En remontant la rivière

Récit érotique écrit par Provence [→ Accès à sa fiche auteur]
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En remontant la rivière
L'histoire se passe en Provence, en juin.
Je suis Marc, 30 ans, plutôt beau gosse et bien musclé par quelques années de sport durant mes études.
Ma femme, 31 ans, Coralie, est également très jolie avec ses seins volumineux et ses fesses bien rebondies qu'elle met souvent en valeur dans des leggins. Deux demies-lunes de toutes beauté qui attirent tous les regards des hommes mais elle m'aime profondément et sans doute pour un truc, c'est que j'ai un énorme sexe. Pas tellement qu'il est long, pour ça c'est assez normal mais il a un sacré diamètre et elle adore que je la fourre après l'avoir brouté.
Depuis quelques temps, quand on est pas d'accord sur un point (et ça arrive souvent dans un couple), on parie un gage que devra exécuter le perdant. Cela a été une fellation dans la voiture dans un parking desert pour elle ou bien me laisser photographier en portant des dessous feminins pour moi. Rien qui allait trop loin.
Là, pourtant, elle a perdu. Je ne sais même plus pourquoi (et peu importe) mais elle a perdu gros et je lui prépare un gage plus costaud que d'habitude.
On est en congés et en Provence, ce ne sont pas les rivières qui manquent dans des gorges tranquilles. Que ce soit le Var, Les Alpes de Haute Provence ou le Vaucluse, les coins sont connus mais pas encore fréquentés à cette période.
On décide d'aller randonner dans une de ces gorges.
On se gare sur un parking, sur la partie haute des gorges puis on prend le sentier qui va nous amener tout en bas. Nous remonterons par le cours d'eau, dans l'eau.
On se fait des bisous, je la photographie fréquemment alors qu'elle prend des poses sugestives. Elle se doute de quelque chose mais ma Coralie ne sait pas ce que j'ai en tête.
Après plusieurs kilomètres, à la mise à l'eau, pour elle, c'est la surprise, à la place de son maillot de bain, elle ne trouve que son paréo.
- Mais t'as touché mon sac à dos, chéri ?
- Oui, c'est le moment d'exécuter ton gage ma puce.
- C'est à dire ?
- Tu va faire toute la remontée de la rivière nue. Tu gardes tes chaussures, ton chapeau mais rien du tout entre les deux, sauf si on croise des groupes de randonneurs et que je suis d'accord pour que tu mettes ton paréo.
- Ben ....
- Tu as perdue ma puce, tu dois t'exécuter.
Elle râle un peu mais se déshabille sans trop discuter. Finallement, le fait de promener toute nue tout au long de quelques kilomètres peu fréquentés, c'est un piment dans notre couple qu'elle accepte.
On démarre donc la remontée de la rivière. J'ai son paréo dans mon sac, près à être sorti si je le veux mais elle doit rester comme ça.
Bien sûr, avec mon appareil, je continue à la photographier. Je la mitraille nue, une jambe un peu relevée pour prendre appui et se redresser sur un rocher à escalader ou ses superbes fesses en arrière. Elle joue avec moi et semble assez émoustillée par cette nudité peu commune pour elle.
Et patatras ... on tombe sur un couple allongés sur une petite plage et eux aussi ils sont nus ! Ont-ils perdu un paris tous les deux ?
Je lui refuse le paréo et on s'approche. Ils sont etonnés de nous voir arriver nue pour elle et en maillot pour moi.
Je leur explique le gage : elle doit se laisser photographier sans retenue durant toute la remontée de la rivière.
Je leur demande s'ils acceptent que les deux femmes posent ensemble si moi aussi, je passe en mode "tout nu". Là, pour eux, c'est la surprise de voir mon engin mais bon, si sa femme laisse un oeil plus longtemps dessus, elle ne dit rien pour autant.
On se présente mutuellement. Lui, nous dit se prénomer Pierre. C'est un maigrichon. Elle, Sandrine, est une metisse. Elle vient des Antilles et porte fièrement une paire de sein aussi gros que ceux de ma Coralie mais avec un cul qui va avec : énorme. Ils sont plus jeunes que nous, sans doute 25 ans, pas plus.
Pour le fun, ils acceptent et les voila les deux femmes nues sur la même serviette de bain, l'une contre l'autre pour quelques photos, à nous émoustiller. Pierre, me fait remarquer qu'elle sont sensiblement le meme volume de seins, mais que ma Coralie a visiblement des mamelons biens plus gros et plus foncés que sa Sandrine, ce qui est un comble.
Les filles contestent sur un point, chacune estimant en avoir de plus gros seins que l'autre. Coralie envoie la main et soupère ceux de Sandrine. Cette dernière n'est pas en reste et tate ceux de Coralie pour s'assurer que ce sont des vrais.
En plaisantant je dis que Coralie a un dernier atout, c'est que ses tétons sont super sensibles aux caresses et deviennent très gros et très vite. Habillée, dans osn soutien gorge, pas de problème, mais dès que je les caresse, il gonflent vite et beaucoup.
Sandrine teste et commence à faire tourner un téton de Coralie entre deux doigts pour voir. Je lui dit de se lécher les doigts pour recommencer afin de mieux l'exiter.
- "Chiche" dit-elle et hop elle le fait et constate la taille .
Ma chérie adore
- "Tu permet Coralie" et hop, ni une ni deux, elle envoie la tête et suce carrément l'autre un minute.
Pierre est subjugué quand sa femme retire sa bouche. Effectivement, ma Coralie a de très gros tétons. Moi, je me suis régalé à prendre des photos des deux femmes.
Il me demande l'autorisation d'en faire autant car il n'a jamais vu, ni jamais tété des tétons aussi gros.
Sans trop attendre ma réponse, il plonge et sa femme le regarde faire sans réagir plus que ma Coralie.
- Tu sais Marc, si mon Pierre n'a jamais sucé des tétons aussi gros, mois c'est une bite aussi large que la tienne que je n'ai jamais sucé, tu permets ?
- Ben Coralie a l'air bien occupée, alors si tu veux, tu peux une minute.
Coralie ne m'a jamais trompée à ma connaissance. Moi, si j'ai bien regardé quelques fois d'autres femmes, je n'ai jamais cédé et suis toujours resté fidèle mais là, je ne sais pas comment c'est arrivé mais je suis en train de photographier Coralie, allongée sur une serviette de plage, en train de se faire sucer les seins par un type que l'on ne connait pas pendant que sa femme me suce la queue. C'est irréel. Bien sûr j'en profite pour lui demander de relever un peu la tête et la photographier en plein action avec mon gland dans sa bouche.
Coralie émerge un peu de sa torpeur, repousse Pierre et vient voir de près.
- Tu devrais carrément essayer de lui faire une gorge profonde
- Mais ça rentreras jamais complètement, je reste avec juste le gland dans la bouche et c'est déjà pas mal.
- Si essaie, elle est pas si longue, mets tout lentement. regarde.
- arhrhrhrh
- Je vois, laisse me moi essayer encore.
- Et moi ? Demande Pierre qui regarde les deux nanas me sucer pendant que je prends encore des photos.
Les filles éclatent de rire et se regardent. Elle sont d'accord sans même avoir dit un mot, se retournent, prennent Pierre et l'allongent sur la serviette. Ils forment une croix. Sandrine est à gauche, Coralie à droite, toutes les deux à 4 pattes et comment à le sucer à deux, lui aussi.
Ma Coralie est en train de sucer un autre et au lieu de m'énerver, de contester, de protester... je prends des photos.
Je passe derrière Sandrine pour photographier son gros cul. Elle m'a vu tourner dernrière elle et envoie une main pour s'ouvrir les cuisses.
J'envoie aussi une main et bientôt un doigt se promène dans son intimité puis un second.
Pierre ouvre les yeux un moment, voit ma Coralie bien affairée sur lui et me devine plus qu'il me voie en train doigter sa femme. Il n'ose rien dire car veut que Coralise continue.
Tu permets Sandrine ? et hop je profite de sa position pour la prendre en levrette maintenant qu'elle est bien trempée. Elle encaisse mon gros chibre mais forcément, Coralie comprend tout de suite qu'il se passe quelque chose. Elles sont tête contre tête sur la queue de Pierre quand même.
Elle se relève, pousse un peu Sandrine, et je vois qu'elle sort sa main de son entrejambe. Elle se caressait !
Elle enjambe Pierre et s'assoie sur lui, dos à son visage en me regardant.
J'oriente le corps de Sandrine pour qu'elle soit maintenant paralèlle à sont mari. Il est toujours couché sur le dos, sa femme est à quatre pattes en train de prendre une levrette. Ma Coralie est assise sur lui et me regarde avec un air des plus coquins.
Je l'embrasse tendrement. Ce baiser est des plus exitant car enmême temps Pierre et Sandrine s'embrassent aussi.
Quelques minutes plus tard, Sandrine prend son pied. Pierre qui le sait aussitôt, en fait autant ... et moi aussi, je lâche la sauce dans le ventre de Sandrine.
Il n'y a que ma Coralie qui est resté en suspend, sans prendre son pied. Elle râle un peu mais Sandrine trouve vite la solution. Elle l'allonge sur la serviette à la place de Pierre et les deux vont lui boucher la foufoune pendant que je continue mes photos. Visiblement Pierre ne voit pas d'inconvégniant à sucer son propre sperme depuis la foufoune de ma Coralie et si c'est Sandrine qui le propose ...
Bientôt, ils sont côte à côte au desus des jambes de ma Coralie à la sucer.
Je continue mes photos tout en étant encore attiré par l'énorme fessier de Sandrine. Ils sont tous les trois bien occupés. Je tends un doigt puis deux dans le ventre de Sandrine et j'utilise le mélange de mon sperme et de sa mouille pour caresser son petit trou. Elle prend appui avec sa bouche sur le ventre de Coralie, se libère de ses main et les envoie en arrière pour écarter son popotin. Je n'en peu plus de simplement lui caresser, je pénètre d'un puis des deux doigts. Sandrine réagit en gloussant. Pierre se relève et encore une fois découvre ce qui arrive à sa femme mais comment pourrait-il me reprocher de m'amuser avec alors que quelques secondes plus tôt il suçait encore ma femme.
Je prend encore quelques photos de son anus offert, de Pierre qui reprend son action sur ma Coralie. Je bande et ce coup-ci elle va y avoir droit mais dans son cul.
Je présente mon gland contre l'anneau et pousse. Sandrine pousse un peu dans l'autre sens, ce qui me facilite le passage. Je pousse donc plus fermement et c'est fait. J'ai mon gland dans le plus gros cul de ma vie. Que c'est bon. Je pousse lentement et bientôt, je suis à fond. Quand je recule, elle recule aussi pour que je reste au fond. Je prends encore une photo de mon engin dans son trou puis je pose l'appareil photos et la prends par les hanches pour l'empêcher de reculer et je commence mes va et vients. C'est délicieux.
Pierre est remonté sucer les tétons de ma Coralie en la fouillant de deux doigts. Je suis en train, encore une fois de voir ma Coralie toute complaisante avec un autre alors que je me tape le plus gros cul de ma carrière sexuelle. Je suis même étonné de l'avoir rentré aussi facilement alors que je suis si large.
Là, Coralie prend enfin son pied et propose une fellation à Pierre, qui a recommancé à bander lui aussi, depuis que j'ai commencé à doigter le cul de sa femme.
Il reste à 4 pates contre sa femme mais Coralie lui passe dessous en 69 pour le sucer.
Sandrine, Pierre et moi prenont notre pied simultanément. C'était tout simplement génial.
On se met un moment à l'eau pour se laver. Sandrine demande à ma Coralie comment elle fait pour subir des sodomies comme ça avec un gros sexe tout en reconnaissant qu'il est quand même bien vite rentré dans son propre cul. Elle s'inquiète de douleurs avec un peu de retard mais Coralie la rassure. Si je suis rentré, ce n'est pas en force et un cul se dilate assez pour me laisser passer sans la faire souffir si j'y vais doucement.
On rit, on échange nos numéros puis ma Coralie et moi reprenons notre remontée, tout nus tous les deux pour le coup sans plus croiser de monde.
Je suis Marc, 30 ans, plutôt beau gosse et bien musclé par quelques années de sport durant mes études.
Ma femme, 31 ans, Coralie, est également très jolie avec ses seins volumineux et ses fesses bien rebondies qu'elle met souvent en valeur dans des leggins. Deux demies-lunes de toutes beauté qui attirent tous les regards des hommes mais elle m'aime profondément et sans doute pour un truc, c'est que j'ai un énorme sexe. Pas tellement qu'il est long, pour ça c'est assez normal mais il a un sacré diamètre et elle adore que je la fourre après l'avoir brouté.
Depuis quelques temps, quand on est pas d'accord sur un point (et ça arrive souvent dans un couple), on parie un gage que devra exécuter le perdant. Cela a été une fellation dans la voiture dans un parking desert pour elle ou bien me laisser photographier en portant des dessous feminins pour moi. Rien qui allait trop loin.
Là, pourtant, elle a perdu. Je ne sais même plus pourquoi (et peu importe) mais elle a perdu gros et je lui prépare un gage plus costaud que d'habitude.
On est en congés et en Provence, ce ne sont pas les rivières qui manquent dans des gorges tranquilles. Que ce soit le Var, Les Alpes de Haute Provence ou le Vaucluse, les coins sont connus mais pas encore fréquentés à cette période.
On décide d'aller randonner dans une de ces gorges.
On se gare sur un parking, sur la partie haute des gorges puis on prend le sentier qui va nous amener tout en bas. Nous remonterons par le cours d'eau, dans l'eau.
On se fait des bisous, je la photographie fréquemment alors qu'elle prend des poses sugestives. Elle se doute de quelque chose mais ma Coralie ne sait pas ce que j'ai en tête.
Après plusieurs kilomètres, à la mise à l'eau, pour elle, c'est la surprise, à la place de son maillot de bain, elle ne trouve que son paréo.
- Mais t'as touché mon sac à dos, chéri ?
- Oui, c'est le moment d'exécuter ton gage ma puce.
- C'est à dire ?
- Tu va faire toute la remontée de la rivière nue. Tu gardes tes chaussures, ton chapeau mais rien du tout entre les deux, sauf si on croise des groupes de randonneurs et que je suis d'accord pour que tu mettes ton paréo.
- Ben ....
- Tu as perdue ma puce, tu dois t'exécuter.
Elle râle un peu mais se déshabille sans trop discuter. Finallement, le fait de promener toute nue tout au long de quelques kilomètres peu fréquentés, c'est un piment dans notre couple qu'elle accepte.
On démarre donc la remontée de la rivière. J'ai son paréo dans mon sac, près à être sorti si je le veux mais elle doit rester comme ça.
Bien sûr, avec mon appareil, je continue à la photographier. Je la mitraille nue, une jambe un peu relevée pour prendre appui et se redresser sur un rocher à escalader ou ses superbes fesses en arrière. Elle joue avec moi et semble assez émoustillée par cette nudité peu commune pour elle.
Et patatras ... on tombe sur un couple allongés sur une petite plage et eux aussi ils sont nus ! Ont-ils perdu un paris tous les deux ?
Je lui refuse le paréo et on s'approche. Ils sont etonnés de nous voir arriver nue pour elle et en maillot pour moi.
Je leur explique le gage : elle doit se laisser photographier sans retenue durant toute la remontée de la rivière.
Je leur demande s'ils acceptent que les deux femmes posent ensemble si moi aussi, je passe en mode "tout nu". Là, pour eux, c'est la surprise de voir mon engin mais bon, si sa femme laisse un oeil plus longtemps dessus, elle ne dit rien pour autant.
On se présente mutuellement. Lui, nous dit se prénomer Pierre. C'est un maigrichon. Elle, Sandrine, est une metisse. Elle vient des Antilles et porte fièrement une paire de sein aussi gros que ceux de ma Coralie mais avec un cul qui va avec : énorme. Ils sont plus jeunes que nous, sans doute 25 ans, pas plus.
Pour le fun, ils acceptent et les voila les deux femmes nues sur la même serviette de bain, l'une contre l'autre pour quelques photos, à nous émoustiller. Pierre, me fait remarquer qu'elle sont sensiblement le meme volume de seins, mais que ma Coralie a visiblement des mamelons biens plus gros et plus foncés que sa Sandrine, ce qui est un comble.
Les filles contestent sur un point, chacune estimant en avoir de plus gros seins que l'autre. Coralie envoie la main et soupère ceux de Sandrine. Cette dernière n'est pas en reste et tate ceux de Coralie pour s'assurer que ce sont des vrais.
En plaisantant je dis que Coralie a un dernier atout, c'est que ses tétons sont super sensibles aux caresses et deviennent très gros et très vite. Habillée, dans osn soutien gorge, pas de problème, mais dès que je les caresse, il gonflent vite et beaucoup.
Sandrine teste et commence à faire tourner un téton de Coralie entre deux doigts pour voir. Je lui dit de se lécher les doigts pour recommencer afin de mieux l'exiter.
- "Chiche" dit-elle et hop elle le fait et constate la taille .
Ma chérie adore
- "Tu permet Coralie" et hop, ni une ni deux, elle envoie la tête et suce carrément l'autre un minute.
Pierre est subjugué quand sa femme retire sa bouche. Effectivement, ma Coralie a de très gros tétons. Moi, je me suis régalé à prendre des photos des deux femmes.
Il me demande l'autorisation d'en faire autant car il n'a jamais vu, ni jamais tété des tétons aussi gros.
Sans trop attendre ma réponse, il plonge et sa femme le regarde faire sans réagir plus que ma Coralie.
- Tu sais Marc, si mon Pierre n'a jamais sucé des tétons aussi gros, mois c'est une bite aussi large que la tienne que je n'ai jamais sucé, tu permets ?
- Ben Coralie a l'air bien occupée, alors si tu veux, tu peux une minute.
Coralie ne m'a jamais trompée à ma connaissance. Moi, si j'ai bien regardé quelques fois d'autres femmes, je n'ai jamais cédé et suis toujours resté fidèle mais là, je ne sais pas comment c'est arrivé mais je suis en train de photographier Coralie, allongée sur une serviette de plage, en train de se faire sucer les seins par un type que l'on ne connait pas pendant que sa femme me suce la queue. C'est irréel. Bien sûr j'en profite pour lui demander de relever un peu la tête et la photographier en plein action avec mon gland dans sa bouche.
Coralie émerge un peu de sa torpeur, repousse Pierre et vient voir de près.
- Tu devrais carrément essayer de lui faire une gorge profonde
- Mais ça rentreras jamais complètement, je reste avec juste le gland dans la bouche et c'est déjà pas mal.
- Si essaie, elle est pas si longue, mets tout lentement. regarde.
- arhrhrhrh
- Je vois, laisse me moi essayer encore.
- Et moi ? Demande Pierre qui regarde les deux nanas me sucer pendant que je prends encore des photos.
Les filles éclatent de rire et se regardent. Elle sont d'accord sans même avoir dit un mot, se retournent, prennent Pierre et l'allongent sur la serviette. Ils forment une croix. Sandrine est à gauche, Coralie à droite, toutes les deux à 4 pattes et comment à le sucer à deux, lui aussi.
Ma Coralie est en train de sucer un autre et au lieu de m'énerver, de contester, de protester... je prends des photos.
Je passe derrière Sandrine pour photographier son gros cul. Elle m'a vu tourner dernrière elle et envoie une main pour s'ouvrir les cuisses.
J'envoie aussi une main et bientôt un doigt se promène dans son intimité puis un second.
Pierre ouvre les yeux un moment, voit ma Coralie bien affairée sur lui et me devine plus qu'il me voie en train doigter sa femme. Il n'ose rien dire car veut que Coralise continue.
Tu permets Sandrine ? et hop je profite de sa position pour la prendre en levrette maintenant qu'elle est bien trempée. Elle encaisse mon gros chibre mais forcément, Coralie comprend tout de suite qu'il se passe quelque chose. Elles sont tête contre tête sur la queue de Pierre quand même.
Elle se relève, pousse un peu Sandrine, et je vois qu'elle sort sa main de son entrejambe. Elle se caressait !
Elle enjambe Pierre et s'assoie sur lui, dos à son visage en me regardant.
J'oriente le corps de Sandrine pour qu'elle soit maintenant paralèlle à sont mari. Il est toujours couché sur le dos, sa femme est à quatre pattes en train de prendre une levrette. Ma Coralie est assise sur lui et me regarde avec un air des plus coquins.
Je l'embrasse tendrement. Ce baiser est des plus exitant car enmême temps Pierre et Sandrine s'embrassent aussi.
Quelques minutes plus tard, Sandrine prend son pied. Pierre qui le sait aussitôt, en fait autant ... et moi aussi, je lâche la sauce dans le ventre de Sandrine.
Il n'y a que ma Coralie qui est resté en suspend, sans prendre son pied. Elle râle un peu mais Sandrine trouve vite la solution. Elle l'allonge sur la serviette à la place de Pierre et les deux vont lui boucher la foufoune pendant que je continue mes photos. Visiblement Pierre ne voit pas d'inconvégniant à sucer son propre sperme depuis la foufoune de ma Coralie et si c'est Sandrine qui le propose ...
Bientôt, ils sont côte à côte au desus des jambes de ma Coralie à la sucer.
Je continue mes photos tout en étant encore attiré par l'énorme fessier de Sandrine. Ils sont tous les trois bien occupés. Je tends un doigt puis deux dans le ventre de Sandrine et j'utilise le mélange de mon sperme et de sa mouille pour caresser son petit trou. Elle prend appui avec sa bouche sur le ventre de Coralie, se libère de ses main et les envoie en arrière pour écarter son popotin. Je n'en peu plus de simplement lui caresser, je pénètre d'un puis des deux doigts. Sandrine réagit en gloussant. Pierre se relève et encore une fois découvre ce qui arrive à sa femme mais comment pourrait-il me reprocher de m'amuser avec alors que quelques secondes plus tôt il suçait encore ma femme.
Je prend encore quelques photos de son anus offert, de Pierre qui reprend son action sur ma Coralie. Je bande et ce coup-ci elle va y avoir droit mais dans son cul.
Je présente mon gland contre l'anneau et pousse. Sandrine pousse un peu dans l'autre sens, ce qui me facilite le passage. Je pousse donc plus fermement et c'est fait. J'ai mon gland dans le plus gros cul de ma vie. Que c'est bon. Je pousse lentement et bientôt, je suis à fond. Quand je recule, elle recule aussi pour que je reste au fond. Je prends encore une photo de mon engin dans son trou puis je pose l'appareil photos et la prends par les hanches pour l'empêcher de reculer et je commence mes va et vients. C'est délicieux.
Pierre est remonté sucer les tétons de ma Coralie en la fouillant de deux doigts. Je suis en train, encore une fois de voir ma Coralie toute complaisante avec un autre alors que je me tape le plus gros cul de ma carrière sexuelle. Je suis même étonné de l'avoir rentré aussi facilement alors que je suis si large.
Là, Coralie prend enfin son pied et propose une fellation à Pierre, qui a recommancé à bander lui aussi, depuis que j'ai commencé à doigter le cul de sa femme.
Il reste à 4 pates contre sa femme mais Coralie lui passe dessous en 69 pour le sucer.
Sandrine, Pierre et moi prenont notre pied simultanément. C'était tout simplement génial.
On se met un moment à l'eau pour se laver. Sandrine demande à ma Coralie comment elle fait pour subir des sodomies comme ça avec un gros sexe tout en reconnaissant qu'il est quand même bien vite rentré dans son propre cul. Elle s'inquiète de douleurs avec un peu de retard mais Coralie la rassure. Si je suis rentré, ce n'est pas en force et un cul se dilate assez pour me laisser passer sans la faire souffir si j'y vais doucement.
On rit, on échange nos numéros puis ma Coralie et moi reprenons notre remontée, tout nus tous les deux pour le coup sans plus croiser de monde.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Bof...
Excellent histoire ça m’a bien fait mouillé !!

