Anton Ep 12 Le quotidien des prisonniers
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-06-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Anton Ep 12 Le quotidien des prisonniers
Anton Ep 12 Le quotidien des prisonniers
Nous y voilà, nous arrivons à la dernière partie de cette histoire. Pour la première fois depuis la chute du mur de Planck ( oui je sais ça fait l'âge ), sur une idée originale de Junior, j'ai imaginé très librement ces aventure d'Anton ( Tooni ). ( toute similitude ou ressemblance avec des personnes existant ou ayant existé est absolument fortuite )
Comme Guss s'y attendait, Tooni à bougé, il a parlé aussi … Non pas pendant son sommeil, il ne parle pas pendant son sommeil, simplement il ne dormait pas . Il commentait, il questionnait. En fait il ne réalisait pas vraiment ce qu'il venait d'apprendre... Gus a préféré ne pas répondre et Tooni a fini par s'endormir.
Le lendemain, tout comme la veille ils devaient tout d'abord recevoir la nourriture qui était livrée par les grottes. Guss observait tout ce qui se passait, ils voulait savoir comment ça se passait en détail. Combien il y aurait de garde, d’où venait les chariots . Ils pouvait les observer un peu mieux que la veille, les deux roues à l'avant pouvait tourner de droite à gauche mais très peu. On ne pouvait pas vraiment changer de direction contrairement aux chariots qu'il connaissaient. Il en concluait que le passage vers l'autre côté de la montagne devait être relativement droit, avec des courbes uniquement. Sinon le chariot ne pourrait pas passer …
Les repas étaient toujours aussi riches. C'est vrai que les femmes demandait aux hommes d'être en forme, la veille il y en avait eu cinq qui étaient passée sur le corps de Guss. Et ceux qui n'auraient pas leur préférence devait fournir une certaine quantité de leur semence, elles semblaient y tenir, elle devaient préparer quelque chose avec.
Peu après le repas, les hommes étaient pris d'une érection importante. Pour Guss ça devenait spectaculaire, pour Tooni beaucoup moins. Par contre il râlait, mais on y est habitué. Les autres hommes prisonniers portaient presque tous un dispositif de chasteté eux aussi.
On leur laissait un peut de temps pour se détendre après le repas. Ils étaient ensuite conduit vers la salle de torture. Par moment il fallait presque retenir Tooni. Il marchait devant, ce qui amusait beaucoup les gardiennes. De toutes évidences, elles le trouvaient amusant. Il les faisait rire, Guss profitait du fait qu'elles se méfiaient moins en sa présence pour regarder les choses de plus prêt. Il n'avait pas perdu l'espoir de retourner à la maison.
Ils arrivaient à l'appareil qui avait procuré des heures de plaisir à Tooni la veille. Toonie s'arrêtait comme émerveillé devant cette machine, il la regardait de prêt. Il comprenait facilement le fonctionnement, il y avait une roue dans le sol qui était actionnée par l'eau, c'était un moulin à eau miniature. En tournant la roue faisait vibrer le pal qui était introduit dans le cul de victimes. Les gardiennes faisaient varier la puissance de l'eau et les vibrations variaient en conséquence.
Les victimes de ce traitement, pardon je voulais dire de cette traite, gémissaient et râlaient de plaisir avant de hurler … de plaisir toujours. Tooni n'attendait pas qu'on lui demande quoi que ce soit et prenait position. Les gardiennes étaient très amusées. Guss restait en retrait au fond de la salle en essayant de ne pas se faire remarquer, il examinait un dessin sur le mur. Ça semblait être un plan de la grotte. Mais ça devait être un plan simplifié, schématisé, il y avait de longue lignes droites …
Tooni avait pris position et laissait les gardienne lui glisser le pal dans le derrière. Déjà il respirait fort et sentait en lui comme un tremblement , un frémissement qui lui parcourait toute l'épine dorsale, du haut vers le bas.
Il se relevait et sentait la base de son pal s'introduire dans le sol. C'était à la fois une grosse envie de continuer et une panique complète de le faire qui le faisait trembler. Il prenait une large respiration, le dispositif était actionné et Tooni poussait un cri de plaisir.
Guss avait bien compris lui aussi, et lui aussi trouvait la situation jouissive. Contrairement à son époux qui trouvait toujours que le corps des femmes était d'une grande laideur, Guss commençait à leur trouver du charme.
Bien sûr ces nouveaux corps qu'il découvraient étaient moins harmonieux, moins fermes. Mais ils étaient un peu plus doux. Tooni lui, par reflex se rétractait si une d'entre elle essayait de le toucher. Ça les amusait beaucoup ça aussi et plus d'une le faisait exprès. N'osant gueuler face à ses geôlières Tooni ronchonnait dans sa barbe et elles riaient à l'entendre et à le voir faire.
Mais pour ce qui est de la traite, il était le premier.
Tous les jours le cérémonial était le même. Les hommes se prêtaient de bonne grâce à leur séance de torture, ils ne résistaient pas, ils se laissaient faire puis ensuite pendant plusieurs heures on les entendait râler de plaisir et gémir.
Au bout de plusieurs semaines, ça ne faisait aucun doute, Tooni était leur petit chouchou. Elles avaient compris que face à elles il était totalement inoffensif. En plus il était marrant, il les faisait rire, il avait obtenu le droit de sortir de sa cellule et de se promener librement dans le quartier. Guss l'employait à faire du repérage, au début il n'avait pas vraiment compris en quoi ça consistait et revenait en décrivant le coin jardin de la Major Missthérese, c'est la chef du quartier … Ou encore le bouquet de fleur qu'il venait de cueillir avec Mlle Josépha … Mais il avait fini par comprendre.
Il remontait jusqu'à la grotte, s'asseyait à l'entrée de la grotte et sous prétexte d'admirer le paysage comptait le nombre de personnes qui étaient présente à différents moment de la journée.
Un jour il arrivait dans sa cellule, il y retrouvait Guss qui remarquait que quelque chose n'allait pas.
– Qu'est ce qui t'arrive Tooni ? Tooni avait les yeux baissés et faisait une mauvaise tête.
– Rien !
– Il y a quelque chose qui ne va pas Tooni !
– Nan !
Guss insistait et Tooni finissait par craquer, il s'effondrait en larme dans les bras de Guss.
– C'est Salina tu sais la fille avec son arc elle m'a elle m'a elles est venue s'asseoir à côté de moi quand je comptais les personnes présentes dans la grotte elle m'a caressé mon bras avec le sien je ne savais plus quoi faire et ensuite quand elle m'a demander de rentrer elle, elle, elle, m'a embrassé … Là !
Il montrait alors sa joue avec son doigt.
Guss avait bien envie de rigoler mais il préférait se retenir, il prenait alors son époux dans ses bras pour le réconforter et l'embrassait. Il l'embrassait tout d'abord sur la joue … '' C'est là qu'elle t'a embrassée la vilaine gardienne ?''. lui demandait Gus …
– Plus bas !
Guss embrassait Tooni un peu plus bas puis encore un peu plus bas. Les hommes avaient une certaine valeur, au point que les geôlières leur accordait une journée de repos sexuel. Elle étaient mignonnes tout de même, mais c'est vrai que Tooni était leur chou-chou aussi elles accordaient à Guss le même jour que Tooni.
Au bout de quelques mois, elles accordaient même un peu plus de liberté à nos héros et pour faire plaisir à Tooni elle autorisait Guss à sortir plusieurs heures ce jour là, mais à condition qu'ils n'aillent pas vers la grotte. Tooni pouvait mais elles se méfiaient de Guss.
Tooni en profitait, il profitait de cette journée pour se blottir un long moment dans les bras de son amant. Il ne faut pas perdre de vue qu'ils étaient nus en permanence. Et ce contact doux et amoureux provoquait forcément une réaction chez Guss, surtout que, ça ne faisait plus aucun doute mais, il y avait quelque chose dans la nourriture …
Guss bandait et Tooni prenait un long moment de plaisir intense à caresser son époux. C'était la seule fois dans la semaine ou il le pouvait, les autres jours ils étaient trop fatigués. Les autres jours ils étaient littéralement vidés. Mais ce jour là dans la semaine ils étaient reposés, ils étaient détendus. Un jour Tooni avait fait des manières en posant ses mains sur ses épaules en grelottant et les filles avaient rajouté deux couvertures … C'est leur chou-chou je vous dis.
Ils étaient donc confortablement installés pour se faire un câlin. Tooni aimait ces moments ou il retrouvait la douceur musclée et forte de son époux et sa virilité. Le pal, c'est bien mais la queue de Guss, c'est mieux. Il n'avait pas perdu en dextérité le petit Tooni et suçait toujours aussi bien. Guss le lui confirmait en lui caressant les cheveux. Il s'amusait toujours à lui appuyer sur la tête, comme ça pour rigoler, Guss aimait bien taquiner son amant, ça lui manquait et un jours par semaine un seul jour il pouvait se laisser aller.
Il y avait aussi une grande tendresse, cette journée était réservée à la tendresse. Les deux amants passaient la soirée, toute la soirée dans les bras de l'autre.
Ils prenaient le temps de se caresser longuement, de s'embrasser sur tout le corps. Puis Guss prenait l'initiative, il retournait Tooni sur le ventre, il écartait les jambes, Guss le guidait, il lui caressait l'intérieur des cuisses avec douceur.
La machinerie moderne, c'est bien mais ça manque de tendresse se disait Tooni. Les mains de son époux elles, étaient pleine de tendresse. Suivaient les baisers que Guss lui dispensait dans tout le dos. Il mordillait aussi Tooni, pas pour lui faire mal et ce n'est certainement pas de douleur que Tooni gémissait. Il sentait la douceur des dents de son amant qui se refermaient sur ses fesses. Puis c'était un doigt qui se clissait dans son anus.
Avec la machinerie les filles lui glissaient un gros truc dans le cul, c'était pas désagréable mais en y allant en douceur, progressivement, c'est mieux. C'est toute la différence avec la machinerie moderne. C'est beau la technique mais rien ne vaut la douceur du câlin.
Puis c'était la force virile. Guss s'allongeait sur le dos de Tooni et c'est sa queue qui tentait une entrée en force. Il n'avait pas besoin de forcer beaucoup. Ça rentrait tout seul, Tooni était maintenant tellement habitué à se faire défoncer le cul que c'était du plaisir, rien que du plaisir. Bien lubrifié avec une bonne dose de salive la queue de Guss glissait sur toute sa longueur sans rencontrer aucune résistance.
Guss appuyait alors son ventre contre les fesses de Tooni, ça aussi c'était une sensation que ne donnait pas la technologie. Mais quand Guss commençait à s'agiter, à ressortir avant de revenir, de plus en plus vite, de plus en plus fort. Si le plaisir restait toujours plus intense qu'avec la technique c'est uniquement à cause des caresses, de la chaleur du corps de Guss, de son poids, de sa masse.
Avec la machine le plaisir n'est concentré que sur un seul point, avec Guss le plaisir pouvait venir de tout le corps. Ses mains qui passaient sur tout le corps, son visage qui lui aussi se promenait sur tout le corps de Tooni et qui s'arrête pour déposer un baiser, ou pour mordiller Tooni dans un recoin sensible.
Tooni ne tremblait pas que du plaisir anal, il tremblait de tout son corps. Il aimait sentir le souffle de son amant, il tournait alors le visage vers le sien et ils s'embrassaient alors avec passion. Guss burinait alors avec encore plus de force le cul de Tooni qui ne pouvait même pas gémir, les lèvres de Guss devenant alors un bâillon très efficace.
Guss prenait toujours son temps pour jouir, et quand il en arrivait là Tooni était déjà aux anges, et sous l'effet de l'orgasme il ne contrôlait plus ses gestes.
Les deux amants se retrouvaient alors entre eux, ils avait l'impression d'être seuls et même les applaudissements de leurs camarades de captivité ne parvenaient pas, ne parvenaient plus à les distraire.
Chacun se noyait dans les yeux de l'autre et c'est blottis l'un contre l'autre, confortablement enveloppés de leur double épaisseur de couvertures qu'ils finissaient par s'endormir.
Le lendemain le programme habituel reprenait. Levé tôt, petit déjeuner copieux puis la grotte, c'est tous les jours que de l'autre côté de la montagne, dans l'autre monde, dans le monde de Guss et de Tooni, on nous livrait des vivres. Tous les jours …
Tooni pensait à ses amis qui devaient être de l'autre côté et qui avaient préparé ces colis, ces vivres sans savoir à qui ils étaient destinés. Certains pensaient que ce devaient être des divinités, des dieux qui bourgeonnaient et les bourgeons c'était les enfants. Ils bourgeonnaient sur la cuisse, sur le ventre, sur le bras, enfin on racontait bien des choses, on disait surtout n'importe quoi !
Quelquefois ils trouvaient parmi les sacs et caisses des objets personnel, Tooni aurait aimé pouvoir en garder quelques uns, mais ça c'était formellement interdit et comment aurait-il pu le cacher quelque par, il ne faudrait pas oublier qu'aucun des prisonniers ne portait le moindre vêtement, sauf pour un grand nombre d'entre eux, leur dispositif de chasteté.
Les quelques uns qui n'en portaient pas étaient comme Guss, très bien montés, et tout comme Guss on leur réservait un traitement spécial.
Les deux hommes n'étaient pas au bout de leurs surprises. La première femme qui avait pris du plaisir sur le dos de Guss. Enfin quand je dis le dos, c'est une façon de parler, ce n'est pas vraiment sur son dos qu'elle s'était allongée. Elle s'appelait Chétine, mais revenons à ce que je disais, elle était de toutes évidences un des chefs du village, et elle avait une taille particulièrement fine quand nos deux héros l'avaient vu pour la première fois. Elle revenait les voir. Son corps avait changé, il devenait difforme. Son ventre était devenu énorme au cour des semaines. Elle avait des difficultés pour marcher et se penchait en arrière,quelquefois assistée par une autre femme, quand elle voulait s'asseoir par exemple.
Tooni et Guss l'avait trouvée laide la première fois mais là, c'était une horreur, sa poitrine était devenue énorme, elle avait le visage gonflé. Là pour Tooni c'était vraiment à faire peur, au point que quand il l'a revu pour la première fois, il était confortablement installé sur la machinerie de plaisir, ça lui a coupé tous les moyens, pendant au moins une heure il ne jutait plus, ne bandait plus dans sa cage en ivoire de Dentosaure et Guss lui non plus ne bandait plus, pourtant pour le faire débander celui-là, il en fallait …
N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Nous y voilà, nous arrivons à la dernière partie de cette histoire. Pour la première fois depuis la chute du mur de Planck ( oui je sais ça fait l'âge ), sur une idée originale de Junior, j'ai imaginé très librement ces aventure d'Anton ( Tooni ). ( toute similitude ou ressemblance avec des personnes existant ou ayant existé est absolument fortuite )
Comme Guss s'y attendait, Tooni à bougé, il a parlé aussi … Non pas pendant son sommeil, il ne parle pas pendant son sommeil, simplement il ne dormait pas . Il commentait, il questionnait. En fait il ne réalisait pas vraiment ce qu'il venait d'apprendre... Gus a préféré ne pas répondre et Tooni a fini par s'endormir.
Le lendemain, tout comme la veille ils devaient tout d'abord recevoir la nourriture qui était livrée par les grottes. Guss observait tout ce qui se passait, ils voulait savoir comment ça se passait en détail. Combien il y aurait de garde, d’où venait les chariots . Ils pouvait les observer un peu mieux que la veille, les deux roues à l'avant pouvait tourner de droite à gauche mais très peu. On ne pouvait pas vraiment changer de direction contrairement aux chariots qu'il connaissaient. Il en concluait que le passage vers l'autre côté de la montagne devait être relativement droit, avec des courbes uniquement. Sinon le chariot ne pourrait pas passer …
Les repas étaient toujours aussi riches. C'est vrai que les femmes demandait aux hommes d'être en forme, la veille il y en avait eu cinq qui étaient passée sur le corps de Guss. Et ceux qui n'auraient pas leur préférence devait fournir une certaine quantité de leur semence, elles semblaient y tenir, elle devaient préparer quelque chose avec.
Peu après le repas, les hommes étaient pris d'une érection importante. Pour Guss ça devenait spectaculaire, pour Tooni beaucoup moins. Par contre il râlait, mais on y est habitué. Les autres hommes prisonniers portaient presque tous un dispositif de chasteté eux aussi.
On leur laissait un peut de temps pour se détendre après le repas. Ils étaient ensuite conduit vers la salle de torture. Par moment il fallait presque retenir Tooni. Il marchait devant, ce qui amusait beaucoup les gardiennes. De toutes évidences, elles le trouvaient amusant. Il les faisait rire, Guss profitait du fait qu'elles se méfiaient moins en sa présence pour regarder les choses de plus prêt. Il n'avait pas perdu l'espoir de retourner à la maison.
Ils arrivaient à l'appareil qui avait procuré des heures de plaisir à Tooni la veille. Toonie s'arrêtait comme émerveillé devant cette machine, il la regardait de prêt. Il comprenait facilement le fonctionnement, il y avait une roue dans le sol qui était actionnée par l'eau, c'était un moulin à eau miniature. En tournant la roue faisait vibrer le pal qui était introduit dans le cul de victimes. Les gardiennes faisaient varier la puissance de l'eau et les vibrations variaient en conséquence.
Les victimes de ce traitement, pardon je voulais dire de cette traite, gémissaient et râlaient de plaisir avant de hurler … de plaisir toujours. Tooni n'attendait pas qu'on lui demande quoi que ce soit et prenait position. Les gardiennes étaient très amusées. Guss restait en retrait au fond de la salle en essayant de ne pas se faire remarquer, il examinait un dessin sur le mur. Ça semblait être un plan de la grotte. Mais ça devait être un plan simplifié, schématisé, il y avait de longue lignes droites …
Tooni avait pris position et laissait les gardienne lui glisser le pal dans le derrière. Déjà il respirait fort et sentait en lui comme un tremblement , un frémissement qui lui parcourait toute l'épine dorsale, du haut vers le bas.
Il se relevait et sentait la base de son pal s'introduire dans le sol. C'était à la fois une grosse envie de continuer et une panique complète de le faire qui le faisait trembler. Il prenait une large respiration, le dispositif était actionné et Tooni poussait un cri de plaisir.
Guss avait bien compris lui aussi, et lui aussi trouvait la situation jouissive. Contrairement à son époux qui trouvait toujours que le corps des femmes était d'une grande laideur, Guss commençait à leur trouver du charme.
Bien sûr ces nouveaux corps qu'il découvraient étaient moins harmonieux, moins fermes. Mais ils étaient un peu plus doux. Tooni lui, par reflex se rétractait si une d'entre elle essayait de le toucher. Ça les amusait beaucoup ça aussi et plus d'une le faisait exprès. N'osant gueuler face à ses geôlières Tooni ronchonnait dans sa barbe et elles riaient à l'entendre et à le voir faire.
Mais pour ce qui est de la traite, il était le premier.
Tous les jours le cérémonial était le même. Les hommes se prêtaient de bonne grâce à leur séance de torture, ils ne résistaient pas, ils se laissaient faire puis ensuite pendant plusieurs heures on les entendait râler de plaisir et gémir.
Au bout de plusieurs semaines, ça ne faisait aucun doute, Tooni était leur petit chouchou. Elles avaient compris que face à elles il était totalement inoffensif. En plus il était marrant, il les faisait rire, il avait obtenu le droit de sortir de sa cellule et de se promener librement dans le quartier. Guss l'employait à faire du repérage, au début il n'avait pas vraiment compris en quoi ça consistait et revenait en décrivant le coin jardin de la Major Missthérese, c'est la chef du quartier … Ou encore le bouquet de fleur qu'il venait de cueillir avec Mlle Josépha … Mais il avait fini par comprendre.
Il remontait jusqu'à la grotte, s'asseyait à l'entrée de la grotte et sous prétexte d'admirer le paysage comptait le nombre de personnes qui étaient présente à différents moment de la journée.
Un jour il arrivait dans sa cellule, il y retrouvait Guss qui remarquait que quelque chose n'allait pas.
– Qu'est ce qui t'arrive Tooni ? Tooni avait les yeux baissés et faisait une mauvaise tête.
– Rien !
– Il y a quelque chose qui ne va pas Tooni !
– Nan !
Guss insistait et Tooni finissait par craquer, il s'effondrait en larme dans les bras de Guss.
– C'est Salina tu sais la fille avec son arc elle m'a elle m'a elles est venue s'asseoir à côté de moi quand je comptais les personnes présentes dans la grotte elle m'a caressé mon bras avec le sien je ne savais plus quoi faire et ensuite quand elle m'a demander de rentrer elle, elle, elle, m'a embrassé … Là !
Il montrait alors sa joue avec son doigt.
Guss avait bien envie de rigoler mais il préférait se retenir, il prenait alors son époux dans ses bras pour le réconforter et l'embrassait. Il l'embrassait tout d'abord sur la joue … '' C'est là qu'elle t'a embrassée la vilaine gardienne ?''. lui demandait Gus …
– Plus bas !
Guss embrassait Tooni un peu plus bas puis encore un peu plus bas. Les hommes avaient une certaine valeur, au point que les geôlières leur accordait une journée de repos sexuel. Elle étaient mignonnes tout de même, mais c'est vrai que Tooni était leur chou-chou aussi elles accordaient à Guss le même jour que Tooni.
Au bout de quelques mois, elles accordaient même un peu plus de liberté à nos héros et pour faire plaisir à Tooni elle autorisait Guss à sortir plusieurs heures ce jour là, mais à condition qu'ils n'aillent pas vers la grotte. Tooni pouvait mais elles se méfiaient de Guss.
Tooni en profitait, il profitait de cette journée pour se blottir un long moment dans les bras de son amant. Il ne faut pas perdre de vue qu'ils étaient nus en permanence. Et ce contact doux et amoureux provoquait forcément une réaction chez Guss, surtout que, ça ne faisait plus aucun doute mais, il y avait quelque chose dans la nourriture …
Guss bandait et Tooni prenait un long moment de plaisir intense à caresser son époux. C'était la seule fois dans la semaine ou il le pouvait, les autres jours ils étaient trop fatigués. Les autres jours ils étaient littéralement vidés. Mais ce jour là dans la semaine ils étaient reposés, ils étaient détendus. Un jour Tooni avait fait des manières en posant ses mains sur ses épaules en grelottant et les filles avaient rajouté deux couvertures … C'est leur chou-chou je vous dis.
Ils étaient donc confortablement installés pour se faire un câlin. Tooni aimait ces moments ou il retrouvait la douceur musclée et forte de son époux et sa virilité. Le pal, c'est bien mais la queue de Guss, c'est mieux. Il n'avait pas perdu en dextérité le petit Tooni et suçait toujours aussi bien. Guss le lui confirmait en lui caressant les cheveux. Il s'amusait toujours à lui appuyer sur la tête, comme ça pour rigoler, Guss aimait bien taquiner son amant, ça lui manquait et un jours par semaine un seul jour il pouvait se laisser aller.
Il y avait aussi une grande tendresse, cette journée était réservée à la tendresse. Les deux amants passaient la soirée, toute la soirée dans les bras de l'autre.
Ils prenaient le temps de se caresser longuement, de s'embrasser sur tout le corps. Puis Guss prenait l'initiative, il retournait Tooni sur le ventre, il écartait les jambes, Guss le guidait, il lui caressait l'intérieur des cuisses avec douceur.
La machinerie moderne, c'est bien mais ça manque de tendresse se disait Tooni. Les mains de son époux elles, étaient pleine de tendresse. Suivaient les baisers que Guss lui dispensait dans tout le dos. Il mordillait aussi Tooni, pas pour lui faire mal et ce n'est certainement pas de douleur que Tooni gémissait. Il sentait la douceur des dents de son amant qui se refermaient sur ses fesses. Puis c'était un doigt qui se clissait dans son anus.
Avec la machinerie les filles lui glissaient un gros truc dans le cul, c'était pas désagréable mais en y allant en douceur, progressivement, c'est mieux. C'est toute la différence avec la machinerie moderne. C'est beau la technique mais rien ne vaut la douceur du câlin.
Puis c'était la force virile. Guss s'allongeait sur le dos de Tooni et c'est sa queue qui tentait une entrée en force. Il n'avait pas besoin de forcer beaucoup. Ça rentrait tout seul, Tooni était maintenant tellement habitué à se faire défoncer le cul que c'était du plaisir, rien que du plaisir. Bien lubrifié avec une bonne dose de salive la queue de Guss glissait sur toute sa longueur sans rencontrer aucune résistance.
Guss appuyait alors son ventre contre les fesses de Tooni, ça aussi c'était une sensation que ne donnait pas la technologie. Mais quand Guss commençait à s'agiter, à ressortir avant de revenir, de plus en plus vite, de plus en plus fort. Si le plaisir restait toujours plus intense qu'avec la technique c'est uniquement à cause des caresses, de la chaleur du corps de Guss, de son poids, de sa masse.
Avec la machine le plaisir n'est concentré que sur un seul point, avec Guss le plaisir pouvait venir de tout le corps. Ses mains qui passaient sur tout le corps, son visage qui lui aussi se promenait sur tout le corps de Tooni et qui s'arrête pour déposer un baiser, ou pour mordiller Tooni dans un recoin sensible.
Tooni ne tremblait pas que du plaisir anal, il tremblait de tout son corps. Il aimait sentir le souffle de son amant, il tournait alors le visage vers le sien et ils s'embrassaient alors avec passion. Guss burinait alors avec encore plus de force le cul de Tooni qui ne pouvait même pas gémir, les lèvres de Guss devenant alors un bâillon très efficace.
Guss prenait toujours son temps pour jouir, et quand il en arrivait là Tooni était déjà aux anges, et sous l'effet de l'orgasme il ne contrôlait plus ses gestes.
Les deux amants se retrouvaient alors entre eux, ils avait l'impression d'être seuls et même les applaudissements de leurs camarades de captivité ne parvenaient pas, ne parvenaient plus à les distraire.
Chacun se noyait dans les yeux de l'autre et c'est blottis l'un contre l'autre, confortablement enveloppés de leur double épaisseur de couvertures qu'ils finissaient par s'endormir.
Le lendemain le programme habituel reprenait. Levé tôt, petit déjeuner copieux puis la grotte, c'est tous les jours que de l'autre côté de la montagne, dans l'autre monde, dans le monde de Guss et de Tooni, on nous livrait des vivres. Tous les jours …
Tooni pensait à ses amis qui devaient être de l'autre côté et qui avaient préparé ces colis, ces vivres sans savoir à qui ils étaient destinés. Certains pensaient que ce devaient être des divinités, des dieux qui bourgeonnaient et les bourgeons c'était les enfants. Ils bourgeonnaient sur la cuisse, sur le ventre, sur le bras, enfin on racontait bien des choses, on disait surtout n'importe quoi !
Quelquefois ils trouvaient parmi les sacs et caisses des objets personnel, Tooni aurait aimé pouvoir en garder quelques uns, mais ça c'était formellement interdit et comment aurait-il pu le cacher quelque par, il ne faudrait pas oublier qu'aucun des prisonniers ne portait le moindre vêtement, sauf pour un grand nombre d'entre eux, leur dispositif de chasteté.
Les quelques uns qui n'en portaient pas étaient comme Guss, très bien montés, et tout comme Guss on leur réservait un traitement spécial.
Les deux hommes n'étaient pas au bout de leurs surprises. La première femme qui avait pris du plaisir sur le dos de Guss. Enfin quand je dis le dos, c'est une façon de parler, ce n'est pas vraiment sur son dos qu'elle s'était allongée. Elle s'appelait Chétine, mais revenons à ce que je disais, elle était de toutes évidences un des chefs du village, et elle avait une taille particulièrement fine quand nos deux héros l'avaient vu pour la première fois. Elle revenait les voir. Son corps avait changé, il devenait difforme. Son ventre était devenu énorme au cour des semaines. Elle avait des difficultés pour marcher et se penchait en arrière,quelquefois assistée par une autre femme, quand elle voulait s'asseoir par exemple.
Tooni et Guss l'avait trouvée laide la première fois mais là, c'était une horreur, sa poitrine était devenue énorme, elle avait le visage gonflé. Là pour Tooni c'était vraiment à faire peur, au point que quand il l'a revu pour la première fois, il était confortablement installé sur la machinerie de plaisir, ça lui a coupé tous les moyens, pendant au moins une heure il ne jutait plus, ne bandait plus dans sa cage en ivoire de Dentosaure et Guss lui non plus ne bandait plus, pourtant pour le faire débander celui-là, il en fallait …
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