouver une existence normale , j'ai divorcé et aujourd'hui je vis maritalement avec un homme noir, bien membré et dominant.
Mon épouse vit en Afrique mais c'est une autre histoire
A suivre.
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