Les retrouvailles de deux amis

Récit érotique écrit par EricDeFrance [→ Accès à sa fiche auteur]
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Les retrouvailles de deux amis
Depuis longtemps Gaël aimait Denis, son ami d’enfance, d’un amour intense, passionné, limite exclusif.
Gaël venait d’avoir 22 ans, Denis n’avait pas encore 20 ans.
Ils étaient tous deux footballeurs professionnels, avaient été formés tous deux dans un club breton, mais depuis quelques mois leurs destins s’étaient séparés.
Depuis quelque temps, depuis longtemps en fait, c’est Denis qui prenait la lumière.
Il était plus beau, mieux foutu, plus harmonieux, bien plus doué surtout, et il avait réussi sans difficulté à se faire repérer par le club le plus en vue de France, tandis que son pote avait dû s’exiler dans un club de milieu de tableau, qui faisait le yoyo entre la Ligue 1 et la Ligue 2, plus souvent en L2 qu’en L1.
Mais Gaël n’en prenait pas ombrage, il était sincèrement ravi pour son ami, dont il était le premier supporter.
Denis lui était plus gêné, il savait bien qu’il était plus doué que Gaël, mais il n’empêche, pour lui, c’était comme un grand frère, il l’aimait profondément, le respectait, l’admirait, et il trouvait qu’hormis au foot il avait de bien plus grandes qualités que lui.
Denis avait toujours été attiré par les filles, il avait depuis ses 17 ans une petite amie, qu’il gardait secrète compte tenu de sa notoriété naissante.
Gaël par contre était depuis toujours bisexuel, mais de plus en plus attiré par les mecs, il n’avait pas de petite amie, et, à vrai dire, délaissait les filles.
Il était totalement subjugué par le corps de son ami, qu’il avait possédé à plusieurs reprises.
Il l’avait initié même au plaisir sexuel, c’était leur secret et, chaque fois qu’ils se voyaient, Denis devait passer à la casserole.
Ça ne lui déplaisait pas d’ailleurs, et puis, il était totalement soumis à son ami d’enfance, depuis tout petit, il s’était habitué à faire ce qu’il lui disait, et il avait toujours été d’accord pour être son amant secret. Il aimait ça, Gaël était le seul garçon avec qui il couchait, et il savait que ça faisait du bien à son pote.
Même s’ils communiquaient souvent ensemble, ils ne s’étaient pas vus depuis Noël, et avaient gardé en ligne de mire ce samedi après-midi de début mai où leurs deux clubs devaient s’affronter.
Malgré l’amour intense qui les unissait, il y avait toujours eu entre eux une certaine rivalité, aucun des deux n’aimait perdre, et, chaque fois qu’ils jouaient l’un contre l’autre, même si c’était aux cartes, c’était entre eux très sérieux, pas question de laisser l’autre gagner, chaque partie était jouée à fond, surtout par l’aîné qui, finalement, ne vivait pas si bien que ça le fait que le plus jeune soit meilleur que lui.
Du coup, quand il le baisait, il avait l’impression quelque part de se venger du mauvais sort, de le posséder, de le dominer.
La perspective de ce match entre leurs deux clubs le rendait fou, il était déjà super content d’accueillir son pote à la maison, de le présenter à ses nouveaux coéquipiers, depuis plusieurs jours déjà il rêvait du match, mais pas seulement, il rêvait aussi de l’avant match, comme de l’après-match, et bien sûr du moment où sa bite pénètrerait son cul.
Comme d’habitude.
Denis de son côté n’y pensait pas trop. Il était heureux avec sa copine, leurs 2-3 rapports sexuels par semaine lui suffisaient, même s’il reluquait pas mal ses coéquipiers sous la douche (surtout un petit portugais, mignon à croquer, et souriant à souhait), et se branlait parfois en pensant à son amant secret.
Dès qu’ils se virent, dans le vestiaire, ils allèrent l’un vers l’autre, hyper contents de se retrouver, mais autant Denis n’était qu’à sa joie, autant Gaël avait des idées derrière la tête. En notamment celle de se taper une nouvelle fois ce pote dont il était secrètement amoureux.
Il en profita donc, alors que Denis lui tapait la bise, normal quoi, pour viser ses lèvres avec sa bouche, et, subrepticement, pour mettre sa langue au contact de la sienne. Pas longtemps, juste un contact, car ils n’étaient pas tous seuls.
Assez pour que Denis comprenne le message.
Ça, le message, il l’avait compris. Le goût de la langue de son ami le troubla au plus haut point, et perturba totalement son match.
Lui, l’attaquant flambloyant de l’équipe vedette du championnat, n’exista pas face à son pote arrière latéral qui bloqua toutes ses initiatives pendant tout le match.
Curieusement leur face à face ne gêna pas outre mesure Gaël qui, pourtant, avait pour lui des sentiments plus qu’amicaux.
Alors que Denis qui, pourtant, ne pensait pas avoir ce type de sentiments, fut tout troublé.
Pendant tout le match il fut ailleurs. Perdu dans ses pensées. Toutes tournées vers cet ami d’enfance, plus âgé que lui, et dont il n’avait qu’une envie : retrouver le goût de la langue, l’embrasser à nouveau, et se laisser aller avec lui.
Pendant tout le match Denis eut des envies de salope.
D’être à la merci de son pote.
D’être sa chienne, sa pute, sa femelle.
A la fin du match, il put enfin, au moins, le prendre dans ses bras, lorsqu’ils se mirent torse nu et échangèrent leur maillot.
Gaël avait tout prévu, il eut le temps de lui glisser à l’oreille : “Avant de partir, je t’enverrai un message, je te dirai où m’attendre...”.
Denis fut encore plus troublé, il devint carrément excité, tout à l’idée de se faire mettre et posséder par son ami. Qu’il aimait et qui lui faisait envie.
Denis ne savoura guère la victoire, logique, avec ses partenaires, il prit une douche vite fait, ramassa ses affaires, et regarda son portable.
Comme convenu, il y trouva un message de son pote, lui disant de l’attendre, juste à la sortie.
Denis se dépécha de sortir du vestiaire, son ami l’attendait juste dehors, il sortit de sa poche une clé et la lui montra en souriant.
Sans un mot Denis suivit Gaël, le coeur battant la chamade, excité comme une puce.
Ils montèrent de deux étages, et traversèrent un couloir où, manifestement, il y avait des bureaux.
La clé que tenait Gaël ouvrit l’un d’eux. Denis le suivit et, à peine rentrés et la porte fermée, Denis se jeta dans les bras de son ami et reprit la bonne pelle là où ils l’avaient arrêtée. Il retrouva avec plaisir le goût, l’odeur et la saveur de la bouche et de la langue de Gaël.
Les deux copains s’embrassèrent avec fougue et commencèrent à gémir.
En un même mouvement, ils otèrent leur veste de survet, baissèrent leur pantalon et leur caleçon et se frottèrent la bite, chacune commençant à être bien en érection.
Dans un soupir Denis dit à l’oreille de son ami : “Prends moi le cul”.
Il en rêvait depuis le début de l’après-midi, depuis le baiser furtif qu’il avait échangé avec son pote, il avait envie de sentir sa bonne et grosse bite à l’intérieur de ses fesses.
Gaël aussi en avait envie, il en prenait des culs dans sa vie sexuelle, bien remplie, mais aucun n’avait la saveur de celui de son ami d’enfance dans lequel il se sentait bien, comme chez lui.
Gaël plaqua Denis contre le mur, releva son tee-shirt pour bien dégager ses fesses, mouilla ses doigts, et commença à le doigter, lentement mais fermement.
Denis se trémoussait et gémissait, il n’avait pas trop l’habitude qu’on lui explore l’anus comme ça, seul son vieux pote s’y aventurait, et il aimait ça.
Très vite, la bite de Gaël remplaça ses doigts, et il pénétra son ami d’un coup, tellement il était excité. Ils n’avaient pas beaucoup de temps non plus, il ne fallait pas traîner.
Gaël ferma les yeux, comme pour savourer ce moment d’extase. Rien ne l’excitait davantage que d’enculer son pote, de le posséder, de l’avoir à sa merci, rien qu’à lui, afin d’assouver ses penchants pervers.
Il se disait bien que tout ça n’était pas normal, mais il aimait trop ce qu’il ressentait quand il baisait son ami, ce qu’il faisait depuis des années, et, il le pensait, ce qu’il ferait pendant des années encore.
Denis lui aussi savourait l’instant. L’excitation lui faisait oublier la douleur, il faut dire que son petit cul était encore bien étroit, et que, finalement, seul son ami d’enfance avait franchi le rubicon.
Pour lui, qui, à l’inverse de son pote, se sentait hétéro, se faire enculer était l’apanage des “pédés”, des “tafioles”, et lui n’en était pas, bien sûr.
Mais pourtant qu’est ce qu’il aimait ça quand son ami d’enfance le baisait, il se sentait petit garçon, soumis, complètement à sa merci, et il aimait ça.
Le peu de temps qu’ils avaient, leur excitation, tout cela a fait que Gaël cracha assez vite, et emplit le fondement de son pote de toute sa semence.
Denis, qui se branlait en même temps, ne tarda pas non plus à cracher, ce qui le soulagea de toute l’excitation qu’il avait accumulée depuis le début de l’après-midi.
Il émit un grognement rauque quand sa semence sortit, alors que son ami d’enfance avait éjaculé en silence.
Baise rapide, excitation intense, les deux potes mirent un petit moment à se remettre de ce qu’ils venaient de vivre.
Ils eurent par contre vite fait de se rhabiller, puisqu’ils n’eurent qu’à remonter leur caleçon et leur pantalon et à remettre leur veste de survet.
Un petit smack : “rentre bien mon poteau, on se voit vite”, fit Gaël, avant d’ajouter : “n’oublie pas que je t’aime”... Denis lui sourit, avant de dire : “moi aussi”.
C’est bras dessus bras dessous que les deux amis sortirent de ce bureau, calmés, rassasiés et heureux.
Gaël venait d’avoir 22 ans, Denis n’avait pas encore 20 ans.
Ils étaient tous deux footballeurs professionnels, avaient été formés tous deux dans un club breton, mais depuis quelques mois leurs destins s’étaient séparés.
Depuis quelque temps, depuis longtemps en fait, c’est Denis qui prenait la lumière.
Il était plus beau, mieux foutu, plus harmonieux, bien plus doué surtout, et il avait réussi sans difficulté à se faire repérer par le club le plus en vue de France, tandis que son pote avait dû s’exiler dans un club de milieu de tableau, qui faisait le yoyo entre la Ligue 1 et la Ligue 2, plus souvent en L2 qu’en L1.
Mais Gaël n’en prenait pas ombrage, il était sincèrement ravi pour son ami, dont il était le premier supporter.
Denis lui était plus gêné, il savait bien qu’il était plus doué que Gaël, mais il n’empêche, pour lui, c’était comme un grand frère, il l’aimait profondément, le respectait, l’admirait, et il trouvait qu’hormis au foot il avait de bien plus grandes qualités que lui.
Denis avait toujours été attiré par les filles, il avait depuis ses 17 ans une petite amie, qu’il gardait secrète compte tenu de sa notoriété naissante.
Gaël par contre était depuis toujours bisexuel, mais de plus en plus attiré par les mecs, il n’avait pas de petite amie, et, à vrai dire, délaissait les filles.
Il était totalement subjugué par le corps de son ami, qu’il avait possédé à plusieurs reprises.
Il l’avait initié même au plaisir sexuel, c’était leur secret et, chaque fois qu’ils se voyaient, Denis devait passer à la casserole.
Ça ne lui déplaisait pas d’ailleurs, et puis, il était totalement soumis à son ami d’enfance, depuis tout petit, il s’était habitué à faire ce qu’il lui disait, et il avait toujours été d’accord pour être son amant secret. Il aimait ça, Gaël était le seul garçon avec qui il couchait, et il savait que ça faisait du bien à son pote.
Même s’ils communiquaient souvent ensemble, ils ne s’étaient pas vus depuis Noël, et avaient gardé en ligne de mire ce samedi après-midi de début mai où leurs deux clubs devaient s’affronter.
Malgré l’amour intense qui les unissait, il y avait toujours eu entre eux une certaine rivalité, aucun des deux n’aimait perdre, et, chaque fois qu’ils jouaient l’un contre l’autre, même si c’était aux cartes, c’était entre eux très sérieux, pas question de laisser l’autre gagner, chaque partie était jouée à fond, surtout par l’aîné qui, finalement, ne vivait pas si bien que ça le fait que le plus jeune soit meilleur que lui.
Du coup, quand il le baisait, il avait l’impression quelque part de se venger du mauvais sort, de le posséder, de le dominer.
La perspective de ce match entre leurs deux clubs le rendait fou, il était déjà super content d’accueillir son pote à la maison, de le présenter à ses nouveaux coéquipiers, depuis plusieurs jours déjà il rêvait du match, mais pas seulement, il rêvait aussi de l’avant match, comme de l’après-match, et bien sûr du moment où sa bite pénètrerait son cul.
Comme d’habitude.
Denis de son côté n’y pensait pas trop. Il était heureux avec sa copine, leurs 2-3 rapports sexuels par semaine lui suffisaient, même s’il reluquait pas mal ses coéquipiers sous la douche (surtout un petit portugais, mignon à croquer, et souriant à souhait), et se branlait parfois en pensant à son amant secret.
Dès qu’ils se virent, dans le vestiaire, ils allèrent l’un vers l’autre, hyper contents de se retrouver, mais autant Denis n’était qu’à sa joie, autant Gaël avait des idées derrière la tête. En notamment celle de se taper une nouvelle fois ce pote dont il était secrètement amoureux.
Il en profita donc, alors que Denis lui tapait la bise, normal quoi, pour viser ses lèvres avec sa bouche, et, subrepticement, pour mettre sa langue au contact de la sienne. Pas longtemps, juste un contact, car ils n’étaient pas tous seuls.
Assez pour que Denis comprenne le message.
Ça, le message, il l’avait compris. Le goût de la langue de son ami le troubla au plus haut point, et perturba totalement son match.
Lui, l’attaquant flambloyant de l’équipe vedette du championnat, n’exista pas face à son pote arrière latéral qui bloqua toutes ses initiatives pendant tout le match.
Curieusement leur face à face ne gêna pas outre mesure Gaël qui, pourtant, avait pour lui des sentiments plus qu’amicaux.
Alors que Denis qui, pourtant, ne pensait pas avoir ce type de sentiments, fut tout troublé.
Pendant tout le match il fut ailleurs. Perdu dans ses pensées. Toutes tournées vers cet ami d’enfance, plus âgé que lui, et dont il n’avait qu’une envie : retrouver le goût de la langue, l’embrasser à nouveau, et se laisser aller avec lui.
Pendant tout le match Denis eut des envies de salope.
D’être à la merci de son pote.
D’être sa chienne, sa pute, sa femelle.
A la fin du match, il put enfin, au moins, le prendre dans ses bras, lorsqu’ils se mirent torse nu et échangèrent leur maillot.
Gaël avait tout prévu, il eut le temps de lui glisser à l’oreille : “Avant de partir, je t’enverrai un message, je te dirai où m’attendre...”.
Denis fut encore plus troublé, il devint carrément excité, tout à l’idée de se faire mettre et posséder par son ami. Qu’il aimait et qui lui faisait envie.
Denis ne savoura guère la victoire, logique, avec ses partenaires, il prit une douche vite fait, ramassa ses affaires, et regarda son portable.
Comme convenu, il y trouva un message de son pote, lui disant de l’attendre, juste à la sortie.
Denis se dépécha de sortir du vestiaire, son ami l’attendait juste dehors, il sortit de sa poche une clé et la lui montra en souriant.
Sans un mot Denis suivit Gaël, le coeur battant la chamade, excité comme une puce.
Ils montèrent de deux étages, et traversèrent un couloir où, manifestement, il y avait des bureaux.
La clé que tenait Gaël ouvrit l’un d’eux. Denis le suivit et, à peine rentrés et la porte fermée, Denis se jeta dans les bras de son ami et reprit la bonne pelle là où ils l’avaient arrêtée. Il retrouva avec plaisir le goût, l’odeur et la saveur de la bouche et de la langue de Gaël.
Les deux copains s’embrassèrent avec fougue et commencèrent à gémir.
En un même mouvement, ils otèrent leur veste de survet, baissèrent leur pantalon et leur caleçon et se frottèrent la bite, chacune commençant à être bien en érection.
Dans un soupir Denis dit à l’oreille de son ami : “Prends moi le cul”.
Il en rêvait depuis le début de l’après-midi, depuis le baiser furtif qu’il avait échangé avec son pote, il avait envie de sentir sa bonne et grosse bite à l’intérieur de ses fesses.
Gaël aussi en avait envie, il en prenait des culs dans sa vie sexuelle, bien remplie, mais aucun n’avait la saveur de celui de son ami d’enfance dans lequel il se sentait bien, comme chez lui.
Gaël plaqua Denis contre le mur, releva son tee-shirt pour bien dégager ses fesses, mouilla ses doigts, et commença à le doigter, lentement mais fermement.
Denis se trémoussait et gémissait, il n’avait pas trop l’habitude qu’on lui explore l’anus comme ça, seul son vieux pote s’y aventurait, et il aimait ça.
Très vite, la bite de Gaël remplaça ses doigts, et il pénétra son ami d’un coup, tellement il était excité. Ils n’avaient pas beaucoup de temps non plus, il ne fallait pas traîner.
Gaël ferma les yeux, comme pour savourer ce moment d’extase. Rien ne l’excitait davantage que d’enculer son pote, de le posséder, de l’avoir à sa merci, rien qu’à lui, afin d’assouver ses penchants pervers.
Il se disait bien que tout ça n’était pas normal, mais il aimait trop ce qu’il ressentait quand il baisait son ami, ce qu’il faisait depuis des années, et, il le pensait, ce qu’il ferait pendant des années encore.
Denis lui aussi savourait l’instant. L’excitation lui faisait oublier la douleur, il faut dire que son petit cul était encore bien étroit, et que, finalement, seul son ami d’enfance avait franchi le rubicon.
Pour lui, qui, à l’inverse de son pote, se sentait hétéro, se faire enculer était l’apanage des “pédés”, des “tafioles”, et lui n’en était pas, bien sûr.
Mais pourtant qu’est ce qu’il aimait ça quand son ami d’enfance le baisait, il se sentait petit garçon, soumis, complètement à sa merci, et il aimait ça.
Le peu de temps qu’ils avaient, leur excitation, tout cela a fait que Gaël cracha assez vite, et emplit le fondement de son pote de toute sa semence.
Denis, qui se branlait en même temps, ne tarda pas non plus à cracher, ce qui le soulagea de toute l’excitation qu’il avait accumulée depuis le début de l’après-midi.
Il émit un grognement rauque quand sa semence sortit, alors que son ami d’enfance avait éjaculé en silence.
Baise rapide, excitation intense, les deux potes mirent un petit moment à se remettre de ce qu’ils venaient de vivre.
Ils eurent par contre vite fait de se rhabiller, puisqu’ils n’eurent qu’à remonter leur caleçon et leur pantalon et à remettre leur veste de survet.
Un petit smack : “rentre bien mon poteau, on se voit vite”, fit Gaël, avant d’ajouter : “n’oublie pas que je t’aime”... Denis lui sourit, avant de dire : “moi aussi”.
C’est bras dessus bras dessous que les deux amis sortirent de ce bureau, calmés, rassasiés et heureux.
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