Comme prévu Ep03 Tout va bien quand même

- Par l'auteur HDS Charly Chast -
Auteur homme.
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Récit libertin : Comme prévu Ep03 Tout va bien quand même Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-05-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Comme prévu Ep03 Tout va bien quand même
Comme prévu Ep03
Tout va bien quand même


Rapidement mes parents décidaient de ne plus parler de cette histoire.

– Tu éviteras de parler de cette histoire autour de toi. Me disait mon père ! Pense à ta réputation ! Puis il reprenait … Notre réputation.

Bon c'était pas ma faute, on ne me faisait pas plus de reproche que cela et on passait à autre chose et je reprenais ma vie comme si tout allait bien !

D'ailleurs, tout allait bien en fait. Surtout pour moi, comme je vous disais, je n'étais pas enthousiaste pour mettre le dispositif de chasteté déjà au départ et là, je vous jure qu'après avoir fait plus ample connaissance avec la voisine je ne voulais plus, là c'était maintenant formel. Je ne disais rien, pour le moment personne ne m'en parlait mais je savais comment j'allais réagir au moment ou on m'en parlerait ! Et là je saurais quoi dire !

NON ! C'EST HORS DE QUESTION !

Oui bon, je savais que ça ferait un drame aussi je préférais ne plus en parler en attendant !

Je devrais renoncer à faire mes études à la PK School, mais je me disais que de toutes façons je n'avais pas envie des carrières qu'elle nous promettait. Non mais franchement, vous savez il y a plein d'emplois ou on ne vous demande rien. Et il y a même encore plus d'emplois ou on n'a pas besoin, absolument pas besoin de porter cette espèce de cochonnerie, pour vendre des appartements.

Ne me dites pas que c'est pas un boulot, j'ai un oncle qui en vent et il gagne vraiment très bien sa vie. On ne parle jamais de lui dans la famille d'ailleurs, je me demande si … Il faudra que je lui pose la question. Pour savoir … C'est vrai ça, maintenant que j'y pense je me dis qu'il a beaucoup de succès avec les femmes dans son boulot …

Les jours passaient, oh pas beaucoup, trois, quatre , pas plus et un jour je rentrais chez moi et je voyais ma voisine la sublime Serena, très en beauté, je la regardais longuement en approchant de la maison. Elle était belle, et je me demandais bien pourquoi je l'avais considérée comme une vieille. Elle était en fait très jeune, un peu moins que moi mais c'est vrais que moi j'étais un gamin à cette époque.

Elle tournait son visage vers moi, et me souriait.

Était-ce un très léger souffle de vent, à peine perceptible qui lui soulevait sa jolie mèche blonds et montrait son front, blanc, ses beaux cheveux blonds que je savait tellement doux. Était-ce un léger souffle de vent qui écartais cette branche qui lui faisait de l'ombre et laissait rayonner son visage en pleine lumière.

Son sourire éclatait alors de lumière et moi je me sentais tout bizarre.

Elle s'approchait de moi.

– Salut beau blond ! Me lançait-elle. Tes parents sont absents, je te paye un chocolat .

Le lui rendais un large sourire en me précipitant vers sa porte d'entrée.

Elle me suivait et refermait sa porte juste derrière elle, je me retournais et me trouvais alors mes lèvres contre les siennes. Nous échangions un long baiser, et sentais la chaleur de ses seins sous sa chemise, ses seins se relevaient, ses tétons rebiquaient .

C'est vrai que là, on a un peu oublié le chocolat.

Elle commençait par m'embrasser, je vous jure que je ne la repoussais pas. Bien au contraire je refermais mes bras autour d'elle et lui rendais son baiser. Ses lèvres me semblaient encore plus douces que quelques jours plus tôt. Je ne sais pas à quel moment sa chemise est tombée et elle s'est retrouvée entièrement nue dans mes bras.

Je sentais sa chaleur, sa douceur. Je sentais ses seins qui glissaient contre ma poitrine, ses tétons devenaient plus durs, plus fermes. En plus, maintenant je savais ce que je risquais et je n'avais pas peur, oh non, même pas peur !

Mes mains glissaient contre son corps, avec douceur, il faut toujours y aller avec douceur. Ça je l'avais déjà compris. Sa poitrine était ferme, ses seins étaient d'une extrême douceur, je m'attardais quelques instant à ce niveau, puis mes mains continuaient un peu plus bas.

Mes mains arrivaient au niveau de ses hanches et je la tirait vers moi. Ses mains glissaient sous ma chemise, ses seins s'écrasaient sur mon torse. J'avais déjà l'impression de me mélanger un peu avec elle.

Ma chemise tombait et ses mains aussitôt glissaient dans mon pantalon, sur mes fesses. Je me rapprochais d'elle, son corps contre mon corps . Je sentais ma queue qui gonflait dans mon pantalon, elle devait le sentir elle aussi. Ses lèvres, sa bouche et sa langue devenaient plus intrusives.

Je relevais la tête en arrière et je la laissais faire elle m'embrassait sur ma gorge, me caressait avec sa langue et ses lèvres. C'était bon, je me sentais brusquement très important, j'avais une femme magnifique dans mes bras et ses mains m'ouvrait mon pantalon.

Quelques instants plus tard, il glissait sur mes pied.

Serena glissait à genoux contre moi et sans attendre plus, elle me prenait ma queue dans sa bouche. Je vous jure, j'adore ça, surtout qu'elle fait ça bien. Je caressais sa tête, ses cheveux. Ils étaient tellement doux, c'était un voile qui glissait sur moi !

Je dégageais mes pieds de mon pantalon, c'est alors entièrement nu que je me présentais devant elle.

Elle se relevait lentement, sa main me caressait encore en prenant tout son temps, elle s'attardait un instant sur mes couilles puis m'entraînait ver sa chambre pour la suite des opérations. ( oh comment que je d is ça moi ) !

Elle me tirait avec force et surpris, je m’écroulai sur le lit. Elle me suivait et s'écroulait sur moi. Son corps était chaud, et terriblement léger, c'est vrai qu'elle est menue et que moi je suis costaud.

Je me retournais sur elle, elle se retournait sur moi et nos corps se caressaient, pas seulement les mains, mais tout le corps.

Mon visage plongeait entre ses cuisses et ma langue découvrait ce qu'il me restait à découvrir, ce que je n'avais pas vu la première fois.

C'était la seconde fois mais c'était déjà une habitude que j'étais prêt à prendre, à suivre. J'étais prêt à remettre ça tous les jours, plusieurs fois par jours.

On se retournait et on se retournait encore pour finalement se retrouver visage contre visage, lèvres contre lèvres et sexe contre sexe.

Elle écartait les jambes, je glissais entre, sa vulve s'ouvrait et je glissais à l'intérieur. C'était doux, humide et un peu étroit mais pas trop et je glissais lentement bien à fond. Je voyais ses yeux se retourner, son visage grimacer. Elle était étroite enfin juste comme il faut. Je glissais, j'entrais et je ressortais puis je recommençais .

Rapidement je la sentais convulser, ses reins se redressaient, se cambraient. Ses jambes se refermaient avec force autour de mes reins, elle me retenait, me tirait vers elle. Je convulsais à mon tour et finissait par perdre le contrôle, je ne me rendais pas contre qu'elle avait déjà perdu le contrôle. Ses réactions n'étaient plus que des convulsion, des contractions, elle respirait fort, et son cœur battait très vite, plus vite encore que le mien !

Je m'enfonçais bien à fond, la retournais contre moi sur mon ventre, elle me chevauchait alors, se redressait et s'agitait.

C'est elle qui alors s'enfonçait sur moi, elle s'empalait avec un plaisir qu'elle ne cherchait pas à dissimuler. Ses jambes repliées contre mes hanches, elle se relevait et se laissait tomber avec de plus en plus de force. J'aurais eu peur de lui faire mal, mais de toutes évidences, elle pouvait encaisser, elle savait encaisser et elle en redemandait.

Je ne faisais presque plus rien, sinon lui caresser les seins du bout des doigts avec une grande délicatesse.

Ses seins se balançaient sous mon nez, je devais avoir un sourire un peu niai, c'est sûr. Mais je ne m'en préoccupais pas vraiment .

Je sentais le massage que son intimité pratiquait sur mon pénis, c'était tellement bon.

Le plaisir montait, je sentais le plaisir qui montait de plus en plus jusqu'à déborder et là, c'est moi qui convulsais.

Pendant un moment aucun d'entre nous ne contrôlait plus rien. Je me redressais et refermais mes bras autour de son corps. Elle s'écrasait contre moi jusqu'à en prendre l'empreinte, ou alors c'était moi .

J'ai joui, j'ai éjaculé, et j'ai senti vibrations contre moi. Un cri, un cri violent à vous exploser les oreilles mais je ne sais plus si ce cri venait de moi ou d'elle.

Nous avons tremblé, en apnée. Nous avions du mal à reprendre notre souffle puis les corps se sont détendus. Tous mes muscles se sont détendu, je suis retombé sur le dos, heureux. Elle est retombé sur moi, je sentais à peine son poids tant elle était menue. Nos respirations se faisaient de concert, et nos cœurs retrouvaient lentement un battement plus calme.

Nos deux corps se retrouvaient empilés, l'un sur l'autre, tout mou, presque inertes mais heureux !

– Je te demande officiellement, n'accepte jamais de mettre ces dispositifs démoniaques. Me disait-elle doucement.
– Ça ne risque pas, tu sais que la loi interdit la contrainte , donc ça ne risque pas !
– Ce serait vraiment dommage ! Concluait-elle .

On restait là, presque sans bouger, elle me caressait doucement la queue qui par moment se relevait mais qui restait de grosse taille, qui restait une grosse molle, bien grosse mais pas trop molle.

On prenait le temps de partager un long , un très long câlin avant de passer sous la douche, on en est ressorti épuisé, heureux et détendu.

On s'est rhabillé, ce n'était pas vraiment nécessaire mais on à pensé que ce serait plus simple, plus présentable que je sorte tout habillé. Je sais pas ce que vous en pensez mais ça me semblait raisonnable. Je me suis donc rhabillé, sans me pressé mais je l'ai fait.

Ensuite on a discuter.

– Tu es sûr que que tu ne mettra jamais une cage à bite, moi je veux pas ? Me demandait-elle.
– Oh oui , j'en suis sûr, il n'en pas question. Déjà que, je n'étais pas vraiment enthousiaste. Et bien maintenant encore moins.
– Mais c'est une obligation … Enfin plus ou moins …
– Plus ou moins, et c'est toute la déférence. Pour postuler à certains postes oui, c'est une obligation mais pour certains postes seulement.
– Ça ne t'inquiète pas ?
– Non, et puis de toutes façons je n'ai pas envie de postuler à la PKScool.
– C'est vrai que pour cette école, c' est une obligation ! Mais les diplômes qu'on y reçoit sont convoités par de très nombreuses entreprises.
– Oui je sais, mais c'est pas une raison. Moi je ne veux pas porter ce dispositif , j'ai déjà fait un essayage l'autre jour et c'est pas pour moi !

A suivre


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