Croisière 5
Récit érotique écrit par Sucette [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-01-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Croisière 5
Rappel des faits : Suite de notre aventure en Corse, à bord d'un voilier dans les années 80. Nous sommes partis à trois, deux garçons et moi. Puis deux autres filles nous ont rejoints. Elles sont jeunes et très belles et vivent ensembles.
Nous avons mouillé dans une crique sauvage mais à la suite d'un orage et d'une partie du bateau inondée, nous avons dû dormir tous ensemble, soirée qui a fini en orgie.
Le matin, au réveil, ce sont deux mats qui pointent en l'air, nous en profitons pour les branler puis les sucer et enfin se faire pénétrer, nous finissons par se mettre à genoux en travers de la couche pour les recevoir en levrette à tour de rôle. Les garçons tiennent la cadence un bon moment avant d’éjaculer sur nos fesses.
J'offre ma bouche pour les nettoyer, les deux autres vont se laver aux toilettes.
Un soleil radieux inonde le carré et le cockpit. Les performances du matin nous ont ouvert l'appétit et nous confectionnons un brunch car la matinée est bien avancée. Puis baignade et plongée pour admirer ces fonds marins et tenter d’améliorer l'ordinaire par du poisson frais.
Au cours du repas, les langues se délient avec un rosé qui accompagne les grillades. Les garçons veulent en savoir plus sur les relations homosexuelles des deux filles. Perle leur raconte qu'elle a été traumatisée par le comportement de son père violent avec sa mère et ses enfants voire incestueux. elle trouve du réconfort et de l'affection qui lui a manqué chez Flo qui est solide et aimante.
Les relations sont venues naturellement par des confidences puis sous la douche et dans les chambres qu'elles ont partagées en stage.
Elle n'a jamais connu de garçon et pour elle, ces deux dernières nuits sont une découverte. Elle a aimé partager son plaisir avec son amie et sous ses yeux. Depuis longtemps, elle avait envie de sexe avec des hommes pour voir.
Dans une autre situation, elle ne sait pas si elle aurait franchi le pas et s'abandonner autant. L'expérience lui a plu et elle est prête à aller plus loin.
Flo de son côté se sent lesbienne depuis toujours, elle aime les jeux de garçons avec ses frères, se battre et pour elle, il ne s'agit que d'un jeu. Elle avoue que seul, l'aspect sexuel l'intéresse, qu'effectivement une véritable verge, c'est mieux qu’un godemichet. Mais rien remplace une bouche féminine et qu’elle se sent uniquement clitoridienne.
Elle ajoute qu'elle est prête à aller plus loin en compagnie de Perle et que cette croisière est un moment privilégié pour se connaître davantage et qu'elle apprécie énormément les deux garçons.
Je renchéris sur l'esprit qui règne à bord. Pas de jalousie, que du plaisir. Tout est permis, rien n'est imposé. Pour ma part, je ne me sens pas attirée par les filles mais je ne suis pas hostile non plus, bien au contraire. J'ai eu un petit ami très jeune et pas de véritable amie fille pour découvrir la sexualité. Cela ne s'est pas trouvé.
Les garçons trouvent excitant de voir deux filles s'aimer mais voudraient participer.
Ce qui me gêne, c'est leur absence de contraceptif et je les interroge sur les risques qu'elles prennent.
A cette époque, le Sida n'avait pas fait son apparition et l'usage des capotes était pratiquement inconnu en dehors de la prostitution.
On craignait simplement les maladies vénériennes.
Flo nous a répondu qu'elle avait arrêté la pilule n'en n'ayant pas besoin et Perle nous a dit qu'elle souffrait des effets secondaires.
François doctement nous a dit qu'il existait deux méthodes : Le retrait ou la sodomie.
Grand silence… Flo et son amie ont froncé les sourcils. J'ai rigolé, « Chiche ! » me suis je exclamée, « vous verrez cela peut vous surprendre. » d'un ton énigmatique.
C'est Paul qui m'a interrogé. : « Tu connais ? Franchement, raconte. »
Eh bien d'abord il faut être en confiance, détendu, en avoir parlé et en avoir envie. Un lavement avec une poire est souhaitable. Ensuite, il faut des préliminaires : Le ou la partenaire peut lécher l'anus, y mettre un doigt, en ajouter un second avec un corps gras, le beurre convient très bien, effectuer des rotations, ajouter un troisième doigt ou un objet , une carotte par exemple ou une verge bien graissée. Appuyer doucement. Demander à la partenaire de se détendre, de pousser comme aux toilettes et à ce moment là, on peut continuer la pénétration . Marquer un temps d'arrêt, laisser le rectum accepter l'intromission, puis continuer la progression.
En cas de douleur, de plainte, il faut stopper voire se retirer.
Quel que soit les idées reçues , l'anus est très souple et c'est une zone très érogène. On peut y prendre beaucoup de plaisir surtout les garçons entre eux m'a-t-on dit
.
La discussion a rebondi sur l'amour entre filles. Flo a décrit tout ce que les filles aiment : La douceur , la sensualité, les caresses sur tout le corps, les baisers, les suçons, l'excitation qui monte, les mots d'amour. Et puis aussi la stimulation des organes génitaux, plus ou moins brutale, l'utilisation de godemichet, l'intromission d'objets , voire des pratiques plus dégradantes.
Certaines filles du club sont de vrais maîtresses sadiques utilisant leur amoureuse comme servante.
Elle avait entendu une fille qui avait vu deux autres uriner sur la figure d'une troisième dans les douches. Elle était consentante et semblait en avoir l'habitude.
Nous avons récupéré nos affaires sèches et ranger nos affaires. Le vent s'est levé et nous avons appareillé.
Quelques heures plus tard, nous sommes arrivés au port où nous avons pu prendre une vraie douche.
Habillés de vêtements propres, nous sommes allés dans une pizzeria. Au retour, notre petit couple a réintégré sa chambre et nous trois le carré avec son lit King size.
Nous entendions les filles rire comme des folles, nous, nous étions tendrement enlacés moi au milieu.
Une lumière diffuse arrivait par les hublots, j'étais quasiment nue dans une nuisette diaphane. Les garçons, torse nu avec simplement un short échancré.
Au bout d'un moment, François s'est tourné vers moi et j'ai senti sa verge en érection contre mes fesses, il m'a chuchoté qu'il aimerait bien emprunter cette voie. C'est vrai que sa verge longue et fine est toute indiquée, je lui dis qu'il faut me préparer.
Nous sortons du lit sous les yeux de Paul, il prend une crème dans la pharmacie puis entame un léchage de mon anus, il salive beaucoup, rentre la langue puis un doigt, coulisse en mettant de la crème sous les yeux de Paul qui assis sur le lit, me caresse.
Je me mets à genoux sur le lit, la tête dans les bras, le postérieur relevé, François se positionne et me pénètre doucement, je le sens buter sur mon anneau, une petite poussée de ma part, je sens qu'il cède, une petite douleur disparait très vite quand je le sens coulisser en moi, je me caresse le clitoris fébrilement et je le sens éjaculer en même temps que j'atteins l'orgasme sous les yeux de Paul qui se masturbe à quelques centimètres de mes lèvres.
Je suis à peine revenue sur terre que Paul me demande en substance, s'il peut prendre la suite. Je ne suis pas irritée et comme je l'aime bien, j’acquiesce.
Je commence par le sucer puis je l'enduis de crème, son sexe est beaucoup plus gros, l'intromission se fait néanmoins plus facilement et le coït plus jouissif et dure plus longtemps, je me caresse aussi et François revient propre et en peine forme. Il me demande si c'est possible d'en avoir une autre dans le vagin. Je m'interroge sur la faisabilité. Au point où l'on est, pourquoi ne pas essayer.
Je demande à François de se coucher sur le lit, je m'empale et je présente mon vagin à Paul qui se présente simultanément à l'entrée.
Pendant que François décule, Paul parvient à me pénétrer, quand je retombe, j'ai les deux sexes en moi, je sens les deux glands simplement séparés par la mince parois de mon vagin. Je me sens écartelée, remplie, effectivement le rectum est très souple quant au vagin, il est fait pour laisser passer un bébé.
Mes deux partenaires essayent de coordonner leurs mouvements. François m'attrape par les seins qu'il serre fortement, Paul bute sur mon col. François s'immobilise. C'est le sexe de Paul qui le masturbe à l'intérieur de mon conduit, c'est pour lui une sensation nouvelle. Le sexe de Paul fin et recourbé me procure beaucoup de plaisir à l'intérieur de mon vagin, je suis sur le point de jouir quand il accélère et éjacule.
C'est en me masturbant encore avec frénésie que j'atteins un nouvel orgasme libérateur.
Une petite toilette sommaire achève notre partie hors du commun. Les garçons m'embrassent et me chuchotent des mots doux pour me remercier d'avoir réalisé un de leurs fantasmes. Et nous trouvons enfin le sommeil.
A suivre ….
Nous avons mouillé dans une crique sauvage mais à la suite d'un orage et d'une partie du bateau inondée, nous avons dû dormir tous ensemble, soirée qui a fini en orgie.
Le matin, au réveil, ce sont deux mats qui pointent en l'air, nous en profitons pour les branler puis les sucer et enfin se faire pénétrer, nous finissons par se mettre à genoux en travers de la couche pour les recevoir en levrette à tour de rôle. Les garçons tiennent la cadence un bon moment avant d’éjaculer sur nos fesses.
J'offre ma bouche pour les nettoyer, les deux autres vont se laver aux toilettes.
Un soleil radieux inonde le carré et le cockpit. Les performances du matin nous ont ouvert l'appétit et nous confectionnons un brunch car la matinée est bien avancée. Puis baignade et plongée pour admirer ces fonds marins et tenter d’améliorer l'ordinaire par du poisson frais.
Au cours du repas, les langues se délient avec un rosé qui accompagne les grillades. Les garçons veulent en savoir plus sur les relations homosexuelles des deux filles. Perle leur raconte qu'elle a été traumatisée par le comportement de son père violent avec sa mère et ses enfants voire incestueux. elle trouve du réconfort et de l'affection qui lui a manqué chez Flo qui est solide et aimante.
Les relations sont venues naturellement par des confidences puis sous la douche et dans les chambres qu'elles ont partagées en stage.
Elle n'a jamais connu de garçon et pour elle, ces deux dernières nuits sont une découverte. Elle a aimé partager son plaisir avec son amie et sous ses yeux. Depuis longtemps, elle avait envie de sexe avec des hommes pour voir.
Dans une autre situation, elle ne sait pas si elle aurait franchi le pas et s'abandonner autant. L'expérience lui a plu et elle est prête à aller plus loin.
Flo de son côté se sent lesbienne depuis toujours, elle aime les jeux de garçons avec ses frères, se battre et pour elle, il ne s'agit que d'un jeu. Elle avoue que seul, l'aspect sexuel l'intéresse, qu'effectivement une véritable verge, c'est mieux qu’un godemichet. Mais rien remplace une bouche féminine et qu’elle se sent uniquement clitoridienne.
Elle ajoute qu'elle est prête à aller plus loin en compagnie de Perle et que cette croisière est un moment privilégié pour se connaître davantage et qu'elle apprécie énormément les deux garçons.
Je renchéris sur l'esprit qui règne à bord. Pas de jalousie, que du plaisir. Tout est permis, rien n'est imposé. Pour ma part, je ne me sens pas attirée par les filles mais je ne suis pas hostile non plus, bien au contraire. J'ai eu un petit ami très jeune et pas de véritable amie fille pour découvrir la sexualité. Cela ne s'est pas trouvé.
Les garçons trouvent excitant de voir deux filles s'aimer mais voudraient participer.
Ce qui me gêne, c'est leur absence de contraceptif et je les interroge sur les risques qu'elles prennent.
A cette époque, le Sida n'avait pas fait son apparition et l'usage des capotes était pratiquement inconnu en dehors de la prostitution.
On craignait simplement les maladies vénériennes.
Flo nous a répondu qu'elle avait arrêté la pilule n'en n'ayant pas besoin et Perle nous a dit qu'elle souffrait des effets secondaires.
François doctement nous a dit qu'il existait deux méthodes : Le retrait ou la sodomie.
Grand silence… Flo et son amie ont froncé les sourcils. J'ai rigolé, « Chiche ! » me suis je exclamée, « vous verrez cela peut vous surprendre. » d'un ton énigmatique.
C'est Paul qui m'a interrogé. : « Tu connais ? Franchement, raconte. »
Eh bien d'abord il faut être en confiance, détendu, en avoir parlé et en avoir envie. Un lavement avec une poire est souhaitable. Ensuite, il faut des préliminaires : Le ou la partenaire peut lécher l'anus, y mettre un doigt, en ajouter un second avec un corps gras, le beurre convient très bien, effectuer des rotations, ajouter un troisième doigt ou un objet , une carotte par exemple ou une verge bien graissée. Appuyer doucement. Demander à la partenaire de se détendre, de pousser comme aux toilettes et à ce moment là, on peut continuer la pénétration . Marquer un temps d'arrêt, laisser le rectum accepter l'intromission, puis continuer la progression.
En cas de douleur, de plainte, il faut stopper voire se retirer.
Quel que soit les idées reçues , l'anus est très souple et c'est une zone très érogène. On peut y prendre beaucoup de plaisir surtout les garçons entre eux m'a-t-on dit
.
La discussion a rebondi sur l'amour entre filles. Flo a décrit tout ce que les filles aiment : La douceur , la sensualité, les caresses sur tout le corps, les baisers, les suçons, l'excitation qui monte, les mots d'amour. Et puis aussi la stimulation des organes génitaux, plus ou moins brutale, l'utilisation de godemichet, l'intromission d'objets , voire des pratiques plus dégradantes.
Certaines filles du club sont de vrais maîtresses sadiques utilisant leur amoureuse comme servante.
Elle avait entendu une fille qui avait vu deux autres uriner sur la figure d'une troisième dans les douches. Elle était consentante et semblait en avoir l'habitude.
Nous avons récupéré nos affaires sèches et ranger nos affaires. Le vent s'est levé et nous avons appareillé.
Quelques heures plus tard, nous sommes arrivés au port où nous avons pu prendre une vraie douche.
Habillés de vêtements propres, nous sommes allés dans une pizzeria. Au retour, notre petit couple a réintégré sa chambre et nous trois le carré avec son lit King size.
Nous entendions les filles rire comme des folles, nous, nous étions tendrement enlacés moi au milieu.
Une lumière diffuse arrivait par les hublots, j'étais quasiment nue dans une nuisette diaphane. Les garçons, torse nu avec simplement un short échancré.
Au bout d'un moment, François s'est tourné vers moi et j'ai senti sa verge en érection contre mes fesses, il m'a chuchoté qu'il aimerait bien emprunter cette voie. C'est vrai que sa verge longue et fine est toute indiquée, je lui dis qu'il faut me préparer.
Nous sortons du lit sous les yeux de Paul, il prend une crème dans la pharmacie puis entame un léchage de mon anus, il salive beaucoup, rentre la langue puis un doigt, coulisse en mettant de la crème sous les yeux de Paul qui assis sur le lit, me caresse.
Je me mets à genoux sur le lit, la tête dans les bras, le postérieur relevé, François se positionne et me pénètre doucement, je le sens buter sur mon anneau, une petite poussée de ma part, je sens qu'il cède, une petite douleur disparait très vite quand je le sens coulisser en moi, je me caresse le clitoris fébrilement et je le sens éjaculer en même temps que j'atteins l'orgasme sous les yeux de Paul qui se masturbe à quelques centimètres de mes lèvres.
Je suis à peine revenue sur terre que Paul me demande en substance, s'il peut prendre la suite. Je ne suis pas irritée et comme je l'aime bien, j’acquiesce.
Je commence par le sucer puis je l'enduis de crème, son sexe est beaucoup plus gros, l'intromission se fait néanmoins plus facilement et le coït plus jouissif et dure plus longtemps, je me caresse aussi et François revient propre et en peine forme. Il me demande si c'est possible d'en avoir une autre dans le vagin. Je m'interroge sur la faisabilité. Au point où l'on est, pourquoi ne pas essayer.
Je demande à François de se coucher sur le lit, je m'empale et je présente mon vagin à Paul qui se présente simultanément à l'entrée.
Pendant que François décule, Paul parvient à me pénétrer, quand je retombe, j'ai les deux sexes en moi, je sens les deux glands simplement séparés par la mince parois de mon vagin. Je me sens écartelée, remplie, effectivement le rectum est très souple quant au vagin, il est fait pour laisser passer un bébé.
Mes deux partenaires essayent de coordonner leurs mouvements. François m'attrape par les seins qu'il serre fortement, Paul bute sur mon col. François s'immobilise. C'est le sexe de Paul qui le masturbe à l'intérieur de mon conduit, c'est pour lui une sensation nouvelle. Le sexe de Paul fin et recourbé me procure beaucoup de plaisir à l'intérieur de mon vagin, je suis sur le point de jouir quand il accélère et éjacule.
C'est en me masturbant encore avec frénésie que j'atteins un nouvel orgasme libérateur.
Une petite toilette sommaire achève notre partie hors du commun. Les garçons m'embrassent et me chuchotent des mots doux pour me remercier d'avoir réalisé un de leurs fantasmes. Et nous trouvons enfin le sommeil.
A suivre ….
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