Le retour de Carlos - 1 - Mise en place

Récit érotique écrit par EricDeFrance [→ Accès à sa fiche auteur]
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Le retour de Carlos - 1 - Mise en place
Le retour de Carlos (1)
Carlos avait vécu une saison difficile, ça allait mieux seulement depuis janvier, mais la deuxième partie de l’année avait été compliquée, sportivement, comme mentalement.
Heureusement, comme si le changement d’année civile lui avait fait du bien, les choses s’étaient améliorées depuis quelques semaines, il jouait mieux, avait réussi à regagner un tournoi, et se préparait pour “son” tournoi fétiche, le “French”, à Rolland Garros, dans de meilleures conditions.
Et puis il allait revoir Eric et Samir, qui l’avaient bien accueilli l’an passé, et avec qui il avait passé un bon moment.
Depuis un an, il n’avait pas remis les pieds à Paris, mais ils étaient restés en contact, ça l’avait surpris car jusque là il ne restait jamais en lien avec ses “coups d’un soir”, rencontrés ici ou là de ses périples à travers le monde.
Eux, il savait, ils en avaient vite convenu, qu’il allait les revoir, juste avant le début du tournoi, le fameux dimanche soir où il se laissait aller dans une soirée de sexe.
Et puis il leur devait comme une revanche. Lui le champion, le compétiteur, le gagneur avait mal digéré le fait de n’avoir pu encaisser la double pénétration qu’ils avaient programmée.
Certes il avait pris un pied d’enfer en se faisant enculer, d’abord par l’un, puis par l’autre, mais ce n’est pas ce qui avait été convenu. Il savait que les deux gars recherchaient à prendre à deux le même mec, et c’est ce qu’il s’était engagé à leur permettre. Et ce qu’il n’avait pas pu leur offrir. Faute de préparation ? d’entraînement ?
Il ne saurait le dire. Toujours est-il qu’il n’avait pas pu, que la douleur avait été trop forte, trop intense, et qu’aller plus loin l’aurait totalement déchiré.
Il s’en était voulu, mais, visiblement, cela n’avait pas entaché leur relation, et les deux parisiens ne semblaient pas lui en vouloir.
C’était le cas. Eric comme Samir avaient gardé un excellent souvenir de ce plan à trois avec Carlos, même si la double pénétration programmée n’avait pu aller au bout.
Ils l’avaient trouvé hyper bien foutu, bandant, mais aussi charmant, poli, gentil, bien élevé, souriant... ce qui leur avait permis de penser que la bonne image qu’il avait dans les média correspondait bien à la réalité de sa personnalité.
Et le naturel avec lequel il avait continué à correspondre avec eux le confirmait : Carlos était un “vrai gentil”.
Depuis un an, il n’avait jamais ré-essayé de double ailleurs qu’au tennis. En fait il voulait réessayer uniquement avec Eric et Samir. D’abord parce qu’il le leur devait - c’est du moins ce qu’il pensait, et ressentait. Mais pas seulement. Il en avait également très envie, il s’était attaché à ces deux gars, qui l’excitaient et lui avaient procuré beaucoup de plaisir.
Par conséquent, la double pénétration, qu’il souhaitait cette fois mener à son terme, c’est avec eux qu’il la retenterait.
Pour cela il s’était, en quelque sorte, entraîné. Tout seul, dans sa chambre d’hôtel. Quand il se branlait, c’est-à-dire souvent, comme peut le faire un garçon d’une vingtaine d’années, désormais célibataire - il n’en pouvait plus de sa copine, et de faire semblant, et il s’était séparé d’elle à la fin de l’été.
Comme il avait envie de le faire avec Eric et Samir, il n’avait pas cherché à le faire avec d’autres, avait fait quelques plans bien sûr, ici ou là, quelquefois à trois d’ailleurs, mais sans jamais tenter une double.
Alors, tout seul, il travaillait son cul. Il aimait ça, il aimait son cul, en était fier, le touchait, le doigtait, le caressait de ses doigts humidifiés de salive, il aurait même aimé pouvoir se pratiquer un genre d’auto-anulingus, comme certains arrivent à se faire une auto-fellation. Pas lui. Souvent, il le regrettait.
De leur côté Eric et Samir avaient donc gardé un excellent souvenir du passage de Carlos. Son physique, son corps parfait, sa belle gueule, son bon cul, son sourire, ses gémissements de douleur et de plaisir qu’il ne retenait pas, tout, chez lui, était attirant. Ils ne regrettaient pas, en fait, de n’avoir pu mener à terme la double pénétration qu’ils avaient en quelque sorte “commandée”, car ils avaient vraiment, certes à tour de rôle, pris leur pied.
Ils avaient senti toutefois que le jeune champion espagnol était, même dans sa vie privée, un être fier, et, comme il leur avait dit qu’il souhaitait revenir pour aller au bout de sa promesse, ils en avaient profité pour programmer une nouvelle rencontre, un an, jour pour jour, après la première.
Comme l’an passé c’est Alberto qui se chargea des détails, mais c’était beaucoup plus simple puisqu’il connaissait leur adresse. Comme l’an passé, rendez-vous fut pris dans le sous-sol de leur immeuble, et, comme l’an passé, une Tesla noire déposa le charmant Carlos.
Comme l’an passé, ce fut Samir qui descendit au contact, et récupéra Carlos.
Les deux hommes se firent la bise, mais dans l’ascenseur, Samir, qui était chaud comme la braise, n’y tenait plus, se mit à embrasser fougueusement le jeune espagnol et, très vite, lui mit le cul à l’air et l’encula, direct, à sec. Ça lui fit un bien fou.
Un avant-goût de ce qui les attendait plus tard, ils allaient se régaler de dévorer ce jeune, de le baiser par la bouche et par le cul, de le bouffer de partout...
(A suivre)
Carlos avait vécu une saison difficile, ça allait mieux seulement depuis janvier, mais la deuxième partie de l’année avait été compliquée, sportivement, comme mentalement.
Heureusement, comme si le changement d’année civile lui avait fait du bien, les choses s’étaient améliorées depuis quelques semaines, il jouait mieux, avait réussi à regagner un tournoi, et se préparait pour “son” tournoi fétiche, le “French”, à Rolland Garros, dans de meilleures conditions.
Et puis il allait revoir Eric et Samir, qui l’avaient bien accueilli l’an passé, et avec qui il avait passé un bon moment.
Depuis un an, il n’avait pas remis les pieds à Paris, mais ils étaient restés en contact, ça l’avait surpris car jusque là il ne restait jamais en lien avec ses “coups d’un soir”, rencontrés ici ou là de ses périples à travers le monde.
Eux, il savait, ils en avaient vite convenu, qu’il allait les revoir, juste avant le début du tournoi, le fameux dimanche soir où il se laissait aller dans une soirée de sexe.
Et puis il leur devait comme une revanche. Lui le champion, le compétiteur, le gagneur avait mal digéré le fait de n’avoir pu encaisser la double pénétration qu’ils avaient programmée.
Certes il avait pris un pied d’enfer en se faisant enculer, d’abord par l’un, puis par l’autre, mais ce n’est pas ce qui avait été convenu. Il savait que les deux gars recherchaient à prendre à deux le même mec, et c’est ce qu’il s’était engagé à leur permettre. Et ce qu’il n’avait pas pu leur offrir. Faute de préparation ? d’entraînement ?
Il ne saurait le dire. Toujours est-il qu’il n’avait pas pu, que la douleur avait été trop forte, trop intense, et qu’aller plus loin l’aurait totalement déchiré.
Il s’en était voulu, mais, visiblement, cela n’avait pas entaché leur relation, et les deux parisiens ne semblaient pas lui en vouloir.
C’était le cas. Eric comme Samir avaient gardé un excellent souvenir de ce plan à trois avec Carlos, même si la double pénétration programmée n’avait pu aller au bout.
Ils l’avaient trouvé hyper bien foutu, bandant, mais aussi charmant, poli, gentil, bien élevé, souriant... ce qui leur avait permis de penser que la bonne image qu’il avait dans les média correspondait bien à la réalité de sa personnalité.
Et le naturel avec lequel il avait continué à correspondre avec eux le confirmait : Carlos était un “vrai gentil”.
Depuis un an, il n’avait jamais ré-essayé de double ailleurs qu’au tennis. En fait il voulait réessayer uniquement avec Eric et Samir. D’abord parce qu’il le leur devait - c’est du moins ce qu’il pensait, et ressentait. Mais pas seulement. Il en avait également très envie, il s’était attaché à ces deux gars, qui l’excitaient et lui avaient procuré beaucoup de plaisir.
Par conséquent, la double pénétration, qu’il souhaitait cette fois mener à son terme, c’est avec eux qu’il la retenterait.
Pour cela il s’était, en quelque sorte, entraîné. Tout seul, dans sa chambre d’hôtel. Quand il se branlait, c’est-à-dire souvent, comme peut le faire un garçon d’une vingtaine d’années, désormais célibataire - il n’en pouvait plus de sa copine, et de faire semblant, et il s’était séparé d’elle à la fin de l’été.
Comme il avait envie de le faire avec Eric et Samir, il n’avait pas cherché à le faire avec d’autres, avait fait quelques plans bien sûr, ici ou là, quelquefois à trois d’ailleurs, mais sans jamais tenter une double.
Alors, tout seul, il travaillait son cul. Il aimait ça, il aimait son cul, en était fier, le touchait, le doigtait, le caressait de ses doigts humidifiés de salive, il aurait même aimé pouvoir se pratiquer un genre d’auto-anulingus, comme certains arrivent à se faire une auto-fellation. Pas lui. Souvent, il le regrettait.
De leur côté Eric et Samir avaient donc gardé un excellent souvenir du passage de Carlos. Son physique, son corps parfait, sa belle gueule, son bon cul, son sourire, ses gémissements de douleur et de plaisir qu’il ne retenait pas, tout, chez lui, était attirant. Ils ne regrettaient pas, en fait, de n’avoir pu mener à terme la double pénétration qu’ils avaient en quelque sorte “commandée”, car ils avaient vraiment, certes à tour de rôle, pris leur pied.
Ils avaient senti toutefois que le jeune champion espagnol était, même dans sa vie privée, un être fier, et, comme il leur avait dit qu’il souhaitait revenir pour aller au bout de sa promesse, ils en avaient profité pour programmer une nouvelle rencontre, un an, jour pour jour, après la première.
Comme l’an passé c’est Alberto qui se chargea des détails, mais c’était beaucoup plus simple puisqu’il connaissait leur adresse. Comme l’an passé, rendez-vous fut pris dans le sous-sol de leur immeuble, et, comme l’an passé, une Tesla noire déposa le charmant Carlos.
Comme l’an passé, ce fut Samir qui descendit au contact, et récupéra Carlos.
Les deux hommes se firent la bise, mais dans l’ascenseur, Samir, qui était chaud comme la braise, n’y tenait plus, se mit à embrasser fougueusement le jeune espagnol et, très vite, lui mit le cul à l’air et l’encula, direct, à sec. Ça lui fit un bien fou.
Un avant-goût de ce qui les attendait plus tard, ils allaient se régaler de dévorer ce jeune, de le baiser par la bouche et par le cul, de le bouffer de partout...
(A suivre)
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