Colocation 2 L'anniversaire.

- Par l'auteur HDS Sucette -
Récit érotique écrit par Sucette [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Colocation 2 L'anniversaire. Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-12-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Colocation 2 L'anniversaire.
Colocation 2 L'anniversaire.
C'est l'anniversaire de Franck, notre carabin. Nous le savions par le contrat de colocation. Nous avons mis un post it sur sa porte : « Réunion très importante à 18 heures, présence indispensable. »
Nous savions qu'il rentrait à cette heure là et avons préparé en secret, apéro, amuse gueules, et sandwichs. Et bien sûr un brownie avec une bougie.
Nous avons aussi mis dans la confidence Mickaël, l'autre étudiant et dernier colocataire.
Il avait fait monter la pression en lui disant que c'était sans doute très important et en tout cas inhabituel.
« C'est la première fois que les deux gouines nous convoquent… »
A 17 h. tapantes, nous voilà réunis dans le séjour autour de la table, face à face. Lui, pas très rassuré, plutôt anxieux,
« As-tu une idée du pourquoi, nous sommes réunis ici ce soir ? Demandais je perfidement. »
Notre malheureux Franck se croit coupable de manquements à ses obligations. Mickaël en rajoute…
‘’ Bon, maintenant pour ta pénitence, on te bande les yeux ‘’
A ce moment là, nous amenons les réjouissances. Et ce fut de grands éclats de rire.
Pendant l'apéro, il nous raconte sa peur et le stress qui l'habite depuis des mois. Nous sommes très curieuse d’en savoir un peu plus.
Alcool aidant er bonne humeur , nous jouons à Action / Vérité.
Nous voulons tout savoir des traditions estudiantines et des mœurs à l'hôpital.
Mickaël, lui, nous questionne beaucoup sur notre relation mais c'est Franck qui est paradoxalement le plus prolixe.
Il nous éclaire entre rumeurs, fantasmes et réalité. Il est vrai que les internes n'ont pas de vie privée, qu'il y a des fêtes débridées où l'alcool coule à flot.
Il y a ce qui est public et de plus en plus encadré et des soirées privées qui parfois dérapent.
Il y a effectivement des bizutages appelés intégrations mais on est plus dans la provocation, l'intimidation, le ridicule. Il nous raconte des anecdotes qui nous font plier de rire.
Il a dû personnellement défilé dans le quartier de l'université avec un poireau attaché autour de la taille, en camisole bleue de l'hôpital , les fesses à moitié à l'air en chantant des chansons paillardes, un pistolet dans une main , un clyster dans l'autre avec un calot sur la tête. Il devait demander aux passants s'il voulait un lavement et proposer le contenu alcoolisé de son pistolet.
Action : il devait nous montrer les photos sur son téléphone.
Il n'avait le droit de revenir une fois le pistolet vide. Puis il dû en boire un second, mélange de bière blonde et whisky. Puis au cours de la soirée, il a dû boire un autre pistolet mais ce n'était pas du mélange bière whisky mais bien de l'urine alcoolisée . Au début, il n’y a vu que du feu, tous les autres autour de lui se fendaient la gueule. C'est là qu'il a réalisé. Après il est allé vomir.
Pliées en deux, nos sphincters nous ont lâché
Action : Enlever tout ce qui mouillé.
Il nous avoué que la coke circule bien ainsi que d'autres substances euphorisantes mais de façon clandestine.
Les filles ne sont pas les dernières à se lâcher, elles se déchirent graves côté alcool et sexe. On parle beaucoup de drogues type GHB… mais lui, a vu des filles défoncées, faire des concours de pipes et recevoir des éjaculations à la chaîne sur la poitrine.
Il a vu aussi à l'hôpital des élèves infirmières se livrer à des paris et des concours. Quand aux médecins, il y a des dragueurs et les autres. D'ailleurs, il n'y a pas que les filles qui se font draguer.
Évidemment tous ces récits ne nous ont pas laissé de marbre. Mickaël, lui était très curieux de nos jeux saphiques. Comme nos mains s'agitaient sous la table, il voulait voir. On a dit d'accord mais à condition qu'il enlève le bas.
Il était en jogging et une bosse était clairement visible. Pantalon baissé, a surgit une mentule recourbé sur ressort qui pointait sur son nombril.
Marine était hypnotisée par l'engin. Mickaël l'a invité à s'en saisir. Ce qu'elle fit, étonnée par la douceur de sa peau, la chaleur et la raideur. De sa main, il l'a amené à ce qu'elle le caresse, pris ses bourses dans sa paume. Pris au jeu, elle imprimait des mouvements circulaires doux ou appuyés, des va et viens puis elle se mit à genoux et le prit dans sa bouche.
Je fis de même et je chuchotais à l'oreille de mon amie, mes conseils d'experte. Puis je la remplaçais, le temps qu'elle reprenne son souffle. J'entrepris alors des gorges profondes, mon nez dans son pubis, puis je suçotais son gland me servant de ma langue autour de son frein, je me servais aussi de mes mains en le masturbant frénétiquement pendant que mes lèvres jouaient avec son gland.
Évidemment, après cinq minutes de ce traitement, je le gardais fermement en moi pour qu'il jouisse dans ma bouche. J'adore cela.
Action : « Viens m'embrasser. » Il n'a pas osé refuser et je lui ai tout redonné, nos salives se sont mélangées.
Puis les deux garçons ont voulu nous voir se gouiner.
Nous avons commencé par nous mettre face à face en tailleur, un miroir posé entre nous de façon à ce qu'ils puissent bien regarder. Ce côté exhibitionniste, nous excitait encore plus, nous avons commencé par nous masturber mutuellement puis nous avons fait un 69. Pour cela nous sommes allées dans la chambre.
Pendant ce temps, les garçons se masturbaient. C'est alors qu’ils nous ont demandé de leur apprendre à pratiquer un bon cunnilingus.
Nous avons essayé de leur montrer avec des mots mais il a fallu passer aux travaux pratiques. Moi, allongée au bord du lit, Franck à genoux le nez sur mon pubis , la langue sur mon bouton, je lui ai demandé de lécher vers le haut pour soulever mon clitoris puis de faire des cercles autour, de l'aspirer doucement tout en suçotant la pointe, d'aller doucement, de laper longtemps. J'ai senti l'orgasme arriver, j'appuyais sur sa tête, plaquant mon vagin contre ses lèvres. Des contractions m'ont saisis puis la plénitude. Je l'ai embrassé tendrement.
Marine, elle sous la langue de Mickaël n'y arrivait pas. J'ai dit à Mickaël qu’il n'était en rien fautif.
Ainsi se termina cette soirée d'anniversaire un peu particulière.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Maintenant reste à répondre à ta question de la première partie 😘😘😘
Cela dit, très beau texte et très excitant 🔥🔥🔥
Cyrille



Texte coquin : Colocation 2 L'anniversaire.
Histoire sexe : Une rose rouge
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