Aventures au travail, avec Antoine, l'ouvrier de chantier. 1. - histoire érotique

Je suis dans une période compliquée, je fais de courtes missions pour une boite intérim, complétées de prise en charge par le chômage.

La boite me propose une mission sur une semaine, mais je dois me déplacer et rester sur place, afin d'être plus rentable.

On me propose de partager la route avec un autre ouvrier, qui connait le chantier.

Le Lundi, je me présente au lieu de rendez-vous.
Un homme au style bourru, le visage marqué par le soleil, de 45 ans environ, tient le volant d'une voiture utilitaire.

"C'est toi, Pascal ?".
"Oui !".
"Montes ! On a de la route ! Poses tes affaires à l'arrière ! Au fait ! Moi, c'est Antoine !".

L'homme est en short moulant, Marcel et chaussures ouvertes.

"Bon, qu'est-ce que t'as, comme expérience ? Tu sais faire quoi ?".

Je le rassure sur mon métier, il me fait part de son étonnement, à cause de mon physique jeune.
Nous sommes en été et la chaleur envahit le véhicule.

"Tu vas bosser dans cette tenue ? T'as pas chaud ?".
"Non, j'ai apporté de quoi me changer !".

Il me trouble avec ses gestes, il se touche souvent les couilles et la bite en me parlant.

Ca ne m'arrange pas, je suis en manque de queue et de sexe anal, depuis quelques semaines.

Dès qu'il voit un cul féminin, il se touche l'appareil génital et ajoute des commentaires salaces.

"Putain, il va falloir que je baise ! J'en peux plus ! Je dois avoir les couilles pleines ! Désolé, ça te gêne pas que je parle comme ça ? On va pas faire de chichis entre nous !".
"Euh, non ! Mais avec la chaleur ! C'est compréhensible ! T'es pas marié ?".
"Non, divorcé ! C'est compliqué ! Je peux pas t'en parler ! Disons, qu'elle m'a gaulé avec quelqu'un !".
"Ah ! Ca arrive !".
"T'as quelqu'un ?".
"Oui, elle a dix neuf ans !".
"Tu la baises souvent ? Parce que sur ce point, moi, je suis chaud ! Quand j'étais marié, je baisais ma femme plusieurs fois par jour !".
"Euh, non, pas à ce point !".
"T'as de la chance, putain ! Moi, je suis tellement en manque, que je baiserai même un mec ! Ah, ah, n'ai pas peur, je plaisante !".
"J'ai pas peur ! Ca te regardes ! Bon, si on parlait du boulot !".

A ce moment, je me doute qu'il a remarqué mes regards sur sa bite, qui déforme son short.
Je m'imagine son sexe en érection.
Au repos, elle donne déjà envie de la sucer !

En arrivant au petit appartement, il me montre la pièce ou l'on va dormir, la douche et le coin cuisine.
Il me précise que l'on ira manger au restaurant routier, aux frais de la boite.

On passe la journée au boulot, et en fin de journée, nous rentrons pour nous laver avant le repas.

Je pense à la nuit, il n'y a qu'un lit, cela ne me gêne pas du tout, j'ai dormi avec un frère toute mon enfance, mais je m'étonne qu'il ne m'ait pas demandé, si cela était important.

Arrivés dans le petit appart, il se déshabille complètement devant moi et va sous la douche, qu'il laisse ouverte.

Je reste dans la chambre et me déshabille aussi, en gardant mon slip, en attendant qu'il sorte.
J'ai envie de me faire baiser comme jamais, la vue de son corps puissant et sa bite très épaisse m'ont encore plus excité.

Ses allusions sexuelles, tout au long de la journée, m'ont chauffé au plus haut point.
J'ai envie de lui, mais j'air peur d'être repoussé !

"Pascal ?".
"Oui ?".
"J'ai plus de savon, tu peux me passer le nouveau flacon, s'il te plait ?".

Je blêmis, je vais devoir encore surmonter la vue de son sexe épais, mais je me résous à lui rendre ce service.
En arrivant, je le vois sous la douche, l'eau coule derrière lui, son sexe est dans ses doigts, couvert de mousse et dur comme un rouleau de pâtisserie !

J'ai un mouvement de recul, en regardant sa grosse bite qui bande.

"Oh, ça va ! T'aimes pas te branler sous la douche ? Toi aussi ?".
"Si, j'avoue ! Mais quand même ! Tiens ! Voila le savon !".
"Ouvres le ! J'ai les mains mouillées !".

Il me tend le creux de sa main pour que j'y dépose du savon liquide.
Il porte sa main sur son visage et se frotte énergiquement avec ses deux paumes.

Son sexe me tétanise, l'eau coule dessus et le rince complètement.
Je profite qu'il se frotte le visage pour fixer sa grosse queue sans qu'il me voit, j'en peux plus, j'ai envie qu'il m'encule !

Comme tout au long de la journée, il revient sur ses commentaires salaces en se nettoyant le visage.

"Putain ! Ce soir, je vais sortir un livre de cul pour me branler ! J'espère que ça te gênes pas ! J'en ai besoin !".
"J'espère que tu vas pas le faire devant moi ?".
"Non, je ferai ça ici, ou dans les chiottes ! ".

Je sors pour résister à la tentation de me jeter sur sa bite.
Je vois son sac encore ouvert, je fouille discrètement et vois trois livres pornos dans le fond.
L'un d'eux montre la bisexualité de deux hommes avec une femme.
Un autre est carrément homo, puis le dernier est hétéro, avec un thème pluralité masculine.

Je pense donc avoir une chance de ne pas être refoulé, si je fais un pas vers lui.
Je retourne dans la salle de bain, mais entièrement nu, cette fois.

Il astique toujours sa grosse queue épaisse en utilisant le savon comme lubrifiant.
Je me tourne pour me placer devant le lavabo.
Il se masturbe en matant mes fesses.

"Eh ! T'as un beau cul pour un mec ! On te l'a déjà dit ?".
"Oui, plusieurs fois ?".
"Ah bon ? C'est ta copine ?".
"Oui, mais pas qu'elle !".
"Qui ça ?".

Je me place devant lui et prend sa queue dans ma main, puis le masturbe en le fixant dans les yeux.
"Des mecs ! Avant de me baiser !".

Je ne lui laisse pas le temps de réagir et me baisse pour recouvrir sa bite, de ma bouche, humide d'envie.

"Ohhhh ! Putain, c'est bon ça ! Et tu veux que je le fasse, moi aussi ?".
"Oui !".
"Ahhhhhhhh ! Tu fais pas que, bien bosser ! Tu suces bien aussi ! Ouahhhh, je vais me régaler avec toi ! Pascal !".
"Mmmmm ! Moi aussi, je me régales déjà ! Ca fait longtemps que j'avais envie d'une bite comme la tienne ! J'ai envie de toi depuis ce matin !".

Il attrape ma nuque et me baise la gorge avec profondeur.
Je suis en manque de ce plaisir buccal et je veux me rattraper.
Je lui dévore la queue, les testicules, me défonce la bouche, sans retenue.

Après plus de dix minutes de succions vicieuses, agrémentées de paroles vulgaires, il m'entraine vers la chambre et me plaque en travers du lit.

Il écarte mes fesses pour me présenter son gros gland.
Je sens un gros crachat qui vient embuer mon œillet.

Son gland frotte à mon entrée pour se lubrifier, puis je ressens une poussée forte.
Mon anus commence à s'ouvrir un peu.

Il recule, puis revient et gagne en profondeur.
En moins de dix tentatives, il s'enfonce dans mon cul entièrement.

Je râle de plaisir, puis mes gémissements augmentent en subissant ses premiers assauts.

"Putain, C'est que t'aime ça ! Te faire enculer ! Pas vrai ? Petit pédé !".
"Arhhhhhhhhhhhhh ! Oui, j'en avais tellement envie ! Si tu savais ! Arhhhhhhhhhhhhh !".
"Tu te fais passer pour un hétéro, mais t'es une petite pédale en fait !".
"Arhhhhhhhhhhhhh ! Oui ! Mais ça t'arrange on dirait !".
"Tu sais que tu vas me servir de vide couilles, toute la semaine ! Tu l'as compris ça ?".
"Oui ! J'en ai envie ! Profites-en ! Défonces-moi !".
"Je peux tout faire ?".
"Oui !".
"Tu avales ?".
"Oui !".
"Oh, putain ! Tu me plais Pascal ! Tu cachais bien ton jeu ! Avec ton air timide !".

Il se déchaine et me détruit le cul sans retenue, il me procure trois orgasmes successifs.
Puis, il se retire et me demande:

"Viens vite ! Je vais te remplir ta petite gueule !".

Je couvre sa bite de ma gorge et il inonde mon palais, de son foutre âpre, gluant et chaud.
Il tressaute à chaque éjection de sperme, son plaisir m'excite.

Buccalement, c'est très jouissif.

Lorsque la tension sexuelle est retombée, on se regarde sans dire un mot, puis il brise le silence.

"J'y crois pas, que je t'ai enculé ! Quel pied ! Tu baises bien, on te l'as déjà dit ?".
"Oui ! Merci ! Mais tu baises souvent des mecs ?".
"Ca m'arrive de plus en plus souvent, j'essaie de m'en passer, mais c'est plus fort que moi ! D'ailleurs, ma femme m'a surpris avec un jeune voisin, c'est pour ça qu'on a divorcé !".

Je me lave ensuite, sans fermer la porte, il vient me caresser le cul, à un moment, en me rejoignant.
Comme un animal, il marque son territoire.
Je lui lave la bite de mes sécrétions anales, puis à sa demande, je lui offre quelques longues caresses buccales.