Apprentissage du sexe 2 - histoire érotique

Bien sûr, la semaine suivante, je me suis empressé de retourner dans ces toilettes publiques construites en sous sol, sous la pelouse du parc du centre ville.
Un désir brûlant de me faire enculer était en moi et cette fois ci, de sucer une, voire plusieurs queues.
Un copain d'internat voulait m'accompagner cet après midi là mais j'ai trouvé un prétexte pour être seul. Je n'allais pas lui dire que je préférais aller me faire niquer ou sucer de la bite.

A mon arrivée, deux hommes déjà présents aux urinoirs se remettent en place et simulent une grosse envie de pisser mais je ne suis pas dupe. Je sais maintenant ce qui se passe ici. Le plus près de moi se recule un peu, sans doute pour augmenter mon champ de vision et m'exciter. Lorsqu'il voit que je ne pisse pas, il se tourne carrément vers à moi.
Une queue magnifique, longue et épaisse, plus que celle de mon dépuceleur de mercredi dernier et surtout, il a un gland proéminent.
Sa bite m'éblouit… j'ai trop envie qu'il m'encule.

" Tu suces? me demande t il.
Il voit que j'hésite à répondre à cause de l'autre homme présent à côté de lui.
" Il suce lui aussi (en parlant de l'autre) puis s'adresse à lui.
" Regarde si quelqu'un arrive, tu vas prévenir.

L'autre mec, pris de court par la situation, se met en bas des marches pour surveiller une arrivée éventuelle et aussi nous mater en même temps.

Devant les urinoirs, je m'accroupis …Les effluves qui remontent de son pantalon entr'ouvert me donnent une trique de dingue. Je ne réfléchis plus et referme mes lèvres sur le gland magnifique. C'est trop bon la première fois qu'on gobe une bite et je n'avais pas pensé qu'il fallait autant ouvrir la bouche. Cette texture vivante, ce goût de sexe qui envahit mon palais me surprend, m'envoute. Je lèche son gland, qui me parait bien dur et grossir encore, le sucote… Impatient, directif, d'une main derrière ma nuque, il attire ma tête vers lui.

"Oh, Putain"… il force, me l'enfonce en bouche, me fait comprendre de prendre plus.

Le mec à l'entrée, la bite à la main, trop excité par le spectacle, feule de dépit, jouit, se taille.

" Putain, le con!

Il me traîne dans les toilettes à la turque à côté et referme la porte. Comme lui, j'ai envie de continuer moi aussi, sans une arrivée imprévue.
Sa queue est trop belle et j'aimerais l'avoir dans mon cul. Sans qu'il le demande, je baisse mon pantalon et lui présente mes fesses. Trouvant sans doute ça normal, il me rentre un doigt dans le cul; je me cabre tant il me farfouille brutalement le trou et que mon plaisir me submerge. Le mec de la semaine dernière était plus délicat.
C'est vrai que son doigt est gros. Je ne vous ai pas présenté le bonhomme: sans doute un artisan qui travaille dans le coin, environ quarante ans, mal rasé et des mains comme des battoirs. J'ai surtout vu sa belle queue et son gland gonflé, qui m'ont aimantés.
Pas compliqué, il crache dans sa main et vient beurrer son mollard sur mon cul, me nique de son doigt et semble satisfait.
Il écarte ses jambes pour s'ajuster et cale son gland sur mon fion…L'introduction est virile, son gland m'élargit et passe ma rondelle brutalement… un coup de chaud, une suée me submerge. Sa queue me semble énorme à prendre. Mon gémissement imprévu le laisse indifférent, j'ai même l'impression qu'il en rigole. Je panique d'avoir couiné et j'ai trop envie en même temps d'être baisé.

Il ressort, ce qui soulage ma rondelle en feu, recrache, me tripote encore le trou, me repositionne d'autorité en face de sa bite et là, m'enquille sans faiblir. Je tente de me redresser tant son sexe s'impose dans mon corps mais il m'appuie sur les reins, me l'enfonce sans délicatesse. Je m'accroche au tuyau d'arrivée de la chasse d'eau, mes jambes flageolent. Je voudrais crier tellement je me sens distendu et enculé, j'ai les larmes. Je sais que sa grosse bite est dans mon cul, que je suis enculé. J'ai débandé, je sens qu'il est en moi, bien à fond.

" Oh Putain" dit il à voix basse en me retenant par les hanches avec ses grosses pognes, savourant mes chouinements et sa force bestiale.

Il laisse passer un petit instant, le temps de déguster sa réussite. Je me détend, m'assouplis et comprend que je dois lâcher prise pour profiter moi aussi.
Il commence quelques va-et-vient en douceur, m'enquille sur toute la longueur. Sa pine coulisse sur ma rondelle, fouille mon intérieur. D'autres "Oh Putain" suivent dans mes oreilles puis il embraye, me plaque presque contre le mur en me baisant. Sa pine active dans mon fondement, son superbe gland me taraude le boyau. Costaud comme il est, solide, massif, j'ai l'impression d'avoir une bête à me baiser. C'est encore meilleur que ce que j'avais imaginé. Le petit moment d'adaptation est passé, là, je déguste.
Je me cambre pour mieux me faire enculer, ça le rend dingue.

" Oh Putain"
Je sais à ce moment là qu'il va jouir en moi. Je n'ai pourtant pas beaucoup d'expérience mais ce genre de truc, ça se sent tout de suite. Rien ne peut arrêter son élan et il donne tout, sans doute excité par mes petits couinements et mon attitude.

Il se libère d'un souffle, se retient de gueuler lorsqu'il décharge en moi. Il attend d'avoir fini de se vider, se penche sur moi et se libère par un "Oh Putain, t'es un bon coup" puis se retire.
Je me détourne et regarde sa queue encore raide. Vraiment, elle est magnifique avec son beau champignon et je suis impressionné de l'avoir eue dans le cul. J'imagine le sperme qu'il a giclé au fond de moi; Je suis fier et heureux d'avoir été baisé par un mâle pareil.

Je me penche pour le sucer mais il n'est plus intéressé, est pressé de repartir et, lui aussi, me dit de fermer la porte après lui. Sorti, je l'entends parler à quelqu'un qui doit être là, à pisser aux urinoirs.

" Putain, je l'ai bien graissé, il est chaud.

La fierté de m'avoir baisé, tel un mâle dominant. Je m'essuie le cul et me demande quelle attitude adopter lorsque je vais sortir…Mon trou me parait encore plus dilaté que la semaine dernière. Du sperme s'en échappe et je repense à son gros gland, à sa bite qui est rentrée, qui a largué son jus au fond de moi. J'ai pris trop de plaisir à me faire baiser, je bande. J'ai encore envie.

Lorsque j'ouvre la porte des toilettes pour sortir; un homme, qui était aux urinoirs, s'approche, me barre le passage. C'est sûrement celui que mon enculeur a abordé. Il me fait face, en se frottant la braguette:
" T'as envie, avec moi ?

C'est un vieux mais, je ne sais pourquoi, je sens que c'est un vicieux, un type qui aime baiser.
Un vieux, disons un homme la soixantaine, qui impose physiquement. J'ai l'impression que c'est celui que j'avais aperçu la semaine dernière en partant.
Je suis trop en demande et aujourd'hui, j'ai du temps. Sans attendre ma réponse, il me pousse et s'engouffre avec moi dans les toilettes à la turque, de peur que quelqu'un arrive ou que je parte.
A peine la porte refermée, il m'enlace, me roule une pelle d'enfer, baveuse, érotique. L'endroit est glauque et peu romantique mais j'adore. Sa langue fouraille dans ma bouche, son corps puissant se frotte sur moi, ses mains me déshabillent, me tripotent sans vergogne.

La surprise et le plaisir de se faire un petit jeune doit l'exciter. Son bassin contre moi, je sens un barreau dur. Son regard est rempli d'une joie vicieuse. Il saisit ma main, me fait tâter sa braguette, m'oriente, me guide... il sourit d'arriver à ses fins, se régale de ma surprise; son sexe est dur comme du bois et d'un diamètre que mes doigts enserrent avec peine. Il sait qu'il m'éblouit avec sa grosse pine…Et, en plus il a une paire de couilles, chaudes, incroyablement volumineuses, au plein de ma main!
Il me demande de le sucer. Je ne me fait pas prier, ce serait inadmissible de refuser pareille gâterie. Je suis complètement disjoncté par son ordre.

" HUMMM… grommèle t'il, comme un ronronnement de bonheur.

Une bite pareille, ça doit être trop bon dans le cul. Je cogite, pense aussi qu'il va me défoncer le cul, me déchirer.
Il devine sûrement mon envie… insiste pour que je lui suce et suce encore la bite, certes courte mais grosse et dure. Un sacré morceau à prendre en bouche. Heureusement que je me suis exercé sur l'autre mec avant.

Il ronronne, me caresse les cheveux, m'encourage en silence. Son sexe épais et large me bourre à plein la gueule. Les grosses couilles sont là, mon Dieu quel paquet!...

Comme un graal à atteindre, insensé, fou de son gros sexe, je force mes limites et, l'espace de quelques secondes, mes lèvres s'approchent de ses couilles.
Soudain, il bloque ma tête de sa main et m'enfonce son gourdin au maximum. Mon menton dans ses couilles, le nez dans sa touffe de poils pubiens, il me relâche juste à temps pour respirer.
Les yeux mouillés, la bave dans la bouche, j'ai cru manquer d'air, j'ai une trique d'enfer à sucer à fond une si grosse bite. Maintenant, trop excité, il se met à coulisser, comme s'il baisait un cul…
Ma bouche fatigue, j'ai mal à la mâchoire vu l'épais gourdin mais je veux tenir encore. Il ressort, ce qui me soulage, me la présente sous les yeux pour que je l'admire…mon Dieu qu'elle est belle, sa queue épaisse…il se branle un peu, la serre fort, me la remet en bouche d'autorité et me bloque la tête.

Un liquide gluant jaillit et se répand dans ma bouche, dans un flot continu… Il jouit… La saveur particulière de son sperme envahit mes papilles... Satisfait, vicieux, il regarde ma réaction. Il pénètre encore plus sa grosse pine, m'impose sa cargaison de foutre qu'il décharge grassement.
La bouche trop pleine de sa semence visqueuse, pas habitué à la manœuvre, je déglutis. Son gland baveux semble cracher encore. Mélangé à ma salive, j'avale encore. J'ai l'impression qu'il a beaucoup jouit, enfin, je ne sais pas.
Il m'oblige à attendre qu'il ai fini, passe deux doigts sur la longueur du manche pour extraire le dernier jus, me fait lécher l'énorme nœud. Le goût fort me reste en bouche, c'est surprenant.

Il me relève, satisfait et soulagé. Il a pris son pied, ça, c'est sûr, tellement son regard est plein de sa réussite. Il voit mon sexe tendu comme un arc et le saisit. Il me tourne sur le côté, me branle…Pas habitué à me faire branler par un inconnu, trop excité, je jouis aussitôt…j'asperge le carrelage mural. Sa main chaude continue de me la tenir jusqu'au dernier jet. Je manque de tourner de l'œil tellement mon plaisir est fort.

" T'avais envie, toi." me dit il tout bas " Oui " Elle te fait envie, ma queue?
" Oui.
" La prochaine fois, tu viendra chez moi, on sera plus tranquille.

Son regard est illuminé; il sait qu'il pourra encore se faire sucer…et me donne aussitôt son adresse, me demande quand je serais libre.
Il attend que j'ai fini de remettre mon pantalon et, avant de sortir, me roule une pelle baveuse, se frotte sur moi, caresse mes fesses, pour faire monter mon désir de le revoir.
J'ai ouvert la porte des toilettes à la turque; un homme, présent aux urinoirs, s'est détourné. Deux personnes là dedans, pas besoin de se demander ce qu'ils ont faits. Mon sénior, nullement décontenancé, et parce qu'il connaît peut être ce mec, sort fièrement et le snobe, pendant que je file acheter des fournitures scolaires en centre ville, sans me retourner.

A mon retour, tellement excité par mon arrêt à l'aller, et parce que j'avais du temps pour rentrer à l'internat, j'ai décidé d'y retourner, de descendre dans ces toilettes près du parc, au cas ou il y aurait des hommes qui ont envie de baiser ou de se faire sucer.

L'homme de la semaine dernière est là, celui qui m'a baisé le premier, qui m'a dépucelé.
Sans qu'on ait besoin de parler, d'un regard, il se dirige vers les toilettes à la turque et je l'ai suivi.

J'ai baissé mon pantalon et j'ai offert mes fesses. Après plusieurs minutes intenses à me niquer, il m'a rempli le cul. Certes, sa bite est petite mais c'est un vrai bijou à recevoir dans le cul.
Avant de sortir, il me dit:
" Tu t'es déjà fait baiser aujourd'hui, toi.

Je me demande comment il s'en est rendu compte…



Caramel35Par mail, un lecteur m'a raconté sa découverte du sexe entre hommes et m'a demandé d'en écrire l'histoire et l'a validée.
Merci pour vos messages et mails