BAC 93 - 1 - Jason retrouve Saïd - histoire érotique

BAC 93


Jason était très content d'avoir décroché un rôle dans "BAC 93", la nouvelle série, 100% française, produite par Netflix.
Il avait 28 ans, jusque là il avait fait surtout du mannequinat, peu de cinéma, mais ça commençait à venir, et il avait de plus en plus de propositions.
Il avait pris quelques cours d'ailleurs, et il sentait qu'on s'intéressait de plus en plus à lui.
Il ne le savait pas encore mais ce rôle dans "BAC 93" allait être le début d'une belle aventure.
Sur tous les plans.

Au niveau personnel, il était homosexuel, célibataire, et limite nymphomane, si l'expression pouvait se dire pour un homme (ce qui serait juste d’ailleurs).
Il adorait baiser, était auto-reverse, avait tout essayé, même si, finalement, ce qu'il préférait était une bonne baise classique.
Surtout il se rendait compte qu'il aimait conquérir, séduire, et n'appréciait rien de plus que de baiser avec un mec qu'il ne connaissait pas.
C'était très rare qu'il baise deux fois avec la même personne, ou alors c'était parce qu'ils s'étaient limités à un plan suce et qu'ils voulaient aller plus loin.

Il avait beaucoup de succès avec les mecs, avec les femmes aussi, et il ne dédaignait pas coucher de temps en temps avec l'une d'elles, notamment après une soirée éméchée, ou dans le cadre d'un plan à plusieurs. Ça avait aussi l’avantage de lui permettre de mater les mecs ...
Par ailleurs, il était très sociable, n'était pas un gars compliqué, toujours de bonne humeur, et, du coup, il était apprécié et toujours entouré. Il connaissait plein de monde, et, comme il avait une bonne mémoire, ça lui permettait de bien se souvenir des gens qu'il croisait et qu'il revoyait ensuite avec plaisir.

Il prenait soin de son corps aussi, faisait beaucoup de sport, notamment de la muscu, de la natation, de la course, de la boxe aussi ; en revanche, il ne pratiquait pas de sport collectif, il avait essayé plus jeune, mais n'aimait pas l'ambiance des vestiaires des sports co, et l'espèce d'homophobie latente qui y régnait. Il préférait faire du sport seul, à son rythme, et il aimait vraiment ça.
Ça lui permettait d'avoir un corps finement musclé, sans trop, il détestait tout ce qui était body-building ; il était plutôt grand, 1m85, avait un très beau torse, pratiquement imberbe, seulement quelques poils au milieu de la poitrine, un peu au dessus du nombril et, naturellement, en dessous.

Il avait vaguement lu le scénario de la série, sans trop non plus, il se disait qu'il le ferait à mesure. D'emblée l'idée de cette brigade de nuit d'un commissariat de police du 93 lui avait bien plu. Lorsqu'il avait appris qui allaient être ses partenaires, ça lui avait encore plus plu : deux rebeus, un métis, et une fille. Il les avait vaguement vus dans des films, mais ne les connaissait pas, du moins c’est ce qu’il pensait ; par contre, tous lui plaisaient, même la fille, une brune, très jolie et qui semblait avoir beaucoup de caractère. Tous les cinq allaient former la brigade mise en scène dans le film, et il était impatient de les rencontrer et de commencer le tournage.

Bien sûr il pensait à la série elle-même, mais aussi à ses à-côtés, les coulisses comme on dit. Il y avait toujours beaucoup de monde sur un film, et beaucoup de pédés, ce n'était pas une légende...
Lui n'avait jamais caché son homosexualité, qu'il trouvait amusant d'ailleurs de présenter comme une bi-sexualité, ça avait aussi l'avantage de ne lui fermer aucune porte ...
Du coup il faisait toujours plein de rencontres sur les tournages, et se faisait quasiment un plan cul par jour, le soir après le travail.

Ses goûts étaient très éclectiques, beaucoup de mecs l'attiraient, certaines femmes aussi, il fonctionnait de manière très simple, il savait, sentait plutôt si la personne lui plaisait, il sentait souvent que c'était réciproque, et alors, un sourire, un regard, et l'affaire était dans le sac.
C'était évidemment plus compliqué avec les mecs hétéros, mais il arrivait très souvent à ses fins. C'était rare que quelqu'un lui résiste, d'autant qu'en général les personnes pas intéressantes ne l'intéressaient pas.

Beaucoup des mecs avec il baisait étaient en fait hétéros, mais c'était des gars sympas, curieux, et il arrivait à susciter chez eux ce mélange de curiosité et de désir qui lui suffisait.
Il avait hâte de rencontrer les gars de la série, et s'était lancé le défi de baiser avec chacun de ses trois coéquipiers, qui lui plaisaient tous, chacun avec un style différent, mais qu'il sentait pourtant tous les trois hétéros, sauf peut-être le métis, ce qui le stimulait, et même l’excitait ...

Jason avait été engagé en octobre 2021, et le tournage devait commencer le lundi 7 mars 2022. D'ici là il avait un programme de préparation physique mais aussi technique, avec des policiers d'élite, à partir du lundi 10 janvier, pendant deux mois.
Il avait effectué très sérieusement la préparation physique à l'automne, avec un coach que lui avait fourni la production, ce qui lui avait permis de prendre une dizaine de kilos.
Il n'avait pas fait d'excès durant la période des fêtes, une dernière semaine de préparation début janvier, et le grand jour était fixé au lundi 10, il allait enfin faire connaissance de ses partenaires, notamment des trois gars qui lui plaisaient, qu'il allait cotoyer pendant les deux mois de la préparation technique, puis les 17 semaines que devait durer le tournage, en région parisienne essentiellement, et qu'il allait essayer de conquérir. Un à un.

Le dimanche soir 9 janvier, son portable sonna, à 18h30. C’était Saïd, qui devait jouer le chef de la brigade. Il fut d’abord surpris de cet appel, et réalisa qu’en fait ils se connaissaient, ou plutôt s’étaient croisés sur un précédent tournage. Sur le moment, il se sentit confus, car il ne s’en était pas souvenu quand il avait vu la liste du casting, et il découvrait que quelqu’un avait plus de mémoire que lui...

Ce premier contact, au téléphone, fut très sympa, Saïd avait une voix joviale, et il gardait le souvenir d’un gars simple, et sympa. Physiquement très à son goût aussi.
37 ans, mais en paraissant pratiquement 10 de moins, originaire de la région parisienne, comme lui, avec des grand-parents habitant le Maroc, Saïd dégageait une beauté virile qui avait, lors de ce premier contact, beaucoup plu à Jason... qui, pourtant, très vite, l’avait oublié... un mec chassant l’autre.

Il était donc à la fois content, flatté et intrigué, que Saïd l’appelle, en cette veille de regroupement, il lui proposa de se retrouver pour boire un verre, et Jason accepta aussitôt avec plaisir.
Il lui donna rendez-vous dans un bar sympa, dans une petite rue, pas très loin des Champs-Elysées, vers 21h30.
Quand ils se virent, les deux hommes se serrèrent la main de façon chaleureuse et amicale, avant de s’asseoir dans un coin tranquille et d’engager conversation.
Leurs souvenirs de leur première rencontre, sur un film où Saïd était second rôle et où Jason ne faisait que de la figuration. Leurs parcours. Le cinéma. Ce projet de BAC 93, qui, manifestement, leur plaisait à tous les deux, et où ils allaient avoir des rôles plus importants.

Et puis, des confidences plus intimes. Saïd parlait beaucoup, et avait besoin de parler.
Jason l’écoutait, totalement sous le charme. Il avait le souvenir d’un jeune imberbe, et il retrouvait un homme avec une moustache et une barbe de trois jours, qui lui allaient très bien. Il avait une belle voix aussi, chaude, virile, et grave (Jason était très sensible aux voix), avec un léger zozotement qui rajoutait à son charme naturel.
Il lui expliqua qu’il était en train de se séparer de sa compagne, que ça ne venait pas de lui, et que ça l’affectait beaucoup. Il était depuis peu retourné vivre chez sa mère, à Sceaux, en banlieue, ce qui n’était pas évident à son âge, et il avait laissé l’appartement à sa femme et leurs deux enfants, un garçon de 10 ans, une fille de 7 ans.
Il était visiblement très affecté par la situation, et avait les larmes aux yeux quand il lui racontait tout ça.

Jason était très touché, à la fois de la confiance que lui témoignait Saïd, et aussi de sa tristesse face à cette épreuve de la vie.
Il se rendait compte une fois de plus qu’il inspirait confiance aux autres qui, souvent, lui faisaient des confidences sur leur vie intime, et, dans ces cas, il n’avait pas son pareil pour s’intéresser à ces histoires de vie, pour conforter la confiance qui lui était portée, et pour susciter des confidences, toujours plus intimes.
Souvent, il en profitait pour user de son charme et pour finir par mettre dans son lit ceux qui se confiaient à lui, et qui pouvaient être des hétéros parmi les plus récalcitrants.
Il ne pouvait pas s’empêcher de penser à cela lorsqu’il discutait avec Saïd de ses déboires conjugaux, il se rappelait son défi de séduire et de baiser avec tous les partenaires de la série, et se disait qu’avec Saïd, il y avait sans doute une possibilité.

A son étonnement ce fut Saïd qui aborda le sujet :
- Tu es homo, toi, non ?
- On ne peut rien te cacher ...
- Je dois t’embêter avec mes histoires ...
- Du tout ...
- T’as un mec ?
- Non ... (après un silence) ... j’en ai plusieurs ...
Saïd sourit ... :
- comment ça ?
- ben je papillonne, je baise à droite à gauche ... j’aime ça ...
Saïd sourit une nouvelle fois ...
- t’as jamais été en couple avec un mec ?
- non ... et toi t’es hétéro ou t’es bi ?
- hétéro ...
- t’as jamais rien fait avec un mec ?
- non jamais
- et ça te dit pas d’essayer ?
- eh ben t’es direct toi ...

Jason sentit que c’était le moment de pousser son avantage, et qu’avec ce mec il y avait vraiment moyen ... il le sentait ...
- oui, je suis direct, j’aime pas perdre mon temps, et j’aime pas passer à côté des opportunités ... j’aime le sexe, mais j’aime aussi les contacts humains, baiser avec quelqu’un c’est du sexe mais c’est aussi un contact humain ... je vais pas te mentir, tu me plais énormément, j’aime ton physique, mais aussi ton charme, ta voix, ta gentillesse, et la confiance que tu m’as témoignée ... donc si ça te dit j’ai rien contre, sache le ...
Saïd était interloqué par tant d’audace, mais en même temps flatté, intéressé, curieux... il éprouvait beaucoup de sympathie pour Jason, lorsqu’il avait vu le casting de la série, il s’était rappelé leur premier contact, et avait été content à l’idée de le revoir, il savait que c’était pas un mec à histoires, et c’est important pour l’ambiance sur un plateau de tournage.

Un silence s’était installé entre les deux hommes, Jason se demandait s’il n’était pas allé trop loin, et n’avait pas été trop brutal, mais, après tout, pourquoi perdre son temps... pourquoi aussi Saïd lui avait demandé s’il était homo... que cherchait-il ?
Peut-être pas ce qu’il imaginait finalement, peut-être cherchait-il seulement un peu de chaleur humaine et un peu de réconfort.
Peu importe, se dit-il, il voulut poursuivre sur la même voie, et ce fut lui qui brisa ce silence qui commençait à devenir gênant.
- tout à l’heure quand je t’ai demandé si ça te disait pas d’essayer avec les mecs, tu te souviens de ce que tu m’as répondu ?
- euh ... oui ... non ... je sais plus ...
- tu as répondu : eh ben t’es direct toi ...
- euh ... oui c’est possible ...
- c’est même sûr ...
- et alors ?
- et alors ? T’as pas répondu non ...

Saïd, devant cette dernière réplique en forme d’estocade, éclata de rire, et finit par dire: “Bien joué, mec”...
Jason ne lâcha pas le morceau :
- ça veut dire que t’as envie d’essayer ?
Une nouvelle fois Saïd éclata de rire, et lui aussi lui parla directement :
- Bon écoute, je ne suis pas fait de bois, tu me chauffes depuis tout à l’heure, ça fait des jours et des jours que j’ai rien fait, j’ai pas la tête à ça, mais du coup, comme tu te doutes, j’ai les couilles pleines... donc je veux bien que tu me les vides, mais pas plus, je suis pas prêt à aller plus loin ...

Jason ne put s’empêcher de sourire intérieurement de satisfaction devant ce qu’il venait d’entendre, et percevait comme une victoire.
- Tu veux que je te suce, c’est ça ?
- je veux ... je veux ... je réponds simplement à ta proposition ...
- et ?
- et quoi ?
- eh bien tu réponds quoi à ma proposition ?
Saïd se sentit vaincu, il sentait que sur ce terrain il ne gagnerait pas avec Jason ; il préféra rendre les armes et en sourire :
- tu as gagné ... je suis ok pour que tu me suces ...
Jason eut à son tour un grand sourire ...
- mais pas plus hein ... je veux bien me faire sucer par un mec, mais je ne suis pas prêt à plus...
- pour l’instant ...

Avant que Saïd ne puisse répondre, Jason ajouta : “allez, je te taquine...”, avant de poursuivre :
- bon, on va chez moi, puisque chez toi c’est pas possible j’imagine ...
- non ...
- pourquoi ?
- parce que si on va chez toi ça va dégénérer ...
- comment ça ?
- tu sais très bien que si on va chez toi tu te contenteras pas de me sucer et tu voudras plus ...

Jason se fit soudain plus sérieux :
- eh... attends, je te violerai pas ... on est deux adultes, si on est tous les deux d’accord pour aller plus loin, on ira plus loin ... si l’un de nous ne veut pas aller plus loin, on ira pas plus loin...
- oui, bien sûr, excuse-moi, mais j’ai pas envie d’être tenté ...
- et tu as peur de l’être ?
Saïd réfléchit quelques secondes, avant de répondre : “oui” ...et d’ajouter :
- s’il te plaît ... on verra par la suite, mais là je suis pas prêt ... je veux juste que tu me suces, pas plus, j’ai ensuite envie de rentrer chez moi, enfin chez ma mère, et de dormir, pour être en forme demain pour le regroupement ... comprends-moi s’il te plaît ...
- ok, pas de souci... du coup on va où ?
- t’as pas une cave ou un garage chez toi ?
- euh ... si ... j’ai un garage ... si tu veux on y va ...
- ouais ...

Une certaine gravité s’était installée entre les deux hommes, Jason, dans un premier temps, aurait aimé aller plus loin avec Saïd, avoir un rapport sexuel classique avec lui, nus, dans un lit, mais il avait été à la fois touché et impressionné par sa “résistance” et sa fermeté. Il respectait cela.
Déjà l’idée de le sucer, et donc de faire connaissance avec sa queue, lui plaisait bien, et l’excitait, et puis, il se disait que c’était un début, ils allaient se voir tous les jours pendant des semaines, ce n’est pas les occasions d’aller plus loin qui manqueraient ...

Jason avait garé sa Smart pas très loin, Saïd était venu en RER, c’est donc en Smart que les deux hommes allèrent chez Jason, à 5 mn à peine en voiture à cette heure-là (il était pas loin de 23h).
Jason avait un box dans un parking souterrain et, comme il avait une petite voiture, ça lui laissait de la place pour stocker des affaires, au fond.
Durant le trajet, les deux hommes n’échangèrent pas un mot, chacun pensant à ce qui allait se passer entre eux dans quelques minutes : une grande première pour Saïd, qui ne s’était jamais fait sucer par un mec, et même n’avait jamais rencontré dans sa vie quelqu’un qui lui ait fait une proposition aussi directe ; une expérience excitante pour Jason, qui n’avait pas l’habitude qu’on lui résiste, mais finalement aimait ça et trouvait ça stimulant pour la relation qu’il avait hâte de nouer avec Saïd.

Pour tous les deux ça allait être une expérience insolite : un plan suce dans un garage ...
Quand ils arrivèrent dans la résidence de Jason, il actionna le bip du parking souterrain, qui comprenait des box et des parkings. Lui avait un box.
Ça tombait bien, il n’y avait personne, il descendit de voiture et alla ouvrir le box. Saïd, lui, resta dans la voiture. Jason la rentra dans le garage, vu la petite taille de sa Smart, ça laissait de la place tout autour.
Il alla refermer la porte derrière eux, ce qui laissait passer un peu de lumière autour, et aussi un peu d’air.

Les voilà donc enfermés dans ce box, à l’abri des regards.
- Tu veux pas sortir de la voiture ? Tu te mettrais debout, et moi, à genoux, y a la place ...
- Ouais ... répondit Saïd en ouvrant la porte.
Y avait la place en effet, la voiture était petite, et le garage semblait grand ...
Jason le prit par la main, et le positionna contre le mur, à proximité de la porte du garage.
Said enleva son blouson, Jason le prit, le plia, et le rangea sur le siège avant conducteur de la voiture.
Saïd était en pull, et avait visiblement un tee-shirt dessous, et il portait un jeans bleu foncé.

Jason prit une couverture qu’il avait dans ses affaires, et la posa par terre, au pied de Saïd. Il se mit à genoux devant Saïd, qui ne bougea pas. Il vint positionner sa bouche à hauteur de la fermeture éclair de son pantalon, là où se trouvait le sexe qu’il allait sucer dans quelques instants.
Il déboutonna le pantalon, et le baissa, dévoilant un caleçon en acrylique, à motifs, pas très épais.

La bite de Saïd semblait totalement au repos, il sentait qu’il allait devoir s’employer pour la faire durcir, mais un tel défi ne lui faisait pas peur, au contraire.
Il commença à l’entourer avec sa bouche, il se dit qu’il allait n’utiliser que sa bouche, pas ses mains.
Il essaya de capter le regard de Saïd, celui-ci ne le fuyait pas, mais il le trouvait vide, sans expression.
Il ne pensa alors qu’à sa bite, il devait le faire bander et lui donner du plaisir, sinon tout allait foirer.

Il finit par baisser le caleçon de Saïd, et mit sa queue à l’air. Elle était vraiment au repos, comme recroquevillée, il fut surpris par sa couleur particulièrement foncée, moins par son côté circonsis, il s’y attendait. Il la mit en bouche, elle était encore bien flasque et bien molle, elle sentait la pisse et la sueur propres aux parties qui étaient restées enfermées toute une journée dans un sous-vêtement.
Mais Jason aimait trop les queues pour s’attacher à cela, il l’empoigna, la regarda, la mit en bouche, et commença à l’aspirer et à faire autour d’elle des mouvements de va-et-vient. Rien, pas un changement de consistance, et pas de réaction de la part de Saïd que, cette fois, il évita de regarder.

Vu le peu de succès de son entreprise, il craignait même que Saïd ne remballe la marchandise et ne veuille s’en aller.
Il ne se découragea pas, il garda ce sexe dans sa bouche et continua ses aspirations. Il commença à sentir un début de réaction chez Saïd, un soupir, et même un mouvement du bassin, et se sentit encouragé à continuer sa succion.
Enfin il sentit la bite d’abord grandir, comme s’allonger, puis durcir, jusqu’à occuper toute sa bouche.
Hum ... il commençait à la sentir bonne, les mauvaises odeurs et sensations du début avaient disparu, elle sentait bon la bonne bite de rebeu, et il commença à s’en régaler.

A un moment il la sortit de sa bouche, pour la regarder, dans la pénombre que permettait le faible éclairage qui passait par la porte du garage.
Elle lui sembla épaisse, mais pas très longue, ce qui confortait l’impression qu’il avait eue en la prenant en bouche.
Il la reprit, l’aspira bien à fond, jusqu’à ce que ses lèvres touchent la peau de Samir. Il l’avait donc entièrement dans sa bouche, et pouvait alors bien la sucer.
Samir semblait prendre du plaisir, il l’entendait gémir, à un moment il a même murmuré, dans un gémissement : “c’est bon....”, puis : “tu suces bien”...

Pour se sentir plus à l’aise Samir baissa son pantalon et son boxer jusqu’aux genoux, et releva son tee-shirt et son pull, dégageant au moins son nombril.
Tout en continuant de sucer, Jason voulut s’enhardir, pour tester la réaction de Saïd.
D’abord, c’était le plus accessible, tout en conservant sa bite dans sa bouche, il enserra ses fesses de ses deux mains, et commença à les caresser et à les malaxer. Elles étaient bien fermes et bien agréables au contact, ce qui lui confirma que Saïd devait faire du sport.
Mais surtout, c’est ce qu’il cherchait, non seulement pas de réaction de sa part (il ne le repoussa pas et ne lui enleva pas les mains de ses fesses) mais il entoura de ses mains à lui la tête de Jason, pour mieux baiser sa bouche, comme le font ceux qui aiment se faire sucer.

Deuxième test, il retira ses mains des fesses de Saïd (il comptait y revenir plus tard pour faire un nouveau test...) et les passa sous ses vêtements pour caresser son torse, qu’il sentit totalement imberbe, ce qui le surprit (il s’attendait à des poils), mais le ravit.
Ce qui le ravit aussi, c’est l’absence de réaction de Saïd, qui le laissa explorer son torse sans l’empêcher, il se dit que c’était de bon augure pour la suite.
Il voulut pousser son avantage en remettant ses mains sur les fesses de Saïd, et en commençant à glisser ses doigts vers son anus, ce qui, là, déclencha une réaction immédiate de sa part : “S’il te plait !”.
Il retira sa main aussitôt, et s’en voulait même d’avoir été trop gourmand et d’avoir pris cette initiative.

Il se concentra donc sur sa fellation, et ne toucha plus Saïd qui soupirait de plus en plus fort et lui baisait la bouche avec ardeur et frénésie. Il sentait la sauce monter, et en avertit Jason : “je vais jouir”. Il voulut se retirer mais Jason laissa sa bouche collée à sa bite, il n’avalait pas tout le temps, il ne le faisait qu’avec certains mecs, mais Saïd était incontestablement de ceux-là, et il avait envie de le sentir jouir dans sa bouche.
Il n’eut pas à attendre longtemps, Saïd poussa un cri rauque et fort, et Jason sentit le foutre envahir sa bouche.
Il réceptionna la semence qui se dégageait de chaque soubresaut de Saïd ; des jours et des jours sans spermer, il devait y avoir une belle quantité ... mais Jason l’absorba jusqu’à la dernière goutte, et ne retira sa bouche que quand il n’en sortait plus.

Pendant ce temps, Saïd avait repris ses esprits, sa repiration, il cessa de haleter, sourit (il avait un très beau sourire, se dit Jason qui, encore une fois, était totalement sous le charme) et finit par dire : “c’était bon”.
- T’as aimé ?
- Mais grave ... toi aussi j’espère ?
- Oui t’inquiète, j’aime ça et t’en as une bonne ...
- Merci ... tu avales même ?
- Pas toujours, mais avec toi j’avais envie ... et puis regarde c’est plus propre, t’en aurais foutu partout si j’avais pas avalé ...
Là, les deux hommes éclatèrent de rire, ce qui leur fit du bien après ce moment fort entre eux.

- Mais t’as pas joui ...
Jason fut sensible au fait que Saïd se préoccupait de lui, et s’intéressait à lui.
- T’inquiète, c’est pas grave ...
- Mais t’as même pas sorti ta queue ...
- Tu veux la voir ?
- Pas spécialement, mais tu dois avoir envie de jouir... tu veux pas au moins te branler?
- Ouais, t’as raison, ça me fera du bien.

Jason ne se fit pas prier, il se colla à côté de Saïd, s’appuya contre le mur, sortit sa queue, qui bandait bien, et commença à se branler de sa main droite, tandis que sa gauche était passée derrière le cou de Saïd et lui caressait le haut du torse, par dessus les vêtements.
Comme il était bien excité (de toute façon il était toujours chaud) il ne tarda pas à jouir, et fit en sorte de ne pas en mettre ailleurs que sur le sol, qui était en béton brut et ne craignait pas.
Il ferma les yeux, savoura quelques secondes cet instant, déposa un baiser sur la joue de Saïd, qui lui sourit (ah, ce sourire ...).

- je vais te ramener chez toi,
- non, c’est trop loin, dépose moi juste à la station RER,
- mais non à cette heure-ci, y a personne,
- y en a quand même pour 1/2 heure,
- mais non, 20 minutes... et puis ça me fait plaisir...
- bon, dans ce cas, ok ... merci

Les deux hommes se prirent dans les bras, et se firent une accolade bien virile...
- Allez, on y va …