C'est meilleur à deux
Récit érotique écrit par Caramel35 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-03-2021 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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C'est meilleur à deux
C'est meilleur à deux ( Premières fois 4)
C'est le cul bien graissé que je quitte le parking du restaurant, ou plutôt le petit bois attenant.
Je viens de vivre un des beaux moments de mon existence: mon dépucelage.
L'artisan qui vient de m'emboîter dans sa camionnette, ravi du moment qu'il a passé avec moi, klaxonne et me lève la main en partant. Moi aussi, je suis heureux, émerveillé par le plaisir qu'il m'a donné en me niquant. Ce mec chaud et vicieux qui m'a fait découvrir un merveilleux moment de sexualité entre hommes.
Je marche vers le petit logement que mon patron m'a trouvé, le temps que durera mon petit boulot d'été. Je sens mon cul gluant et humide, sûrement par le sperme qui en sort, et je n'arrive pas à "serrer des fesses" comme on dit.
A 18 ans, on n'a pas tout vécu et aujourd'hui, en quelques heures, je découvre la vie, une vie sexuelle que j'ai tant fantasmé.
Le militaire qui m'a dépucelé juste avant que je croise cet artisan m'a complètement dilaté la rondelle: j'espère que ça va passer. Avec son sexe d'un assez bon gabarit, je ne pensais pas qu'il m'aurait sodomisé…mais si, il avait trop envie et moi aussi. Finalement, mon corps, je veux dire mon cul s'est adapté.
Quelle dimension, je n'en sais rien. Je sais simplement que l'artisan, avec son sexe plus "normal" a réussi à me procurer des sensations inouïes.
Cette découverte a été la surprise de la journée; moi qui pensait, qui avait vu et lu qu'il en fallait une grosse et longue pour prendre son pied; que nenni.
Ces deux là, le militaire et l'artisan, m'ont largué leur semence au fond du cul. Ils ne m'ont pas loupé.
L'après midi se passe tranquillement. Je passe plusieurs fois la main à mon petit trou pour le masser tellement je le sens comme endolori par ce qu'il vient de vivre, après cette inauguration merveilleuse.
Je veux qu'il reste souple. J'ai vraiment pris trop de plaisir à me faire enculer. Savoir que plein d'hommes pourront maintenant aller se soulager dans mon cul m'excite au plus haut point.
Dès ce soir l'artisan doit revenir et je compte bien qu'il me fourre encore. Rien que de l'imaginer à me niquer, je bande et j'ai l'impression que mon trou se relâche et mouille. J'espère qu'il me laissera lui sucer la queue; ça aussi, j'en ai trop envie.
Ce matin, le routier que j'ai sucé en avait une courte mais super épaisse. Je ne suis pas resté sur ma faim vu qu'il m'a gavé de son foutre gras et abondant. Il ne m'a pas laissé le choix et je ne regrette pas du tout. Ce que je veux dire c'est que la tige de l'artisan étant de la même taille que la mienne, je pense qu'avec lui je n'aurai pas des hauts le cœur en ayant la bouche trop pleine.
Pourquoi cet artisan me donne des envies plus que les autres, je ne sais pas l'expliquer. Il m'a donné cette liberté du plaisir plus que les deux autres qui voulaient simplement se soulager. Avec lui, j'ai senti qu'il voulait prendre son pied, bien sûr, mais qu'il tenait à ce que, moi aussi, je frétille de bonheur.
C'est dans cet état d'excitation que je me prépare pour cet fin d'après midi. Les heures me paraissent interminables tant j'ai envie de le retrouver.
Pas question qu'il vienne chez moi. Je ne connais pas les voisins et j'ai peur qu'ils voient, qu'ils écoutent, qu'ils entendent des bruits et qu'ils comprennent que je me fait sauter.
Loïc, c'est le prénom de l'artisan, doit me retrouver sur le parking, au même endroit que ce midi.
C'est même un peu en avance qu'il arrive et vient se garer le plus normalement possible. Il ne cherche pas à venir chez moi, il doit sans doute en deviner les raisons.
Les premières relations ne sont pas forcément faciles. Si c'était un copain de mon âge, ça changerait tout. J'admet que dans ma tête, tout n'est pas bien rangé… D'un côté je flippe et de l'autre je suis trop excité, prêt à faire presque n'importe quoi pour assouvir mes pulsions.
Je le rejoins dans son utilitaire et monte par la porte latérale, qu'il referme aussitôt, comme ce midi Notre enlacement est immédiat et nos étreintes chaudes au quart de tour. Lui aussi attendait ce moment avec impatience et envie.
Collé contre lui, je sens sa bite raide tellement il se frotte à moi et je suis heureux de son désir.
Il me prend la main et me fait tâter son entrejambe. Il sait qu'il est en terrain conquis, qu'il va me sauter, me baiser, me niquer à son aise.
Nous n'échangeons aucune parole, quel besoin puisque nous nous comprenons d'instinct.
Sa langue fouille ma bouche pendant qu'il me tripote le corps et surtout mes fesses. Tout en moi lui plait et je le sens dingue, dépassé par sa furieuse envie de sexe. Il m'a bien dit ce midi qu'il adore baiser des petits jeunes. Il réalise avec moi son fantasme et y va franco.
Sûr de lui, il se met à l'aise et se fout à poil puis sans attendre, il m'appuie sur les épaules, me fait comprendre d'aller lui sucer la bite.
Pas besoin de me prier, c'est comme un cadeau pour moi. Elle est magnifique, raide et dure, la taille idéale pour ma bouche, le gland luisant et épanoui. Sa tige est presque à la verticale et je dois tirer dessus pour la gober.
Une odeur de sexe et de mâle me chatouille les narines, tellement agréable, tellement enivrante, j'adore. A peine mes lèvres refermées sur son abricot qu'il m'appuie, me presse la tête et je me retrouve le nez dans son pubis, les lèvres sur ses couilles. Pour un peu, j'allais jouir dans mon boxer tant je kiffe le moment et adore qu'il me soumette.
D'un coup de reins il s'assure de me la loger en totalité dans la bouche et constate que je ne bouge pas, trop ravi de sucer, d'être obligé de sucer une bite d'homme.
Il a dû faire le coup à beaucoup de jeunes mecs et ne se soucie pas que je débute, mais alors pas du tout.
Satisfait de son autorité, il relâche la pression…nos plaisirs se rejoignent. Je savoure sa hampe, salive son gland, caresse ses couilles. Le passage de ses mains sur ma tête, dans mes cheveux, je comprends qu'il apprécie.
Je l'entends geindre de ce plaisir et sortir tantôt quelques mots obscènes, tantôt des mots flatteurs… Son sexe me va à ravir. J'ai tant rêvé de sucer de la bite…Il me laisse aller à ma guise et prendre mon temps. Je m'invente de nouvelles lèches, de nouvelles papouilles sur ses couilles puis je retourne suçoter son abricot, enrouler ma langue dessus.
Il comprend que j'y prends du plaisir. Ce matin, quand le routier avec sa queue épaisse me remplissait la bouche tant elle était grosse, forçait et m'étouffait presque, je n'avais pas de marge de manœuvre. Là, c'est différent, j'adore.
Ce que cet artisan, Loïc, n'a pas réclamé ce midi, il l'obtient ce soir, sans me forcer.
Cela fait un petit moment qu'il me laisse savourer sa tige quand, sans doute trop excité, son corps se contracte, ses jambes se tendent pendant que ses mains se remettent en appui derrière ma nuque.
Je ne suis nullement inquiet, je comprends ce qui va arriver. Lui aussi veut m'imposer une complète, gavage compris… j'ai vraiment envie, je veux qu'il me crache tout son sperme dans la bouche. J'ai bien aimé ce midi lorsque le routier m'a largué son foutre en bouche, sentir cette sève gluante s'étaler sur ma langue. Et il en avait plein les couilles, le gros routier…
J'accélère mes succions, lui masse les couilles…il vient, il vient…gueule, se contracte…un liquide iodé gicle dans ma bouche et régale mes papilles…quel bonheur! Il ne m'a pas dit de me retirer car c'est bien son but de me gicler dans la bouche, de me faire apprécier son jus de mâle. Après tout, ce midi, il m'a sucé et a tout avalé…Ce mec est un sacré queutard.
Quand il a tout envoyé, la bouche engluée, je me dégage pour regarder son gland qui a déchargé tout son jus. Une ultime goutte blanche perle sur le méat et je m'empresse de la sucer avant d'avaler toute ma récolte, tel un trophée. Ce n'est pas tout à fait le même goût que le sperme du routier, celui-ci me parait plus sucré, moins fort en bouche, excellent.
C'est idiot mais j'embrasse sa queue, je lui fait des petits bisous, ravi du moment que je viens de vivre. De plus, j'ai moins mal à la mâchoire, l'habitude qui arrive, la grosseur, vas savoir…
Loïc est pleinement satisfait, même plus que ça, je dirais…enchanté. Il me serre contre lui, me tripote encore, me roule une pelle baveuse. Il tâte mon sexe et constate que je bande à m'en faire mal.
" Dis donc, t'as pris ton pied. Il est bon, mon sperme, hein?
" Oui, j'avais trop envie.
" J'ai vu ça. Tu vas en régaler des mecs, mon salaud, à sucer comme ça.
" T'avais envie, toi aussi.
" Oui. J'ai surtout envie de te niquer. Fout toi à poil. Tu vas voir, tu vas pas regretter.
Et me voilà quelques instant plus tard complètement à poil au milieu de la camionnette, parmi tout le bordel et l'outillage à droite et à gauche. Il a tout prévu et étale une couverture ou l'on peut s'allonger. Bon, ce n'est pas large et on sera plutôt l'un sur l'autre. Je ne lui fais pas de commentaire, c'est étroit bien sûr mais tout aussi pratique que d'aller à mon petit appartement ou je me serais senti moins à l'aise.
Le salaud, je viens de le sucer et de le faire jouir mais il bande encore ou il rebande déjà, ce qui revient au même résultat.
Il me tripote encore, le vice est en lui, se colle à moi, se frotte contre mon corps, branle ma queue et caresse mes couilles, fier de son effet et du désir qu'il me donne. Ses mains dures et calleuses, heureusement qu'il n'insiste pas, il m'aurait fait jouir.
Il me fait me retourner pour me passer sa queue raide entre mes fesses. Je me cambre et m'adapte au mieux; j'ai trop envie qu'il m'encule.
Par provocation, il passe et repasse son sexe dur sur ma raie, augmentant à chaque fois mon désir puis, parce que ça doit être un pro de la baise dans son camion, il s'empare d'un tube posé à proximité sur une étagère et me barbouille le petit trou.
Je suis prêt, complètement chaud pour qu'il m'embroche et me prête au rut comme la biche en pleine chaleur attend la verge raide du cerf.
Un miaulement de petit chat m'échappe lorsque son gland ouvre ma fleur. Il ressort puis recommence, pousse un peu plus loin, me faisant découvrir un effet magique puis, parce qu'il sent la porte suffisamment ouverte, il s'introduit vigoureusement et m'encule jusqu'aux couilles. Telle une pute ravie, je couine d'aise et me tortille pour mieux me faire enquiller son mât.
Lui aussi a adoré le moment et se régale d'enculer un petit jeune. Il me saisit par les hanches et me pilonne l'arrière train sans s'occuper de mes semblants de couinements, tout à son plaisir. L'utilitaire tangue et quelques bricoles tombent des étagères mais il n'en a cure, il me lime tel un étalon, à fond. Je m'accroche comme je peux. Le bruit des aller retour de sa tige dans mon fion est comme un clapotis en accéléré, merveilleux. Il a une endurance, ce mec, j'adore.
Lorsqu'il décide de changer de position, je m'exécute, trop content qu'il veuille me baiser encore et encore.
Quelques instants plus tard, je suis sur le ventre, allongé sur sa couverture, un sac d'enduit ou de plâtre sous le ventre pour me rehausser le cul. Loïc vient me couvrir et enchâsse son piston en moi sans la moindre difficulté tellement je suis en rut.
De tout son poids sur moi, il me fourre de sa bite raide pendant qu'il bave d'excitation dans mes oreilles et se réjouit de mon corps qui se tend pour mieux recevoir ses coups de boutoir.
Nous ne faisons plus qu'un, les va et vient sont merveilleux, je le veux en moi, il me possède et j'adore être à lui de cette façon. Je n'entends même plus ses paroles ou il se réjouit de me baiser…et me traite de n'importe quoi…La chaleur de son corps sur moi, sa bite dans mon cul, son souffle chaud dans mon cou…HUMMM…j'ai tant fantasmé ce genre de moment……Tout mon corps se détend sous l'effet de ce bonheur exquis, son bambou qui me frotte la prostate et me branle de l'intérieur, je perds pied.
Stupéfait de sentir mon sperme se vider de mes couilles douloureuses, de gicler, de jouir en pleine copulation sans maitriser le moment, je découvre l'orgasme anal, le plaisir absolu, l'offrande de mon corps à cet homme, le relâchement complet.
Il a senti et entendu avec mes cris de jouissance que j'ai vacillé sous ses coups de bite et poursuit la cadence. Je reçois une flopée d'insultes grasses et vulgaires qui doivent sans doute être du plus bel effet pour sa libido et je l'accepte volontiers. Il me défonce le cul pour se finir, décharger en moi et je me régale de sa performance.
Exténué, libéré, en sueur, il se bloque et se dégage d'un grand souffle d'extase pendant qu'il m'ensemence du sperme qui lui restait dans les couilles…Quel étalon!
Il se retire, satisfait de son action et regarde mon cul, écarte mes petites fesses pour mieux voir mon anus défloré du jour qui suinte sans doute sa semence. Je découvre un homme vicieux, fier de baiser du "jeune" et de leur juter dans le cul.
Il rigole de constater que j'ai dégorgé et laissé mon jus sur sa couverture, la preuve de sa réussite et du plaisir que j'ai pris à me faire enculer.
Nous sommes encore dans l'utilitaire lorsqu'une voiture se gare à proximité. Loïc, nullement inquiet, ouvre la porte latérale:
" Qu'est ce que t'as foutu? Je pensais que tu viendrais pas.
" J'étais avec ma meuf au téléphone.
Sans me demander mon avis, il fait monter le mec dans la camionnette et referme aussitôt la porte coulissante.
" Je viens de le baiser. Tu peux y aller, il a le cul bien ouvert.
Coincé entre ces deux hommes, je n'ose pas répondre et ne sais pas trop quoi dire. Le mec, plus jeune que Loïc, me passe direct la main au cul et semble assez autoritaire. Il ne s'embarrasse pas de formalités, déboucle son ceinturon et sort sa queue.
" Suce moi !
Comme une évidence, obéissant et passif, je me met à genoux et commence ma fellation. La tige est assez conséquente mais sans être épaisse comme celle du chauffeur routier que j'ai sucé ce midi. Elle est plus longue que celle de Loïc avec plus de poils autour et aussi une belle paire de couilles.
Lui aussi se sent obligé de me bourrer la gueule avec sa queue qui durci rapidement. Le gland maintenant bien décalotté, humm, c'est pas de refus…
Les deux artisans tiennent des propos gras et vulgaires et sont ravis. Loïc s'est collé contre nous pour mieux me regarder sucer et bave d'excitation lorsque son collègue me l'enfourne le plus loin possible. Le mec semblait pressé en arrivant et je pense qu'il ne va pas tarder à se vider s'il veut rentrer chez lui pas trop tard.
" Lève toi et tourne toi! Fais voir ton cul!
Voilà le moment arriver, le meilleur pour un jeune pédé comme moi qui vient de découvrir le sexe.
Sans trop de délicatesse, il m'introduit un doigt dans le cul pour vérifier mon état d'acceptation puis saisit sa queue raide et positionne son gland sur mon œillet.
Heureusement que je viens de me faire enculer et qu'il reste du sperme pour me lubrifier; l'introduction est virile. Quand il sent son gland dans l'ouverture, il m'enfile tel un cerf…jusqu'à la garde, les couilles en butée.
Je pousse un cri de jeunot qui se fait déboîter, ce qui les fait rire et les rassure sur leur virilité de mâles.
" Ah Putain, je crois qu'il était encore un peu puceau. Loïc, avec ta petite bite, tu l'as pas trop élargi.
" T'inquiètes, il a bien aimé. Il tendait bien son cul avec moi avant que t'arrives. Ce midi, il s'est fait fourrer par un militaire quand je suis arrivé sur le parking. Je lui en ai mis une deuxième tournée.
"Ah, la salope. Moi aussi, je vais lui en donner.
Il est pas loin de la vérité pour mon dépucelage, s'il savait…
Pendant que je reprends mes esprits, il me défonce, me fait me pencher, m'appuie sur le dos pour m'obliger à présenter mon cul au mieux. Je couine de me faire baiser ainsi et sens qu'il me ravage le trou avec sa pine.
Loïc bande encore, ah le salaud. Un sacré vicelard, celui là. Il se penche pour me sucer mais ce n'est pas pratique vu le bordel dans le camion. Il n'insiste pas et opte pour une autre prestation tout aussi excitante, se faire sucer.
Son collègue artisan, plein de forces lui aussi, me tient fermement pour me sodomiser. Je m'accroche comme je peux aux rangements sur les côtés. Je n'arrive pas trop à sucer Loïc tellement je me fait secouer…ça va, il a déjà donné et il prend trop son pied à me voir me faire emmancher. Il faut dire que son copain a une bite un peu plus longue et qu'il sait s'en servir.
Pendant plusieurs minutes j'ai droit à un enculage en règle. Ca ne le gêne pas de me baiser devant son collègue. Au contraire, j'ai l'impression que ça l'excite ou plutôt, qu'ils s'excitent tous les deux.
" Il va me faire jouir, ce p'tit con…" Tu peux y aller. Moi, je lui ai tout mis, le militaire aussi.
" Ah Putain…
Il se déchaîne, me baise virilement, arrête de parler, des gouttes s'échappent encore de ma queue, il gueule comme un enragé, se bloque, décharge toute sa semence dans mes boyaux…
Il finit par se retirer, me pète une claque sur une fesse pour sa satisfaction, remonte son caleçon pour ramasser son matériel en même temps qu'il rigole avec son collègue. Il vient d'effectuer une saillie et le tour est joué. Il se dépêche, il est à la bourre.
Je suis ravi de m'être fait baiser par ce mec mais pas tout à fait pour le reste. Pas de bécots ni de caresses sur le corps alors que j'ai vraiment trouvé ça bon avec Loïc…Bon, belle bite et bonne sodomie quand même.
Je remet mes fringues moi aussi…j'ai un peu mal et je sens mon cul déglingué mais j'étais venu pour ça. A vrai dire, il y aurait deux autres mecs à suivre, je crois que je tendrais mon cul tellement j'ai trouvé ça bon.
Demain et les jours suivants, je ne pourrais pas m'offrir ce genre de plaisirs, je débute mon petit boulot d'été et eux seront peut être sur d'autres chantiers…Ce sont les aléas de la vie, le hasard des rencontres….
Vous aussi, vous pouvez monter dans la camionnette. Prévoyez le gel et les préservatifs, c'est la normalité maintenant et prenez du plaisir.
Voilà, vous êtes prévenus. Et que ça gicle…
caramel35@orange.frMerci pour vos messages
C'est le cul bien graissé que je quitte le parking du restaurant, ou plutôt le petit bois attenant.
Je viens de vivre un des beaux moments de mon existence: mon dépucelage.
L'artisan qui vient de m'emboîter dans sa camionnette, ravi du moment qu'il a passé avec moi, klaxonne et me lève la main en partant. Moi aussi, je suis heureux, émerveillé par le plaisir qu'il m'a donné en me niquant. Ce mec chaud et vicieux qui m'a fait découvrir un merveilleux moment de sexualité entre hommes.
Je marche vers le petit logement que mon patron m'a trouvé, le temps que durera mon petit boulot d'été. Je sens mon cul gluant et humide, sûrement par le sperme qui en sort, et je n'arrive pas à "serrer des fesses" comme on dit.
A 18 ans, on n'a pas tout vécu et aujourd'hui, en quelques heures, je découvre la vie, une vie sexuelle que j'ai tant fantasmé.
Le militaire qui m'a dépucelé juste avant que je croise cet artisan m'a complètement dilaté la rondelle: j'espère que ça va passer. Avec son sexe d'un assez bon gabarit, je ne pensais pas qu'il m'aurait sodomisé…mais si, il avait trop envie et moi aussi. Finalement, mon corps, je veux dire mon cul s'est adapté.
Quelle dimension, je n'en sais rien. Je sais simplement que l'artisan, avec son sexe plus "normal" a réussi à me procurer des sensations inouïes.
Cette découverte a été la surprise de la journée; moi qui pensait, qui avait vu et lu qu'il en fallait une grosse et longue pour prendre son pied; que nenni.
Ces deux là, le militaire et l'artisan, m'ont largué leur semence au fond du cul. Ils ne m'ont pas loupé.
L'après midi se passe tranquillement. Je passe plusieurs fois la main à mon petit trou pour le masser tellement je le sens comme endolori par ce qu'il vient de vivre, après cette inauguration merveilleuse.
Je veux qu'il reste souple. J'ai vraiment pris trop de plaisir à me faire enculer. Savoir que plein d'hommes pourront maintenant aller se soulager dans mon cul m'excite au plus haut point.
Dès ce soir l'artisan doit revenir et je compte bien qu'il me fourre encore. Rien que de l'imaginer à me niquer, je bande et j'ai l'impression que mon trou se relâche et mouille. J'espère qu'il me laissera lui sucer la queue; ça aussi, j'en ai trop envie.
Ce matin, le routier que j'ai sucé en avait une courte mais super épaisse. Je ne suis pas resté sur ma faim vu qu'il m'a gavé de son foutre gras et abondant. Il ne m'a pas laissé le choix et je ne regrette pas du tout. Ce que je veux dire c'est que la tige de l'artisan étant de la même taille que la mienne, je pense qu'avec lui je n'aurai pas des hauts le cœur en ayant la bouche trop pleine.
Pourquoi cet artisan me donne des envies plus que les autres, je ne sais pas l'expliquer. Il m'a donné cette liberté du plaisir plus que les deux autres qui voulaient simplement se soulager. Avec lui, j'ai senti qu'il voulait prendre son pied, bien sûr, mais qu'il tenait à ce que, moi aussi, je frétille de bonheur.
C'est dans cet état d'excitation que je me prépare pour cet fin d'après midi. Les heures me paraissent interminables tant j'ai envie de le retrouver.
Pas question qu'il vienne chez moi. Je ne connais pas les voisins et j'ai peur qu'ils voient, qu'ils écoutent, qu'ils entendent des bruits et qu'ils comprennent que je me fait sauter.
Loïc, c'est le prénom de l'artisan, doit me retrouver sur le parking, au même endroit que ce midi.
C'est même un peu en avance qu'il arrive et vient se garer le plus normalement possible. Il ne cherche pas à venir chez moi, il doit sans doute en deviner les raisons.
Les premières relations ne sont pas forcément faciles. Si c'était un copain de mon âge, ça changerait tout. J'admet que dans ma tête, tout n'est pas bien rangé… D'un côté je flippe et de l'autre je suis trop excité, prêt à faire presque n'importe quoi pour assouvir mes pulsions.
Je le rejoins dans son utilitaire et monte par la porte latérale, qu'il referme aussitôt, comme ce midi Notre enlacement est immédiat et nos étreintes chaudes au quart de tour. Lui aussi attendait ce moment avec impatience et envie.
Collé contre lui, je sens sa bite raide tellement il se frotte à moi et je suis heureux de son désir.
Il me prend la main et me fait tâter son entrejambe. Il sait qu'il est en terrain conquis, qu'il va me sauter, me baiser, me niquer à son aise.
Nous n'échangeons aucune parole, quel besoin puisque nous nous comprenons d'instinct.
Sa langue fouille ma bouche pendant qu'il me tripote le corps et surtout mes fesses. Tout en moi lui plait et je le sens dingue, dépassé par sa furieuse envie de sexe. Il m'a bien dit ce midi qu'il adore baiser des petits jeunes. Il réalise avec moi son fantasme et y va franco.
Sûr de lui, il se met à l'aise et se fout à poil puis sans attendre, il m'appuie sur les épaules, me fait comprendre d'aller lui sucer la bite.
Pas besoin de me prier, c'est comme un cadeau pour moi. Elle est magnifique, raide et dure, la taille idéale pour ma bouche, le gland luisant et épanoui. Sa tige est presque à la verticale et je dois tirer dessus pour la gober.
Une odeur de sexe et de mâle me chatouille les narines, tellement agréable, tellement enivrante, j'adore. A peine mes lèvres refermées sur son abricot qu'il m'appuie, me presse la tête et je me retrouve le nez dans son pubis, les lèvres sur ses couilles. Pour un peu, j'allais jouir dans mon boxer tant je kiffe le moment et adore qu'il me soumette.
D'un coup de reins il s'assure de me la loger en totalité dans la bouche et constate que je ne bouge pas, trop ravi de sucer, d'être obligé de sucer une bite d'homme.
Il a dû faire le coup à beaucoup de jeunes mecs et ne se soucie pas que je débute, mais alors pas du tout.
Satisfait de son autorité, il relâche la pression…nos plaisirs se rejoignent. Je savoure sa hampe, salive son gland, caresse ses couilles. Le passage de ses mains sur ma tête, dans mes cheveux, je comprends qu'il apprécie.
Je l'entends geindre de ce plaisir et sortir tantôt quelques mots obscènes, tantôt des mots flatteurs… Son sexe me va à ravir. J'ai tant rêvé de sucer de la bite…Il me laisse aller à ma guise et prendre mon temps. Je m'invente de nouvelles lèches, de nouvelles papouilles sur ses couilles puis je retourne suçoter son abricot, enrouler ma langue dessus.
Il comprend que j'y prends du plaisir. Ce matin, quand le routier avec sa queue épaisse me remplissait la bouche tant elle était grosse, forçait et m'étouffait presque, je n'avais pas de marge de manœuvre. Là, c'est différent, j'adore.
Ce que cet artisan, Loïc, n'a pas réclamé ce midi, il l'obtient ce soir, sans me forcer.
Cela fait un petit moment qu'il me laisse savourer sa tige quand, sans doute trop excité, son corps se contracte, ses jambes se tendent pendant que ses mains se remettent en appui derrière ma nuque.
Je ne suis nullement inquiet, je comprends ce qui va arriver. Lui aussi veut m'imposer une complète, gavage compris… j'ai vraiment envie, je veux qu'il me crache tout son sperme dans la bouche. J'ai bien aimé ce midi lorsque le routier m'a largué son foutre en bouche, sentir cette sève gluante s'étaler sur ma langue. Et il en avait plein les couilles, le gros routier…
J'accélère mes succions, lui masse les couilles…il vient, il vient…gueule, se contracte…un liquide iodé gicle dans ma bouche et régale mes papilles…quel bonheur! Il ne m'a pas dit de me retirer car c'est bien son but de me gicler dans la bouche, de me faire apprécier son jus de mâle. Après tout, ce midi, il m'a sucé et a tout avalé…Ce mec est un sacré queutard.
Quand il a tout envoyé, la bouche engluée, je me dégage pour regarder son gland qui a déchargé tout son jus. Une ultime goutte blanche perle sur le méat et je m'empresse de la sucer avant d'avaler toute ma récolte, tel un trophée. Ce n'est pas tout à fait le même goût que le sperme du routier, celui-ci me parait plus sucré, moins fort en bouche, excellent.
C'est idiot mais j'embrasse sa queue, je lui fait des petits bisous, ravi du moment que je viens de vivre. De plus, j'ai moins mal à la mâchoire, l'habitude qui arrive, la grosseur, vas savoir…
Loïc est pleinement satisfait, même plus que ça, je dirais…enchanté. Il me serre contre lui, me tripote encore, me roule une pelle baveuse. Il tâte mon sexe et constate que je bande à m'en faire mal.
" Dis donc, t'as pris ton pied. Il est bon, mon sperme, hein?
" Oui, j'avais trop envie.
" J'ai vu ça. Tu vas en régaler des mecs, mon salaud, à sucer comme ça.
" T'avais envie, toi aussi.
" Oui. J'ai surtout envie de te niquer. Fout toi à poil. Tu vas voir, tu vas pas regretter.
Et me voilà quelques instant plus tard complètement à poil au milieu de la camionnette, parmi tout le bordel et l'outillage à droite et à gauche. Il a tout prévu et étale une couverture ou l'on peut s'allonger. Bon, ce n'est pas large et on sera plutôt l'un sur l'autre. Je ne lui fais pas de commentaire, c'est étroit bien sûr mais tout aussi pratique que d'aller à mon petit appartement ou je me serais senti moins à l'aise.
Le salaud, je viens de le sucer et de le faire jouir mais il bande encore ou il rebande déjà, ce qui revient au même résultat.
Il me tripote encore, le vice est en lui, se colle à moi, se frotte contre mon corps, branle ma queue et caresse mes couilles, fier de son effet et du désir qu'il me donne. Ses mains dures et calleuses, heureusement qu'il n'insiste pas, il m'aurait fait jouir.
Il me fait me retourner pour me passer sa queue raide entre mes fesses. Je me cambre et m'adapte au mieux; j'ai trop envie qu'il m'encule.
Par provocation, il passe et repasse son sexe dur sur ma raie, augmentant à chaque fois mon désir puis, parce que ça doit être un pro de la baise dans son camion, il s'empare d'un tube posé à proximité sur une étagère et me barbouille le petit trou.
Je suis prêt, complètement chaud pour qu'il m'embroche et me prête au rut comme la biche en pleine chaleur attend la verge raide du cerf.
Un miaulement de petit chat m'échappe lorsque son gland ouvre ma fleur. Il ressort puis recommence, pousse un peu plus loin, me faisant découvrir un effet magique puis, parce qu'il sent la porte suffisamment ouverte, il s'introduit vigoureusement et m'encule jusqu'aux couilles. Telle une pute ravie, je couine d'aise et me tortille pour mieux me faire enquiller son mât.
Lui aussi a adoré le moment et se régale d'enculer un petit jeune. Il me saisit par les hanches et me pilonne l'arrière train sans s'occuper de mes semblants de couinements, tout à son plaisir. L'utilitaire tangue et quelques bricoles tombent des étagères mais il n'en a cure, il me lime tel un étalon, à fond. Je m'accroche comme je peux. Le bruit des aller retour de sa tige dans mon fion est comme un clapotis en accéléré, merveilleux. Il a une endurance, ce mec, j'adore.
Lorsqu'il décide de changer de position, je m'exécute, trop content qu'il veuille me baiser encore et encore.
Quelques instants plus tard, je suis sur le ventre, allongé sur sa couverture, un sac d'enduit ou de plâtre sous le ventre pour me rehausser le cul. Loïc vient me couvrir et enchâsse son piston en moi sans la moindre difficulté tellement je suis en rut.
De tout son poids sur moi, il me fourre de sa bite raide pendant qu'il bave d'excitation dans mes oreilles et se réjouit de mon corps qui se tend pour mieux recevoir ses coups de boutoir.
Nous ne faisons plus qu'un, les va et vient sont merveilleux, je le veux en moi, il me possède et j'adore être à lui de cette façon. Je n'entends même plus ses paroles ou il se réjouit de me baiser…et me traite de n'importe quoi…La chaleur de son corps sur moi, sa bite dans mon cul, son souffle chaud dans mon cou…HUMMM…j'ai tant fantasmé ce genre de moment……Tout mon corps se détend sous l'effet de ce bonheur exquis, son bambou qui me frotte la prostate et me branle de l'intérieur, je perds pied.
Stupéfait de sentir mon sperme se vider de mes couilles douloureuses, de gicler, de jouir en pleine copulation sans maitriser le moment, je découvre l'orgasme anal, le plaisir absolu, l'offrande de mon corps à cet homme, le relâchement complet.
Il a senti et entendu avec mes cris de jouissance que j'ai vacillé sous ses coups de bite et poursuit la cadence. Je reçois une flopée d'insultes grasses et vulgaires qui doivent sans doute être du plus bel effet pour sa libido et je l'accepte volontiers. Il me défonce le cul pour se finir, décharger en moi et je me régale de sa performance.
Exténué, libéré, en sueur, il se bloque et se dégage d'un grand souffle d'extase pendant qu'il m'ensemence du sperme qui lui restait dans les couilles…Quel étalon!
Il se retire, satisfait de son action et regarde mon cul, écarte mes petites fesses pour mieux voir mon anus défloré du jour qui suinte sans doute sa semence. Je découvre un homme vicieux, fier de baiser du "jeune" et de leur juter dans le cul.
Il rigole de constater que j'ai dégorgé et laissé mon jus sur sa couverture, la preuve de sa réussite et du plaisir que j'ai pris à me faire enculer.
Nous sommes encore dans l'utilitaire lorsqu'une voiture se gare à proximité. Loïc, nullement inquiet, ouvre la porte latérale:
" Qu'est ce que t'as foutu? Je pensais que tu viendrais pas.
" J'étais avec ma meuf au téléphone.
Sans me demander mon avis, il fait monter le mec dans la camionnette et referme aussitôt la porte coulissante.
" Je viens de le baiser. Tu peux y aller, il a le cul bien ouvert.
Coincé entre ces deux hommes, je n'ose pas répondre et ne sais pas trop quoi dire. Le mec, plus jeune que Loïc, me passe direct la main au cul et semble assez autoritaire. Il ne s'embarrasse pas de formalités, déboucle son ceinturon et sort sa queue.
" Suce moi !
Comme une évidence, obéissant et passif, je me met à genoux et commence ma fellation. La tige est assez conséquente mais sans être épaisse comme celle du chauffeur routier que j'ai sucé ce midi. Elle est plus longue que celle de Loïc avec plus de poils autour et aussi une belle paire de couilles.
Lui aussi se sent obligé de me bourrer la gueule avec sa queue qui durci rapidement. Le gland maintenant bien décalotté, humm, c'est pas de refus…
Les deux artisans tiennent des propos gras et vulgaires et sont ravis. Loïc s'est collé contre nous pour mieux me regarder sucer et bave d'excitation lorsque son collègue me l'enfourne le plus loin possible. Le mec semblait pressé en arrivant et je pense qu'il ne va pas tarder à se vider s'il veut rentrer chez lui pas trop tard.
" Lève toi et tourne toi! Fais voir ton cul!
Voilà le moment arriver, le meilleur pour un jeune pédé comme moi qui vient de découvrir le sexe.
Sans trop de délicatesse, il m'introduit un doigt dans le cul pour vérifier mon état d'acceptation puis saisit sa queue raide et positionne son gland sur mon œillet.
Heureusement que je viens de me faire enculer et qu'il reste du sperme pour me lubrifier; l'introduction est virile. Quand il sent son gland dans l'ouverture, il m'enfile tel un cerf…jusqu'à la garde, les couilles en butée.
Je pousse un cri de jeunot qui se fait déboîter, ce qui les fait rire et les rassure sur leur virilité de mâles.
" Ah Putain, je crois qu'il était encore un peu puceau. Loïc, avec ta petite bite, tu l'as pas trop élargi.
" T'inquiètes, il a bien aimé. Il tendait bien son cul avec moi avant que t'arrives. Ce midi, il s'est fait fourrer par un militaire quand je suis arrivé sur le parking. Je lui en ai mis une deuxième tournée.
"Ah, la salope. Moi aussi, je vais lui en donner.
Il est pas loin de la vérité pour mon dépucelage, s'il savait…
Pendant que je reprends mes esprits, il me défonce, me fait me pencher, m'appuie sur le dos pour m'obliger à présenter mon cul au mieux. Je couine de me faire baiser ainsi et sens qu'il me ravage le trou avec sa pine.
Loïc bande encore, ah le salaud. Un sacré vicelard, celui là. Il se penche pour me sucer mais ce n'est pas pratique vu le bordel dans le camion. Il n'insiste pas et opte pour une autre prestation tout aussi excitante, se faire sucer.
Son collègue artisan, plein de forces lui aussi, me tient fermement pour me sodomiser. Je m'accroche comme je peux aux rangements sur les côtés. Je n'arrive pas trop à sucer Loïc tellement je me fait secouer…ça va, il a déjà donné et il prend trop son pied à me voir me faire emmancher. Il faut dire que son copain a une bite un peu plus longue et qu'il sait s'en servir.
Pendant plusieurs minutes j'ai droit à un enculage en règle. Ca ne le gêne pas de me baiser devant son collègue. Au contraire, j'ai l'impression que ça l'excite ou plutôt, qu'ils s'excitent tous les deux.
" Il va me faire jouir, ce p'tit con…" Tu peux y aller. Moi, je lui ai tout mis, le militaire aussi.
" Ah Putain…
Il se déchaîne, me baise virilement, arrête de parler, des gouttes s'échappent encore de ma queue, il gueule comme un enragé, se bloque, décharge toute sa semence dans mes boyaux…
Il finit par se retirer, me pète une claque sur une fesse pour sa satisfaction, remonte son caleçon pour ramasser son matériel en même temps qu'il rigole avec son collègue. Il vient d'effectuer une saillie et le tour est joué. Il se dépêche, il est à la bourre.
Je suis ravi de m'être fait baiser par ce mec mais pas tout à fait pour le reste. Pas de bécots ni de caresses sur le corps alors que j'ai vraiment trouvé ça bon avec Loïc…Bon, belle bite et bonne sodomie quand même.
Je remet mes fringues moi aussi…j'ai un peu mal et je sens mon cul déglingué mais j'étais venu pour ça. A vrai dire, il y aurait deux autres mecs à suivre, je crois que je tendrais mon cul tellement j'ai trouvé ça bon.
Demain et les jours suivants, je ne pourrais pas m'offrir ce genre de plaisirs, je débute mon petit boulot d'été et eux seront peut être sur d'autres chantiers…Ce sont les aléas de la vie, le hasard des rencontres….
Vous aussi, vous pouvez monter dans la camionnette. Prévoyez le gel et les préservatifs, c'est la normalité maintenant et prenez du plaisir.
Voilà, vous êtes prévenus. Et que ça gicle…
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