Entre de bonnes mains 5
Récit érotique écrit par Misous [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 19 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Misous ont reçu un total de 115 151 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-01-2016 dans la catégorie Dans la zone rouge
Cette histoire de sexe a été affichée 7 921 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Entre de bonnes mains 5
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Entre de bonnes mains 5
Apres cette soirée je dois reconnaître que mon cocu de mari ne pesait plus beaucoup dans mes sentiments. Avec Zina nous en avons parlé, et elle m'a dit qu'il n'étais pas question que je le quitte. Je lui avouais que tout mon amour était maintenant sur Ali.
- écoutes on a réduit le temps passés avec lui le we et même trouvé plein de prétexte pour en éviter.
- Oui mais il m'insupporte.
- Tu vas arriver le samedi fin d'après midi et repartir le dimanche matin, je m'occupe de lui faire accepter.
- Tu es super chouette, heureusement que je t'ai.
Effectivement Zina régla tout ça.
Alors que je venais de passer encore une soirée torride avec Ali, il me fit un cadeau.
J'ouvrais la boîte et je découvrais des anneaux. Il m'expliqua que c'était des piercings, 2 pour les seins, et 2 pour les lèvres de ma chatte.
Les anneaux pour les seins étaient assez gros de diamètre .
Ceux pour la chatte aussi mais l'un avait un plat. Il me montra qu'il avait fr graver 'à Ali'.
Je dois reconnaître que cela me troubla car cela voulait dire que je lui appartenais désormais, mon rêve le plus secret.
Il me dit de voir avec Zina pour me les faire poser.
Quand je les montrai à Zina, elle me dit que c'était une sacré preuve d'amour, et qu'elle me conseillait d'être à la hauteur de cette confiance.
De plus elle me dit qu'elle allait demander à mon cocu d'en payer une partie, ce qui me ravit, et en plus s'il savait le marquage!!!! Je jubilais.
Zina Le remarquai.
- ca te plait de l'humilier?
- Je crois que oui.
- Tu sais je vais demander à Ali de t'appeler quand tu es avec ton cocu de mari, et n'hésite pas à lui dire avec qui tu es au tph.
Le we après la pose je ne pus m'empêcher de les montrer à mon cocu, il les trouva très bien. Mais qu'il ne compte pas sur moi pour le remercier.
Ali m'appela plusieurs fois du we, même alors que nous étions couché. Je parlais doucement pendant que mon cocu me léchait le cul, la seule chose que je lui accorde.
Zina me poussait de plus en plus dans ma relation avec Ali, de me donner à lui à fond.
Elle me confia aussi ( elle le connaissait bien! ) qu'il était très endurant et qu'il pouvait me baiser 24 heures de suite.
Cela éveilla ma curiosité et je me promis de le tester.
La semaine suivante je mis en œuvre mon plan, sans penser aux conséquences.
Il faut dire que Zina me relançait sur le sujet: " alors tu as testé ?"
C'est ce que je dis, je ne le lâchai pas, tout y passa, y compris me faire enculer, ce que nous n'avions encore fait, c'est moi qui lui demandai. Il ne fallut pas lui dire 2 fois.
Le lendemain matin, je le relançai dès qu'il ouvrit l'œil et cela dura une bonne partie de la journée.
Le sur lendemain quand j'arrivai à mon travail, je trouvais sur mon bureau une lettre de licenciement avec effet immédiat.
Je me précipitai chez Zina, effondrée.
Elle me consola et me dit qu'elle allait trouver une solution.
Elle me dit que c'est en plein accord avec Ali qu'elle souhaitait comme il était stipulé dans mon contrat de location que je me mette au service des autres logés de l'immeuble. Ainsi mon salaire serait compensé. Je me réjouis de l'idée.
Elle me demanda de ne pas informer mon mari, c'était entre elle et Ali.
Elle me dit aussi qu'elle allait me préparer un programme d'intervention chez chaque demandeur.
Pas un instant elle me parla de quelle tâche je devrais exécuter, sachant qu'elle serait différente chez chacun.
Je partis me coucher rassurée.
Le lendemain, elle avait fait le programme, restait à se procurer la tenue.
Nous allâmes chez son amie du magasin d'habillement.
Comme d'habitude nous allâmes à l'étage où je dus me déshabiller pour l'essayage.
Elle me dit d'enlever mon soutien gorge et me tendit une nuisette très fine.
Une fois sur moi, elle me dit que l'on voyait mon string et que ce serait mieux sans.
Je ne me voyais pas porter un tel habit pour faire le ménage ou repasser, ce que je croyais être les tâches à réaliser.
Zina me dit d'essayer plutôt que de commenter et ce sur un ton sans réplique. Je me tu car je ne voulais pas fâcher Zina car elle m'avait sauvé la mise.
On essaya encore d'autres habits du même style que la première et surtout aussi si courte et aussi fine car elle se plaquait sur mon corps.
Zina décida d'en prendre cinq! Elle paya et nous rentrames.
Je ne savais quoi penser mais je n'osais rien dire car Zina semblait contrarier par mon attitude.
Elle me dit que je commençais dans une heure et que je devais vite me préparer.
- Je te veux dans ton meilleure aspect, car les locataires sont des gens tres respectable qui doivent être satisfait de ta prestation. Coiffe toi correctement et n'hésitez pas à mettre un peu de rouge à lèvre, on est en ville pas au fond de la campagne!
- Quel tâche j'aurais à faire?
- Tu feras ce que chacun te demanderas. Et que je ne t'entende pas te plaindre ou faire des histoires. Ali a prévu de te trouver quelque chose en complément alors ne le déçoit pas.
Bon c'est vrai que j'étais mal placé pour avoir des revendications, c'est moi seul qui me suis mis dans cette situation.
Je me préparais et me rendis au 3 eme étage chez un habitant ancien de l'immeuble, pas très sympathique d'ailleurs et autoritaire dans son comportement.
Arrivé chez lui, il me regarda des pieds à la tête. Il était torse nu avec juste un short!
- approche.
- Que dois je faire?
- À genoux!
Et il sortit son sexe de son short! J'étais sans voie, je ne comprenais pas bien.
Peut être qu'il voulait que je fasse le ménage de lui avant de la chambre!
- allez suce moi.
Et il me mît sa bite sous le nez, bite qui sentait assez fort avec son gros gland .
Je me dis que ce n'était pas le moment de se rebeller surtout avec lui.
Je le pris dans la bouche et lui fit une pipe comme je sais si bien les faire.
Au bout d'un moment alors qu'il bandait bien dur, il me fit m'allonger sur le dos, me troussant ma nuisette et s'avança la bite à la main et avant que je n'ai réagis il me l'avait enfiler dans ma chatte.
Il me pistonna comme un chien sur sa femelle et me lâcha son jus au plus profond.
Il se releva et me dit sur un ton très déplaisant
- dégage, ça me suffit.
Je retournai dans ma chambre où je m'écroulai sur mon lit en pleure.
Je me dis que ce n'est pas possible que cela soit ça. Il avait profiter de la situation mais je ne me voyais pas en parler à Zina.
Je remarquai un papier posé sur mon lit, avec un nom, un n° de chambre et une heure. C'était le suivant. Je réalisai que c'était dans 5' !
J'ai eu juste le temps de me recoiffer, un peu de rouge à lèvre pour faire bonne impression comme disait Zina et je file voir le suivant.
Je le connaissais, il était plus jeune et il me draguait quand je le croisais. Il me plaisait bien et bêtement je me dis lui il peut me demander ce qu'il veut je crois bien qu'e j'accepterai.
C'était prémonitoire, car lui aussi il ne prit pas de gants comme d'habitude, il me dit
- allez suce moi, j'ai les couilles bien pleines!
J'en aurai pleuré, car je croyais qu'il allait me faire la cour!!
Je lui dis une pipé rapide (il ne méritait pas mieux) jusqu'à ce qu'il lâché tout dans ma bouche. Il me retint pour que j'avale tout. Et il me renvoya.
Idem arrivé dans ma chambre je vis le papier sur le lit avec les indications pour la suite. Je ne sais plus combien j'en ai fait, mais ce qui est sûre aucun n'avait de repassage à faire ou de ménage si ce n'est de leur vice.
Une fois fini la journée je ne descendis pas voir Zina comme je le faisais habituellement. J'essayais de comprendre ce qui m'arrivait. On me faisait faire la pute!
Mais avais je le choix? Je n'ai pas trouvé la réponse.
Le lendemain matin, Zina vint me voir. Elle avait la tête des mauvais jours. Je savais que dans ce cas il ne fallait pas la contrarier.
- je suppose que tu as compris ce que l'on attendait de toi?
J'acquiesçai timidement.
- bien, tu exerceras à partir de 18h quand ils commencent à rentrer du travail. Je ne veux pas de bavure, pas d'histoires, pas de remarques. Ok?
- Oui Zina .
- Ali te versera le même salaire que tu avais dans ton ancien travail avant que tu ne te fasse mettre dehors par ta bêtise. Tu en es consciente j'espère. Si cela ne te plait pas tu peux toujours rentrer chez ton cocu de mari. Ils sera ravi de savoir qu'il t'a dorénavant complètement à charge, enfin s'il veut te reprendre
Les larmes aux yeux, je dis
- non je ne veux pas retourner chez lui
- J'ai bien compris qu'il t'en faut plus, c'est pourquoi c'est l'idéal ce que l'on te propose n'est ce pas
- Oui. Je pourrais voir Ali.
- C'est lui qui décide mais je pense qu'il ne t'as pas oublié, la preuve c'est son idée.
Et elle me remit une liste de noms avec les horaires pour la soirée.
De toute façon je savais que vivre avec mon cocu, n'était plus possible et Zina le savait, je lui avais dit au moins mille fois, d'ailleurs cela m'excitait de l'humilier.
J'avais pris goût au grosse bite bien dure et performante. On en avait discuter plusieurs fois avec Zina, je m'étais transformé, j'avais besoin de faire l'amour. Elle me disait " tu es maintenant une nymphomane, il faut que tu l'admettes " et je l'avais admis. Mon cocu n'aurait pas pu suivre. Mais là je ne pensais pas que c'est ca que je voulais. Zina m'a pris au mot. Je me rappelle qu'un jour elle m'avait dit en plaisantant
- tu veux de la queue, avec Ali tu vas en avoir.
C'était prémonitoire !
Entre de bonnes mains 5
Apres cette soirée je dois reconnaître que mon cocu de mari ne pesait plus beaucoup dans mes sentiments. Avec Zina nous en avons parlé, et elle m'a dit qu'il n'étais pas question que je le quitte. Je lui avouais que tout mon amour était maintenant sur Ali.
- écoutes on a réduit le temps passés avec lui le we et même trouvé plein de prétexte pour en éviter.
- Oui mais il m'insupporte.
- Tu vas arriver le samedi fin d'après midi et repartir le dimanche matin, je m'occupe de lui faire accepter.
- Tu es super chouette, heureusement que je t'ai.
Effectivement Zina régla tout ça.
Alors que je venais de passer encore une soirée torride avec Ali, il me fit un cadeau.
J'ouvrais la boîte et je découvrais des anneaux. Il m'expliqua que c'était des piercings, 2 pour les seins, et 2 pour les lèvres de ma chatte.
Les anneaux pour les seins étaient assez gros de diamètre .
Ceux pour la chatte aussi mais l'un avait un plat. Il me montra qu'il avait fr graver 'à Ali'.
Je dois reconnaître que cela me troubla car cela voulait dire que je lui appartenais désormais, mon rêve le plus secret.
Il me dit de voir avec Zina pour me les faire poser.
Quand je les montrai à Zina, elle me dit que c'était une sacré preuve d'amour, et qu'elle me conseillait d'être à la hauteur de cette confiance.
De plus elle me dit qu'elle allait demander à mon cocu d'en payer une partie, ce qui me ravit, et en plus s'il savait le marquage!!!! Je jubilais.
Zina Le remarquai.
- ca te plait de l'humilier?
- Je crois que oui.
- Tu sais je vais demander à Ali de t'appeler quand tu es avec ton cocu de mari, et n'hésite pas à lui dire avec qui tu es au tph.
Le we après la pose je ne pus m'empêcher de les montrer à mon cocu, il les trouva très bien. Mais qu'il ne compte pas sur moi pour le remercier.
Ali m'appela plusieurs fois du we, même alors que nous étions couché. Je parlais doucement pendant que mon cocu me léchait le cul, la seule chose que je lui accorde.
Zina me poussait de plus en plus dans ma relation avec Ali, de me donner à lui à fond.
Elle me confia aussi ( elle le connaissait bien! ) qu'il était très endurant et qu'il pouvait me baiser 24 heures de suite.
Cela éveilla ma curiosité et je me promis de le tester.
La semaine suivante je mis en œuvre mon plan, sans penser aux conséquences.
Il faut dire que Zina me relançait sur le sujet: " alors tu as testé ?"
C'est ce que je dis, je ne le lâchai pas, tout y passa, y compris me faire enculer, ce que nous n'avions encore fait, c'est moi qui lui demandai. Il ne fallut pas lui dire 2 fois.
Le lendemain matin, je le relançai dès qu'il ouvrit l'œil et cela dura une bonne partie de la journée.
Le sur lendemain quand j'arrivai à mon travail, je trouvais sur mon bureau une lettre de licenciement avec effet immédiat.
Je me précipitai chez Zina, effondrée.
Elle me consola et me dit qu'elle allait trouver une solution.
Elle me dit que c'est en plein accord avec Ali qu'elle souhaitait comme il était stipulé dans mon contrat de location que je me mette au service des autres logés de l'immeuble. Ainsi mon salaire serait compensé. Je me réjouis de l'idée.
Elle me demanda de ne pas informer mon mari, c'était entre elle et Ali.
Elle me dit aussi qu'elle allait me préparer un programme d'intervention chez chaque demandeur.
Pas un instant elle me parla de quelle tâche je devrais exécuter, sachant qu'elle serait différente chez chacun.
Je partis me coucher rassurée.
Le lendemain, elle avait fait le programme, restait à se procurer la tenue.
Nous allâmes chez son amie du magasin d'habillement.
Comme d'habitude nous allâmes à l'étage où je dus me déshabiller pour l'essayage.
Elle me dit d'enlever mon soutien gorge et me tendit une nuisette très fine.
Une fois sur moi, elle me dit que l'on voyait mon string et que ce serait mieux sans.
Je ne me voyais pas porter un tel habit pour faire le ménage ou repasser, ce que je croyais être les tâches à réaliser.
Zina me dit d'essayer plutôt que de commenter et ce sur un ton sans réplique. Je me tu car je ne voulais pas fâcher Zina car elle m'avait sauvé la mise.
On essaya encore d'autres habits du même style que la première et surtout aussi si courte et aussi fine car elle se plaquait sur mon corps.
Zina décida d'en prendre cinq! Elle paya et nous rentrames.
Je ne savais quoi penser mais je n'osais rien dire car Zina semblait contrarier par mon attitude.
Elle me dit que je commençais dans une heure et que je devais vite me préparer.
- Je te veux dans ton meilleure aspect, car les locataires sont des gens tres respectable qui doivent être satisfait de ta prestation. Coiffe toi correctement et n'hésitez pas à mettre un peu de rouge à lèvre, on est en ville pas au fond de la campagne!
- Quel tâche j'aurais à faire?
- Tu feras ce que chacun te demanderas. Et que je ne t'entende pas te plaindre ou faire des histoires. Ali a prévu de te trouver quelque chose en complément alors ne le déçoit pas.
Bon c'est vrai que j'étais mal placé pour avoir des revendications, c'est moi seul qui me suis mis dans cette situation.
Je me préparais et me rendis au 3 eme étage chez un habitant ancien de l'immeuble, pas très sympathique d'ailleurs et autoritaire dans son comportement.
Arrivé chez lui, il me regarda des pieds à la tête. Il était torse nu avec juste un short!
- approche.
- Que dois je faire?
- À genoux!
Et il sortit son sexe de son short! J'étais sans voie, je ne comprenais pas bien.
Peut être qu'il voulait que je fasse le ménage de lui avant de la chambre!
- allez suce moi.
Et il me mît sa bite sous le nez, bite qui sentait assez fort avec son gros gland .
Je me dis que ce n'était pas le moment de se rebeller surtout avec lui.
Je le pris dans la bouche et lui fit une pipe comme je sais si bien les faire.
Au bout d'un moment alors qu'il bandait bien dur, il me fit m'allonger sur le dos, me troussant ma nuisette et s'avança la bite à la main et avant que je n'ai réagis il me l'avait enfiler dans ma chatte.
Il me pistonna comme un chien sur sa femelle et me lâcha son jus au plus profond.
Il se releva et me dit sur un ton très déplaisant
- dégage, ça me suffit.
Je retournai dans ma chambre où je m'écroulai sur mon lit en pleure.
Je me dis que ce n'est pas possible que cela soit ça. Il avait profiter de la situation mais je ne me voyais pas en parler à Zina.
Je remarquai un papier posé sur mon lit, avec un nom, un n° de chambre et une heure. C'était le suivant. Je réalisai que c'était dans 5' !
J'ai eu juste le temps de me recoiffer, un peu de rouge à lèvre pour faire bonne impression comme disait Zina et je file voir le suivant.
Je le connaissais, il était plus jeune et il me draguait quand je le croisais. Il me plaisait bien et bêtement je me dis lui il peut me demander ce qu'il veut je crois bien qu'e j'accepterai.
C'était prémonitoire, car lui aussi il ne prit pas de gants comme d'habitude, il me dit
- allez suce moi, j'ai les couilles bien pleines!
J'en aurai pleuré, car je croyais qu'il allait me faire la cour!!
Je lui dis une pipé rapide (il ne méritait pas mieux) jusqu'à ce qu'il lâché tout dans ma bouche. Il me retint pour que j'avale tout. Et il me renvoya.
Idem arrivé dans ma chambre je vis le papier sur le lit avec les indications pour la suite. Je ne sais plus combien j'en ai fait, mais ce qui est sûre aucun n'avait de repassage à faire ou de ménage si ce n'est de leur vice.
Une fois fini la journée je ne descendis pas voir Zina comme je le faisais habituellement. J'essayais de comprendre ce qui m'arrivait. On me faisait faire la pute!
Mais avais je le choix? Je n'ai pas trouvé la réponse.
Le lendemain matin, Zina vint me voir. Elle avait la tête des mauvais jours. Je savais que dans ce cas il ne fallait pas la contrarier.
- je suppose que tu as compris ce que l'on attendait de toi?
J'acquiesçai timidement.
- bien, tu exerceras à partir de 18h quand ils commencent à rentrer du travail. Je ne veux pas de bavure, pas d'histoires, pas de remarques. Ok?
- Oui Zina .
- Ali te versera le même salaire que tu avais dans ton ancien travail avant que tu ne te fasse mettre dehors par ta bêtise. Tu en es consciente j'espère. Si cela ne te plait pas tu peux toujours rentrer chez ton cocu de mari. Ils sera ravi de savoir qu'il t'a dorénavant complètement à charge, enfin s'il veut te reprendre
Les larmes aux yeux, je dis
- non je ne veux pas retourner chez lui
- J'ai bien compris qu'il t'en faut plus, c'est pourquoi c'est l'idéal ce que l'on te propose n'est ce pas
- Oui. Je pourrais voir Ali.
- C'est lui qui décide mais je pense qu'il ne t'as pas oublié, la preuve c'est son idée.
Et elle me remit une liste de noms avec les horaires pour la soirée.
De toute façon je savais que vivre avec mon cocu, n'était plus possible et Zina le savait, je lui avais dit au moins mille fois, d'ailleurs cela m'excitait de l'humilier.
J'avais pris goût au grosse bite bien dure et performante. On en avait discuter plusieurs fois avec Zina, je m'étais transformé, j'avais besoin de faire l'amour. Elle me disait " tu es maintenant une nymphomane, il faut que tu l'admettes " et je l'avais admis. Mon cocu n'aurait pas pu suivre. Mais là je ne pensais pas que c'est ca que je voulais. Zina m'a pris au mot. Je me rappelle qu'un jour elle m'avait dit en plaisantant
- tu veux de la queue, avec Ali tu vas en avoir.
C'était prémonitoire !
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Misous
4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Les 2 récits en parallèle se sont arrêtés au même point, c'est frustrant, on veux la suite, s'il vous plaît.
Bon, ben on ne saura jamais la fin?
Excellent ces jeux de domination / soumission. Impatient de lire la suite.
excellent! J'adore!