HICHAM - 1 - La double bascule
Récit érotique écrit par EricDeFrance [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-09-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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HICHAM - 1 - La double bascule
HICHAM
Chapitre 1 - La double bascule
- Là, je crois que tu m’as complètement oublié...
Hicham avait hésité longtemps à lui envoyer ce sms.
Tous les jours il avait attendu, espéré. Un message, un signe, une proposition. Rien.
Le dernier échange remontait au matin même de son départ de l’hôtel, la fameuse nuit de son anniversaire, quand ils avaient baisé trois fois et qu’il était pour la première fois devenu passif.
- Top, la voiture a démarré. A une prochaine, biz.
- Ok, super, biz, rentre bien.
Depuis ce dernier échange, il y avait maintenant trois semaines, plus rien.
Il s’imaginait qu’Eric n’avait pas été dupe de son stratagème, de son bobard pour pouvoir rester un peu plus, et il n’imaginait pas qu’il puisse lui en vouloir.
Au contraire, se disait-il, si Eric avait bien compris, il ne pouvait qu’en être heureux, flatté du moins.
Alors pourquoi ce silence, inhabituel, sans précédent.
Surtout après une telle nuit.
Hicham devait se rendre à l’évidence : il ne supportait pas l’idée qu’Eric voit quelqu’un d’autre.
Jusque là ça ne lui faisait rien. Parfois même l’idée l’excitait, au mieux elle le laissait totalement indifférent.
Alors là, pourquoi cela avait-il changé.
Pourquoi avait-il accepté qu’il le baise, alors que jusque là il avait toujours refusé, qu’il ne l’avait jamais fait, et que l’idée le répugnait.
Pourquoi avait-il voulu rester, pourquoi avoir eu recous à ce stratagème.
Pourquoi s’être laissé baiser, et gratuitement.
Pourquoi avoir voulu remettre le couvert.
Pourquoi se laisser embrasser.
Non, ce n’est pas la bonne question : pourquoi l’embrasser, pourquoi mettre la langue, pourquoi prendre son pied... alors que jusque là ça le dégoûtait de toucher la langue qui venait de le lécher.
Pourquoi penser à lui la journée. Le soir.
Pourquoi se branler en pensant à lui. Pourquoi avoir envie de le revoir.
Pourquoi être vert à l’idée qu’il ne le rappelait pas, qu’il l’avait oublié, qu’il allait - forcément - voir quelqu’un d’autre. Payer quelqu’un d’autre.
L’idée qu’Hicham ne supportait pas - et pourtant, il ne pouvait s’empêcher de se dire que c’était la réalité - c’était qu’après l’avoir baisé Eric avait atteint son objectif, et ne s’intéressait plus à lui. Etait passé à autre chose. Ou à quelqu’un d’autre.
Or, Eric lui manquait. C’était une évidence. Ça le faisait chier, mais c’était une évidence.
Pendant des mois, des années, cette relation, tarifée et parallèle, avait rythmé sa vie.
On ne peut pas dire qu’Eric était son idéal masculin, mais il s’était attaché à lui, plus encore à leur relation. Si singulière. Sans précédent pour lui.
Il se rendait compte que, finalement, cette relation, particulière, le rassurait. Flattait, déjà, son égo, qui assumait mal cette homosexualité qui le dévorait.
Lui faisait du bien aussi. Faisait du bien à l’animal, comme dit la chanson.
Lui qui, finalement, n’était pas porté sur le sexe tant que ça (il pouvait sans problème rester quinze jours sans se vider), appréciait les plans avec Eric.
Bien sûr il y avait l’argent, et il ne crachait pas dessus. Mais pas que, il le savait.
Ce que lui faisait Eric lui faisait du bien, il suçait bien, et lui bandait dur, et jouissait à chaque fois.
Il aurait aimé le baiser et, au début, Eric le lui avait demandé ; il l’aurait fait volontiers, comme une prestation qu’un client sollicite.
Mais Eric était trop serré, il n’avait pas pu encaisser, et ils n’avaient jamais réessayé.
Eric ne le lui avait jamais redemandé, et, au contraire, ne cessait de lui parler de son fantasme véritable : le baiser.
Ce qu’il avait fini par faire, cette fameuse nuit.
Pour ensuite le jeter, comme une vieille chaussette.
Cette pensée lui fit monter les larmes. Des larmes de rage, qu’il parvint à contenir, et qu’il transforma en acte positif : ce sms de reproche, qui sonnait comme une déclaration, mêlée d’une supplique : appelle-moi, s’il te plait.
Eric lui répondit par un sms. Comme s’ils s’étaient quittés la veille :
- Hey, j’allais justement te contacter. Tu vas bien ?
- ça va... c’est pas de toi de laisser tant de temps sans nouvelles...
- Oui, désolé, le temps passe trop vite, mais ce soir je suis à l’hôtel, si ça te dit de passer...
Hicham se demanda, bien évidemment, si, sans son sms, Eric l’aurait contacté...
Il ne saura jamais… mais il n’avait pas l’envie, ni même la force, de dire non.
- ok, à quelle heure ?
Cette sobriété lui permettait d’affecter l’indifférence, alors qu’au fond de lui il n’attendait que ça...
- 21h30 ?
- ok.
- tu connais le chemin... à ce soir donc...
- à ce soir, biz, passe une bonne journée.
Hicham trouva la journée longue, il lui tardait d’être au soir, de le revoir, de savoir comment ça allait se passer, quel type de relation ils allaient avoir, surtout, s’il maîtriserait la situation ou si, comme la dernière fois, il perdrait pied.
Il ne tarda pas à être fixé.
Quand il toqua à la porte de la chambre à l’hôtel, Eric l’attendait, et il lui ouvrit, vêtu d’une simple serviette à la taille. Cela fit un tel effet sur Hicham qu’il se déshabilla à la porte, ne gardant que son caleçon et ses chaussettes. Eric referma derrière lui et les deux hommes s’enlacèrent et se roulèrent une bonne pelle.
Sans un mot.
Assez vite, il se produisit ce que redoutait Hicham : Eric prit l’ascendant sur lui. Il le plaqua contre le mur, tout en continuant à l’embrasser. Il vit que le jeune homme était chaud bouillant lorsque ses doigts s’aventurèrent vers son paquet et empoignèrent sa bite, dure et dressée, ce qui le fit gémir de plaisir.
Pour bien lui montrer comment, désormais, s’organisait leur relation, il le retourna, se mit derrière lui et amena sa bite, elle aussi dure et dressée contre ses fesses.
Eric n’avait pas d’autres sentiments pour lui qu’amicaux, mais Hicham l’attirait et l’excitait au plus haut point. C’était, et de loin, le garçon de ses relations qu’il trouvait le plus beau, le mieux foutu, le plus “ bandant ”. A ses yeux il incarnait l’idéal masculin : une belle gueule, un corps parfait, un torse imberbe et musclé, une belle et bonne bite, des fesses charnues et fermes, un caractère affirmé, tout, en lui, le séduisait, l’attirait, le faisait bander.
Summum : Hicham, qui avait incarné pendant longtemps l’actif inaccessible, lui avait permis de prendre possession de son cul, d’abord par la langue, enfin par la bite, ce qu’il avait fait avec délice.
Et il n’allait pas tarder à en profiter à nouveau.
Il enleva son peignoir de bain, et était nu en dessous. Il frotta sa bite contre les fesses d’Hicham qui, lui, avait gardé son caleçon et ses chaussettes.
Et encore si son sous-vêtement cachait entièrement ses fesses, il était lègèrement baissé à l’avant, ce qui permettait à la bite dressée de laisser dépasser le gland.
Eric tout en frottant sa bite sur ses fesses par dessus le caleçon se mit à l’embrasser dans le cou, lui lécher le lobe de l’oreille et venir poser sa langue sur ses lèvres.
Hicham, tout en se retournant légèrement, ouvrit sa bouche, et Eric y engouffra sa langue, dans un baiser sensuel et langoureux, qui dura un long moment.
Eric le prit par la main et, une fois arrivé contre le lit, le poussa légèrement pour l’y allonger, sur le ventre.
Hicham se laissait totalement faire : il s’allongea sur le lit, en écartant ses jambes pour dégager ses fesses.
Eric se mit aussi sur le lit, s’accroupit à côté de lui, et ota, enfin, le caleçon d’Hicham pour dégager son fessier, qu’il aimait et vénérait.
La vue de ce cul dénudé fit sur lui beaucoup d’effet. Il s’accroupit juste derrière, se pencha, ouvrit la bouche, et sortit la langue.
Eric se mit à le lécher goulûment, à lui bouffer le cul sans s’arrêter un instant, tellement il aimait ça et pouvait le faire de longues minutes sans se lasser. Son record : une heure, dans une chambre d’hôtel, avec un jeune étudiant qui avait partagé sa nuit.
En plus, il ne pouvait pas s’empêcher de penser qu’Hicham aimait ça. Il en doutait au début, et le jeune garçon ne cessait de prétendre le contraire, qu’il n’aimait pas ça, qu’il ne l’avait jamais fait, et se laissait faire, en gros, pour lui faire plaisir.
Or, tout en lui montrait le contraire : ses gémissements, sa façon de se dandiner du fion, et, surtout, l’amplification de son érection au fur et à mesure que l’anulingus se déroulait. Comment prétendre qu’il n’aimait pas ça... car, comme dit la chanson, “ la bandaison, papa, ... ça n’se commande pas...”.
D’ailleurs, la dernière fois à l’hôtel, le jour de l’anniversaire d’Eric, il avait, finalement, rendu les armes. Enfin admis, au fond de lui, qu’il aimait ça. Qu’il aimait se faire bouffer le cul, qu’il aimait la façon dont Eric le lui faisait, qu’il aimait l’embrasser et, comble du comble, qu’il aimait aussi se faire baiser. Tout ce qui, jusque là, le dégoûtait, lui qui au départ se pensait, se voulait hétéro, puis voulait bien des pratiques homos, mais à condition de rester l’actif, le mâle...
Ces trois semaines l’avaient fait réfléchir, et il avait dû se rendre à l’évidence : il fallait qu’il l’accepte, il était vraiment homo. Depuis toujours il avait fait semblant avec les filles, son physique avantageux, son charisme naturel, faisaient qu’elles étaient toutes à ses pieds, et il n’aurait eu que l’embarras du choix... si les filles avaient été son truc... mais son truc, il devait l’admettre, c’était les mecs. Avec qui, jusque là, il n’était qu’actif. Mais avec qui, désormais, il avait fini par devenir passif. Et surtout par aimer ça.
Dans cette chambre d’hôtel, où il était si souvent venu, Hicham se laissait aller. Il était bien, totalement nu, allongé le ventre contre le lit, les jambes écartées, les fesses relevées, le sexe dressé contre les draps.
Il se sentait bien, réalisait qu’il était totalement à la merci de cet Eric qui avait fini par le posséder, et par certains côtés, l’envoûter. Avec qui il se sentait bien, en tout cas, et en qui il avait totale confiance.
Ça faisait longtemps qu’ils se connaissaient, la première fois, il avait 19 ans, il filait sur ses 26, le temps passait, et avait permis à cette relation particulière de se consolider, de se renforcer. De se transformer aussi puisque, la dernière fois, et pour la première fois, il n’y avait pas eu de contrepartie financière. Il n’en voulait plus d’ailleurs, et serait vexé si Eric le payait à la fin de leur rapport. Il n’avait plus envie. Il ne voulait plus être un objet, une prestation, un service. Il voulait une relation nouvelle, d’égal à égal.
D’ailleurs, il n’avait pas envie de partir, il avait envie de rester, de passer la nuit avec cet homme, qui avait l’âge de sa mère (son père était plus âgé), qui était le seul désormais à connaître son secret, et à l’avoir mis à jour, et avec qui il se sentait bien.
Eric de son côté se régalait, et continuait de bouffer le cul de son jeune partenaire. Lui aussi sentait que leur relation évoluait, ce qui par certains côtés lui plaisait (le flattait...), par d’autres l’effrayait un petit peu. Il sentait qu’Hicham avait changé, s’attachait à lui, alors qu’il aurait aimé, finalement, que leur relation reste comme elle était.
Finalement, cette fameuse soirée de son anniversaire, trois semaines plus tôt, avait été comme une bascule dans leur relation, jusque là tarifée, donc protégée, et suffisamment distante. Là, du fait d’Hicham, il n’y avait plus de protection, plus de barrière, au fond de lui, il ne voulait pas de ça, leur relation jusque là lui convenait parfaitement, et il n’avait pas envie d’en changer. Il aurait même voulu continuer à le payer, mais il sentait que, pour le fier Hicham, il n’en était plus question.
Eric préféra arrêter de penser à tout ça, et se concentra à nouveau sur son sujet ; le cul d’Hicham, là, devant lui, comme offert, et dont il fallait continuer à s’occuper.
L’envie lui revint instantanément, Hicham avait un trop beau cul, et il aimait trop ça, les culs de mecs en général, celui de ce jeune gars en particulier.
Eric bandait alors à fond, il écarta les fesses d’Hicham pour bien dégager son trou, bien humide et bien préparé par ces longues minutes d’anulingus.
Il n’eut guère à forcer pour s’introduire, et put rentrer sa bite jusqu’au bout.
Hicham, qui était en train de sombrer dans une douce torpeur, en sortit immédiatement lorsqu’il sentit le membre d’Eric entrer en lui. Une légère douleur, comme une brûlure, mais qui passa vite, pour laisser la place à une agréable sensation de plaisir. Le jeune homme, qui avait lu pas mal à ce sujet, était tout simplement en train de découvrir le plaisir anal, et, il devait se rendre à l’évidence, il aimait ça.
Eric aussi aimait ça, lui aussi, qui avait passé une longue période plutôt passif avec les mecs, découvrait, ou redécouvrait, le plaisir qu’on pouvait prendre à enculer. A pénétrer. A posséder. Surtout un mec que l’on pensait 100% actif.
C’est ça qui lui plaisait en fait. Enculer une passive, une salope comme on dit ne l’intéressait pas du tout. Autant il trouvait les pédés efféminés et maniérés très sympas, et adorait leur compagnie, autant il n’était pas du tout attiré par eux, sauf exception.
Lui ce qui lui plaisait, c’était les actifs, virils, dominants, et rien ne lui plaisait davantage que de relever le défi de les retourner, et de les baiser.
Comme Hicham, qui, au tout début, s’était présenté à lui comme uniquement actif, et l’était resté très longtemps. Avant de basculer...
Eric se sentait bien dans Hicham, et celui-ci se sentait bien avec Eric en lui.
Les mouvements de va-et-vient de la bite d’Eric dans le cul d’Hicham étaient réguliers, tout comme les petits cris de plaisirs des deux hommes, qui gémissaient à l’unisson.
Dans ce moment-là, la communion entre eux semblait totale. Leurs corps, reliés par ce coît anal intense et sensuel, ne faisaient plus qu’un, et chacun savourait l’instant, et le moment de plaisir procuré.
Eric aurait voulu que ce moment ne s’arrête pas, mais il sentait l’excitation, et la sauce monter.
Il avait besoin de souffler un peu, sinon il aurait craché et l’instant de plaisir aurait été aussitôt terminé. Il avait envie aussi de le voir, et de jouir en le regardant.
Il se retira lentement, et Hicham, qui devait avoir la même envie, symétrique, se releva, et se mit sur le dos.
Le spectacle alors offert à lui subjugua littéralement Eric. Il le connaissait pourtant, ce spectacle et ce corps qui l’attiraient et l’excitaient au plus au point, mais il ne s’en lassait pas, et, à chaque fois, ça lui faisait le même effet.
Le visage d’Hicham, déformé par le plaisir, son torse, toujours beau et harmonieux, imberbe, musclé juste ce qu’il faut, et sa bite, dressée et offerte.
Devant ce spectacle, Eric réalisa qu’il aimait les culs, mais aussi qu’il aimait les bites, et qu’il préférait les torses aux dos…
Il aimait la bite d’Hicham, longue et surtout épaisse, le jeune homme était, comme on dit, bien membré, et ce membre plaisait beaucoup à Eric qui, pourtant, en avait connu.
Mais rarement d’aussi gros, et d’aussi bons en bouche.
La bite d’Hicham était tellement longue et épaisse qu’Eric n’arrivait pas à la mettre entièrement dans sa bouche, pourtant experte ès fellation.
Mais il aimait cette bite, et à ce moment-là il eut envie d’elle et de la sentir dans sa bouche.
Elle était toujours aussi bonne quand Eric commença à sucer, ce qui arracha à Hicham un cri de plaisir plus fort que les précédents. Comme par réflexe, il écarta les jambes et empoigna la tête d’Eric pour qu’elle colle encore davantage à sa bite et pour que son plaisir soit encore plus intense.
En un instant, comme, encore, à l’unisson, et de façon très étrange, les deux hommes basculèrent : Hicham, en mode actif, Eric en mode passif.
L’échange de regards entre les deux hommes, à cet instant, ne laissait guère de doute sur le changement de leurs envies : Hicham avait envie, à nouveau, d’être actif, et Eric d’être, pour la première fois avec lui, passif.
Passif jusqu’au bout.
Eric abandonna la fellation qu’il avait ardemment commencée et vint poser son corps sur celui d’Hicham. Il ne chercha pas à l’embrasser, mais vint poser sa tête dans le creux de son épaule et surtout, vint positionner l’entrée de son anus au niveau du gland d’Hicham.
Eric ferma les yeux, et sentit la bite d’HIcham entrer doucement en lui. Il eut l’impression de commander son cerveau qui lui-même commanda l’entrée de son anus, car il la sentait passer bien sûr, mais ne ressentit pas d’autre douleur que celle qui était associée au plaisir.
Enfin, et pour la première fois, Hicham était en lui, et le baisait.
Eric se redressa, afin que le jeune homme puisse faire faire à sa bite des mouvements de va-et-vient.
Eric les accomagnait en faisait aller son cul, empalé sur la queue d’Hicham, de haut en bas, et de bas en haut.
Avec chacune de ses mains, Hicham lui triturait les tétons, comme il aimait lui faire, ce qui accentua son plaisir.
Avec les siennes, Eric caressait le torse de son jeune amant, ce qui lui permettait d’en apprécier, une fois de plus, la douceur et la fermeté.
La position des deux amants, les yeux fermés, la bouche ouverte, leurs soupirs et leurs gémissements légers, tout cela trahissait le plaisir intense que chacun connaissait dans ces instants-là.
Ce fut Hicham qui éjacula en premier, sans se retirer, ce qui permit à Eric de sentir son sperme chaud envahir tout son fondement.
Tout en gardant les yeux fermés, le jeune homme accompagna son éjaculation de cris rauques et puissants, qui semblèrent durer une éternité, tellement ses couilles étaient pleines, et mirent un long moment à se vider.
Sans qu’il eut à se toucher, Eric, qui sentait les spasmes de la bite d’Hicham en lui, éjacula à son tour, et inonda le bas ventre du jeune homme, de toute la semence qui sortit de sa queue.
Le pied. Total. Intégral.
Les deux hommes mirent un long moment à reprendre leurs esprits, ne serait-ce qu’à retrouver une respiration normale. Ils mirent longtemps à débander aussi.
Il faut dire que tous les deux avaient rarement connu une sensation de plaisir aussi intense. Ils venaient de faire l’amour, et se sentaient bien ensemble.
Chapitre 1 - La double bascule
- Là, je crois que tu m’as complètement oublié...
Hicham avait hésité longtemps à lui envoyer ce sms.
Tous les jours il avait attendu, espéré. Un message, un signe, une proposition. Rien.
Le dernier échange remontait au matin même de son départ de l’hôtel, la fameuse nuit de son anniversaire, quand ils avaient baisé trois fois et qu’il était pour la première fois devenu passif.
- Top, la voiture a démarré. A une prochaine, biz.
- Ok, super, biz, rentre bien.
Depuis ce dernier échange, il y avait maintenant trois semaines, plus rien.
Il s’imaginait qu’Eric n’avait pas été dupe de son stratagème, de son bobard pour pouvoir rester un peu plus, et il n’imaginait pas qu’il puisse lui en vouloir.
Au contraire, se disait-il, si Eric avait bien compris, il ne pouvait qu’en être heureux, flatté du moins.
Alors pourquoi ce silence, inhabituel, sans précédent.
Surtout après une telle nuit.
Hicham devait se rendre à l’évidence : il ne supportait pas l’idée qu’Eric voit quelqu’un d’autre.
Jusque là ça ne lui faisait rien. Parfois même l’idée l’excitait, au mieux elle le laissait totalement indifférent.
Alors là, pourquoi cela avait-il changé.
Pourquoi avait-il accepté qu’il le baise, alors que jusque là il avait toujours refusé, qu’il ne l’avait jamais fait, et que l’idée le répugnait.
Pourquoi avait-il voulu rester, pourquoi avoir eu recous à ce stratagème.
Pourquoi s’être laissé baiser, et gratuitement.
Pourquoi avoir voulu remettre le couvert.
Pourquoi se laisser embrasser.
Non, ce n’est pas la bonne question : pourquoi l’embrasser, pourquoi mettre la langue, pourquoi prendre son pied... alors que jusque là ça le dégoûtait de toucher la langue qui venait de le lécher.
Pourquoi penser à lui la journée. Le soir.
Pourquoi se branler en pensant à lui. Pourquoi avoir envie de le revoir.
Pourquoi être vert à l’idée qu’il ne le rappelait pas, qu’il l’avait oublié, qu’il allait - forcément - voir quelqu’un d’autre. Payer quelqu’un d’autre.
L’idée qu’Hicham ne supportait pas - et pourtant, il ne pouvait s’empêcher de se dire que c’était la réalité - c’était qu’après l’avoir baisé Eric avait atteint son objectif, et ne s’intéressait plus à lui. Etait passé à autre chose. Ou à quelqu’un d’autre.
Or, Eric lui manquait. C’était une évidence. Ça le faisait chier, mais c’était une évidence.
Pendant des mois, des années, cette relation, tarifée et parallèle, avait rythmé sa vie.
On ne peut pas dire qu’Eric était son idéal masculin, mais il s’était attaché à lui, plus encore à leur relation. Si singulière. Sans précédent pour lui.
Il se rendait compte que, finalement, cette relation, particulière, le rassurait. Flattait, déjà, son égo, qui assumait mal cette homosexualité qui le dévorait.
Lui faisait du bien aussi. Faisait du bien à l’animal, comme dit la chanson.
Lui qui, finalement, n’était pas porté sur le sexe tant que ça (il pouvait sans problème rester quinze jours sans se vider), appréciait les plans avec Eric.
Bien sûr il y avait l’argent, et il ne crachait pas dessus. Mais pas que, il le savait.
Ce que lui faisait Eric lui faisait du bien, il suçait bien, et lui bandait dur, et jouissait à chaque fois.
Il aurait aimé le baiser et, au début, Eric le lui avait demandé ; il l’aurait fait volontiers, comme une prestation qu’un client sollicite.
Mais Eric était trop serré, il n’avait pas pu encaisser, et ils n’avaient jamais réessayé.
Eric ne le lui avait jamais redemandé, et, au contraire, ne cessait de lui parler de son fantasme véritable : le baiser.
Ce qu’il avait fini par faire, cette fameuse nuit.
Pour ensuite le jeter, comme une vieille chaussette.
Cette pensée lui fit monter les larmes. Des larmes de rage, qu’il parvint à contenir, et qu’il transforma en acte positif : ce sms de reproche, qui sonnait comme une déclaration, mêlée d’une supplique : appelle-moi, s’il te plait.
Eric lui répondit par un sms. Comme s’ils s’étaient quittés la veille :
- Hey, j’allais justement te contacter. Tu vas bien ?
- ça va... c’est pas de toi de laisser tant de temps sans nouvelles...
- Oui, désolé, le temps passe trop vite, mais ce soir je suis à l’hôtel, si ça te dit de passer...
Hicham se demanda, bien évidemment, si, sans son sms, Eric l’aurait contacté...
Il ne saura jamais… mais il n’avait pas l’envie, ni même la force, de dire non.
- ok, à quelle heure ?
Cette sobriété lui permettait d’affecter l’indifférence, alors qu’au fond de lui il n’attendait que ça...
- 21h30 ?
- ok.
- tu connais le chemin... à ce soir donc...
- à ce soir, biz, passe une bonne journée.
Hicham trouva la journée longue, il lui tardait d’être au soir, de le revoir, de savoir comment ça allait se passer, quel type de relation ils allaient avoir, surtout, s’il maîtriserait la situation ou si, comme la dernière fois, il perdrait pied.
Il ne tarda pas à être fixé.
Quand il toqua à la porte de la chambre à l’hôtel, Eric l’attendait, et il lui ouvrit, vêtu d’une simple serviette à la taille. Cela fit un tel effet sur Hicham qu’il se déshabilla à la porte, ne gardant que son caleçon et ses chaussettes. Eric referma derrière lui et les deux hommes s’enlacèrent et se roulèrent une bonne pelle.
Sans un mot.
Assez vite, il se produisit ce que redoutait Hicham : Eric prit l’ascendant sur lui. Il le plaqua contre le mur, tout en continuant à l’embrasser. Il vit que le jeune homme était chaud bouillant lorsque ses doigts s’aventurèrent vers son paquet et empoignèrent sa bite, dure et dressée, ce qui le fit gémir de plaisir.
Pour bien lui montrer comment, désormais, s’organisait leur relation, il le retourna, se mit derrière lui et amena sa bite, elle aussi dure et dressée contre ses fesses.
Eric n’avait pas d’autres sentiments pour lui qu’amicaux, mais Hicham l’attirait et l’excitait au plus haut point. C’était, et de loin, le garçon de ses relations qu’il trouvait le plus beau, le mieux foutu, le plus “ bandant ”. A ses yeux il incarnait l’idéal masculin : une belle gueule, un corps parfait, un torse imberbe et musclé, une belle et bonne bite, des fesses charnues et fermes, un caractère affirmé, tout, en lui, le séduisait, l’attirait, le faisait bander.
Summum : Hicham, qui avait incarné pendant longtemps l’actif inaccessible, lui avait permis de prendre possession de son cul, d’abord par la langue, enfin par la bite, ce qu’il avait fait avec délice.
Et il n’allait pas tarder à en profiter à nouveau.
Il enleva son peignoir de bain, et était nu en dessous. Il frotta sa bite contre les fesses d’Hicham qui, lui, avait gardé son caleçon et ses chaussettes.
Et encore si son sous-vêtement cachait entièrement ses fesses, il était lègèrement baissé à l’avant, ce qui permettait à la bite dressée de laisser dépasser le gland.
Eric tout en frottant sa bite sur ses fesses par dessus le caleçon se mit à l’embrasser dans le cou, lui lécher le lobe de l’oreille et venir poser sa langue sur ses lèvres.
Hicham, tout en se retournant légèrement, ouvrit sa bouche, et Eric y engouffra sa langue, dans un baiser sensuel et langoureux, qui dura un long moment.
Eric le prit par la main et, une fois arrivé contre le lit, le poussa légèrement pour l’y allonger, sur le ventre.
Hicham se laissait totalement faire : il s’allongea sur le lit, en écartant ses jambes pour dégager ses fesses.
Eric se mit aussi sur le lit, s’accroupit à côté de lui, et ota, enfin, le caleçon d’Hicham pour dégager son fessier, qu’il aimait et vénérait.
La vue de ce cul dénudé fit sur lui beaucoup d’effet. Il s’accroupit juste derrière, se pencha, ouvrit la bouche, et sortit la langue.
Eric se mit à le lécher goulûment, à lui bouffer le cul sans s’arrêter un instant, tellement il aimait ça et pouvait le faire de longues minutes sans se lasser. Son record : une heure, dans une chambre d’hôtel, avec un jeune étudiant qui avait partagé sa nuit.
En plus, il ne pouvait pas s’empêcher de penser qu’Hicham aimait ça. Il en doutait au début, et le jeune garçon ne cessait de prétendre le contraire, qu’il n’aimait pas ça, qu’il ne l’avait jamais fait, et se laissait faire, en gros, pour lui faire plaisir.
Or, tout en lui montrait le contraire : ses gémissements, sa façon de se dandiner du fion, et, surtout, l’amplification de son érection au fur et à mesure que l’anulingus se déroulait. Comment prétendre qu’il n’aimait pas ça... car, comme dit la chanson, “ la bandaison, papa, ... ça n’se commande pas...”.
D’ailleurs, la dernière fois à l’hôtel, le jour de l’anniversaire d’Eric, il avait, finalement, rendu les armes. Enfin admis, au fond de lui, qu’il aimait ça. Qu’il aimait se faire bouffer le cul, qu’il aimait la façon dont Eric le lui faisait, qu’il aimait l’embrasser et, comble du comble, qu’il aimait aussi se faire baiser. Tout ce qui, jusque là, le dégoûtait, lui qui au départ se pensait, se voulait hétéro, puis voulait bien des pratiques homos, mais à condition de rester l’actif, le mâle...
Ces trois semaines l’avaient fait réfléchir, et il avait dû se rendre à l’évidence : il fallait qu’il l’accepte, il était vraiment homo. Depuis toujours il avait fait semblant avec les filles, son physique avantageux, son charisme naturel, faisaient qu’elles étaient toutes à ses pieds, et il n’aurait eu que l’embarras du choix... si les filles avaient été son truc... mais son truc, il devait l’admettre, c’était les mecs. Avec qui, jusque là, il n’était qu’actif. Mais avec qui, désormais, il avait fini par devenir passif. Et surtout par aimer ça.
Dans cette chambre d’hôtel, où il était si souvent venu, Hicham se laissait aller. Il était bien, totalement nu, allongé le ventre contre le lit, les jambes écartées, les fesses relevées, le sexe dressé contre les draps.
Il se sentait bien, réalisait qu’il était totalement à la merci de cet Eric qui avait fini par le posséder, et par certains côtés, l’envoûter. Avec qui il se sentait bien, en tout cas, et en qui il avait totale confiance.
Ça faisait longtemps qu’ils se connaissaient, la première fois, il avait 19 ans, il filait sur ses 26, le temps passait, et avait permis à cette relation particulière de se consolider, de se renforcer. De se transformer aussi puisque, la dernière fois, et pour la première fois, il n’y avait pas eu de contrepartie financière. Il n’en voulait plus d’ailleurs, et serait vexé si Eric le payait à la fin de leur rapport. Il n’avait plus envie. Il ne voulait plus être un objet, une prestation, un service. Il voulait une relation nouvelle, d’égal à égal.
D’ailleurs, il n’avait pas envie de partir, il avait envie de rester, de passer la nuit avec cet homme, qui avait l’âge de sa mère (son père était plus âgé), qui était le seul désormais à connaître son secret, et à l’avoir mis à jour, et avec qui il se sentait bien.
Eric de son côté se régalait, et continuait de bouffer le cul de son jeune partenaire. Lui aussi sentait que leur relation évoluait, ce qui par certains côtés lui plaisait (le flattait...), par d’autres l’effrayait un petit peu. Il sentait qu’Hicham avait changé, s’attachait à lui, alors qu’il aurait aimé, finalement, que leur relation reste comme elle était.
Finalement, cette fameuse soirée de son anniversaire, trois semaines plus tôt, avait été comme une bascule dans leur relation, jusque là tarifée, donc protégée, et suffisamment distante. Là, du fait d’Hicham, il n’y avait plus de protection, plus de barrière, au fond de lui, il ne voulait pas de ça, leur relation jusque là lui convenait parfaitement, et il n’avait pas envie d’en changer. Il aurait même voulu continuer à le payer, mais il sentait que, pour le fier Hicham, il n’en était plus question.
Eric préféra arrêter de penser à tout ça, et se concentra à nouveau sur son sujet ; le cul d’Hicham, là, devant lui, comme offert, et dont il fallait continuer à s’occuper.
L’envie lui revint instantanément, Hicham avait un trop beau cul, et il aimait trop ça, les culs de mecs en général, celui de ce jeune gars en particulier.
Eric bandait alors à fond, il écarta les fesses d’Hicham pour bien dégager son trou, bien humide et bien préparé par ces longues minutes d’anulingus.
Il n’eut guère à forcer pour s’introduire, et put rentrer sa bite jusqu’au bout.
Hicham, qui était en train de sombrer dans une douce torpeur, en sortit immédiatement lorsqu’il sentit le membre d’Eric entrer en lui. Une légère douleur, comme une brûlure, mais qui passa vite, pour laisser la place à une agréable sensation de plaisir. Le jeune homme, qui avait lu pas mal à ce sujet, était tout simplement en train de découvrir le plaisir anal, et, il devait se rendre à l’évidence, il aimait ça.
Eric aussi aimait ça, lui aussi, qui avait passé une longue période plutôt passif avec les mecs, découvrait, ou redécouvrait, le plaisir qu’on pouvait prendre à enculer. A pénétrer. A posséder. Surtout un mec que l’on pensait 100% actif.
C’est ça qui lui plaisait en fait. Enculer une passive, une salope comme on dit ne l’intéressait pas du tout. Autant il trouvait les pédés efféminés et maniérés très sympas, et adorait leur compagnie, autant il n’était pas du tout attiré par eux, sauf exception.
Lui ce qui lui plaisait, c’était les actifs, virils, dominants, et rien ne lui plaisait davantage que de relever le défi de les retourner, et de les baiser.
Comme Hicham, qui, au tout début, s’était présenté à lui comme uniquement actif, et l’était resté très longtemps. Avant de basculer...
Eric se sentait bien dans Hicham, et celui-ci se sentait bien avec Eric en lui.
Les mouvements de va-et-vient de la bite d’Eric dans le cul d’Hicham étaient réguliers, tout comme les petits cris de plaisirs des deux hommes, qui gémissaient à l’unisson.
Dans ce moment-là, la communion entre eux semblait totale. Leurs corps, reliés par ce coît anal intense et sensuel, ne faisaient plus qu’un, et chacun savourait l’instant, et le moment de plaisir procuré.
Eric aurait voulu que ce moment ne s’arrête pas, mais il sentait l’excitation, et la sauce monter.
Il avait besoin de souffler un peu, sinon il aurait craché et l’instant de plaisir aurait été aussitôt terminé. Il avait envie aussi de le voir, et de jouir en le regardant.
Il se retira lentement, et Hicham, qui devait avoir la même envie, symétrique, se releva, et se mit sur le dos.
Le spectacle alors offert à lui subjugua littéralement Eric. Il le connaissait pourtant, ce spectacle et ce corps qui l’attiraient et l’excitaient au plus au point, mais il ne s’en lassait pas, et, à chaque fois, ça lui faisait le même effet.
Le visage d’Hicham, déformé par le plaisir, son torse, toujours beau et harmonieux, imberbe, musclé juste ce qu’il faut, et sa bite, dressée et offerte.
Devant ce spectacle, Eric réalisa qu’il aimait les culs, mais aussi qu’il aimait les bites, et qu’il préférait les torses aux dos…
Il aimait la bite d’Hicham, longue et surtout épaisse, le jeune homme était, comme on dit, bien membré, et ce membre plaisait beaucoup à Eric qui, pourtant, en avait connu.
Mais rarement d’aussi gros, et d’aussi bons en bouche.
La bite d’Hicham était tellement longue et épaisse qu’Eric n’arrivait pas à la mettre entièrement dans sa bouche, pourtant experte ès fellation.
Mais il aimait cette bite, et à ce moment-là il eut envie d’elle et de la sentir dans sa bouche.
Elle était toujours aussi bonne quand Eric commença à sucer, ce qui arracha à Hicham un cri de plaisir plus fort que les précédents. Comme par réflexe, il écarta les jambes et empoigna la tête d’Eric pour qu’elle colle encore davantage à sa bite et pour que son plaisir soit encore plus intense.
En un instant, comme, encore, à l’unisson, et de façon très étrange, les deux hommes basculèrent : Hicham, en mode actif, Eric en mode passif.
L’échange de regards entre les deux hommes, à cet instant, ne laissait guère de doute sur le changement de leurs envies : Hicham avait envie, à nouveau, d’être actif, et Eric d’être, pour la première fois avec lui, passif.
Passif jusqu’au bout.
Eric abandonna la fellation qu’il avait ardemment commencée et vint poser son corps sur celui d’Hicham. Il ne chercha pas à l’embrasser, mais vint poser sa tête dans le creux de son épaule et surtout, vint positionner l’entrée de son anus au niveau du gland d’Hicham.
Eric ferma les yeux, et sentit la bite d’HIcham entrer doucement en lui. Il eut l’impression de commander son cerveau qui lui-même commanda l’entrée de son anus, car il la sentait passer bien sûr, mais ne ressentit pas d’autre douleur que celle qui était associée au plaisir.
Enfin, et pour la première fois, Hicham était en lui, et le baisait.
Eric se redressa, afin que le jeune homme puisse faire faire à sa bite des mouvements de va-et-vient.
Eric les accomagnait en faisait aller son cul, empalé sur la queue d’Hicham, de haut en bas, et de bas en haut.
Avec chacune de ses mains, Hicham lui triturait les tétons, comme il aimait lui faire, ce qui accentua son plaisir.
Avec les siennes, Eric caressait le torse de son jeune amant, ce qui lui permettait d’en apprécier, une fois de plus, la douceur et la fermeté.
La position des deux amants, les yeux fermés, la bouche ouverte, leurs soupirs et leurs gémissements légers, tout cela trahissait le plaisir intense que chacun connaissait dans ces instants-là.
Ce fut Hicham qui éjacula en premier, sans se retirer, ce qui permit à Eric de sentir son sperme chaud envahir tout son fondement.
Tout en gardant les yeux fermés, le jeune homme accompagna son éjaculation de cris rauques et puissants, qui semblèrent durer une éternité, tellement ses couilles étaient pleines, et mirent un long moment à se vider.
Sans qu’il eut à se toucher, Eric, qui sentait les spasmes de la bite d’Hicham en lui, éjacula à son tour, et inonda le bas ventre du jeune homme, de toute la semence qui sortit de sa queue.
Le pied. Total. Intégral.
Les deux hommes mirent un long moment à reprendre leurs esprits, ne serait-ce qu’à retrouver une respiration normale. Ils mirent longtemps à débander aussi.
Il faut dire que tous les deux avaient rarement connu une sensation de plaisir aussi intense. Ils venaient de faire l’amour, et se sentaient bien ensemble.
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