Entre de bonnes mains - histoire érotique

Entre de bonnes mains
( version féminine de prise en main)
Version d'Aline!
J'ai trouvé sur l'ordinateur de mon mari qu'il racontait des histoires nous concernant sur HDS . Je n'ai pas eu le temps de les lire alors je me suis dit le mieux c'est de donner ma version plus crédible que la sienne surtout me concernant!
Tout a commencé quand j'ai dû déménager pour mon travail à plus de 2 heures de chez nous, laissant mon mari seul la semaine.
Il m'avait trouvé une chambre au dernier étage d'un immeuble des vieux quartiers qui logeait des travailleurs pour l'essentiel arabe.
La responsable Zina gérait d'une main de fer.
Je l'avais rencontrée pour décider qu'elle me loge. Immédiatement nous avons eu un bon contact. Elle m'avait mis à l'aise et son langage direct me plaisait bien. Elle avait promis à mon mari qu'elle s'occuperait de moi dans cette ville que je ne connaissais pas. Le loyer étant très attractif je devais accepter des petites tâches si nécessaire en contre partie, car la totalité des locataires étaient des hommes .
Nous sommes devenus rapidement amies et je me confiais facilement à elle.
Il faut dire qu'elle sait très bien me faire parler même sur les choses intimes, il faut dire qu'elle a "de l'expérience " comme elle dit.
Elle me fit dire que la séparation de la semaine ne me gênait pas car mon mari que j'aime n'est pas un très bon amant physiquement parlant.
Assez vite elle me fit remarquer que j'étais habillée comme une "plouc" et qu'il serait bien que j'en change.
J'avais l'habitude des conseilles de mon mari, Zina me fit remarquer que j'étais grande !!!
Elle m'emmena alors dans un magasin d'une de ses amies et me fit acheter de très jolies choses mais très sexy.
Même si elle avait prévenu mon mari, le we j'évitais au début de les mettre puis peu à peu je l'habituais à ce que je sois de plus en plus sexy.
Cela ne changeait pas grand chose dans nos relations intimes si ce n'est qu'il avait pris l'habitude de me caresser les fesses, ce que j'aime bien, et même de m'embrasser au plus intime de mon corps.
Un jour Zina me fit remarquer que j'avais un peu trop d'embonpoint et qu'elle avait une solution pour que mon corps soit plus attrayant .
Elle me fit rencontrer un ancien médecin de ses connaissances qui avait un traitement approprié .
Chaque semaine j'avais des piqûres de ce traitement. En parallèle je dus faire du sport tous les vendredis soir raccourcissant mon we. N'étant pas une sportive dans l'âme je fatiguai vite de ce rythme imposé et alors que je confiai ma lassitude à Zina, j'eus droit à une réaction de sa part particulièrement violente, me traitant de femme sans caractère et j'en passe. Tellement choqué je m'écroula en larmes. Elle se fit alors plus douce et sut me convaincre de prendre sur moi car je n'aurai pas à le regretter.
Très vite mon corps perdu les kilos superflus et mes seins prirent un peu de volume avec mes tétons plus durs et allongés !
Je reconnais que mon nouveau corps me plaisait bien !!!
Il faut dire aussi qu'il me travaillait de plus en plus et j'étais vraiment en manque.
J'en parlai à Zina . Elle me fit remarquer que si j'avais un mari à la hauteur je n'aurais pas de problème . En plaisantant elle me dit "il te faudrait un amant".
Devant mon air choqué elle n'insista pas tout de suite mais régulièrement elle me demandait si je supportais bien et glissait incidemment "si tu changes d'avis, j'ai ce qu'il te faut" . Je ne comprenais pas bien.
Je lui avais avoué que je me donnais du plaisir pratiquement toutes les nuits.
Sur ces entrefaites un nouveau locataire vint s'installer à mon étage , jusqu'alors j'étais la seule.
Un dénommé Ali qui rentrait du pays et que je compris être le propriétaire de l'immeuble.
Il avait un physique qui m'impressionna tout de suite, grand brun très élégant, pas le genre des autres locataires .
Zina me demanda ce que j'en pensais et je lui confiai qu'il me plaisait beaucoup.
Je lui avouai même que je pensais à lui en me donnant du plaisir la nuit. Il faut dire qu'il était juste de l'autre côté de la cloison quand il était la.
Je ne sais pas si c'était le traitement mais j'étais de plus en plus excité et avec Zina on ne parlait que d'Ali.
Jusqu'au jour où elle me dit "t'as envie de te donner à lui?"
Je bafouillai et devint toute rouge avouant mon trouble.
Il faut dire qu'entre temps je faisais le ménage de sa chambre suite à une demande de Zina que je ne pouvais refuser car c'était dans le contrat d'effectuer des petites taches.
Un soir nous étions à discuter quand il arriva, j'étais toute tremblante pendant qu'il parlait avec Zina, il me regarda de tel façon que je ne me contrôlais plus.
Une fois remonté dans sa chambre, je me fais chambrer par Zina.
"si tu veux qu'il te saute c'est le moment."
Je lui dit que ce n'étais pas raisonnable, que j'étais marié etc...
- on voit le résultat, tu es en pleine chaleur comme je n'ai jamais vu quelqu'un comme ça.
- qui te dit que je lui plais, je lui répondis ce qui avouais ma folle envie.
- provoque le, c'est un homme et en plus il est sacrément bien monté! Il va te faire grimper aux rideaux.
Elle était en train de me pousser dans ses bras ce qui je l'avoue ne me déplaisait pas.
Et s'il pouvait calmer ma libido .... Autant en profiter.
Elle senti que je faiblissais et me dit :
- aller monte le rejoindre, tu lui dit que tu viens faire le ménage
- mais je ne peux y aller habiller comme ça. ( ma tenue n'était pas faite pour le ménage)
- j'ai une blouse qui t'iras très bien ( elle en sorti une de son armoire)
Allez déshabille toi, il ne faut pas perdre de temps.
Elle me bousculait, me fit poser mon soutien gorge et même mon string.
Comme j'hésitais elle m'enfila la robe sans me laisser le temps de réfléchir.
Je lui fit remarquai qu'elle était trop courte et me serrait .
- tu rigoles elle te va à ravir, tu ferais bander un énuque!
Et elle me poussa ainsi dans l'escalier nu sous cette blouse.
C'est ainsi que je me présentai à la porte d'Ali.
(À suivre)