Corwyn et Quentin - Chapitre 2 - histoire érotique

Corwyn et Quentin - Chapitre 2


Joyeux Noël à tous (voir bonne année), gavez-vous bien, une nouvelle année commence ! Nouvelles résolutions (ou pour les plus flemmards on reprend celles de l’année dernière), nouveaux objectifs (ou on poursuit les anciens), bref un renouveau. Je profite du peu de temps qu’il me reste avant de partir pendant une semaine en amoureux avec mon homme pour écrire un petit peu (faut savoir que j’écris ces quelques lignes entre le 24 et le 25…). Bref, je vous laisse…



Un mois avait passé depuis la première fois que Corwyn et Quentin s’étaient vus et avaient couché ensemble. Depuis, les deux hommes s’étaient revus, de façon plus ou moins amicale, plutôt intime. Ils avaient recouché deux fois ensemble. Pourtant, Corwyn sentait une résistance chez Quentin. Quand il l’avait questionné à ce sujet, il s’était complètement fermé. Hermétiquement. Le blondinet n’avait pas insisté et l’avait laissé ruminer ses idées noires. Il était aussi retourné une fois garder les enfants de Quentin, Liam étant toujours cloué au lit par une vilaine grippe.
Il avait passé une merveilleuse soirée en compagnie des enfants, autour du repas puis du piano, où Liam s’était endormi dans le canapé. Après avoir couché Kira, Corwyn l’avait porté dans sa chambre. Ce spectacle l’attendrissait. Il s’était attaché à ces enfants, même en aussi peu de temps. Au père aussi, cela dit.
Sitôt rentré, les deux amants avaient été contents de se retrouver, et de continuer l’exploration du corps de l’autre.

Aujourd’hui, Corwyn attendait, dans le froid, son bus, pour rentrer chez lui après une journée de fac. Musique sur les oreilles, il pianotait sur ses cuisses les notes du morceau qui passait dans ses oreilles. Liam lui avait redonné goût à la musique et il travaillait de temps en temps chez les Clave, ou comme ça, sur un piano imaginaire.
La rue était déserte. Le bus arrivait dans un quart d’heure. Corwyn avait les doigts gelés. Il pesta. Des bras l’enlacèrent. Surpris, il relava la tête et des lèvres se posèrent sur les siennes. Il hoqueta de surprise et de contentement en reconnaissant l’odeur de Quentin. Il ferma les yeux et s’abandonna à ce plaisir inattendu. Son visiteur se pose à côté de lui.

-Tu attends ton bus ?
-Je crois que c’est ce qu’on fait à un arrêt de bus, non ? répondit Corwyn un sourire aux lèvres.
-Hmm. Je voulais t’appeler ou du moins t’envoyer un SMS pour te demander si tu avais quelque chose de prévu pour le réveillon, mais comme je t’ai en face de moi je peux te le demander en face.
-Non, j’ai rien de prévu. Avec la fac j’avais pas vraiment le temps de rentrer chez mes parents ou quoi que ce soit. Et si c’est pour passer la soirée à se bourrer la gueule avec les potes et perdre inutilement deux jours avec une gueule de bois d’enfer, je vois pas l’intérêt.

Quentin sourit, et poursuivit :

-Tu voudrais passer le réveillon avec nous ?
-Je veux pas déranger…c’est un moment à passer en famille…
-Kira et Liam t’apprécient beaucoup…puis ça me fait plaisir…
 » A ce propos, je voulais te demander quelque chose…
-Oui ?
-Est-ce que…tu accepterais de sortir avec moi ?
-C’est à voir…répondit Corwyn, espiègle, avant de l’embrasser sur les lèvres. Evidemment que je le veux. J’attendais que tu me le demande depuis des semaines.
-J’ai…j’osais pas…

Quentin détourna la tête, les joues rougies. Corwyn ne pu s’empêcher de sourire face à ce spectacle, de cet homme « mature » qui rougissait comme un enfant.

-T’es mignon quand tu rougis, tu sais ?

Cette remarque fit rougir l’homme à un stade insoupçonné.

-Ahah ! On dirait un adolescent.
-Mmh. Demander à un homme de sortir avec soi c’est plus compliqué qu’à une femme…Enfin, pour moi…Je suis hétéro à la base, hein…
-Je sais. Tu as bien du courage, répondit le blondinet, un sourire moqueur sur les lèvres. Puis-je savoir pourquoi tu as mis tant de temps pour me le demander ?

Le visage de son interlocuteur s’assombrit. Corwyn su qu’il avait touché une corde sensible.

-Dis-le moi, ça te soulagera…dit-il en frottant affectueusement le dos de son nouveau mec.
-C’est…j’ai l’impression…de tromper ma femme…lâcha Quentin en détournant les yeux.
-Elle a quitté ce monde en t’aimant. De là où elle est je ne pense pas qu’elle soit jalouse que tu m’aimes…Au contraire, je pense qu’elle ne souhaitait que ton bonheur et que ça la comble que tu sois heureux avec quelqu’un, même si ce n’est pas elle…Tu comprends ?
-Oui mais…c’est dur…je vois ce que tu veux dire…c’est vrai, elle voulait qu’on soit heureux. Mais je me sens coupable de l’être sans elle…
-Personne ne sait ce qu’il y a après la mort. Peut-être y a-t’il un monde après, et qu’elle est heureuse là-bas, qui sait ?
-Hmm…
-Et toi, si tu étais mort avant elle, aurais-tu souhaité qu’elle reste malheureuse et seule toute sa vie ou qu’elle retrouve quelqu’un et qu’elle soit heureuse ?
-J’aurais préféré qu’elle soit heureuse, c’est vrai…
-Regarde-moi.

Quentin se tourna vers lui, des points d’interrogation dans les yeux.

-Moi, je t’aime, que tu le veuilles ou non. Je comprends que le souvenir d’Emilia te hante, mais moi je suis vivant et de chair, et je n’attendrai pas infiniment. Je peux t’aider à faire ton deuil, car en dehors du fait que ça te permettrait de m’aimer sans ce sentiment de culpabilité, tu seras mieux dans ta peau. Mais décide-toi, Quentin Clave.
-Tu as raison…Tu sais, tu as su devenir important pour moi en peu de temps. De plus en plus je me rend compte que quand je me concentre pas mes pensées se dirigent vers toi. Ton sourire, ton visage…ton corps aussi. Ca faisait longtemps que je n’avais pas ressenti ce sentiment…
-C’est la première fois pour moi qu’un homme m’emplie autant la tête. J’ai eu des copains, dont un avec qui je suis resté un peu plus d’un an mais voilà. J’avoue que ça me perturbe. Ce que tu dis est vrai pour moi aussi. Et crois-moi, c’est dur pour moi.
-Hmm…tu avais besoin de rentrer tout de suite chez toi pour quelque chose de précis ?
-Non, pas vraiment. Pourquoi ?
-Tu veux venir un peu à la maison ?

Corwyn regarda sa montre. 18h43.

-Hmm…C’est d’accord. Les enfants sont là ?
-Oui, je suis juste sorti faire une course, dit-il en désignant un cabas posé à côté de lui.
-Je te suis. Tu es garé où ?

Les deux hommes se levèrent. Le trajet fut bien silencieux. Ils arrivèrent devant la maison des Clave, où Quentin déposa un dernier baiser sur les lèvres de son amoureux.

-Je me sens pas près pour le dire aux enfants…alors, joue le jeu, s’il te plaît…
-Pas de souci. Chaque chose en son temps. C’est déjà bien que tu aies fait le pas de me demander de te mettre avec moi…répondit Corwyn en souriant tendrement, tout en caressant de la main la joue légèrement barbue de son homme.

Quentin le remercia du regard. Il ouvrit la porte et rentra.

-Les enfants ! Devinez qui est là !

Kira accourut dans le vestibule et offrit aux deux hommes un grand sourire en voyant Corwyn.

-Corwyn ! Tu me garde ce soir ?
-Non, pas ce soir ma grande. Je suis juste venu passer la soirée avec vous, lui répondit-il en souriant et en s’abaissant à son niveau.
»Liam est dans le coin ?
-Je pense qu’il est dans sa chambre.
-Je vais lui faire un petit coucou.

Connaissant les lieux, Corwyn se dirigea d’un pas assuré vers la chambre de l’ainé Clave. Il toqua. Après avoir entendu un bruit signifiant sûrement l’approbation de Liam, il entra.

-Salut champion !
-Salut. Je fini un truc et j’arrive.
-Tu joues à quoi ?
-Regarde par toi-même.
-LOL ? Je savais pas que t’y jouais.
-Eh si. T’y joues ?
-Quand j’ai du temps…Tu sais avec la fac et tout c’est compliqué…les journées n’ont malheureusement que 24 heures… Attention, le jungler arrive dans le tri-bush…

S’en suivi une discussion d’un quart d’heure du jeu, tactiques, tout y passa. Les deux garçons s’étaient trouvé un nouveau point commun. Ils descendirent en piaillant comme des pies. Quentin sourit en les voyant descendre en discutant.

-Eh les nanas, vous voulez quelque chose à boire ? A grignoter ?
-Des chips et du Coca ! répondit à leur place Kira.
-Non, pas de Coca, Kira. Je t’ai déjà dit qu’on n’en prenait pas le soir ma grande.
-S’il te plaît Papa…supplia la petite fille en faisant les yeux doux à son père.
-Non. Tu prendras autre chose, c’est tout. Mets-toi à l’aise Corwyn, je reviens.

Le jeune homme s’installa et continua sa discussion bien entamée avec Liam. Ils s’arrêtèrent quand Kira commença à piaffer d’impatience et de manque d’intérêt. Corwyn réprima un discret sourire et la prit sur ses genoux.

-Désolé ma grande, on t’avait un peu oubliée. Tu veux qu’on te joue un petit peu de piano ?
-Oui ! Je veux que ça soit Corwyn qui joue.
-Ok…soupira l’intéressé, tu la prends Liam s’teup ?
-Ouais. Tu sais où sont les partoches ?
-T’inquiète, j’ai bossé un peu depuis la dernière fois.

Enigmatique, le blond se mit au piano et commença à jouer. Les deux enfants se laissèrent bercer par la musique. Liam connaissait le morceau. Il l’avait étudié au solfège. Mais pas joué. Il fouilla sa mémoire…et s’exclama :

-Hey ! C’est pas dans La leçon de piano ce morceau ?
-Si. C’est The heart asks pleasure first, de Nyman.
-Hmm…Je savais pas le titre. Enfin je m’en souvenais plus. Je l’ai vu au solfège.
-Tu l’as jamais joué ?
-Non.
-Je te rapporterai la partition la prochaine fois si tu veux.
-Ok, c’est cool. Mais, tu as un piano chez toi ?
-Non…je bosse les morceaux sur mes cuisses, sur une table…
-Ah. Tu joues à vide, quoi.
-Ouais. C’est un peu chiant vu que je sais pas ce que ça donne après quoi, mais bon.
-Oué forcément…Tu l’as bossé comme ça celui-là ?
-Oui et non. Je l’avais joué y a longtemps…Mais je l’ai « revu » comme ça, ouais.
-Ca a pas l’air simple, comme morceau.
-C’est beaucoup de broderies, de trilles et de mordants. C’est une musique répétitive. T’as la même cellule musicale qui est modulée, c’est tout. Mais c’est vrai que c’est pas simple.
»Un autre morceau Mademoiselle ?
-Oui, s’il te plaît Corwyn !

Il pouffa discrètement face à l’enthousiasme de la fillette et continua à jouer. Cette fois un morceau classique.

-La Badinerie de Bach ? Pas facile comme morceau…
-Tu l’as dit. J’ai dû le jouer pour mon dernier examen ! C’était un de mes quatre morceaux. Celui-là c’était le côté vitesse et technique.

Quentin, ayant fini depuis longtemps déjà regardait doucement son amant et ses enfants discuter, d’un oeil attendri et amoureux.

-Hey les enfants ! L’apéro est servi.

Tous se retournèrent. Kira se jeta instantanément sur les chips, tandis que Liam se servait un verre de jus de fruits. Corwyn, resté assis au piano, regardait Quentin d’un oeil bienveillant. Il lui fit un clin d’oeil, le doyen répondant pas un discret baiser dans le vide.

-Qu’est-ce que vous voulez manger ce soir ?
-Des pâtes ! s’exclama Kira.
-Mais on en a déjà mangé hier…
-Oui mais je suis sûre que Corwyn en a pas mangé hier, lui !
-Ca, c’est vrai. Et j’ai jamais goûté tes pâtes.
-Des pâtes ! des pâtes ! reprirent en choeur les trois jeunes gens assis dans le salon.
-Bon, c’est d’accord…concéda Quentin. Vous les voulez à quoi ?
-Carbonara !
-Ok princesse…

Quentin se dirigea vers les fourneaux. Corwyn s’y rendit quelques minutes plus tard. Il passa ses bras autour du ventre de son mec et l’embrassa dans le cou. Ce dernier relâcha la tête en arrière pour cueillir un baiser.

-Les enfants sont juste à côté…On continuera plus tard…
-Un dernier…
-Ok…

Les deux amants se bécotèrent… et n’entendirent pas l’entrée de Liam dans la cuisine…

-C’est quoi…cette merde…lâcha l’ado en voyant le spectacle des deux hommes s’embrassant.

Il monta à toute vitesse dans sa chambre et s’y cloitra. Quentin, déchiré de tristesse à la vue de la réaction de son fils se laissa tomber sur une chaise de la cuisine. Corwyn pris son visage entre ses mains, l’embrassa tendrement et lui dit :

-Occupe-toi du repas, je vais discuter avec lui…tout ira bien mon coeur. Relax…

Quentin hocha la tête et le laissa monter. Le jeune homme s’arrêta d’abord dans le salon où il demande à Kira d’aller aider son père en cuisine. La petite fille, docile, s’y rendit sans rechigner. Satisfait, il grimpa à l’étage et toqua à la porte de Liam.

-Liam…c’est Corwyn. Laisse-moi rentrer et je t’expliquerai…
-Dégage je veux plus te voir !

Sa réaction fit beaucoup de peine. D’autant plus qu’il ne la comprenait pas. Ils avaient pas mal discuté de la vie de Liam au lycée etc. et Corwyn avait bien vu dans la façon dont laquelle il parlait d’un certain Ethan, son meilleur ami, qu’il en était amoureux. Le savait-il ? Ca, pour le coup, il ne pouvait le dire. Peiné, il entra quand même dans le sanctuaire de l’ado. Le spectacle qui s’offrit à lui l’attrista.
Liam, en pleurs, était replié sur son lit, en position foetale. Il s’installa à côté de lui et commença à lui caresser le dos, doucement.

-Dis-moi ce qui va pas mon grand…je sais que c’est pas le fait que je sois un homme qui te dérange…dis-moi ce qui te chiffonne…
-Va-t’en…
-Chut…calme-toi…

Il se pencha vers lui et l’embrassa tendrement sur la joue. Cinq bonnes minutes s’écoulèrent avant que Liam décide enfin d’ouvrir son coeur.

-J’ai peur…qu’il oublie Maman…
-Pourquoi l’oublierait-il ? le questionna Corwyn, étonné.
-J’ai peur qu’en tombant amoureux de toi il oublie les bons moments qu’il a passé avec elle…
-Il ne pourra jamais l’oublier…on en a discuté tout à l’heure avec ton père. Il se sentait coupable de m’aimer. Je lui ai répondu que ta mère aurait préféré son bonheur avec quelqu’un d’autre peut-être, mais je ne pense pas qu’elle aurait voulu qu’il reste seul et qu’il ne fasse jamais son deuil. 
»Eh puis, elle vivra toujours en vous, ses deux magnifiques enfants. Une part d’elle est en vous, et en vous voyant ta soeur et toi, il voit Emilia. Les moments qu’ils ont passé ensemble sont certes révolus mais restent ancrés dans son coeur. Sois-en certain.
-Mais…
-Chut, pas de mais…détends-toi, tout ira bien…

Tout en parlant, Corwyn avait redressé l’adolescent et le serrait maintenant dans ses bras en lui caressant doucement les cheveux.

-C’est dur aussi pour moi, tu sais. J’ai peur de lui faire de la peine et à vous aussi. Mais je l’aime, tu comprends…C’est la première fois que je ressens ce sentiment si fort pour quelqu’un, et je suis certainement aussi perdu que toi…
-C’est vrai ? Tu aimes vraiment mon père ?
-Evidemment ! Tu crois que je me serais mis avec lui si je ne l’aimais pas ?
-Je sais pas…Tu pourrais le faire juste pour qu’il te donne de l’argent…
-J’ai pas besoin de son argent. Je peux me débrouiller seul. Je l’ai fait jusqu’à présent, non ?
-Hmm…
-Bref, j’aime ton père, c’est comme ça, j’avais rien demandé mais j’ai eu un cadeau magnifique. Et tu sais quoi, je vous aime aussi, ta soeur et toi.
-Tu dis ça pour m’amadouer…
-Du tout. Dès le premier soir je vous ai apprécié tous les deux. Toi parce que t’es marrant, intelligent, cultivé, et beau gosse aussi, ça joue. Et ta soeur parce que même si elle a jamais connu sa mère, elle est super heureuse de vivre, elle est vive, coquine, taquine, bref c’est un chouette enfant.
-Mouais…répondit Liam en cachant un demi-sourire.
-Je veux pas te voler ton père. Je veux juste le partager. Tu sais, il se sent seul. Il vous a tous les deux et ça le comble de joie, mais il a besoin de… « contact »… tu vois ce que je veux dire ?
-Hmm, je crois savoir oué…Mais Papa il t’aime lui ?
-Eh bien…je pense. Quand un hétéro accepte de coucher avec toi alors que t’es un mec, et qu’il t’avoue que ça le trouble et qu’il est paumé, mais qu’il te demande de te mettre en couple avec lui, je pense que c’est une preuve d’amour.
-Je pense aussi…Bon…j’ai plus qu’à me résigner alors ?
-Dis pas ça comme ça ! rigola Corwyn en lui ébouriffant les cheveux. Tu te sens d’attaque pour redescendre ?
-Hmm. Faudra bien que je le fasse alors autant y aller.

Le blondinet sourit et ébouriffa au passage une dernière fois les cheveux auburn de Liam. Il le pris par la main et descendit avec lui. En bas, Quentin finissait le repas, l’oeil dans le vide. Il ne put s’empêcher de sourire en voyant les deux mecs de sa vie descendre l’escalier. Il essuya du bout du doigt une larme restée au coin de l’oeil de son grand garçon. Il pris les deux hommes dans ses bras et ouvrit le droit en entendant Kira piaffer dans son coin. Elle ne comprenait pas vraiment pourquoi ils se faisaient un câlin, mais elle appréciait le contact de ses trois mecs rien qu’à elle.

-Aller, à table !


Musiques : The Heart Asks Pleasure First - Michael Nyman (http://www.youtube.com/watch?v=tkIpmSf3drM)

La Badinerie - Bach (au piano : http://www.youtube.com/watch?v=rgvcc4QF_Q8)

Voilà, rien à dire de plus, tout à déjà été annoncé ! Bonnes fêtes à tous ! Et puisse le sort vous êtres favorable ! (non, je n’ai absolument pas vu Hunger Games. C’est faux. Je m’insurge d’une telle accusation !)