Amour retrouvé 2 - histoire érotique

Les grandes lèvres vaginales, sont aspirées fortement, les dents les étirent. Les deux amantes se font subir le même traitement. Serge n'en peut plus, il approche du couple, il monte sur le lit et sans trop se poser de questions, il frotte son gland contre la chatte qui est juste à sa hauteur et pousse. C'est Lauren qui en bénéficie, elle se cabre en grognant :

-Oh Amélie, ton mari vient de m'enfoncer sa bite dans la chatte, mon Dieu comme c'est bon !

Amélie qui se trouve aux premières loges, regarde la bite voyager dans le ventre de son amie. De temps en temps, elle donne de grands coups de langue sur la hampe qui fait des allers et retours dans le vagin dégoulinant de cyprine. Amélie semble heureuse que son mari baise Lauren. Entre deux coups, elle dit :

-Vas-y mon chéri, enfonce ta queue bien au fond de sa chatte, tape fort, fais-lui mal, oui, fais jouir ma chérie fort, fort, mon chéri !

Serge est accroché à Lauren comme un rapace sur sa proie. Il la pilonne comme un beau diable, à chaque enfoncement du son mandrin, dans son ventre, elle pousse un gémissement. L'engin de chair coulisse dans la gaine, en raclant fortement les parois garnies de muqueuses sensibles. Lauren qui généralement a une préférence pour les femmes. Subit avec bonheur les assauts du mari de sa chérie.

Serge n'en revient pas, il croit rêver, en sa présence sa femme le cocufie, lui la cocufie aussi, cela semble l'exciter davantage. Lauren gémit comme une bête, elle est au bord de la syncope. Quelques coups de pilons violents la font exploser de jouissance. Son cri et très, très bruyant. Serge la bourre encore un moment avant de déverser sa semence dans son ventre.

Il retire son membre gluant du ventre brûlant, d'un geste rapide sa femme saisit la verge engluée et la suce en grognant de plaisir. Amélie suce tellement bien qu'elle a droit à une récompense, un flot de sperme de déverse dans sa bouche. En déglutissant bruyamment, Amélie avale la substance visqueuse. Serge descend du lit, Amélie change de position, elle roule sur son amie, les deux s'embrassent. Puis d'un commun accord, décident de mettre entre elles Serge.

Avant de s'étendre sur le lit, il se met nu comme les femmes. Lauren, et Amélie, commencent à caresser le corps velu de l'homme qui ferme les yeux. Les caresses se font de plus en plus précises,
pendant qu'une main s'agrippe à ses bourses, une autre lui saisit la verge. Les deux femmes triturent, branlent, sucent à tour de rôle le gland large de Serge. La verge est de plus en plus dure, les veines, gonflées à l'extrême, garnissent la hampe épaisse.

Amélie regarde son amie et lui dit :

-Vas-y chevauche-le, ma chérie, éclate-toi !

Lauren, souriante, enjambe le corps de Serge, et en lui tournant le dos, descend doucement son corps, c'est Amélie qui dirige le pieu vers la chatte ruisselante de son amie. Lentement, Lauren s'empale, elle souffle fortement et commence à s'agiter comme une forcenée. Son corps agile monte et descend sur la queue qui lui fore le ventre. Vicieusement, Amélie Place sur le ventre de son mari sa main avec le pouce levé.

Lorsque Lauren descend, le pouce de son amie, appuie sur son anus, surprise, Lauren remonte et sans savoir pourquoi, elle se laisse retomber. Le pouce lui pénètre l'anus, elle a dans le rectum la totalité du doigt. Elle gémit, souffle, elle commence à faire l'ascenseur, en ne faisant attention de ne pas faire ressortir de sa gaine le pouce. Prise en double, Lauren gémit, elle dit :

-Oh Amélie, tu es un monstre, mais j'adore ce que tu me fais subir ma chérie, oh ce que la bite de ton mari est bonne, oh comme je t'envie !

Amélie en riant lui répond :

-Tiens, moi qui croyais que tu n'aimais que les femmes, pourquoi ce revirement soudain ma chérie !

Entre deux souffles, Lauren répond :

-C'est parce qu'il t'appartient et que je veux avoir aussi les mêmes plaisirs que toi mon amour !

Amélie réplique :

-Ah, tu veux les mêmes plaisirs, eh bien d'accord, tu vas être servis !

Elle attend que son amie jouisse, avant de lui demander de placer sous ses reins l'oreiller. Amélie regarde son mari et lui dit :

-Fais-lui ce que tu me fais mon chéri, ne la ménage pas !

Amélie lui badigeonne l'anus avec sa salive, assouplit avec un doigt la gaine étroite, avant de livrer Lauren à Serge. Lorsqu'elle sent le gland frapper à sa petite porte, elle se cabre, repousse brutalement Serge, en hurlant :

-Non, non pas ça, cela doit être douloureux, je ne veux pas, un doigt ça va, mais pas plus !



Sans répondre, Amélie place sous ses reins l'autre oreiller et dit :

-Honore-moi mon chéri, montre-lui comment tu sais me faire jouir !

Sans se le faire répéter, Serge place son gland contre l'anus de sa femme. Il s'accroche à elle et pousse. Lentement la bite s'enfonce dans la gaine qui souvent est visitée. Amélie serre les dents, elle attrape les hanches de son mari et tire dessus.

Lauren écarquille les yeux en voyant la bite s'enfoncer de plus en plus dans le cul de son amie. Une fois la verge enfoncée jusqu'aux couilles. Serge commence le va-et-vient, Amélie semble prise d'hystérie, elle agite sa croupe comme une dératée en geignant comme un animal. Lauren est surprise par l'ardeur que met son amour, à chaque enfoncement ; Amélie hurle :

-Plus loin, va plus loin, ouah comme je sens bien ta queue mon chéri, encore, encore, n'arrête pas, je vais jouir, oui, oui !

Une violente jouissance fait cabrer Amélie, Serge reste ancré en elle, il veut lui remplir le cul de ça de semence, comme il le fait à chaque fois. C'est en grognant qu'il envoie dans les entrailles de sa femme son sperme visqueux. Lauren reste sans voix, elle se demande comment peut-on jouir si fort du cul. Serge sort du lit et descend à la cuisine se désaltérer, sa verge rejette quelques gouttes de sperme qui se cachaient dans la hampe. Il traine un peu pour récupérer des forces.

Il entend des gémissements, curieux, il monte à la chambre, il ouvre la porte, il voit sa femme dévorer le cul de son amie. La femme à quatre pattes sur le lit grogne fortement. La langue enfoncée de quelques centimètres dans l'anus l'a fait disjoncter, elle se cabre en hurlant :

-Oh non, non, c'est trop, je meurs ma chérie, c'est démentiel ce que tu me fais mon Dieu, ça vient, ça vient !

Une jouissance terrible, encore inconnue d'elle jusqu'à présent, lui traverse les entrailles. C'est si violent que Lauren se laisse tomber sur le lit. Amélie lui murmure :

-Tu vois qu'une jouissance du cul, c'est fabuleux ma chérie, tu en penses quoi !

En cherchant son souffle, Lauren dit :

-Oh, là, là, c'est monstrueux, j'en ai encore la chair de poule ma chérie !

Amélie se fait câline, et ajoute :

-Mais avec une bite ma chérie, c'est démoniaque, tu devrais essayer !

Lauren hésite puis accepte. Bien que la sodomie fut douloureuse, laure a joui terriblement fort plusieurs fois de suite. La fin des vacances, c'est passée que pratiquement qu'au lit, pour des jouissances monstrueuses.