Croisière 3 - histoire érotique

Suite de la « Croisière 2 ».

Rappel des faits : Trois jeunes gens partent en croisière sur un voilier et sympathisent très vite. Ils sont en Corse quand deux jeunes filles cherchent à embarquer.

Nous nous installons dans le carré, elles sont face à nous, les deux garçons m'encadrant.

D'entrée de jeu, elles nous déclarent qu'elles ont quitté le bord d'un yacht où le propriétaire les avait harcelées à plusieurs reprises. Il s'était permis de pénétrer dans leur cabine pendant leur sommeil sans y être invité et les avait touchées. Elles s'était réveillé alors qu'il se masturbait au dessus d'elle.

Depuis leur embarquement à Cannes, elles ne se sentaient jamais en sécurité, par ses propositions et ses attitudes. Elles avaient préféré quitter le bord à la première escale. Bien sûr, elles n'avaient qu'un sac de marin et peu d'argent. Elles sont étudiantes en Creps.

C'est vrai qu'elles étaient très belles, jeunes et sans doute un peu naïves. Elles avaient rencontré un membre de l'équipage qui jouait sans doute le rôle de rabatteur leur proposant de participer au service contre hébergement.

Deux blondes d'à peine vingt ans, bien proportionnées à la poitrine généreuse, sportives avec un joli minois. Il n'en fallait pas plus pour réveiller la libido d'un vieux pervers.

Nous parlons un peu de leur expérience nautique et de la manière dont nous vivons à bord.
Nous leur expliquons que dès que nous le pouvons, nous sommes nus mais que rien n'est imposé.

Je me montre très explicite en caressant la bosse de chacun de mes partenaires et je leur demande si cela les choque.

Elles me répondent que rien n'est choquant si c'est librement consentie. Elles ajoutent qu'elles aiment aussi se baigner nues.
Elles nous disent qu'elles sont en couple libre depuis plusieurs mois et si cela nous choque.

Les garçons froncent les sourcils et leurs demandent si elles n'aiment que les femmes.

Elles rient et répondent que les garçons sont brutaux, égoïstes et maladroits. Elles pratiquent un sport à haut niveau et que c'est une pratique très courante dans les clubs. On peut aimer le vin et la bière.
Je ris aussi en disant qu'ils doivent nous mériter.

Nous confectionnons le repas et elles se montrent actives et inventives. Nous leur proposons de passer quelques jours ensembles puis de voir si cela convient. C'est vrai qu'elles sont sympas et n'ont pas froids aux yeux.

Nous dormons dans le carré que nous partageons à trois où nous avons un grand lit en abaissant la table et nous leur affectons le triangle avant séparé par le compartiment toilettes.

Nous quittons le port trop bruyant pour la crique paradisiaque de l'ermite.

J'ai très envie de le retrouver et sans attendre, je pars à sa rencontre à la nage.
Nous nous embrassons longuement puis après un verre de bienvenue, il me tend des vêtements militaires bien trop grands pour moi et me propose de découvrir les environs. Il doit récolter des baies et relever quelques collets. Je le suis au milieu du maquis odorant. Il n'y a pas âme qui vive et nous arrivons sur une nouvelle plage encore plus belle.

Nous quittons nos vêtements pour plonger dans les rouleaux. Puis il sort de son sac de quoi se sustenter. Après, nous nous allongeons sur un tapis d'aiguilles de pin pour digérer
Mon doigt courre sur ses cicatrices sur son flanc, il me raconte sa vie, la période où il était légionnaire et la blessure qu'il a reçu en opération. C'est durant cette période qu'il a connu la Corse et les techniques de survie mais il quitte l'île régulièrement pour travailler sur le continent.

J'embrasse et je lèche ses blessures, sa peau est halée comme un bon pain et salée puis nos lèvres se rejoignent. Nos baisers sont passionnés et durent une éternité.
Ses gestes sont doux et tendres, il me caresse en me serrant contre lui . Son corps est à la fois fin et puissant, souple et résistant. Je sens battre son cœur et son vit contre mon ventre. Nous restons enlacés un très long moment comme si le temps était suspendu, mes bras autour de son cou, les siens autour de ma taille. Sa bouche embrasse mon cou et il me murmure des mots doux, combien je suis belle et douce. Je lui réponds qu'il est Neptune fort et puissant mais imprévisible.

Quel contraste avec ma soirée précédente, lui, un militaire qui a sans doute vu des horreurs, me faire l'amour aussi tendrement.

Je descends et j'embrasse sa poitrine, son ventre et je lèche son sexe long et noueux. Je l'embrasse et le prend en bouche. Ma langue récupère le sel puis s'enroule autour de son gland. Je le suçote comme un bonbon avant de l'avaler. Mon nez est au contact de son pubis quand il me saisit par les jambes et me mange. Il me dévore, suçant et aspirant mon pistil, je m'active sur sa tige, serrant les lèvres, l'écrasant de ma langue contre mon palais, alternant petits coups rapides et longues pénétrations. De sa main, il retient ma tête pour retarder sa jouissance, il veut que j'atteigne l'orgasme en premier. Sa langue fait des ravages et finit par me transporter. Je suis sur un petit nuage.

Son excitation est retombée mais je l'embrasse voluptueusement, cherchant mon odeur. Il me caresse tendrement et je m'assoupis dans ses bras. Épuisée par ma nuit précédente et les instants présents.


A mon réveil il est debout devant moi, je m'assois, prends ses fesses à pleine main et je saisis sa verge qui pend entre ses cuisses. Il s'approche à me toucher, je le masturbe quelques secondes et ma bouche s'en empare. Je le sens grandir en moi, je le mange et entame une série de va et viens.
J'aime ce moment où j'excite mon partenaire, j'ai le sentiment de mener le jeu, je peux m'arrêter là et laisser le gars en plan et le regarder se masturber devant moi mais là, ce n'est pas le cas, au contraire, je veux le remercier du plaisir qu'il m'a donné. Je m'applique et caresse ses bourses.

Il se détache de moi et s'allonge sur moi, il m'embrasse, caresse ma vulve puis me pénètre. Son pubis cogne contre le mien et je sens qu'il bute sur ma matrice, il ondule avec des mouvements amples, ressort pour me pénétrer à nouveau. Il accélère et je sens qu'il jouit. Mon plaisir est là aussi mais j'ai envie qu'il continue.

Nous allons nous baigner, le soleil décline et nous prenons le chemin du retour.


Mes amis sont sur la plage autour d'un feu de camp, nous partageons leur repas avant de retourner nous coucher. Paul s'installe pour une nuit à la belle étoile avec les deux filles qui partagent le même sac de couchage.
François quant à lui, responsable du bateau, retourne à bord.

Au petit matin, je sens sa tige au garde à vous, ce qui me fait rire, je monte sur lui et je le positionne à l'entrée de ma vulve, je suis humide, j'ai envie de lui et je coulisse sur sa verge. Je me caresse en même temps qu'il saisit mes seins, se redresse et mordille mes pointes. Il me retourne et me pilonne comme un marteau piqueur. Où est passé le tendre amant de la veille ?
C'est un véritable soudard qui me perfore de tout son poids. Néanmoins, je dégouline, je suis un pantin désarticulé entre ses mains et j'aime sentir sa fougue et sa puissance, il me relève et je suis à quatre pattes sur le lit, la tête sur l'oreiller. La pénétration est encore plus forte, le rythme plus soutenu et nous jouissons de concert avant de s'écrouler.

C'est la faim qui nous réveille, mes amis sont à bord et c'est à la nage que je les rejoints.

François ne dit rien, je le sens renfrogné. A-t-il mal dormi ou est-il jaloux ?
Paul au contraire est très épanoui. Il semblerait que sa nuit lui a réservé plein de surprises.
A suivre….