ET TOUJOURS EN ÉTÉ 11 LES PRÉPARATIFS
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-06-2020 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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ET TOUJOURS EN ÉTÉ 11 LES PRÉPARATIFS
ET TOUJOURS EN ÉTÉ 11LES PRÉPARATIFS
Tout semblait avancer plus vite à partir de ce jour.
C'est avec Samuel que je courtisais Sarah, enfin lui il courtisait Déborah. Nous étions suivis par Kissa, c'était pas seulement la nounou de Sarah mais aussi celle de Déborah, et Kissa vous pouvez me croire ne lâchait pas son ombrelle. Prête à taper si l'un d'entre nous osait s'approcher trop prêt de sa demoiselle … Elle prenait l'air sévère mais quand on la connaissait mieux on se rendait compte qu'elle n'était pas méchante. Suivaient ensuite Sunny, celui là vous le connaissez et Adam le nouvel esclave que mon grand père avait acheté à Samuel. Il était un peu plus âgé mais avait déjà servi comme valet de chambre chez un ami de mon grand père et, après tout, c'est la fonction qu'il allait remplir auprès de Samuel.
Le jour ou nous nous rendions chez nos promises était désormais le dimanche. C'est le jour de repos qu'on s'accordait. Il y avait vraiment beaucoup de travail à la plantation. On arrêtait la date du mariage pour la prochaine période plus calme après la récolte à venir. Et rapidement on en faisait l'annonce.
Une grande fête serait organisée au village et déjà on passait commande de tout ce qu'il fallait pour le décorer. La famille à laquelle nous allions nous unir n'avait pas d'héritiers mâle, il semblait donc logique que Samuel aille habiter chez sa femme, de fait je deviendrais dans l'avenir le seul maître dans cette maison …
Enfin quand je dis le seul maître … Il ne faudrait pas oublier les femmes de la maison, je peux vous garantir qu'elles se font entendre largement autant que les hommes et souvent ce sont elles qui ont le dernier mot. Le seul à se faire entendre sans que personne ne l’interrompe c'était mon grand père, enfin si grand mère décide de ne rien dire …
C'est à moi qu'on donnait la responsabilité d'entretenir les installations, aussi avec Sunny on parcourait les limites de la propriété, on était souvent absent du lundi au vendredi inclus. Sunny était reçu avec respect dans toutes les quincailleries de la régions, on y avait nos habitudes et on nous reconnaissait, le contraire aurait été dommage, on était tout de même de très bon clients.
Pendant les pauses, vous ne vous imaginez tout de même pas qu'on allait travailler non stop du matin au soir … Donc pendant les pauses Sunny me faisait la lecture. C'était pour s'entraîner et il lisait très bien maintenant mais il ne fallait pas que ça se sache ! Quelquefois le soir on se rapprochait plus qu'il n'aurait fallu, mais bon, il y avait comme une attraction entre nous.
Un jour ou je devrais dire un soir. Nous étions comme souvent dans un endroit totalement isolé, nous avion fait un feu et on surveillait la cuisson d'une très belle volaille … Je vous ai dit que Sunny tire très bien à la carabine ? Il s'était rapproché de moi.
Sunny : Jonathan il faut qu'on parle.
Moi : Tu m'inquiètes !
Sunny : Il faut que je m'en aille.
Moi : Mais ou veux-tu aller. Tu sais comment fonctionne ce pays, tu ne trouveras jamais de place pour toi ici.
Sunny : C'est dans le nord que je veux aller, tu sais qu'il on interdit l'esclavage là bas ?
Moi : J'en ai entendu parlé mais grand père dit que ce n'est pas réel, il vont remplacer l'esclavage par un contrôle, une soumission par l'argent.
Sunny : Oui peut être mais si tu gagnes de l'argent tu peut choisir ta vie. Ici quoi que je fasse, rien ne changera jamais !
Je m'approchais de lui, passais ma main autour de son bras.
Moi : Tu vas me manquer tu sais.
Sunny : Tu ne fera rien pour m'en empêcher ?
Moi : Si tu en doutais, pourquoi m'avoir averti ?
Sunny : Sans ton aide je ne pourrai pas partir.
Il passait son bras dans mon dos, et doucement me tirait vers lui. Je me retrouvais dans ses bras. Il me faisait un câlin.
Moi : Tu essayes de me convaincre de t'aider par la douceur ?
Sunny : Tu crois que j'ai des chances d'y parvenir ?
Moi : Aucune de cette manière, là tu risques de me donner encore plus l'envie de te garder près de moi.
Sunny : Bon je crois que je vais continuer tout de même.
Moi : Sunny ! Si ton seul but c'est d'aller dans le nord, je t'aiderai. Même si j'ai pas envie de te voir partir.
Sunny : Merci. Tu sais que tu vas me manquer Petit Maître Jonathan !
Là il m'embrassait comme il ne m'avait jamais embrassé. Il me donnait plus de tendresse que jamais, il me caressait le menton, mon cou, ma gorge. J'étais toujours impressionné qu'une telle montagne de muscles puisse montrer autant de douceur et de délicatesse. Il me déposait des baiser sur tout le visage, je lui rendais chacun de ses baisers, chacune de ses caresses. Je le laissais faire et quand je me redressais c'était pour le repousser en arrière, l'allonger sur le dos. Heureusement il ne résistait pas sinon je n'avais aucune chance d'y parvenir.
Allongé sur le dos c'est lui qui à ce moment se laissait faire, je le déshabillais, et c'était déjà avec la crainte de le voir disparaître que je me penchais sur lui, le caressais en insistant sur chacun de ses muscles. Sur chacun de ses muscles je déposais un baiser.
Il continuait à me caresser les cheveux, avec douceur, presque avec distraction. Mes caresses se précisaient et mon visage, mes baisers descendaient vers son nombril. Il avait écarté les jambes je m'agenouillais entre ses genoux. Je lui ouvrais son pantalon, il bandait et sa queue s'en échappait. Rapidement je ne voyais plus que cela.
Je lui massais sa queue, je la caressais, elle prenait toute sa taille. Quand je la prenait dans la bouche elle me remplissait jusqu'à la gorge. Je ne m'étais jamais autant régalé en la prenant dans ma bouche que ce soir là. Je savais que ça ne durerait pas, j'appréhendais la fin. Mes mains se promenaient sur ses cuisses. Je le suçais, je le caressais, je le voulais en entier, je le voulais en moi.
Frénétiquement je retirais mes vêtements. Il était nu entre mes bras, entre mes mains et ne demandais qu'un peu de douceur, je lui en donnais et lui en donnais encore. Mon corps glissait contre le sien. Mes muscles plutôt sympathiques, je suis habitué aux travaux de forces paraissaient pourtant tout petits à côté des siens.
Il se relevais et c'est moi qui me retrouvais allongé sur le sol et lui qui me caressait et couvrait mon corps de baisers. Il prenait ma queue dans sa bouche, ça il ne me le faisait pas souvent, en général il n'en avait pas l'occasion tant j'étais attiré par sa queue. Mais là il me l'imposait, il écartait ma main si jamais je la rapprochais et me massais les couilles et me masturbait tout en me suçant.
Il m'écartait les cuisses et se glissait un peu plus prêt de moi, il ne s'était pas encore assez rapproché pour que je puisse refermer mes jambes autour de lui. Avec de la salive il me lubrifiait le cul. Il ne m'avait pas demandé, il avait décidé. La nuit était tombée, le feu était éteint on se distinguait, on ne se voyait pas mais le contact de la peau n'en était que plus intense.
De la main j'attrapais ma chemise, j'avais gardé avec moi le tube argenté, le lubrifiant que mon cousin avait utilisé une fois avec moi. Sunny ne comprenait pas tout de suite ce que c'était. Il l'ouvrait, toujours au toucher, et comprenait vite. Je le sentait m'en passer une bonne dose sur l'anus.
J'étais mort de trouille, j'avais envie de me sauver, de l'arrêter mais je ne bougeais pas. Je tremblait mais laissais faire. Mon cœur semblait avoir un malaise au moment ou il me relevait les jambes. Ses gestes étaient contrôlé, tout en douceur. Je sentais sa force et sa douceur en même temps. Je redoutais cette tendresse qui allait se transformer en violence. J'avais peur qu'il ne me fasse mal mais je ne bougeais pas.
J'étais replié en deux, mes chevilles sur ses épaules, il m'écrasait avec force, je sentais une pression sur mon anus et là, à partir de cet instant je savais que ça allait devenir l'enfer !
Il poussait, je hurlais. Mon cul ne s'était pas encore ouvert, il n'avait pas poussé fort mais j'avais hurlé avant d'avoir mal. Il me laissait le temps de me décontracter en maintenant une pression. Puis relâchait la pression et se retirait. Il glissait alors un ou deux doigts dans mon cul, je ne sais pas.
Je gémissais de plaisir. C'était tellement bon, puis il reprenait la position et cette fois-ci il poussait plus fort. Dans ma tête, je paniquais encore un peu mais c'est vrai que là il ne me faisait pas mal.
Il poussait, je ne résistais pas. Il poussait lentement mais fermement, je sentais mon anus se dilater, s'ouvrir. Je respirais fort et vite, je haletais. Il marquais une pause. Je respirais encore plus fort, moins vite mais je respirais bien à fond. Il poussait de nouveau et je sentais encore un peu mon anus se dilater.
Ma cervelle était en feu. Je ne ressentais pas vraiment de la douleur mais je sentais mon cul se distendre tellement qu'il allait déchirer. Finalement je hurlais au moment ou sa queue s'enfonçait dans mes entrailles. Le muscle anal s'était totalement détendu je n'avais plus de souffle, j'étais au bord de l'évanouissement.
Il s'enfonçait en moi en un mouvement lent, il s'enfonçait en moi bien à fond mais quand son ventre touchait mes fesses il ne poussait pas, il marquait une pause puis se retirait.
Tout mon corps a tremblé à ce moment, c'est efficace ce petit tube argenté que m'a donné mon cousin. Sunny s'est retiré presque en entier puis est revenu. Il recommençait plusieurs fois de suite ce mouvement. Je tremblais, tout mon corps tremblait, je ne contrôlais plus aucun muscle.
Il se retirait totalement de moi et déjà j'en voulais encore. Il mettait encore un peu de ce lubrifiant miracle et s'enfonçait en moi de nouveau. Là je gémissait de plaisir. Pour être exacte c'était juste le point entre la douleur et l'extase. Je m'abandonnais totalement à lui.
Il accélérait le mouvement, s'enfonçait plus vite. A une ou deux reprises il tentait de pousser un peu plus profondément mais là je me contractais, là c'était trop et il le ressentait. Il n'insistait pas mais continuait à me limer le cul avec régularité, mais avec lenteur.
Ce n'était pas, ce n'était plus de la douleur que je ressentais un immense bien être qui envahissait tout mon corps. Je tremblais, mais là ce n'était plus la peur ou la panique qui me faisait ça. C'était un plaisir que je n'avais encore jamais ressenti. C'était bon, c'était tellement bon. Je devinais qu'il fallait y aller doucement, c'est ce qu'il faisait. Je devinais qu'avec un engin aussi gros il pourrait facilement me blesser et pendant que mon corps convulsait je me disais qu'avec mon cousin Samuel, désormais, je pourrais me laisser aller, avec Samuel ça passerait tout seul.
Il finissait par jouir, moi je jouissait depuis un moment d'un orgasme qui dure et dure au moment ou il se retirait. C'est à ce moment là seulement que je jutais, je jutais sans jouir, j'avais joui pendant de longues, de très longues minutes et j'étais comme mort. Mais je me sentais tellement bien. Je ne pouvais pas me relever, mes jambes ne me répondaient plus.
Il est adorable Sunny, il prenait soin de moi, me couvrait pour que je me sente bien et veillait sur moi.
Au matin, nous repartions, je prenais les rênes et je lui demandais comment il prévoyait de partir. Ce ne serait pas une évasion puisque ce serait avec ma complicité.
Il acceptait de faire preuve de patience et de prendre le temps d'étudier le problème, mais il exigeait que je lui promette solennellement de l'aider. C'est ce que je faisais. A contre cœur mais je le faisais.
Les préparatifs du mariage avançaient. Désormais Sarah et Déborah passaient souvent à la maison avec leur mère bien sûr.
Je demandais à la couturière de la maison, une esclave qui savait nous réaliser tous les vêtements qu'on voudrait, de réaliser un costume complet à la taille de Sunny et faisais aussi réaliser des bottes à sa taille, je prétextais un cadeau pour un parent éloigné qui avait la même pointure que mon esclave. Le bottier était très bon, la preuve, sans essayage, on n'allait tout de même pas faire essayer des bottes par un esclave il nous garantissait que ces botte lui iraient comme un gant … Enfin sans essayage chez lui, et en effet elles étaient parfaites.
Le vêtement ne devait pas être trop tape à l’œil. Mais ça ne devait pas être un vêtement d'esclave.
Toute la maison était décorée. Nous avions mon cousin et moi un costume du dimanche très classe, nous avions d'habitude des vêtements clair, là ils étaient d'un blanc éclatant. C'est la couturière de la maison qui les avait réalisé et si moi je faisais des essayages officiels, c'est dans le plus grand secret que Sunny lui, faisait des essayages non officiels.
Il n'avait jamais été aussi beau, et je n'avais jamais autant eu envie de le garder près de moi. Mais j'avais promis et je ne me sentais pas capable de me dédire. Le lien qui nous rapprochait n'était plus et depuis longtemps celui d'un propriétaire envers un animal domestique.
Ici on le traiterait bien mais ici il ne serait jamais un homme et c'est ce qu'il voulait être … Et ça c'était normal !
Le Révérant qui devait célébrer les deux mariages arrivait en premier et on lui faisait visiter la maison, enfin la partie ouverte de la maison, le banquer, on lui présentait les futurs époux. Il nous connaissait déjà mais c'est le protocole. Il devait nous expliquer ce que les liens du mariages impliquait.
Il était un peu confus, un verre de vin et notre franc parler le mettaient à l'aise ou le rendait encore plus confus, c'était difficile à dire.
N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Tout semblait avancer plus vite à partir de ce jour.
C'est avec Samuel que je courtisais Sarah, enfin lui il courtisait Déborah. Nous étions suivis par Kissa, c'était pas seulement la nounou de Sarah mais aussi celle de Déborah, et Kissa vous pouvez me croire ne lâchait pas son ombrelle. Prête à taper si l'un d'entre nous osait s'approcher trop prêt de sa demoiselle … Elle prenait l'air sévère mais quand on la connaissait mieux on se rendait compte qu'elle n'était pas méchante. Suivaient ensuite Sunny, celui là vous le connaissez et Adam le nouvel esclave que mon grand père avait acheté à Samuel. Il était un peu plus âgé mais avait déjà servi comme valet de chambre chez un ami de mon grand père et, après tout, c'est la fonction qu'il allait remplir auprès de Samuel.
Le jour ou nous nous rendions chez nos promises était désormais le dimanche. C'est le jour de repos qu'on s'accordait. Il y avait vraiment beaucoup de travail à la plantation. On arrêtait la date du mariage pour la prochaine période plus calme après la récolte à venir. Et rapidement on en faisait l'annonce.
Une grande fête serait organisée au village et déjà on passait commande de tout ce qu'il fallait pour le décorer. La famille à laquelle nous allions nous unir n'avait pas d'héritiers mâle, il semblait donc logique que Samuel aille habiter chez sa femme, de fait je deviendrais dans l'avenir le seul maître dans cette maison …
Enfin quand je dis le seul maître … Il ne faudrait pas oublier les femmes de la maison, je peux vous garantir qu'elles se font entendre largement autant que les hommes et souvent ce sont elles qui ont le dernier mot. Le seul à se faire entendre sans que personne ne l’interrompe c'était mon grand père, enfin si grand mère décide de ne rien dire …
C'est à moi qu'on donnait la responsabilité d'entretenir les installations, aussi avec Sunny on parcourait les limites de la propriété, on était souvent absent du lundi au vendredi inclus. Sunny était reçu avec respect dans toutes les quincailleries de la régions, on y avait nos habitudes et on nous reconnaissait, le contraire aurait été dommage, on était tout de même de très bon clients.
Pendant les pauses, vous ne vous imaginez tout de même pas qu'on allait travailler non stop du matin au soir … Donc pendant les pauses Sunny me faisait la lecture. C'était pour s'entraîner et il lisait très bien maintenant mais il ne fallait pas que ça se sache ! Quelquefois le soir on se rapprochait plus qu'il n'aurait fallu, mais bon, il y avait comme une attraction entre nous.
Un jour ou je devrais dire un soir. Nous étions comme souvent dans un endroit totalement isolé, nous avion fait un feu et on surveillait la cuisson d'une très belle volaille … Je vous ai dit que Sunny tire très bien à la carabine ? Il s'était rapproché de moi.
Sunny : Jonathan il faut qu'on parle.
Moi : Tu m'inquiètes !
Sunny : Il faut que je m'en aille.
Moi : Mais ou veux-tu aller. Tu sais comment fonctionne ce pays, tu ne trouveras jamais de place pour toi ici.
Sunny : C'est dans le nord que je veux aller, tu sais qu'il on interdit l'esclavage là bas ?
Moi : J'en ai entendu parlé mais grand père dit que ce n'est pas réel, il vont remplacer l'esclavage par un contrôle, une soumission par l'argent.
Sunny : Oui peut être mais si tu gagnes de l'argent tu peut choisir ta vie. Ici quoi que je fasse, rien ne changera jamais !
Je m'approchais de lui, passais ma main autour de son bras.
Moi : Tu vas me manquer tu sais.
Sunny : Tu ne fera rien pour m'en empêcher ?
Moi : Si tu en doutais, pourquoi m'avoir averti ?
Sunny : Sans ton aide je ne pourrai pas partir.
Il passait son bras dans mon dos, et doucement me tirait vers lui. Je me retrouvais dans ses bras. Il me faisait un câlin.
Moi : Tu essayes de me convaincre de t'aider par la douceur ?
Sunny : Tu crois que j'ai des chances d'y parvenir ?
Moi : Aucune de cette manière, là tu risques de me donner encore plus l'envie de te garder près de moi.
Sunny : Bon je crois que je vais continuer tout de même.
Moi : Sunny ! Si ton seul but c'est d'aller dans le nord, je t'aiderai. Même si j'ai pas envie de te voir partir.
Sunny : Merci. Tu sais que tu vas me manquer Petit Maître Jonathan !
Là il m'embrassait comme il ne m'avait jamais embrassé. Il me donnait plus de tendresse que jamais, il me caressait le menton, mon cou, ma gorge. J'étais toujours impressionné qu'une telle montagne de muscles puisse montrer autant de douceur et de délicatesse. Il me déposait des baiser sur tout le visage, je lui rendais chacun de ses baisers, chacune de ses caresses. Je le laissais faire et quand je me redressais c'était pour le repousser en arrière, l'allonger sur le dos. Heureusement il ne résistait pas sinon je n'avais aucune chance d'y parvenir.
Allongé sur le dos c'est lui qui à ce moment se laissait faire, je le déshabillais, et c'était déjà avec la crainte de le voir disparaître que je me penchais sur lui, le caressais en insistant sur chacun de ses muscles. Sur chacun de ses muscles je déposais un baiser.
Il continuait à me caresser les cheveux, avec douceur, presque avec distraction. Mes caresses se précisaient et mon visage, mes baisers descendaient vers son nombril. Il avait écarté les jambes je m'agenouillais entre ses genoux. Je lui ouvrais son pantalon, il bandait et sa queue s'en échappait. Rapidement je ne voyais plus que cela.
Je lui massais sa queue, je la caressais, elle prenait toute sa taille. Quand je la prenait dans la bouche elle me remplissait jusqu'à la gorge. Je ne m'étais jamais autant régalé en la prenant dans ma bouche que ce soir là. Je savais que ça ne durerait pas, j'appréhendais la fin. Mes mains se promenaient sur ses cuisses. Je le suçais, je le caressais, je le voulais en entier, je le voulais en moi.
Frénétiquement je retirais mes vêtements. Il était nu entre mes bras, entre mes mains et ne demandais qu'un peu de douceur, je lui en donnais et lui en donnais encore. Mon corps glissait contre le sien. Mes muscles plutôt sympathiques, je suis habitué aux travaux de forces paraissaient pourtant tout petits à côté des siens.
Il se relevais et c'est moi qui me retrouvais allongé sur le sol et lui qui me caressait et couvrait mon corps de baisers. Il prenait ma queue dans sa bouche, ça il ne me le faisait pas souvent, en général il n'en avait pas l'occasion tant j'étais attiré par sa queue. Mais là il me l'imposait, il écartait ma main si jamais je la rapprochais et me massais les couilles et me masturbait tout en me suçant.
Il m'écartait les cuisses et se glissait un peu plus prêt de moi, il ne s'était pas encore assez rapproché pour que je puisse refermer mes jambes autour de lui. Avec de la salive il me lubrifiait le cul. Il ne m'avait pas demandé, il avait décidé. La nuit était tombée, le feu était éteint on se distinguait, on ne se voyait pas mais le contact de la peau n'en était que plus intense.
De la main j'attrapais ma chemise, j'avais gardé avec moi le tube argenté, le lubrifiant que mon cousin avait utilisé une fois avec moi. Sunny ne comprenait pas tout de suite ce que c'était. Il l'ouvrait, toujours au toucher, et comprenait vite. Je le sentait m'en passer une bonne dose sur l'anus.
J'étais mort de trouille, j'avais envie de me sauver, de l'arrêter mais je ne bougeais pas. Je tremblait mais laissais faire. Mon cœur semblait avoir un malaise au moment ou il me relevait les jambes. Ses gestes étaient contrôlé, tout en douceur. Je sentais sa force et sa douceur en même temps. Je redoutais cette tendresse qui allait se transformer en violence. J'avais peur qu'il ne me fasse mal mais je ne bougeais pas.
J'étais replié en deux, mes chevilles sur ses épaules, il m'écrasait avec force, je sentais une pression sur mon anus et là, à partir de cet instant je savais que ça allait devenir l'enfer !
Il poussait, je hurlais. Mon cul ne s'était pas encore ouvert, il n'avait pas poussé fort mais j'avais hurlé avant d'avoir mal. Il me laissait le temps de me décontracter en maintenant une pression. Puis relâchait la pression et se retirait. Il glissait alors un ou deux doigts dans mon cul, je ne sais pas.
Je gémissais de plaisir. C'était tellement bon, puis il reprenait la position et cette fois-ci il poussait plus fort. Dans ma tête, je paniquais encore un peu mais c'est vrai que là il ne me faisait pas mal.
Il poussait, je ne résistais pas. Il poussait lentement mais fermement, je sentais mon anus se dilater, s'ouvrir. Je respirais fort et vite, je haletais. Il marquais une pause. Je respirais encore plus fort, moins vite mais je respirais bien à fond. Il poussait de nouveau et je sentais encore un peu mon anus se dilater.
Ma cervelle était en feu. Je ne ressentais pas vraiment de la douleur mais je sentais mon cul se distendre tellement qu'il allait déchirer. Finalement je hurlais au moment ou sa queue s'enfonçait dans mes entrailles. Le muscle anal s'était totalement détendu je n'avais plus de souffle, j'étais au bord de l'évanouissement.
Il s'enfonçait en moi en un mouvement lent, il s'enfonçait en moi bien à fond mais quand son ventre touchait mes fesses il ne poussait pas, il marquait une pause puis se retirait.
Tout mon corps a tremblé à ce moment, c'est efficace ce petit tube argenté que m'a donné mon cousin. Sunny s'est retiré presque en entier puis est revenu. Il recommençait plusieurs fois de suite ce mouvement. Je tremblais, tout mon corps tremblait, je ne contrôlais plus aucun muscle.
Il se retirait totalement de moi et déjà j'en voulais encore. Il mettait encore un peu de ce lubrifiant miracle et s'enfonçait en moi de nouveau. Là je gémissait de plaisir. Pour être exacte c'était juste le point entre la douleur et l'extase. Je m'abandonnais totalement à lui.
Il accélérait le mouvement, s'enfonçait plus vite. A une ou deux reprises il tentait de pousser un peu plus profondément mais là je me contractais, là c'était trop et il le ressentait. Il n'insistait pas mais continuait à me limer le cul avec régularité, mais avec lenteur.
Ce n'était pas, ce n'était plus de la douleur que je ressentais un immense bien être qui envahissait tout mon corps. Je tremblais, mais là ce n'était plus la peur ou la panique qui me faisait ça. C'était un plaisir que je n'avais encore jamais ressenti. C'était bon, c'était tellement bon. Je devinais qu'il fallait y aller doucement, c'est ce qu'il faisait. Je devinais qu'avec un engin aussi gros il pourrait facilement me blesser et pendant que mon corps convulsait je me disais qu'avec mon cousin Samuel, désormais, je pourrais me laisser aller, avec Samuel ça passerait tout seul.
Il finissait par jouir, moi je jouissait depuis un moment d'un orgasme qui dure et dure au moment ou il se retirait. C'est à ce moment là seulement que je jutais, je jutais sans jouir, j'avais joui pendant de longues, de très longues minutes et j'étais comme mort. Mais je me sentais tellement bien. Je ne pouvais pas me relever, mes jambes ne me répondaient plus.
Il est adorable Sunny, il prenait soin de moi, me couvrait pour que je me sente bien et veillait sur moi.
Au matin, nous repartions, je prenais les rênes et je lui demandais comment il prévoyait de partir. Ce ne serait pas une évasion puisque ce serait avec ma complicité.
Il acceptait de faire preuve de patience et de prendre le temps d'étudier le problème, mais il exigeait que je lui promette solennellement de l'aider. C'est ce que je faisais. A contre cœur mais je le faisais.
Les préparatifs du mariage avançaient. Désormais Sarah et Déborah passaient souvent à la maison avec leur mère bien sûr.
Je demandais à la couturière de la maison, une esclave qui savait nous réaliser tous les vêtements qu'on voudrait, de réaliser un costume complet à la taille de Sunny et faisais aussi réaliser des bottes à sa taille, je prétextais un cadeau pour un parent éloigné qui avait la même pointure que mon esclave. Le bottier était très bon, la preuve, sans essayage, on n'allait tout de même pas faire essayer des bottes par un esclave il nous garantissait que ces botte lui iraient comme un gant … Enfin sans essayage chez lui, et en effet elles étaient parfaites.
Le vêtement ne devait pas être trop tape à l’œil. Mais ça ne devait pas être un vêtement d'esclave.
Toute la maison était décorée. Nous avions mon cousin et moi un costume du dimanche très classe, nous avions d'habitude des vêtements clair, là ils étaient d'un blanc éclatant. C'est la couturière de la maison qui les avait réalisé et si moi je faisais des essayages officiels, c'est dans le plus grand secret que Sunny lui, faisait des essayages non officiels.
Il n'avait jamais été aussi beau, et je n'avais jamais autant eu envie de le garder près de moi. Mais j'avais promis et je ne me sentais pas capable de me dédire. Le lien qui nous rapprochait n'était plus et depuis longtemps celui d'un propriétaire envers un animal domestique.
Ici on le traiterait bien mais ici il ne serait jamais un homme et c'est ce qu'il voulait être … Et ça c'était normal !
Le Révérant qui devait célébrer les deux mariages arrivait en premier et on lui faisait visiter la maison, enfin la partie ouverte de la maison, le banquer, on lui présentait les futurs époux. Il nous connaissait déjà mais c'est le protocole. Il devait nous expliquer ce que les liens du mariages impliquait.
Il était un peu confus, un verre de vin et notre franc parler le mettaient à l'aise ou le rendait encore plus confus, c'était difficile à dire.
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