Aventures au travail, avec Antoine, l'ouvrier de chantier. 7.
Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
- • 351 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Passud ont reçu un total de 1 537 398 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-05-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
Cette histoire de sexe a été affichée 4 404 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Aventures au travail, avec Antoine, l'ouvrier de chantier. 7.
Le matin, je me lève précipitamment pour m'enfermer aux toilettes.
J'ai d'énormes flatulences, accompagnées de rejets anaux.
L'énorme dose de spermes mélangés me ramène à l'orgie de la veille.
Les routiers m'ont enculé pendant deux heures trente environ, et Antoine m'a aimé une demi-heure de plus.
Je reste un moment enfermé, j'en profite pour évacuer mes besoins naturels.
Lorsque je sors, Antoine est sous la douche, je le rejoins.
Je l'empêche d'aller plus loin que les caresses mutuelles.
Il m'avoue qu'il a adoré me voir gicler avec Alexandre.
Je réponds à ses questions en lui avouant qu'Alexandre n'est pas le premier à me provoquer ce phénomène et lui parle de Kaddour, puis Paul.
Puis il s'essuie, ne voulant pas tarder pour le travail.
J'en profite pour me faire un lavement anal et le rejoint pour aller petit déjeuner dehors avant de bosser.
Antoine se réserve pour me baiser sur le retour, il adore m'enculer dans les toilettes d'une aire de repos.
Cela deviendra une habitude, chaque Lundi à l'aller et le Vendredi au retour.
Sur les six mois, on sera dérangés, à plusieurs reprises.
Mais, deux fois, nous tomberons sur des hommes intéressés par ce qu'on fait.
Le premier m'enculera aussi, et le second se fera sucer pendant qu'Antoine se déchaine en moi, excité par sa salope.
Le patron était enchanté de savoir que je continuais ma mission.
Antoine cherchait un confident, autre que moi, et comme il savait que son patron était gay, il lui a confié qu'il pensait l'être aussi.
"Ah bon ! Et vous faites comment pour résister ?".
"Résister à quoi ?".
"Résister à Pascal ! Moi je pourrai pas l'avoir à coté de moi, dans mon lit , j'aurai envie de le baiser ! Il est trop mignon !".
"Ben, justement ! Je le baise, et je suis tombé amoureux de lui ! C'est la première fois que j'aime un garçon !".
"Non ! Pas étonnant, en même temps ! Il est craquant ! Mais depuis quand ?".
"Le premier soir !".
"Et ben, vous perdez pas de temps ! C'est votre premier mec ?".
"Non, mais c'est différent avec lui, il m'a révélé, je crois, je me sens bien, même avec ma femme, j'ai pas ressenti ce bien-être !".
"Et bien, je vous le confirme ! Vous êtes Gay ! Bienvenue au club ! Et vous avez de la chance, je l'aurai bien baisé le jeune Pascal !".
"Ca vous gêne pas qu'on ai une relation ?".
"Pas du tout ! Tant que le travail se fait, j'y vois aucun inconvénient ! Mais entre nous ! C'est un bon coup ?".
"C'est génial ! Très sexe et tendre aussi ! Il est aussi vicieux que moi ! Je me régale !".
C'est donc pas étonnant, qu'un jour, j'ai subi cet entretien:
"Vous lui faites quoi à Antoine, il est transformé !".
Il voit que je ne sais pas quoi répondre.
"Bon, je vous taquine ! Je sais pour vous deux, il s'est confié à moi ! Je suis gay ! Et je le comprends ! Vous êtes très beau ! Il vous aime ! Faites attention à lui ! C'est bien, grâce à vous, il assume son homosexualité ! Et vous ?".
"Je suis bi, je peux pas me passer des filles !".
"Ah, c'est un problème ! Bonne chance, alors !".
"Merci !".
Il me quitte en disant:
"Il sait pas la chance qu'il a, quand même !".
Le fait qu'il connaisse notre relation m'a gêné un moment.
Les six mois avec Antoine furent très chauds sexuellement.
Antoine n'avait aucune jalousie, au contraire !
Un jour, il m'a demandé:
"Pascal ? Tu m'en voudrais, si je te demande de me faire plaisir ?".
"Tu m'inquiètes ! Qu'est-ce que c'est ?".
"J'ose pas te le dire ! Je voudrais... que tu baises avec Alexandre devant moi !".
"Ah ! Ok ! Tu sais qu'il va me faire couler ! Et surtout , j'aurais l'anus éclaté après !".
"Justement, c'est ça qui m'excites ! Tu veux bien ?".
"Pfff ! Bon Ok ! Quand ?".
"Vendredi, on finira plus tôt ! J'ai pensé que ce serait nickel, vers 15 h !".
"Quoi ? Mais je vais voir ma copine après ! Comment je vais faire avec le cul défoncé ? Tu sais, comment je suis après !".
"Allez ! S'il te plait !".
"Ok, mais tu me laisseras tranquille sur la route !".
"Ok !".
Alex a sauté sur l'occasion, bien sûr.
A part quelques moments ou je le suçais, Antoine n'a fait que se masturber en nous regardant.
Son moment préféré a été lorsqu'Alexandre m'a entrainé dans la douche.
Il venait de me faire éjaculer en m'enculant, sans me toucher, sur le drap du lit.
Donc, il m'a placé contre la paroi et m'a empalé en me pilonnant, par séries d'assauts profonds et saccadés.
A chaque sortie de sa bite, je giclais dans le bac à douche.
Il me faisait gueuler comme la première fois.
Comme je ne contrôlais pas mes effluves, je me suis pollué les jambes aussi.
Alex se régalait de cet effet sur mon anus.
Il ne s'est arrêté, que lorsque je n'ai plus eu, que des petits écoulements.
Il s'amusait en montrant à mon amant, l'état de mon anus qui faisait une corolle énorme et dégoulinante de jus anal.
Un filet blanchâtre et gluant coulait abondamment de mon trou béant, violacé.
J'étais au maximum de mes possibilités d'encaissement.
Il s'introduisait du bout du gland, ressortait ensuite, me baisait à fond encore, puis laissait couler mes effluves anales.
Malgré mes orgasmes, je le suppliais d'arrêter, j'étais épuisé de plaisir.
Puis il s'est déchainé dans mon cul, pour se vider les couilles, encore au plus profond de mes intestins.
Il m'a ensuite tenu, plié sur mes jambes encore, pour regarder sa semence rejoindre mes écoulements dans le bac à douche.
Je me suis alors, écroulé au fond du bac, et j'ai vu mon amant Antoine, qui avait la main couverte de son sperme et s'était répandu sur le sol.
Il avait aussi donné la permission à Roberto d'user de moi à sa guise.
Il venait directement à l'appart pour me baiser avec Antoine, ou se faire pomper la bite sur les chantiers et le parking réservé aux poids lourds.
Sa bande de copains est revenue 7 fois, avec quelques changements d'individus, plus ou moins nombreux.
Alexandre adorait renouveler son effet destructeur, dans mon cul, quand il pouvait être présent.
J'ai cédé encore à Antoine qui voulait me voir baiser avec des routiers sur une aire qui leur est réservée.
Après tout, c'est là qu'il avait connu Roberto !
Il m'a longtemps maté, entrain de jouir analement, avec des queues à sucer.
Je ne l'ai pas vu s'éloigner.
Lorsque le dernier routier se vide en moi, je le cherche, et attiré par des râles de plaisir, je l'ai vu qui enculait un autre homme.
Après quelques minutes, il lui remplissait le cul de son foutre.
J'ai d'énormes flatulences, accompagnées de rejets anaux.
L'énorme dose de spermes mélangés me ramène à l'orgie de la veille.
Les routiers m'ont enculé pendant deux heures trente environ, et Antoine m'a aimé une demi-heure de plus.
Je reste un moment enfermé, j'en profite pour évacuer mes besoins naturels.
Lorsque je sors, Antoine est sous la douche, je le rejoins.
Je l'empêche d'aller plus loin que les caresses mutuelles.
Il m'avoue qu'il a adoré me voir gicler avec Alexandre.
Je réponds à ses questions en lui avouant qu'Alexandre n'est pas le premier à me provoquer ce phénomène et lui parle de Kaddour, puis Paul.
Puis il s'essuie, ne voulant pas tarder pour le travail.
J'en profite pour me faire un lavement anal et le rejoint pour aller petit déjeuner dehors avant de bosser.
Antoine se réserve pour me baiser sur le retour, il adore m'enculer dans les toilettes d'une aire de repos.
Cela deviendra une habitude, chaque Lundi à l'aller et le Vendredi au retour.
Sur les six mois, on sera dérangés, à plusieurs reprises.
Mais, deux fois, nous tomberons sur des hommes intéressés par ce qu'on fait.
Le premier m'enculera aussi, et le second se fera sucer pendant qu'Antoine se déchaine en moi, excité par sa salope.
Le patron était enchanté de savoir que je continuais ma mission.
Antoine cherchait un confident, autre que moi, et comme il savait que son patron était gay, il lui a confié qu'il pensait l'être aussi.
"Ah bon ! Et vous faites comment pour résister ?".
"Résister à quoi ?".
"Résister à Pascal ! Moi je pourrai pas l'avoir à coté de moi, dans mon lit , j'aurai envie de le baiser ! Il est trop mignon !".
"Ben, justement ! Je le baise, et je suis tombé amoureux de lui ! C'est la première fois que j'aime un garçon !".
"Non ! Pas étonnant, en même temps ! Il est craquant ! Mais depuis quand ?".
"Le premier soir !".
"Et ben, vous perdez pas de temps ! C'est votre premier mec ?".
"Non, mais c'est différent avec lui, il m'a révélé, je crois, je me sens bien, même avec ma femme, j'ai pas ressenti ce bien-être !".
"Et bien, je vous le confirme ! Vous êtes Gay ! Bienvenue au club ! Et vous avez de la chance, je l'aurai bien baisé le jeune Pascal !".
"Ca vous gêne pas qu'on ai une relation ?".
"Pas du tout ! Tant que le travail se fait, j'y vois aucun inconvénient ! Mais entre nous ! C'est un bon coup ?".
"C'est génial ! Très sexe et tendre aussi ! Il est aussi vicieux que moi ! Je me régale !".
C'est donc pas étonnant, qu'un jour, j'ai subi cet entretien:
"Vous lui faites quoi à Antoine, il est transformé !".
Il voit que je ne sais pas quoi répondre.
"Bon, je vous taquine ! Je sais pour vous deux, il s'est confié à moi ! Je suis gay ! Et je le comprends ! Vous êtes très beau ! Il vous aime ! Faites attention à lui ! C'est bien, grâce à vous, il assume son homosexualité ! Et vous ?".
"Je suis bi, je peux pas me passer des filles !".
"Ah, c'est un problème ! Bonne chance, alors !".
"Merci !".
Il me quitte en disant:
"Il sait pas la chance qu'il a, quand même !".
Le fait qu'il connaisse notre relation m'a gêné un moment.
Les six mois avec Antoine furent très chauds sexuellement.
Antoine n'avait aucune jalousie, au contraire !
Un jour, il m'a demandé:
"Pascal ? Tu m'en voudrais, si je te demande de me faire plaisir ?".
"Tu m'inquiètes ! Qu'est-ce que c'est ?".
"J'ose pas te le dire ! Je voudrais... que tu baises avec Alexandre devant moi !".
"Ah ! Ok ! Tu sais qu'il va me faire couler ! Et surtout , j'aurais l'anus éclaté après !".
"Justement, c'est ça qui m'excites ! Tu veux bien ?".
"Pfff ! Bon Ok ! Quand ?".
"Vendredi, on finira plus tôt ! J'ai pensé que ce serait nickel, vers 15 h !".
"Quoi ? Mais je vais voir ma copine après ! Comment je vais faire avec le cul défoncé ? Tu sais, comment je suis après !".
"Allez ! S'il te plait !".
"Ok, mais tu me laisseras tranquille sur la route !".
"Ok !".
Alex a sauté sur l'occasion, bien sûr.
A part quelques moments ou je le suçais, Antoine n'a fait que se masturber en nous regardant.
Son moment préféré a été lorsqu'Alexandre m'a entrainé dans la douche.
Il venait de me faire éjaculer en m'enculant, sans me toucher, sur le drap du lit.
Donc, il m'a placé contre la paroi et m'a empalé en me pilonnant, par séries d'assauts profonds et saccadés.
A chaque sortie de sa bite, je giclais dans le bac à douche.
Il me faisait gueuler comme la première fois.
Comme je ne contrôlais pas mes effluves, je me suis pollué les jambes aussi.
Alex se régalait de cet effet sur mon anus.
Il ne s'est arrêté, que lorsque je n'ai plus eu, que des petits écoulements.
Il s'amusait en montrant à mon amant, l'état de mon anus qui faisait une corolle énorme et dégoulinante de jus anal.
Un filet blanchâtre et gluant coulait abondamment de mon trou béant, violacé.
J'étais au maximum de mes possibilités d'encaissement.
Il s'introduisait du bout du gland, ressortait ensuite, me baisait à fond encore, puis laissait couler mes effluves anales.
Malgré mes orgasmes, je le suppliais d'arrêter, j'étais épuisé de plaisir.
Puis il s'est déchainé dans mon cul, pour se vider les couilles, encore au plus profond de mes intestins.
Il m'a ensuite tenu, plié sur mes jambes encore, pour regarder sa semence rejoindre mes écoulements dans le bac à douche.
Je me suis alors, écroulé au fond du bac, et j'ai vu mon amant Antoine, qui avait la main couverte de son sperme et s'était répandu sur le sol.
Il avait aussi donné la permission à Roberto d'user de moi à sa guise.
Il venait directement à l'appart pour me baiser avec Antoine, ou se faire pomper la bite sur les chantiers et le parking réservé aux poids lourds.
Sa bande de copains est revenue 7 fois, avec quelques changements d'individus, plus ou moins nombreux.
Alexandre adorait renouveler son effet destructeur, dans mon cul, quand il pouvait être présent.
J'ai cédé encore à Antoine qui voulait me voir baiser avec des routiers sur une aire qui leur est réservée.
Après tout, c'est là qu'il avait connu Roberto !
Il m'a longtemps maté, entrain de jouir analement, avec des queues à sucer.
Je ne l'ai pas vu s'éloigner.
Lorsque le dernier routier se vide en moi, je le cherche, et attiré par des râles de plaisir, je l'ai vu qui enculait un autre homme.
Après quelques minutes, il lui remplissait le cul de son foutre.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Passud
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...