Avec Richard plus d'une fois on avait rêvé de se le faire Ulysse, moi c'était surtout sa queue que j
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-06-2021 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Avec Richard plus d'une fois on avait rêvé de se le faire Ulysse, moi c'était surtout sa queue que j
Ulysse 06
Le temps était agréable et nous reprenions un verre. Les amis d'Ulysse étaient en fait des collègues de travail. Ils étaient en repos, c'était un incroyable hasard si nous nous étions retrouvés. En fait on travaillait et on vivait Ulysse et moi à moins de dix kilomètres de distances, dans les dix kilomètres, il y avait une ville et beaucoup d'habitants. On aurait pu passer le reste de notre vie sans jamais nous revoir.
On ne s'était pas quitté fâché. Bien au contraire.
Avec Richard plus d'une fois on avait rêvé de se le faire Ulysse, moi c'était surtout sa queue que je rêvais de me prendre dans le cul. J'étais passif, je le suis toujours. Enfin à l'époque je n'étais pas que passif mais après cette farce que nous avait fait Mathilde je le suis devenu de plus en plus. Mais si, rappelez vous, elle nous avait fait porté un dispositif de chasteté.
En tous cas, elle nous avait laissé les dispositif et de temps en temps je m'amusais avec. Je le mettais pour une semaine, quelquefois deux semaines. Ça amusait mes partenaires. Bien sûr je les choisissais actifs, et bien montés si possible.
Avec le temps je le mettais de plus en plus longtemps. Les mois passaient lentement et le jour arrivait ou le groupe devait se dissoudre. Oh nous n'étions pas fâchés, simplement Richard trouvait un travail à l'autre bout du pays, Ulysse partait également de son côté.
Cette journée était triste, nous nous retrouvions tous les trois au milieu de cet appartement vide. Enfin, c'était un meublé et il n'y avait que l'essentiel au départ, il n'y avait que l'essentiel à la fin. On s'embrassait, on versait une larme. Elle était sincère, on se promettait de nous revoir puis ...
Je me suis retrouvé dans un studio, c'était plus petit mais comme j'étais seul, et puis il était moderne et très confortable ... Je travaillais pas loin de mon logement, finalement j'avais gagné au change. Enfin au niveau logement, j'avais perdu deux amis. Avec Richard on est resté en contact pendant quelques temps mais Ulysse avait totalement disparu, je n'avais plus aucune nouvelle de lui, jusqu'à ce jour.
Je continuais ma vie. Métro boulot, dodo ... Bon d'accord j'en rajoute un peu, il n'y a pas de métro dans ma ville. Je faisais de nouvelles rencontres. Il y avait aussi ce dispositif, il était dans un tiroir de ma table de nuit. Souvent je le ressortais, souvent je le manipulais et de plus en plus souvent je le mettais.
Il était confortable à porter, c'était un dispositif très sérieux finalement, de très bonne qualité. Je le gardais deux semaines, c'était de la folie. Au bout de deux semaines on ne sent plus que ça. Dans la journée si on est concentré sur son travail, ça va. Mais dès qu'on arrête le travail le dispositif se rappelle à notre bon souvenir. On sent alors sa présence.
Ce n'est pas douloureux, c'est lourd. On a quelquefois l'impression de ressentir le poids du dispositif, pourtant le dispositif ne fait que quelques dizaines de grammes, c'est du titane, ça ne pèse rien.
Quelquefois on a l'impression d'avoir comme une coque autour de ses testicules. Une coque qui nous enveloppe tout le sexe. D'autres fois, ça c'est surtout si on a une stimulation, si on bande, si on a envie de tirer son coup, de se branler ou de défoncer un cul qu'on a, là, juste devant nous. Là c'est surtout la cage qu'on ressent, l'anneau aussi remarquez, mais là, il gêne!
Je le portais non stop depuis un mois, quatre semaines pour être exacte quand je rencontrait Xavier. C'était dans un bar.
Je l'avait remarqué au moment ou je suis entré, il était grand et dépassait d'une demie tête par rapport aux autres personnes présentes. On le voyait de loin. Il était au bar et discutait avec les gens qui était autour de lui, je m'installais au bar moi aussi, pas bien loin, peu après on discutait tous les deux. On faisait connaissance.
Xavier n'était pas plus farouche que moi, et c'est chez lui qu'on terminait la soirée. Il me proposait une bière qu'on n'a pas ouvert, il s'était rapproché de moi et me glissait un doigt dans l'ouverture de ma chemise. Je lui répondait par un baiser et chacun se retrouvait dans les bras de l'autre. A ce moment j'avais complètement oublié que je portais mon dispositif de chasteté.
Avec un peu d'entraînement on le supporte très bien, mais vraiment très bien.
On se serrait l'un contre l'autre, on s'embrassait, et quand sa main passait sur ma braguette ...
– C'est quoi ce truc que je sens ? Me demandait Xavier.
– Tu m'as bien dit que tu était actif ?
– Je ne vois pas le rapport ...
– Moi je suis passif !
Il ne semblait pas comprendre aussi je me levait et baissais mon pantalon. Il me répondait par un large sourire et des yeux tout ronds. Il se levait à son tour et m'aidait à retirer tout le reste de mes vêtements. Je me retrouvais alors entièrement nu dans ses bras, il était encore tout habillé.
Je lui glissais mes mains sous sa chemise et doucement faisais glisser ses vêtements, il ne fallait pas très longtemps pour qu'il se retrouve entièrement nu à son tour. Je tombais à genoux devant lui et lui suçais la queue. Il était bien plus grand que la moyenne, sa queue aussi. C'était un plaisir de me la prendre dans la bouche.
Il restait tétanisé, il se laissait faire, il me caressait les cheveux...
– Oui mais ... Ton truc ...
– Oui et bien ?
– Tu le portes tout le temps ?
– Non, je peux le retirer ...
Je continuais à lui sucer la queue, tranquillement et lui me laissait faire. Quand je relevais la tête je voyais qu'il faisait tout de même une drôle de tête.
– Il parait que ceux qui portent un truc comme ça, ils sont chauds du cul ?
– Tu n'as qu'à vérifier. Lui répondais-je en relevant la tête.
Il me répondait par un large sourire qui ne cachait toutefois pas sa surprise.
– Tu sais, tu es le premier mec que je rencontre et qui porte ce genre de truc.
– Ça te dérange ?
– Non mais ça me fait tout drôle. Ça ne te fait pas mal ?
– Non mais ... J'ai un peu le feu au cul là !
– Je crois que je vais vérifier. Me répondait-il en rigolant.
Il devenait moins timide, là il me prenait la tête entre ses mains et me guidait. Lentement au départ puis plus rapidement il m'enfonçait sa queue dans la bouche. Il tirait ma tête contre lui et là, moi je me régalais. Il en avait une belle. Elle entrait dans ma gorge avec vigueur. Il savait être doux et câlin ce qui ne l'empêchait pas d'être viril, sa bite était bien ferme, elle était bien longue mais comme sa largeur restait raisonnable elle entrait dans ma gorge, je lui faisait une gorge profonde sans trop de difficultés.
C'était génial, j'ai adoré. Je pense qu'il a aimé lui aussi !
Je m'amusais longuement avec sa queue, je la branlais, je la tripotais, je la suçais. Lui, il gémissait. Il ne cachait pas son plaisir et gémissait même très fort par moment. Surtout quand mon visage s'écrasait contre son ventre et que sa queue s'enfonçait profond, vraiment profond. Il était tenté de me retenir la tête mais quand il sentait que je paniquait il me relâchait. Au bout d'un moment j'étais tout rouge et je lâchais quelques larmes.
– Tu m'as l'air d'aimer la bite toi ! Me disait Xavier .
Là je ne répondais pas mais continuais à lui sucer la queue.
Nos vêtements étaient éparpillés sur le sol, nous étions nus. J'étais à genoux devant lui, il était debout devant moi. J'avais sa queue dans ma bouche, il appuyait ma tête contre son ventre et quand il me relâchait c'était juste pour me permettre de reprendre mon souffle puis il appuyait de nouveau sur ma tête, la tirait vers lui et appuyait bien fort.
Il finissait par me lâcher, je reprenais mon souffle, je toussais un peu. Lui aussi reprenait son souffle, son cœur battait très fort. Il me prenait la main et me relevais. Je me retrouvais dans ses bras, il me serrait fort contre lui, il m'embrassait et me caressait le dos. Je lui rendais chacun de ses baisers, chacunes de ses caresses.
Puis me prenant par le bras il me retournait, il était maintenant dans mon dos. Je sentais sa queue se relever et se glisser entre mes cuisses. Je la sentais remonter entre mes fesses, elle s'arrêtait juste au niveau de mon cul. Avec douceur Xavier appuyait sur mon ventre et sur le haut de mon dos, il me guidait et je me penchais en avant.
Je n'ai pas trop compris à quel moment il s'était lubrifié la bite, mais quand il a appuyé contre mon cul, elle est rentrée facilement, je vous garantis qu'il s'était lubrifié, et même très bien lubrifié. Ça rentrait tout seul, je l'ai senti passé mais ça rentrait vraiment tout seul.
Sans être d'une largeur monstrueuse, sa queue restait de taille honorable et même un peu plus. Je la sentais glisser lentement dans mon anus. Il plaçait une main sur le bas de mon ventre et me tirait vers lui. Je me penchais en avant et me retenais en m'appuyant sur le dossier du fauteuil. Il me tirait vers lui et sa queue s'enfonçait de plus en plus profond. Oui de plus en plus profond car si sa queue n'était pas géante au niveau largeur, elle était longue, très longue.
Je commençait à m'inquiéter, je ne savais plus ou on en était, et je paniquais. Je sentais sa queue s'enfoncer toujours plus, et si le massage de mon anus était très agréable presque jouissif, dans mon ventre c'était la panique. Je tentais de me dégager, d'un coup elle s'enfonçait plus avec une certaine violence. Je râlais, ça ma faisait mal. C'était une sensation étrange et nouvelle, pas totalement agréable mais c'était surtout la panique, l'angoisse.
Quand son ventre s'écrasait contre mes fesses je hurlais. J'avais l’impression de me prendre un violent coup de poing dans le bas ventre, un douleur profonde, interne. Il se retirait et revenait. Peu à peu la douleur disparaissait, pas totalement mais suffisamment pour que je finisse par éprouver un certain plaisir. Entre deux moment de douleur et de panique.
Un moment il est devenu plus violent et c'est un coup de bassin vif qu'il me balançait dans le cul. Là j'ai hurlé et j'ai vraiment tenté de me dégager, je plaçais ma main contre lui et le retenais. Il comprenait qu'il y était allé un peu trop fort et se retenait, finalement il se retirait se masturbais et éjaculait sur mon dos.
Je sentais encore cette sensation de douleur au fond de mon cul, au milieu de mon ventre, à l'intérieur.
– Tu encaisses vraiment bien dis donc !
– Là tu y es allé un peu fort. Tu m'as fait mal!
– Tu es le premier qui se prend ma queue sur toute sa longueur la première fois ... Tu encaisses bien. Avec un peu de temps, tu vas voir, ça passera tout seul.
Je n'étais pas vraiment convaincu moi, ça me faisait encore mal.
On terminait la soirée allongés sur le lit, on parlait de tout, de rien. On parlait surtout de mon dispositif de chasteté. Xavier en avait bien sûr entendu parler mais c'était la première fois qu'il se faisait un mec qui en portait un. Il m'avait trouvé 'Hot' vraiment 'Hot' et me demandait de garder ce dispositif. Ou au moins de le porter la prochaine fois ...
On s'est revu régulièrement puis souvent Xavier et moi, et le dispositif je le gardais en permanence. Quelque mois plus tard, je lui confiais la clé. Là c'est vrais que je prenais un risque, Xavier me trouvait très bien comme ça et n'avait pas l'intention de me libérer.
Quand on en parlait il savait me répondre ...
– Le fabriquant annonce que le dispositif peut être porter en permanence et sans limite de temps !
Ça l'amusait cette histoire, ça l'amusait. Il faut dire que sa queue je me la prenait dans le cul sans difficultés à ce moment, à chaque fois qu'on se voyait ... Et on se voyait souvent.
Ma vie changeait lentement, je devenais un passif exclusif, comme tous ceux qui portent ce genre de dispositif.
Mais tout ça c'était déjà vieux. La relation avec Xavier avait durée plusieurs années. Il m'avait posé une serrure de son choix, sans doute de peur que je n'ai une autre clé de secours ... et il ne m'avait pas donné la clé quand nous nous sommes séparés.
Ça faisait maintenant six ans que je portais ce dispositif, j'aurais bien sûr pu le retirer en contactant le fabriquant, la PK Compagnie, a prévu de genre de situation. Mais en fait je le gardais.
C'est vrai qu'à ce moment là, avec Ulysse devant moi, dans le soleil de cette terrasse de café, c'est un choix que je regrettais et je me disais que si jamais on vient à se revoir je contacterais la PK Compagnie pour avoir une nouvelle clé.
Ma queue, pourtant habituée à se retrouver sou clé protestait de toutes ses forces à voir de nouveau Ulysse. Je me souvenais de son corps, de sa queue, de son cul. Je n'avais rien oublié de ces soirées folles que nous avions vécu avec lui, Richard et moi. Je n'avais pas oublié non plus son cul que nous n'avions jamais pu toucher, sa bite à laquelle seules les filles avaient accès.
Tous ces souvenirs me revenaient en mémoire, tous ces désirs pourtant si lointains se réveillaient. Et ma bite, pourtant habituée à la captivité, protestait elle aussi comme elle ne le faisait plus depuis maintenant longtemps.
Il faisait beau sur cette terrasse de café. Un des amis d'Ulysse, Johan je crois, proposait qu'on se retrouve tous à la Villa des Palmes.
– Il fait un temps magnifique, et on pourrait prendre un bain. La piscine est prête et tu verras Charly c'est une grande piscine.
Dans ma situation, j'hésitais avant de répondre oui, je me rappelait que c'était Ulysse justement qui m'avait offert ce dispositif, je serais le seul à porter un tel dispositif et avec Ulysse je n'étais pas sûr de la pertinence du dispositif.
Trois quart d'heure plus tard on se retrouvait devant la grille de la Villa des Palmes.
N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Le temps était agréable et nous reprenions un verre. Les amis d'Ulysse étaient en fait des collègues de travail. Ils étaient en repos, c'était un incroyable hasard si nous nous étions retrouvés. En fait on travaillait et on vivait Ulysse et moi à moins de dix kilomètres de distances, dans les dix kilomètres, il y avait une ville et beaucoup d'habitants. On aurait pu passer le reste de notre vie sans jamais nous revoir.
On ne s'était pas quitté fâché. Bien au contraire.
Avec Richard plus d'une fois on avait rêvé de se le faire Ulysse, moi c'était surtout sa queue que je rêvais de me prendre dans le cul. J'étais passif, je le suis toujours. Enfin à l'époque je n'étais pas que passif mais après cette farce que nous avait fait Mathilde je le suis devenu de plus en plus. Mais si, rappelez vous, elle nous avait fait porté un dispositif de chasteté.
En tous cas, elle nous avait laissé les dispositif et de temps en temps je m'amusais avec. Je le mettais pour une semaine, quelquefois deux semaines. Ça amusait mes partenaires. Bien sûr je les choisissais actifs, et bien montés si possible.
Avec le temps je le mettais de plus en plus longtemps. Les mois passaient lentement et le jour arrivait ou le groupe devait se dissoudre. Oh nous n'étions pas fâchés, simplement Richard trouvait un travail à l'autre bout du pays, Ulysse partait également de son côté.
Cette journée était triste, nous nous retrouvions tous les trois au milieu de cet appartement vide. Enfin, c'était un meublé et il n'y avait que l'essentiel au départ, il n'y avait que l'essentiel à la fin. On s'embrassait, on versait une larme. Elle était sincère, on se promettait de nous revoir puis ...
Je me suis retrouvé dans un studio, c'était plus petit mais comme j'étais seul, et puis il était moderne et très confortable ... Je travaillais pas loin de mon logement, finalement j'avais gagné au change. Enfin au niveau logement, j'avais perdu deux amis. Avec Richard on est resté en contact pendant quelques temps mais Ulysse avait totalement disparu, je n'avais plus aucune nouvelle de lui, jusqu'à ce jour.
Je continuais ma vie. Métro boulot, dodo ... Bon d'accord j'en rajoute un peu, il n'y a pas de métro dans ma ville. Je faisais de nouvelles rencontres. Il y avait aussi ce dispositif, il était dans un tiroir de ma table de nuit. Souvent je le ressortais, souvent je le manipulais et de plus en plus souvent je le mettais.
Il était confortable à porter, c'était un dispositif très sérieux finalement, de très bonne qualité. Je le gardais deux semaines, c'était de la folie. Au bout de deux semaines on ne sent plus que ça. Dans la journée si on est concentré sur son travail, ça va. Mais dès qu'on arrête le travail le dispositif se rappelle à notre bon souvenir. On sent alors sa présence.
Ce n'est pas douloureux, c'est lourd. On a quelquefois l'impression de ressentir le poids du dispositif, pourtant le dispositif ne fait que quelques dizaines de grammes, c'est du titane, ça ne pèse rien.
Quelquefois on a l'impression d'avoir comme une coque autour de ses testicules. Une coque qui nous enveloppe tout le sexe. D'autres fois, ça c'est surtout si on a une stimulation, si on bande, si on a envie de tirer son coup, de se branler ou de défoncer un cul qu'on a, là, juste devant nous. Là c'est surtout la cage qu'on ressent, l'anneau aussi remarquez, mais là, il gêne!
Je le portais non stop depuis un mois, quatre semaines pour être exacte quand je rencontrait Xavier. C'était dans un bar.
Je l'avait remarqué au moment ou je suis entré, il était grand et dépassait d'une demie tête par rapport aux autres personnes présentes. On le voyait de loin. Il était au bar et discutait avec les gens qui était autour de lui, je m'installais au bar moi aussi, pas bien loin, peu après on discutait tous les deux. On faisait connaissance.
Xavier n'était pas plus farouche que moi, et c'est chez lui qu'on terminait la soirée. Il me proposait une bière qu'on n'a pas ouvert, il s'était rapproché de moi et me glissait un doigt dans l'ouverture de ma chemise. Je lui répondait par un baiser et chacun se retrouvait dans les bras de l'autre. A ce moment j'avais complètement oublié que je portais mon dispositif de chasteté.
Avec un peu d'entraînement on le supporte très bien, mais vraiment très bien.
On se serrait l'un contre l'autre, on s'embrassait, et quand sa main passait sur ma braguette ...
– C'est quoi ce truc que je sens ? Me demandait Xavier.
– Tu m'as bien dit que tu était actif ?
– Je ne vois pas le rapport ...
– Moi je suis passif !
Il ne semblait pas comprendre aussi je me levait et baissais mon pantalon. Il me répondait par un large sourire et des yeux tout ronds. Il se levait à son tour et m'aidait à retirer tout le reste de mes vêtements. Je me retrouvais alors entièrement nu dans ses bras, il était encore tout habillé.
Je lui glissais mes mains sous sa chemise et doucement faisais glisser ses vêtements, il ne fallait pas très longtemps pour qu'il se retrouve entièrement nu à son tour. Je tombais à genoux devant lui et lui suçais la queue. Il était bien plus grand que la moyenne, sa queue aussi. C'était un plaisir de me la prendre dans la bouche.
Il restait tétanisé, il se laissait faire, il me caressait les cheveux...
– Oui mais ... Ton truc ...
– Oui et bien ?
– Tu le portes tout le temps ?
– Non, je peux le retirer ...
Je continuais à lui sucer la queue, tranquillement et lui me laissait faire. Quand je relevais la tête je voyais qu'il faisait tout de même une drôle de tête.
– Il parait que ceux qui portent un truc comme ça, ils sont chauds du cul ?
– Tu n'as qu'à vérifier. Lui répondais-je en relevant la tête.
Il me répondait par un large sourire qui ne cachait toutefois pas sa surprise.
– Tu sais, tu es le premier mec que je rencontre et qui porte ce genre de truc.
– Ça te dérange ?
– Non mais ça me fait tout drôle. Ça ne te fait pas mal ?
– Non mais ... J'ai un peu le feu au cul là !
– Je crois que je vais vérifier. Me répondait-il en rigolant.
Il devenait moins timide, là il me prenait la tête entre ses mains et me guidait. Lentement au départ puis plus rapidement il m'enfonçait sa queue dans la bouche. Il tirait ma tête contre lui et là, moi je me régalais. Il en avait une belle. Elle entrait dans ma gorge avec vigueur. Il savait être doux et câlin ce qui ne l'empêchait pas d'être viril, sa bite était bien ferme, elle était bien longue mais comme sa largeur restait raisonnable elle entrait dans ma gorge, je lui faisait une gorge profonde sans trop de difficultés.
C'était génial, j'ai adoré. Je pense qu'il a aimé lui aussi !
Je m'amusais longuement avec sa queue, je la branlais, je la tripotais, je la suçais. Lui, il gémissait. Il ne cachait pas son plaisir et gémissait même très fort par moment. Surtout quand mon visage s'écrasait contre son ventre et que sa queue s'enfonçait profond, vraiment profond. Il était tenté de me retenir la tête mais quand il sentait que je paniquait il me relâchait. Au bout d'un moment j'étais tout rouge et je lâchais quelques larmes.
– Tu m'as l'air d'aimer la bite toi ! Me disait Xavier .
Là je ne répondais pas mais continuais à lui sucer la queue.
Nos vêtements étaient éparpillés sur le sol, nous étions nus. J'étais à genoux devant lui, il était debout devant moi. J'avais sa queue dans ma bouche, il appuyait ma tête contre son ventre et quand il me relâchait c'était juste pour me permettre de reprendre mon souffle puis il appuyait de nouveau sur ma tête, la tirait vers lui et appuyait bien fort.
Il finissait par me lâcher, je reprenais mon souffle, je toussais un peu. Lui aussi reprenait son souffle, son cœur battait très fort. Il me prenait la main et me relevais. Je me retrouvais dans ses bras, il me serrait fort contre lui, il m'embrassait et me caressait le dos. Je lui rendais chacun de ses baisers, chacunes de ses caresses.
Puis me prenant par le bras il me retournait, il était maintenant dans mon dos. Je sentais sa queue se relever et se glisser entre mes cuisses. Je la sentais remonter entre mes fesses, elle s'arrêtait juste au niveau de mon cul. Avec douceur Xavier appuyait sur mon ventre et sur le haut de mon dos, il me guidait et je me penchais en avant.
Je n'ai pas trop compris à quel moment il s'était lubrifié la bite, mais quand il a appuyé contre mon cul, elle est rentrée facilement, je vous garantis qu'il s'était lubrifié, et même très bien lubrifié. Ça rentrait tout seul, je l'ai senti passé mais ça rentrait vraiment tout seul.
Sans être d'une largeur monstrueuse, sa queue restait de taille honorable et même un peu plus. Je la sentais glisser lentement dans mon anus. Il plaçait une main sur le bas de mon ventre et me tirait vers lui. Je me penchais en avant et me retenais en m'appuyant sur le dossier du fauteuil. Il me tirait vers lui et sa queue s'enfonçait de plus en plus profond. Oui de plus en plus profond car si sa queue n'était pas géante au niveau largeur, elle était longue, très longue.
Je commençait à m'inquiéter, je ne savais plus ou on en était, et je paniquais. Je sentais sa queue s'enfoncer toujours plus, et si le massage de mon anus était très agréable presque jouissif, dans mon ventre c'était la panique. Je tentais de me dégager, d'un coup elle s'enfonçait plus avec une certaine violence. Je râlais, ça ma faisait mal. C'était une sensation étrange et nouvelle, pas totalement agréable mais c'était surtout la panique, l'angoisse.
Quand son ventre s'écrasait contre mes fesses je hurlais. J'avais l’impression de me prendre un violent coup de poing dans le bas ventre, un douleur profonde, interne. Il se retirait et revenait. Peu à peu la douleur disparaissait, pas totalement mais suffisamment pour que je finisse par éprouver un certain plaisir. Entre deux moment de douleur et de panique.
Un moment il est devenu plus violent et c'est un coup de bassin vif qu'il me balançait dans le cul. Là j'ai hurlé et j'ai vraiment tenté de me dégager, je plaçais ma main contre lui et le retenais. Il comprenait qu'il y était allé un peu trop fort et se retenait, finalement il se retirait se masturbais et éjaculait sur mon dos.
Je sentais encore cette sensation de douleur au fond de mon cul, au milieu de mon ventre, à l'intérieur.
– Tu encaisses vraiment bien dis donc !
– Là tu y es allé un peu fort. Tu m'as fait mal!
– Tu es le premier qui se prend ma queue sur toute sa longueur la première fois ... Tu encaisses bien. Avec un peu de temps, tu vas voir, ça passera tout seul.
Je n'étais pas vraiment convaincu moi, ça me faisait encore mal.
On terminait la soirée allongés sur le lit, on parlait de tout, de rien. On parlait surtout de mon dispositif de chasteté. Xavier en avait bien sûr entendu parler mais c'était la première fois qu'il se faisait un mec qui en portait un. Il m'avait trouvé 'Hot' vraiment 'Hot' et me demandait de garder ce dispositif. Ou au moins de le porter la prochaine fois ...
On s'est revu régulièrement puis souvent Xavier et moi, et le dispositif je le gardais en permanence. Quelque mois plus tard, je lui confiais la clé. Là c'est vrais que je prenais un risque, Xavier me trouvait très bien comme ça et n'avait pas l'intention de me libérer.
Quand on en parlait il savait me répondre ...
– Le fabriquant annonce que le dispositif peut être porter en permanence et sans limite de temps !
Ça l'amusait cette histoire, ça l'amusait. Il faut dire que sa queue je me la prenait dans le cul sans difficultés à ce moment, à chaque fois qu'on se voyait ... Et on se voyait souvent.
Ma vie changeait lentement, je devenais un passif exclusif, comme tous ceux qui portent ce genre de dispositif.
Mais tout ça c'était déjà vieux. La relation avec Xavier avait durée plusieurs années. Il m'avait posé une serrure de son choix, sans doute de peur que je n'ai une autre clé de secours ... et il ne m'avait pas donné la clé quand nous nous sommes séparés.
Ça faisait maintenant six ans que je portais ce dispositif, j'aurais bien sûr pu le retirer en contactant le fabriquant, la PK Compagnie, a prévu de genre de situation. Mais en fait je le gardais.
C'est vrai qu'à ce moment là, avec Ulysse devant moi, dans le soleil de cette terrasse de café, c'est un choix que je regrettais et je me disais que si jamais on vient à se revoir je contacterais la PK Compagnie pour avoir une nouvelle clé.
Ma queue, pourtant habituée à se retrouver sou clé protestait de toutes ses forces à voir de nouveau Ulysse. Je me souvenais de son corps, de sa queue, de son cul. Je n'avais rien oublié de ces soirées folles que nous avions vécu avec lui, Richard et moi. Je n'avais pas oublié non plus son cul que nous n'avions jamais pu toucher, sa bite à laquelle seules les filles avaient accès.
Tous ces souvenirs me revenaient en mémoire, tous ces désirs pourtant si lointains se réveillaient. Et ma bite, pourtant habituée à la captivité, protestait elle aussi comme elle ne le faisait plus depuis maintenant longtemps.
Il faisait beau sur cette terrasse de café. Un des amis d'Ulysse, Johan je crois, proposait qu'on se retrouve tous à la Villa des Palmes.
– Il fait un temps magnifique, et on pourrait prendre un bain. La piscine est prête et tu verras Charly c'est une grande piscine.
Dans ma situation, j'hésitais avant de répondre oui, je me rappelait que c'était Ulysse justement qui m'avait offert ce dispositif, je serais le seul à porter un tel dispositif et avec Ulysse je n'étais pas sûr de la pertinence du dispositif.
Trois quart d'heure plus tard on se retrouvait devant la grille de la Villa des Palmes.
N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
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