L'inspectrice - histoire érotique

L'inspectrice.

Le siège m'avait informé de la venue d'une inspectrice en fin d'exercice annuel . Je devrais lui fournir tous les documents comptables et différents documents administratifs, fournisseurs….
Le jour même, est arrivée une personne ultra maquillée dans une tenue provocante à tel point que le vigile lui a refusé l'accès à mes bureaux. Il a fallu qu'elle prouve son identité et que je vienne l'accueillir.

Chaussée d'escarpins, bas résilles, mini jupe en skaï rouge, corsetée sous les seins, les épaules nues, des créoles et tatouages complétaient le tableau.

Elle était accompagnée d'un jeune homme mince, blond, très effacé et déférant.


Toute la matinée fut occupée par la vérification de tous les comptes, gestion du personnel, relation avec la direction… Elle se montrait directive, exigeante et compétente.

Cordiale en fin de matinée, nous sommes allés dans le restaurant habituel pour ce genre de rencontre professionnelle dans un cadre charmant en campagne loin de la zone commerciale.

Pas une fois, le jeune homme me fut présenté. Il était invisible, lui ouvrant les portes, prenant son manteau, portant sa mallette et son ordinateur...

A peine installés un peu à l'écart, la rencontre prit une tournure plus équivoque. Elle m'interrogea sur ma situation personnelle, mes goûts et mes loisirs.
Concernant l'inspection, elle me dit que tout était conforme aux données qu'elle avait déjà consultées au siège mais elle voulait vérifier de visu la bonne tenue de l'établissement et contrôler certains points .
Elle voulait aussi me rencontrer en chair et en os. Elle ne me cacha pas que j'avais fait bonne impression et que je recevrai rapidement les conclusions avec quelques remarques.
Elle me demanda aussi si je trouvais mon salaire justifié et si je voulais évoluer dans l'entreprise.

Divorcé, une fille étudiante, je lui dis que j'étais mobile et que j'étais ouvert à toutes propositions de sa part.

Évidemment sa tenue et sa posture m'interrogeaient. Tandis que nous attaquions le fromage accompagné d'un chablis, elle me fit remarquer que j'avais un personnel beaucoup plus masculin que la moyenne.
Je lui dit qu'effectivement, je préfère les hommes dans mes relations professionnelles avec qui les rapports sont plus directs.

Puisque nous étions aux confidences, je l'interrogeais sur la présence de son secrétaire.

Elle me laissa entendre qu'il lui était très dévoué en lui pinçant l'oreille, ce qui éveilla encore plus ma curiosité.
Alors que nous avions pris un menu gastronomique au frais de la société, elle avait commandé pour lui un seul plat très simple.
Je lui en demandais la raison. Elle aurait pu me dire qu'il était intolérant à certains aliments ou qu'il devait suivre un régime strict.
Elle rit de ma naïveté et m'affranchit clairement : J'ai un profond mépris pour les hommes faibles. Vous avez devant vous un exemple. Je l'ai repéré au sein de l'entreprise. Je l'ai formé et il me doit beaucoup à commencer par les fautes que j’ai réparées.

Par contre je vois en vous un homme séduisant, capable, non dénué de charme et ambitieux . J’aimerai approfondir cette relation.
J'ai un TGV à prendre et je compte sur vous ce week-end.
Vous recevrez mes instructions par mail.
Raccompagnez nous à la gare.
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Le samedi suivant, elle m'avait donné rendez vous dans une brasserie parisienne. Arrivée avec vingt minutes de retard, vêtue d'une combinaison en latex qui la moulait des pieds au buste, un boléro et des bottines en cuir rouge.
Elle m'intima l'ordre de la suivre. Dans l'étroit ascenseur, je respirais son parfum capiteux.
« Prêt pour une soirée inoubliable ? Je vais voir si tu as des couilles. Avant toute chose tu mets cette cagoule . »
Je savais la rencontre sulfureuse mais je voulais savoir. Nous avions trop longtemps joué au chat et à la souris, moi étant la souris en l'occurrence….
j'ai entendu la lourde porte s'ouvrir dans cet immeuble haussmannien. Puis un personne derrière moi m’a enlevé ma veste, mon pull et ma chemise. Torse nu, on m'a attaché les mains dans le dos puis après quelques pas on m'a basculé sur un matelas ferme recouvert de skaï.
On m'a enlevé chaussures, pantalon et boxer.
Mon inspectrice s'approche de mon oreille et chuchote : « Alors comme ça , on préfère embaucher des hommes. Discrimination !
- On a peur des femmes… Vingt coups martinet.
- Et après tu gouteras à mon chéri et je ferai quelques photos pour ma collection personnelle.
- Tu veux un meilleur poste et un meilleur salaire, il faut le mériter. »

A peine la dernière parole prononcée, une volée de coups s'abattirent sur mon postérieur, du dos aux cuisses. Je gémis silencieusement sous ma cagoule. Je fus retourné sur le dos et elle vint s’assoir sur mon visage. Elle m'écrasait de tout son poids, le latex couvrant ma bouche.
Le pire était mon sexe en érection, je sentis une bouche l'engloutir. Ce ne pouvait qu'être que le charmant garçon qui l'accompagne en permanence.

Il s'appliqua à me faire une fellation soutenue, gobant mes testicules, léchant le périnée, il releva mes jambes qu'elle saisit et il s'occupa de mon anus, salivant beaucoup et glissant sa lange à l'entrée.
Bien que novice en la matière, j'ai apprécié la nouveauté.
Je découvrais une autre facette de ma personnalité, j'avais plaisir à être leur jouet.

Quelques minutes plus tard un objet se présentait sur ma corolle.
Un embout lisse et souple s'insère et rapidement je sens mon anneau le bloquer. Le cône se retire et revient en insistant de plus en plus. Je pousse comme on me le suggère puis il cède. Je me sens pénétré, la légère douleur passée je ressens du plaisir.
Le plug a pris sa place, mon visage est libéré, ma cagoule enlevée. Je m'aperçois que son secrétaire porte une cage de chasteté en métal, il a des anneaux sur les tétons et un rosebud orne son anus.

L'inspectrice revient, nue, la peau ridée et très bronzée, des seins siliconés, un peu de culotte de cheval, un ventre plat et toujours très maquillée.

Son larbin prend ma place, la tête au bord du lit. Elle vient s'assoir sur sa bouche et il commence un cunnilingus. Elle se cambre et me demande de la pénétrer en levrette.
Mes couilles frottent sur le menton de son ‘secretaire’, je la sens bien, ma verge tape sur son utérus. Elle me demande d'accélérer et je finis par jouir, couché sur elle, les mains toujours entravées dans le dos. Je me relève et je vois mon sperme couler sur la bouche du larbin.

Une fois sommairement nettoyée, elle me prend par la verge et m'amène dans la douche. Elle m'enlève brutalement le plug et entreprend de me laver en insistant sur mes endroits sensibles.
Elle m'envloppe dans un peignoir parfumé pour m'allonger sur un transat au soleil couchant après m'avoir complètement libéré.
Allongée à côté de moi, nous savourons en silence l'instant. Nous entendons la circulation parisienne quatre étages plus bas.
Je constate que son appartement est pratiquement sur les toits sans vis à vie.
Le larbin nous amène un brunch alors que la nuit tombe.

Il est vêtu d'un boubou africain très coloré diaphane, fendu sur le côté sous lequel il est nu puis après nous avoir servi,il s'assit sur un pouf à même le sol.
Rompant le silence, elle me parla de sa sexualité puis me congédia, très contente de notre rencontre.

Je reçu ensuite plusieurs mails et photos explicites.
Quelques mois plus tard, j'obtins une belle promotion pour la direction d'un établissement plus prestigieux dans le sud.
Comme quoi, la promotion canapé concerne aussi la gente masculine.

J'ai entendu dire qu’elle avait démissionné suite à des rumeurs d'harcèlement….