Aventures au travail, avec Antoine, l'ouvrier de chantier. 6.

- Par l'auteur HDS Passud -
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Récit libertin : Aventures au travail, avec Antoine, l'ouvrier de chantier. 6. Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-05-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Aventures au travail, avec Antoine, l'ouvrier de chantier. 6.
On décide de changer d'air en allant boire deux verres dans un bar.

Il me voit reluquer quelques culs féminins.

"Ca te manques ?".
"Ben, j'aime les filles ! Je peux pas le nier !".

Je lui fait remarquer qu'il ne fait plus de plaisanterie salaces.

"Je préfère le tien de cul ! Il est meilleur !".
"Tu exagères !".

On se cale l'estomac avec deux sandwichs, puis après une petite promenade ou il me mate le cul et me touche les fesses sans arrêt, nous rentrons à l'appart.

Il se jette sur moi en entrant, il me déshabille complètement en me couvrant de baisers et mordillements.
Il me pousse nu sur notre lit, puis se libère de ses vêtements, devant moi qui l'attend avec envie.

Il plonge entre mes cuisses et me dévore l'anus passionnément.
Je me surprend à aimer ça, plus qu'avec tous mes autres amants.
On ne m'a jamais léché l'anus aussi longtemps, ni avec autant d'envie.

Enfin, il se place entre mes jambes, et me pénètre d'une traite pour me posséder encore et encore.
Sa passion bloque la montée de son plaisir, il m'aime passionnément, me baise, me défonce dans des positions improbables, dans tous les coins et recoins, sur le lit, sur la table de la cuisine.

Je m'empale sur lui comme un forcené.
J'éjacule pendant qu'il m'encule contre le matelas, à quatre pattes.

Il se déchaine dans mon anus, planté en moi, couché sur le ventre, mon corps rebondissant comme sur un trampoline.
C'est encore comme ça qu'il me rejoint dans mon énième orgasme, en me criant qu'il m'aime comme un fou.

On a rien calculé cette nuit là, on s'est endormis, tel quels.
Je me suis réveillé, recouvert du drap, avec son bras qui m'entourait.

La matinée fut difficile, mais on fait notre boulot.
Le repas était bienvenu.

Je le regardai souvent, c'est vrai qu'il avait l'air heureux, je décide de continuer et je verrais bien, même si je n'ai pas de vrais sentiments pour lui.

J'espère seulement qu'en lui donnant de la tendresse, je ne vais pas me faire prendre au jeu ! Il me faut lui donner du sexe le plus souvent possible, et moins de tendresse !

Après le repas, je lui offre un long plaisir buccal, pendant qu'il est appuyé sur notre table établi !
J'avale son sperme avec délice et perversion.

Il m'embrasse longuement pour me remercier, puis on retrouve nos occupations.
En fin d'après midi, on se réserve pour la soirée avec Roberto.

Mais on ne résiste pas à un échange de caresses sous la douche.
Il me baise encore et me fait jouir plusieurs fois du cul, mais n'éjacule pas, pour se préserver.

Vers 20 h, Roberto frappe à notre porte.
Mon cœur palpite comme jamais.

Notre imposant invité entre, et il est suivi de 6 autres routiers, tous aussi larges et massifs que lui.

L'un d'eux est un géant, je saurai qu'il se prénomme Alexandre.
Il s'approche de moi, après les présentations et m'attrape par les hanches.
Il plonge une main entre mon pantalon et mes fesses, en cherchant mon anus.
De l'autre main, il me fait toucher sa bite.

"Tu la sens ? Tu vas l'adorer celle là ! Crois-moi !".

Il a l'air d'être très bien doté par la nature, j'ai hâte de découvrir ses mensurations.

Tous ces hommes puissants et massifs m'impressionnent, je me sens fragile face à eux.
Je pense alors: (Je vais me faire démonter, j'aurai pas du accepter cette soirée !).

Antoine nous sert un alcool anisé, je suis excité, l'ambiance est très sexe.
Je me sens chanceux d'être le centre d'intérêt de tous ces mâles virils, je n'en suis que plus soumis encore.

Puis c'est Roberto qui lance:
"Pascal, Viens là, montres leur, comment tu aimes me sucer la bite !".

Il s'assoit sur le canapé et déballe sa longue queue en demi érection.
Je me place entre ses jambes et le fait, très vite, bander avec ma bouche et ma langue.

Je me régale en lui dévorant les testicules, puis je lui pompe énergiquement la queue.

Les autres s'excitent en nous matant, les commentaires vulgaires commencent a pleuvoir.
Des mains me libèrent de mes vêtements.

Les corps de dénudent, et les habits sont entassés sur une chaise.

On m'arrache à la bite de Roberto pour que je prenne en bouche toutes les autres queues.

Je suis affolé en écartant mes lèvres pour englober comme je peux la queue d'Alexandre.

Ce ne sera pas ma première fois avec ce genre de sexe, mais je sais qu'il va me détruire l'anus.
Je crains les conséquences futures pour moi et mon cul.

"Ca va, elle te fait pas peur ?". Demande Alexandre.
"Je sais pas ! Elle est grosse et très longue ! Tu feras attention ?".
"Ne t'inquiètes pas ! Ca va passer, on m'a dit que t'encaissait deux bites à la fois ! Ca ira ! On va bien s'amuser tous les deux ! Tu verras !".

Roberto se met à genoux derrière moi et guide sa bite entre mes fesses en appuyant sur ma nuque pour m'enfoncer sur la bite d'Alexandre.

Je m'étouffe de plaisir, sur l'énorme gland, en me faisant empaler par Roberto.
Il m'encule profondément jusqu'à me faire jouir analement.

Puis il offre mon cul à celui qui veut prendre sa place.
Les routiers me défoncent tour à tour, mes orgasmes s'enchainent.

Seul Antoine reste spectateur, il se masturbe en me regardant jouir comme une salope.

Alexandre attend patiemment que tous les autres aient joui, pour profiter de mon cul, sans être interrompu.
Mais ça, je le comprendrai plus tard.

Roberto s'allonge sur la table de salon et m'invite à m'empaler sur lui, puis il annonce:
"Allez, mettez lui une autre queue, il adore ça !".

Je me fais remplir ainsi par chacun des routiers, les hommes se remplacent souvent, même Antoine vient profiter de ce plaisir.

On me change de position, je suis sur le dos, empalé par un routier long et très dur, puis je suis rempli d'une autre queue plus épaisse.
Je me pâme de double plaisir anal.

Le routier sur moi, se répand alors dans mes entrailles.
En retirant sa grosse queue, il permet à l'autre de se défouler en moi, et il ajoute lui aussi son foutre chaud dans mon cul.

Deux autres routiers me comblent encore l'anus, sans souci.
Mon jus anal et les spermes les aident à entrer comme ils le désirent.

Je gueule encore comme une salope, je cherche mon amant du regard en jouissant.

Il s'approche et me demande:
"Ca va ? Tu aimes ?".
"Arhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhh ! Oui ! Arhhhhhhhhhhh ! Mais, ils me détruisent le cul ! Tu m'en veux pas ?".
"Non, j'adore te voir jouir comme ça !".

Il se recule et se caresse la queue en profitant du porno réel que je lui offre.

Le routier, sous moi, ne se retient plus et lâche sa purée chaude en moi, branlé par la queue de son complice, qui me pilonne sans cesse.
Il ne tarde pas à sortir et vient m'abreuver de son jus salé et épais, dans la gorge.
Je gémis de bonheur en avalant son foutre.
Je lui rend le plaisir qu'il m'a donné en le vidant de tout son jus.

Le dernier, en attendant Alexandre, m'encule comme un affamé, excité par tout ce qu'on m'a fait et se déverse dans ma bouche, lui aussi.

Roberto qui a bien profité de mon cul, se consacre maintenant, à ma bouche.
Il veut me donner ma dose de sperme préférée.

En le suçant, je me sens alors, écartelé comme jamais.
Je pousse un long râle étouffé.

"Muuuuuuuuummmmmmmmmmmmmmmmmm !".

L'énorme gland d'Alexandre me déchire les parois anales et vient se caler, tout au fond de mon cul.
Il lui reste malgré tout, presque 10 cm de queue, en dehors de mes fesses.

Il entame sa destruction anale.
Je hurle comme jamais, Roberto s'excite et me baise la gorge comme une pute.

Il se régale du spectacle de la bite énorme de son pote qui se couvre de jus anal en me transperçant l'anus, de plus en plus profondément.

Mon sexe gonfle sous la pression de la bite d'Alexandre dans mon intestin, contre ma prostate.
Je déverse mon sperme dans un râle étouffé, qui ressemble à un pleur.

Roberto ne tient plus et inonde ma gorge abondamment, comme il le fait à chaque fellation.
J'avale comme je peux, en jouissant du cul, aussi longtemps qu'il m'abreuve.

Je sens une pression dans ma prostate, je me connais et j'ai honte de ce que je vais faire, malgré moi.
Une nouvelle fois, Alexandre enlève sa grosse bite de mon anus, pour s'amuser de mon écartèlement.
Sous l'effet de libération de la pression sur ma prostate, un énorme jet de liquide doré inonde le sol, sous moi.

"Arhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh ! Non, pas ça ! Arhhhhhhhhhhh !".

Alexandre revient dans mon cul et me pilonne avec acharnement, sa queue a trouvé le chemin et coulisse en moi, sur toute sa longueur.

Les routiers sont ébahis, par ce que je prends dans le cul et par ce qu'Alexandre me provoque.

Puis Alexandre recule d'un coup et je gicle encore abondamment.

Il revient dans mon cul, et me pilonne sans fin, puis sort son énorme bite en disant:
"Allez vas-y ! Pisses salope !".
"Arhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh ! Non !".

Il recommence de longues séries d'assauts, interrompues de sorties anales, en me provoquant de nouvelles giclées de liquide à chaque fois, mais moins intenses vers la fin.

Puis il me détruit longuement, encore une dernière fois pour se vider les couilles, au plus profond de mes entrailles.

J'ai un dernier écoulement, lorsqu'il me libère de la présence de son énorme bite.

"Arhhhhhhhhhhh ! Putain, j'ai honte ! Pourquoi tu m'as fait ça ?".
"C'est bon ! Non ? C'est pas ta première fois ! J'espère !".
"Non, mais c'est bizarre ! Un peu dégoutant ! Et humiliant !".
"T'as joui ou pas ?".
"Oui, c'est toujours énorme comme plaisir !".
"Ben, pourquoi t'en profites pas ?.
"Je sais pas ! Ouhhhhhfffffffffffff ! Arhhhhh !".
"Qu'est-ce que tu as ?".
"Tu m'as défoncé ! J'ai des spasmes dans le cul, c'est horrible ! Je suis allé trop loin, je crois ! Arhhhhhhhhhhh !".

Je vais chercher de quoi nettoyer le sol, gêné par cette sensation désagréable, mais Antoine m'en empêche.

"Laisses ! Je m'en occupe !".

Les routiers nous quittent, en m'embrassant et me remerciant chaleureusement.

Alexandre me glisse:
"J'espère qu'on se reverra ! Ton cul est fait pour ma bite ! Tu le sais !".
"On verra ! Rentres bien !".

Une fois seuls, je me colle à mon amant.

"Tu m'en veux ? Antoine ?"
"Non, au contraire ! C'était génial !".

"Ouhhhh ! Putain, il m'a cassé le cul ! Chéri ! Tu veux pas me mettre ta bite ! Y a que ça qui est efficace pour calmer mes spasmes ! Mais ne m'encules pas ! S'il te plait !".

"Oh, tu m'as appelé chéri ? Demandé comme ça, je peux pas te le refuser !".

Je me couche sur le lit, il vient se planter délicatement en moi.

"Arhhhhhhhhhhh ! Oh putain ! Ca fait du bien ! Ne bouges plus !".

Après quelques minutes, je coulisse de moi même sur lui, très lentement.
Mon anus s'adapte à sa bite, je me détend et joui plusieurs fois encore.
Il se laisse aller en moi enfin, en me répétant qu'il m'aime comme un fou.

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