Julien venait d’avoir 18 ans (7)

Récit érotique écrit par EricDeFrance [→ Accès à sa fiche auteur]
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Julien venait d’avoir 18 ans (7)
Julien venait d’avoir 18 ans
Chapitre 7
Ce fut Célestin qui prit l’initiative.
Il colla Eric contre le mur, puis déboutonna son jean, ce qui permit à Eric de se rendre compte que, lui, avait mis un caleçon.
Gris, qui avait du mal à contenir la forme que l’on pouvait distinguer dessous.
Célestin fut très rapide et très entreprenant. Il ôta son tee-shirt à manches longues et offrit à Eric le spectacle de son torse, nu, et musclé.
“ Bouffe ”, lui dit-il en lui tendant le téton droit qu’il avait empoigné avec sa main gauche.
Eric ne se fit pas prier, et il enveloppa le téton de sa bouche.
Voir Célestin torse nu lui fit beaucoup d’effet, il l’avait souvent vu, mais jamais de si près, et il le trouvait magnifique. Poilu, désormais (il était resté longtemps imberbe), mais toujours aussi bandant.
Eric commença à faire de même avec le téton gauche, mais, évidemment, le jeune homme ne se contenta pas de ça, il baissa son caleçon, et mit à l’air sa queue, une belle queue, bien longue et bien épaisse.
Eric ne se fit pas prier (bis), il s’agenouilla, ouvrit la bouche et engloutit le membre qui ne demandait que ça.
Quel bon goût, elle était encore plus longue et surtout plus épaisse que celle de Julien, mais elle avait le même goût, celui de la jeunesse et de l’insolence, et Eric se regala de bien la pomper.
Célestin était totalement offert à lui, il avait les yeux fermés, la bouche grande ouverte, et semblait à la fois prendre son pied et s’abandonner totalement.
Même dans ses rêves les plus fous, Eric n’aurait jamais imaginé pouvoir vivre cela. Il avait toujours eu une relation très proche avec Julien, et, pour ainsi dire, ils étaient devenus amants de façon assez naturelle.
Alors que Célestin, lui, lui paraissait inaccessible. Trop beau, trop fier.
Il avait donc du mal à imaginer que ce jeune homme si sexy était à lui, offert, comme à sa merci, et qu’il allait pouvoir se régaler de ce corps qu’il avait si souvent maté, à la piscine, sans jamais rien entreprendre.
“ Viens, on sera plus à l’aise “, lui fit le beau gosse, qui arrêta net la fellation en cours, remonta légèrement son pantalon et son caleçon, et le prit par la main pour le conduire, non pas dans sa chambre, mais plutôt dans l’autre partie de la pièce où il y avait son lit...
Avant de le suivre, Eric s’arrêta, l’arrêta, et revint lui rouler, à nouveau, une bonne et langoureuse pelle...
Il se rendit compte que Célestin avait fermé les yeux pendant qu’il l’embrassait, ce qui lui confirma la sensation, qu’il vivait, que le jeune homme se donnait totalement à lui.
L’idée lui plaisait, d’autant que Célestin embrassait drôlement bien, le moment entre eux était très sensuel, très sexuel même. Les prémices de la bonne baise qui les attendait...
Eric avait empoigné la nuque de Célestin, et celui-ci fit de même. Eric aussi avait fermé les yeux et s’abandonnait totalement à l’instant.
Le jeune homme ne fanfaronnait plus, il se comportait comme un amant doux et attentionné, un amoureux même, et cette intimité qu’ils se mettaient à partager permettait à Eric d’accéder à sa vraie personnalité, au-delà de la façade fière et limite prétentieuse.
En tout cas, ils semblaient être bien ensemble, la preuve était que leur baiser, fougueux et sensuel à souhait, n’en finissait pas. Leurs bouches restaient collées l’une à l’autre.
Jusqu’à ce que Célestin qui, décidément, tenait à conserver l’initiative, ne se décolle de son amant, pour rester comme stationné, la bouche à quelques centimètres de la sienne, la main gauche posée comme une caresse sur le côté droit de son cou, et du bas de sa joue.
Cela permit au jeune homme de reprendre le baiser là où il l’avait laissé et d’explorer la bouche de son partenaire avec sa langue.
Il entreprit de le déshabiller et explora de sa main gauche le bas de son dos, jusqu’à son fessier qu’il doigta d’emblée.
Eric sursauta légèrement, ce geste lui fit comprendre que leur rapport n’allait pas en rester à cette gentille pelle, mais allait vite basculer dans une sexualité quelque peu bestiale.
Il y était prêt de toute façon, et avait hâte de constater les talents en la matière du beau Célestin qui, comme pour le déstabiliser, avait abandonné les fesses de son partenaire pour, à nouveau, enlacer son cou.
En tout cas, il l’embrassa comme rarement quelqu’un l’avait embrassé. Et il ne s’arrêtait pas. Comme s’il fallait laisser libre cours à toute l’envie, toute la frustration accumulées pendant des mois, des années peut-être.
Quoi qu’il en soit, Eric se laissait totalement faire. Il était bien, il se sentait bien. Il ressentait même un certain trouble, comme s’il avait des sentiments pour ce jeune homme. C’était en tout cas quelque chose de totalement différent que ce qui se passait avec Julien, où il n’y avait pour ainsi dire que du sexe.
Il fallait avancer, et il ressentit que c’était à lui, à ce moment-là, de prendre le relais.
Il dégrafa tout simplement le jeans noir que portait le jeune homme, et qu’il avait reboutonné au moment où il lui avait proposé d’aller vers le lit. Sa ceinture était, elle, restée défaite.
Le caleçon était déjà tombé, et il lui empoigna le sexe, qui était déjà bien en érection. Il le branla doucement, avec sa main gauche et en éprouva la douce chaleur.
Célestin fit de même avec son pantalon, qu’il fit tomber, ce qui lui permit de toucher sa bite puisqu’il n’avait pas de caleçon.
Chacun touchait donc le sexe de l’autre, avant que Célestin ne lui enlève le polo. Encore un effort et les deux hommes allaient se retrouver nus comme des vers, près à se donner l’un à l’autre.
Ils s’embrassèrent à nouveau et se frottèrent l’un contre l’autre, torse contre torse, bite contre bite, avant de carrément s’enlacer et de ne plus bouger pendant de longues secondes.
Célestin acheva de se déshabiller, chaussettes comprises, et alla s’allonger sur le lit, totalement à poil.
Il écarta les jambes, et empoigna sa bite qui était désormais bien dure.
Il n’eut rien besoin de dire, Eric, qui s’était également totalement déshabillé, s’approcha, s’agenouilla au bord du lit, puis se pencha pour engloutir le membre, et reprendre la sucée là où Célestin tout à l’heure l’avait brutalement interrompue.
Cette fois, le jeune homme n’eut pas envie d’interrompre, et s’allongea complètement sur le lit, en posant sa tête en arrière sur l’oreiller.
Il se laissa aller pour savourer le plaisir que lui procurait cette bonne pipe. Comme il s’en doutait, Eric était expert ès fellation, et il pouvait totalement s’abandonner, en toute confiance.
Eric de son côté se régalait, ce qu’il éprouvait confirmait ses premières sensations : Célestin avait une bonne queue, y a pas à dire.
De sa main droite, le jeune homme avait légèrement enserré l’avant bras gauche d’Eric, et il se releva pour bien mâter les va et vients de la bouche experte de son aîné.
Il avait aussi un côté narcisse et aimait bien aussi mater son corps.
Ça tombait bien, en se relevant très légèrement il pouvait voir à la fois son corps dénudé, et la pipe appliquée que lui prodiguait Eric qui, tout en ayant en main le manche, en suçait le bout. Sans se lasser. Tellement il aimait ça. En général, comme en particulier avec cet envoûtant jeune homme.
Cette bite était tellement bonne qu’Eric aurait pu la sucer des heures. Sans s’arrêter.
Jusqu’à ce que le beau Célestin ne crache.
Mais celui-ci n’entendait pas se laisser faire.
Il se redressa d’un coup et, à nouveau, vint prendre la bouche d’Eric avec la sienne.
Certains, vite dégoûtés, ne veulent plus embrasser l’autre une fois qu’il les a sucés ou bouffé le cul.
Ce n’était pas le cas de Célestin. Au contraire, ça l’excitait.
Cette attitude plut à Eric qui, tout en tenant la queue du jeune avec sa main, répondit avec fougue à ce baiser.
Lui n’était jamais dégoûté, il aimait la salive de l’autre, avant comme après, et il aimait également le sperme de l’autre, comme sa sueur, son odeur, le goût de son intimité.
Après s’être bien rassasié de cette bouche, de cette langue et de cette salive, Eric reprit sa fellation et accentua même le mouvement de va-et-vient que faisait sa bouche autour du sexe de Célestin.
A nouveau, le jeune se laissa aller et bascula en arrière pour s’allonger et s’abandonner aux assauts de son partenaire.
Y a pas à dire, ce n’était pas la première fois qu’il se faisait sucer, bien sûr, mais il ne put s’empêcher de penser que personne ne suce mieux qu’un vieux...
Ah l’expérience... on n’a quand même jamais inventé mieux...
Ces pensées le firent sourire, il réalisa qu’il était en train de se faire sucer par un vieux qui était même plus âgé que son père, et qu’il prenait un pied d’enfer.
Et ce n’était pas fini, sourit-il avec gourmandise...
Chapitre 7
Ce fut Célestin qui prit l’initiative.
Il colla Eric contre le mur, puis déboutonna son jean, ce qui permit à Eric de se rendre compte que, lui, avait mis un caleçon.
Gris, qui avait du mal à contenir la forme que l’on pouvait distinguer dessous.
Célestin fut très rapide et très entreprenant. Il ôta son tee-shirt à manches longues et offrit à Eric le spectacle de son torse, nu, et musclé.
“ Bouffe ”, lui dit-il en lui tendant le téton droit qu’il avait empoigné avec sa main gauche.
Eric ne se fit pas prier, et il enveloppa le téton de sa bouche.
Voir Célestin torse nu lui fit beaucoup d’effet, il l’avait souvent vu, mais jamais de si près, et il le trouvait magnifique. Poilu, désormais (il était resté longtemps imberbe), mais toujours aussi bandant.
Eric commença à faire de même avec le téton gauche, mais, évidemment, le jeune homme ne se contenta pas de ça, il baissa son caleçon, et mit à l’air sa queue, une belle queue, bien longue et bien épaisse.
Eric ne se fit pas prier (bis), il s’agenouilla, ouvrit la bouche et engloutit le membre qui ne demandait que ça.
Quel bon goût, elle était encore plus longue et surtout plus épaisse que celle de Julien, mais elle avait le même goût, celui de la jeunesse et de l’insolence, et Eric se regala de bien la pomper.
Célestin était totalement offert à lui, il avait les yeux fermés, la bouche grande ouverte, et semblait à la fois prendre son pied et s’abandonner totalement.
Même dans ses rêves les plus fous, Eric n’aurait jamais imaginé pouvoir vivre cela. Il avait toujours eu une relation très proche avec Julien, et, pour ainsi dire, ils étaient devenus amants de façon assez naturelle.
Alors que Célestin, lui, lui paraissait inaccessible. Trop beau, trop fier.
Il avait donc du mal à imaginer que ce jeune homme si sexy était à lui, offert, comme à sa merci, et qu’il allait pouvoir se régaler de ce corps qu’il avait si souvent maté, à la piscine, sans jamais rien entreprendre.
“ Viens, on sera plus à l’aise “, lui fit le beau gosse, qui arrêta net la fellation en cours, remonta légèrement son pantalon et son caleçon, et le prit par la main pour le conduire, non pas dans sa chambre, mais plutôt dans l’autre partie de la pièce où il y avait son lit...
Avant de le suivre, Eric s’arrêta, l’arrêta, et revint lui rouler, à nouveau, une bonne et langoureuse pelle...
Il se rendit compte que Célestin avait fermé les yeux pendant qu’il l’embrassait, ce qui lui confirma la sensation, qu’il vivait, que le jeune homme se donnait totalement à lui.
L’idée lui plaisait, d’autant que Célestin embrassait drôlement bien, le moment entre eux était très sensuel, très sexuel même. Les prémices de la bonne baise qui les attendait...
Eric avait empoigné la nuque de Célestin, et celui-ci fit de même. Eric aussi avait fermé les yeux et s’abandonnait totalement à l’instant.
Le jeune homme ne fanfaronnait plus, il se comportait comme un amant doux et attentionné, un amoureux même, et cette intimité qu’ils se mettaient à partager permettait à Eric d’accéder à sa vraie personnalité, au-delà de la façade fière et limite prétentieuse.
En tout cas, ils semblaient être bien ensemble, la preuve était que leur baiser, fougueux et sensuel à souhait, n’en finissait pas. Leurs bouches restaient collées l’une à l’autre.
Jusqu’à ce que Célestin qui, décidément, tenait à conserver l’initiative, ne se décolle de son amant, pour rester comme stationné, la bouche à quelques centimètres de la sienne, la main gauche posée comme une caresse sur le côté droit de son cou, et du bas de sa joue.
Cela permit au jeune homme de reprendre le baiser là où il l’avait laissé et d’explorer la bouche de son partenaire avec sa langue.
Il entreprit de le déshabiller et explora de sa main gauche le bas de son dos, jusqu’à son fessier qu’il doigta d’emblée.
Eric sursauta légèrement, ce geste lui fit comprendre que leur rapport n’allait pas en rester à cette gentille pelle, mais allait vite basculer dans une sexualité quelque peu bestiale.
Il y était prêt de toute façon, et avait hâte de constater les talents en la matière du beau Célestin qui, comme pour le déstabiliser, avait abandonné les fesses de son partenaire pour, à nouveau, enlacer son cou.
En tout cas, il l’embrassa comme rarement quelqu’un l’avait embrassé. Et il ne s’arrêtait pas. Comme s’il fallait laisser libre cours à toute l’envie, toute la frustration accumulées pendant des mois, des années peut-être.
Quoi qu’il en soit, Eric se laissait totalement faire. Il était bien, il se sentait bien. Il ressentait même un certain trouble, comme s’il avait des sentiments pour ce jeune homme. C’était en tout cas quelque chose de totalement différent que ce qui se passait avec Julien, où il n’y avait pour ainsi dire que du sexe.
Il fallait avancer, et il ressentit que c’était à lui, à ce moment-là, de prendre le relais.
Il dégrafa tout simplement le jeans noir que portait le jeune homme, et qu’il avait reboutonné au moment où il lui avait proposé d’aller vers le lit. Sa ceinture était, elle, restée défaite.
Le caleçon était déjà tombé, et il lui empoigna le sexe, qui était déjà bien en érection. Il le branla doucement, avec sa main gauche et en éprouva la douce chaleur.
Célestin fit de même avec son pantalon, qu’il fit tomber, ce qui lui permit de toucher sa bite puisqu’il n’avait pas de caleçon.
Chacun touchait donc le sexe de l’autre, avant que Célestin ne lui enlève le polo. Encore un effort et les deux hommes allaient se retrouver nus comme des vers, près à se donner l’un à l’autre.
Ils s’embrassèrent à nouveau et se frottèrent l’un contre l’autre, torse contre torse, bite contre bite, avant de carrément s’enlacer et de ne plus bouger pendant de longues secondes.
Célestin acheva de se déshabiller, chaussettes comprises, et alla s’allonger sur le lit, totalement à poil.
Il écarta les jambes, et empoigna sa bite qui était désormais bien dure.
Il n’eut rien besoin de dire, Eric, qui s’était également totalement déshabillé, s’approcha, s’agenouilla au bord du lit, puis se pencha pour engloutir le membre, et reprendre la sucée là où Célestin tout à l’heure l’avait brutalement interrompue.
Cette fois, le jeune homme n’eut pas envie d’interrompre, et s’allongea complètement sur le lit, en posant sa tête en arrière sur l’oreiller.
Il se laissa aller pour savourer le plaisir que lui procurait cette bonne pipe. Comme il s’en doutait, Eric était expert ès fellation, et il pouvait totalement s’abandonner, en toute confiance.
Eric de son côté se régalait, ce qu’il éprouvait confirmait ses premières sensations : Célestin avait une bonne queue, y a pas à dire.
De sa main droite, le jeune homme avait légèrement enserré l’avant bras gauche d’Eric, et il se releva pour bien mâter les va et vients de la bouche experte de son aîné.
Il avait aussi un côté narcisse et aimait bien aussi mater son corps.
Ça tombait bien, en se relevant très légèrement il pouvait voir à la fois son corps dénudé, et la pipe appliquée que lui prodiguait Eric qui, tout en ayant en main le manche, en suçait le bout. Sans se lasser. Tellement il aimait ça. En général, comme en particulier avec cet envoûtant jeune homme.
Cette bite était tellement bonne qu’Eric aurait pu la sucer des heures. Sans s’arrêter.
Jusqu’à ce que le beau Célestin ne crache.
Mais celui-ci n’entendait pas se laisser faire.
Il se redressa d’un coup et, à nouveau, vint prendre la bouche d’Eric avec la sienne.
Certains, vite dégoûtés, ne veulent plus embrasser l’autre une fois qu’il les a sucés ou bouffé le cul.
Ce n’était pas le cas de Célestin. Au contraire, ça l’excitait.
Cette attitude plut à Eric qui, tout en tenant la queue du jeune avec sa main, répondit avec fougue à ce baiser.
Lui n’était jamais dégoûté, il aimait la salive de l’autre, avant comme après, et il aimait également le sperme de l’autre, comme sa sueur, son odeur, le goût de son intimité.
Après s’être bien rassasié de cette bouche, de cette langue et de cette salive, Eric reprit sa fellation et accentua même le mouvement de va-et-vient que faisait sa bouche autour du sexe de Célestin.
A nouveau, le jeune se laissa aller et bascula en arrière pour s’allonger et s’abandonner aux assauts de son partenaire.
Y a pas à dire, ce n’était pas la première fois qu’il se faisait sucer, bien sûr, mais il ne put s’empêcher de penser que personne ne suce mieux qu’un vieux...
Ah l’expérience... on n’a quand même jamais inventé mieux...
Ces pensées le firent sourire, il réalisa qu’il était en train de se faire sucer par un vieux qui était même plus âgé que son père, et qu’il prenait un pied d’enfer.
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