ET TOUJOURS EN ÉTÉ 14 LE NORD
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-07-2020 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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ET TOUJOURS EN ÉTÉ 14 LE NORD
ET TOUJOURS EN ÉTÉ 14LE NORD
On s'installait à une table et je commandais. Il y a toujours des petits trucs à grignoter sur la table pour faire patienter les clients, il se jetait dessus.
Moi : Mais dis donc ça fait combien de temps que tu n'as pas mangé ?
Il se recroquevillait sur lui même.
Lui : Excusez moi monsieur.
Moi : Ça ne répond pas à ma question.
Lui : Je ne sais pas Monsieur je ne mange pas tous les jours …Moi : En effet je t'ai trouvé un peu maigre. Au fait tu t'appelles comment ?
Lui : Taxi Monsieur …Moi : Moi c'est Jonathan.
Taxi : Je vous remercie Monsieur Jonathan pour tout ce que vous faite pour moi.
On ne connaissait pas cette cuisine aussi on se faisait conseiller, Taxi n'osait pas je devais décider à sa place, c'était délicieux et on ressortait du restaurant réconforté.
Moi : Alors, qu'est-ce que tu veux faire de ta vie maintenant ?
Taxi : Je ne sais pas Monsieur Jonathan, je n'ai nulle part ou aller. Si vous voulez bien de moi Monsieur Jonathan ...
Moi : D'accord je te prend à mon service. Il faut avant tout nous rendre à la gare, je ne souhaite pas rester ici plus que le stricte nécessaire.
Dans l'après midi, on était à la gare et dans la soirée on était dans le train.
Avec toute l'agitation que ce début de guerre provoquait le train était arrêté régulièrement, on n’avançait pas. C'est seulement le matin qu'on arrivait à la capital de l'état. Depuis mon départ je n'étais pas à cent kilomètre de la maison, pourtant j'étais déjà tellement loin que je ne pouvais plus revenir en arrière. Je ne le savais pas encore.
Le matin je demandais un entretien avec le directeur de la banque.
Le dir : Ah Monsieur Jonathan, j'ai appris votre mariage, votre dame est avec vous ?
Moi : Non j'étais en déplacement pour des affaires et j'ai du mal à rentrer à la maison.
Il m'expliquait que ce ne serait pas possible, peut être même, pas avant longtemps … La frontière était fermée … Plus personne ne pouvait passer. Ni en provenance du Sud ni en départ pour le Sud. J'avais réussi le passage, mais ça devait être un des derniers bateau à avoir fait la traversée. Si on était parti le lendemain ou même une heure plus tard … c'était trop tard.
Je revoyais Sarah quand elle décidait qu'il fallait partir immédiatement. Je revoyais sa silhouette qui s'effaçait sur cette jeté, j'avais envie de pleurer, je ne savais pas quand je la reverrais.
Moi : Bien, et qu'en est-il de l'argent que ma famille a déposé dans cette banque.
Le dir : Tout va bien, il est à la disposition des ayants droits qui viendrait le réclamer, vous en faites partie. Par contre il n'est pas question de le reverser sur votre banque dans le Sud. Économiquement vous êtes riche, ici vous êtes riche.
Ça m'arrangeait bien cette affaire, la bourse était bien entamée et aurait fini par se vider, de toutes façons je savais que je n'aurais jamais regretté l'argent que j'avais donné à Sunny… Le jour même je prenait un appartement dans la banlieue de la ville. C'était un appartement moderne avec l'eau courante et eau chaude à volonté … Taxi faisait une tête en voyant cela, il ne savait même pas que ça existait.
Il me suivait partout comme un petit chien, je ne veux pas être insultant en disant cela, c'est un garçon adorable. Je lui achetais quelques vêtements qui pourraient lui être nécessaire, j'en commandais pour moi aussi. J'étais parti avec juste un costume sur moi. Il ne nous fallait que quelques jours pour être complètement installé.
Je lui confiait la maison, les clés, et la clé du petit coffre qui contenait un peu d'argent, pour lui c'était une très grosse somme mais je décidais de lui faire confiance. Je ne l'ai pas regretté. Régulièrement pour faire des achats, les courses, le blanchisseur par exemple il se servait dans la caisse.
Nous étions installés depuis plus d'une semaine. Taxi s'affairait dans l'appartement, il prenait son rôle de majordome au sérieux et s'appliquait dans tout ce qu'il faisait.
J'étais dans ma baignoire, je réfléchissais, mon obsession restait la même, rentrer à la maison et retrouver ma femme et ma famille. Taxi entrait sans prévenir dans la salle de bain.
Taxi : Oh pardon Monsieur Jonathan, je ne voulais pas vous déranger.
Moi : Taxi !
Taxi : Oui Monsieur Jonathan .
Moi : Dis mois quand as-tu pris un bain pour la dernière fois.
Taxi : C'était il n'y a pas longtemps, c'était le jour ou je vous ai rencontré Monsieur Jonathan.
Moi : Ça va faire plus de dix jours.
Taxi : Peut être bien Monsieur …Moi : A l'avenir tu voudras bien prendre un bain au moins deux ou trois fois par semaine.
Au moins !
Il avait l'air surpris, c'est vrai qu'il fallait tout lui apprendre. Je rajoutais .
Moi : Nous avons une salle de bain ici !
Taxi : Votre baignoire Monsieur Jonathan ?
Moi : Il me semble que c'est ce qu'il y a de plus pratique.
Taxi : Mon ancien Maître n'aurais jamais accepté que je me baigne dans sa baignoire …
Je ressortais de la baignoire, me passais un linge autour de la ceinture et revenais à mon bureau. Je me faisais livrer tous les journaux tous les jours et je tentais de comprendre la situation.
Le Nord avait attaqué et c'est le Sud qui avait gagné, dans une autre région la frontière avait reculé de plus de cent kilomètre en moins d'une semaine.
Je ne comprenais plus rien, je ne savais même pas dans quel camp il fallait être.
Ma famille, seule ma famille me préoccupait. J'étais sans nouvelles et il n'y avait aucun moyen de faire parvenir un message. Ne serait-ce que pour leur dire que que j'allais bien.
J'entendais du bruit qui venait de la salle de bain, c'était Taxi, il sortait de la salle de bain, il était à poil, il se séchait la tête. Il n'avait pas traîné pour suivre mes conseilles, ce garçon est adorable. Il fait tout ce que je lui demande, mais est-ce une bonne raison pour se balader à poil dans l'appartement en sortant de la baignoire ?
Depuis mon départ, je n'avais tenu qu'une personne dans mes bras. C'était Taxi, et j'avais aimé. Il est bien foutu ce garçon. Je le regardais, il avait pris un peu de poids depuis qu'il vivait avec moi, il n'en était que plus beau, je l'avais trouvé un peu maigre le premier jour.
D'abord, je le suivais des yeux, je regardais ses mouvements, ses gestes, il se déplaçait avec élégance, il laissait tomber sa serviette et en sifflotant se dirigeait vers la cuisine.
Je le suivais, je m'amusais de la situation, je l'avais vu moins d'une heure plus tôt, c'est vrai je lui avait dit de prendre un bain mais je ne m'imaginais qu'il le ferait aussitôt, qu'il se promènerait à poil dans l'appartement alors que j'y étais encore …
Brusquement je comprenais, il voulait juste m'allumer, il avait envie de moi et ne devait pas savoir comment s'y prendre.
Moi : Et bien Taxi, je vois que tu as pris une douche !
Il hurlait et je suis sûr qu'il ne faisait pas semblant. Il se retournait il faisait une tête, il était entièrement nu et sa queue se relevait fièrement.
Taxi : Monsieur Jonathan ! Vous êtes toujours là, je croyais que vous étiez sorti.
J'éclatais de rire, mon linge que j'avais toujours autour de moi tombait sur le sol. Taxi semblait terrifié, il semblait avoir peur de prendre une correction. Je m'approchais de lui, je commençais à bander. J'approchais une main de sa joue, il faisait un geste comme pour se protéger.
Moi : Mais je n'ai pas l'intention de te frapper.
Je posais mes mains sur ses joues, le tirais vers moi et l'embrassait.
Moi : C'est mieux comme ça, tu avais besoin de prendre une douche !
Il me prenait dans ses bras, on se serrait l'un contre l'autre. Sur son visage un large sourire se dessinait, je sentais sur tout mon corps la douceur de sa peau. Et là ou il posait ses mains je sentais la tendresse de ses caresses.
J'étais en manque de tendresse, et lui était très tendre. Je l'entraînais dans ma chambre, il ne résistait pas. Je le caressais sur tout le corps, sans insister sur aucune zone de sa peau en particulier. Je le repoussais sur le lit et m'allongeais sur lui.
Sa peau était chaude autant que douce, elle restait toujours un peu moite juste après son bain. Moi j'avais séché totalement. On se couvrait de caresses et de baisers, il finissait par me caresser les couilles et la bite avec insistance, je le laissais faire et quand je me penchais c'était pour lui sucer la queue.
Taxi : Prenez moi Monsieur Jonathan.
Moi : Tu aimes bien ça toi aussi ?
Il était allongé sur le dos, je lui relevais les jambes et les repliais sur lui.
Je tenais fermement ses deux chevilles jointes. Son cul était bien accessible, il me laissait faire. Je lui caressais les fesses, j'avais acheté un peu de ce lubrifiant que mon cousin m'avait fait découvrir. Je lui en passais sur la raie des fesses. Il me caressait le bras et me regardait. Par moment il avait l'air d'un gamin, un gamin adulte mais un gamin.
Il était jeune et ne savait pas son âge, il avait de la barbe, pas très développée encore mais elle poussait et son corps était celui d'un homme. Je plaçais ma queue sur son anus. Il me regardais, il n'avait pas peur, aucune inquiétude. Je poussais.
Il gémissait de plaisir, c'est sûr il aimait. Il aimait encore plus que moi ce petit gars. Doucement, mon but n'était pas de lui faire mal j'enfonçais ma queue et je voyais l'expression de son visage changer, ses yeux se retournait et il les fermait, il se cambrait et appuyait la tête sur l’oreiller, et je sentais tout son corps se redresser, son dos se redresser il se cambrait. Je poussais à fond, il ouvrait la bouche et gémissait plus fort.
Mon ventre s'écrasait sur ses fesses, je lui repliais les jambes encore un peu plus et m'appuyais sur lui. Il parvenait à glisser une main derrière ma cuisse et me tirait vers lui. Je poussais alors de toutes mes forces.
Il haletait, son souffle devenait irrégulier. Sans ménagement je lui écartais les jambes, aussitôt il les refermait fermement dans mon dos et me retenais de toutes ses forces. Je me retirais, il me retenait. Je m'enfonçais de nouveau, il gémissait et me retenait toujours avec autant de force, il me tirait vers lui.
Je me retirais de nouveau et m'enfonçais. Il attrapait mes bras et me tirait le corps vers lui. Je me laissais tomber sur lui et il m'agrippait alors frénétiquement par les épaules . Il passait un bras derrière mon cou, me caressait avec des mouvements rapides qu'il semblait ne plus contrôler. Il respirait fort.
J'avais perdu l'équilibre et je m'appuyais alors sur lui de tous mon poids. Mon bassin se relevait et retombait avec rapidité, et plus en plus vite. Des mouvements de plus en plus amples. Quand mon bassin s'écrasait contre ses fesses c'était avec violence maintenant et je sentais son ventre réagir, me masser la queue.
Je me retirait complètement. J'étais essoufflé, je le regardait dans les yeux, il avait un regard de fou. D'un mouvement rapide je m'enfonçais bien à fond, il criait. Je recommençais plusieurs fois de suite puis continuais à lui limer le cul avec vigueur.
Il me saisissait, me prenait dans ses bras et me serrait contre lui, je pouvais toujours bouger mon bassin et ne m'en privait pas. Il tremblait et m'embrassait sur le visage.
Je râlais, je gémissais à mon tour. Il jouissait, je le sentais il éjaculait, aussitôt j'en faisais de même. Je me laissais alors tomber sur lui. On ne bougeait plus, on prolongeait ce moment de folie par un long moment de partage et de tendresse. Ma queue restait plantée dans son cul, je ne débandais pas. Ça m'avait manqué.
Il ne voulait pas me lâcher, il a fallu que je fasse plusieurs tentatives avant qu'il ne se décide à ouvrir ses bras. Je regardais, j'étais au dessus de lui appuyé sur mes mains, il me caressait les bras. Je lui donnais un dernier baiser avant de me relever, je bandais presque mou quand je me retirais de son cul.
Je le prenais par la main et l'entraînait.
Moi : Allez on y retourne …
Je prenais la direction de la salle de bain il me suivait.
Taxi : Mais Monsieur Jonathan je viens de prendre un bain.
Moi : J'ai besoin que quelqu'un me frotte le dos.
Taxi : Mais vous venez de prendre un bain vous aussi Monsieur Jonathan.
Je le tirais vers moi, lui donnais un baiser sur la bouche il ne disais plus rien et me suivait sans résister.
Moi aussi je lui ai frotté le dos.
N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
On s'installait à une table et je commandais. Il y a toujours des petits trucs à grignoter sur la table pour faire patienter les clients, il se jetait dessus.
Moi : Mais dis donc ça fait combien de temps que tu n'as pas mangé ?
Il se recroquevillait sur lui même.
Lui : Excusez moi monsieur.
Moi : Ça ne répond pas à ma question.
Lui : Je ne sais pas Monsieur je ne mange pas tous les jours …Moi : En effet je t'ai trouvé un peu maigre. Au fait tu t'appelles comment ?
Lui : Taxi Monsieur …Moi : Moi c'est Jonathan.
Taxi : Je vous remercie Monsieur Jonathan pour tout ce que vous faite pour moi.
On ne connaissait pas cette cuisine aussi on se faisait conseiller, Taxi n'osait pas je devais décider à sa place, c'était délicieux et on ressortait du restaurant réconforté.
Moi : Alors, qu'est-ce que tu veux faire de ta vie maintenant ?
Taxi : Je ne sais pas Monsieur Jonathan, je n'ai nulle part ou aller. Si vous voulez bien de moi Monsieur Jonathan ...
Moi : D'accord je te prend à mon service. Il faut avant tout nous rendre à la gare, je ne souhaite pas rester ici plus que le stricte nécessaire.
Dans l'après midi, on était à la gare et dans la soirée on était dans le train.
Avec toute l'agitation que ce début de guerre provoquait le train était arrêté régulièrement, on n’avançait pas. C'est seulement le matin qu'on arrivait à la capital de l'état. Depuis mon départ je n'étais pas à cent kilomètre de la maison, pourtant j'étais déjà tellement loin que je ne pouvais plus revenir en arrière. Je ne le savais pas encore.
Le matin je demandais un entretien avec le directeur de la banque.
Le dir : Ah Monsieur Jonathan, j'ai appris votre mariage, votre dame est avec vous ?
Moi : Non j'étais en déplacement pour des affaires et j'ai du mal à rentrer à la maison.
Il m'expliquait que ce ne serait pas possible, peut être même, pas avant longtemps … La frontière était fermée … Plus personne ne pouvait passer. Ni en provenance du Sud ni en départ pour le Sud. J'avais réussi le passage, mais ça devait être un des derniers bateau à avoir fait la traversée. Si on était parti le lendemain ou même une heure plus tard … c'était trop tard.
Je revoyais Sarah quand elle décidait qu'il fallait partir immédiatement. Je revoyais sa silhouette qui s'effaçait sur cette jeté, j'avais envie de pleurer, je ne savais pas quand je la reverrais.
Moi : Bien, et qu'en est-il de l'argent que ma famille a déposé dans cette banque.
Le dir : Tout va bien, il est à la disposition des ayants droits qui viendrait le réclamer, vous en faites partie. Par contre il n'est pas question de le reverser sur votre banque dans le Sud. Économiquement vous êtes riche, ici vous êtes riche.
Ça m'arrangeait bien cette affaire, la bourse était bien entamée et aurait fini par se vider, de toutes façons je savais que je n'aurais jamais regretté l'argent que j'avais donné à Sunny… Le jour même je prenait un appartement dans la banlieue de la ville. C'était un appartement moderne avec l'eau courante et eau chaude à volonté … Taxi faisait une tête en voyant cela, il ne savait même pas que ça existait.
Il me suivait partout comme un petit chien, je ne veux pas être insultant en disant cela, c'est un garçon adorable. Je lui achetais quelques vêtements qui pourraient lui être nécessaire, j'en commandais pour moi aussi. J'étais parti avec juste un costume sur moi. Il ne nous fallait que quelques jours pour être complètement installé.
Je lui confiait la maison, les clés, et la clé du petit coffre qui contenait un peu d'argent, pour lui c'était une très grosse somme mais je décidais de lui faire confiance. Je ne l'ai pas regretté. Régulièrement pour faire des achats, les courses, le blanchisseur par exemple il se servait dans la caisse.
Nous étions installés depuis plus d'une semaine. Taxi s'affairait dans l'appartement, il prenait son rôle de majordome au sérieux et s'appliquait dans tout ce qu'il faisait.
J'étais dans ma baignoire, je réfléchissais, mon obsession restait la même, rentrer à la maison et retrouver ma femme et ma famille. Taxi entrait sans prévenir dans la salle de bain.
Taxi : Oh pardon Monsieur Jonathan, je ne voulais pas vous déranger.
Moi : Taxi !
Taxi : Oui Monsieur Jonathan .
Moi : Dis mois quand as-tu pris un bain pour la dernière fois.
Taxi : C'était il n'y a pas longtemps, c'était le jour ou je vous ai rencontré Monsieur Jonathan.
Moi : Ça va faire plus de dix jours.
Taxi : Peut être bien Monsieur …Moi : A l'avenir tu voudras bien prendre un bain au moins deux ou trois fois par semaine.
Au moins !
Il avait l'air surpris, c'est vrai qu'il fallait tout lui apprendre. Je rajoutais .
Moi : Nous avons une salle de bain ici !
Taxi : Votre baignoire Monsieur Jonathan ?
Moi : Il me semble que c'est ce qu'il y a de plus pratique.
Taxi : Mon ancien Maître n'aurais jamais accepté que je me baigne dans sa baignoire …
Je ressortais de la baignoire, me passais un linge autour de la ceinture et revenais à mon bureau. Je me faisais livrer tous les journaux tous les jours et je tentais de comprendre la situation.
Le Nord avait attaqué et c'est le Sud qui avait gagné, dans une autre région la frontière avait reculé de plus de cent kilomètre en moins d'une semaine.
Je ne comprenais plus rien, je ne savais même pas dans quel camp il fallait être.
Ma famille, seule ma famille me préoccupait. J'étais sans nouvelles et il n'y avait aucun moyen de faire parvenir un message. Ne serait-ce que pour leur dire que que j'allais bien.
J'entendais du bruit qui venait de la salle de bain, c'était Taxi, il sortait de la salle de bain, il était à poil, il se séchait la tête. Il n'avait pas traîné pour suivre mes conseilles, ce garçon est adorable. Il fait tout ce que je lui demande, mais est-ce une bonne raison pour se balader à poil dans l'appartement en sortant de la baignoire ?
Depuis mon départ, je n'avais tenu qu'une personne dans mes bras. C'était Taxi, et j'avais aimé. Il est bien foutu ce garçon. Je le regardais, il avait pris un peu de poids depuis qu'il vivait avec moi, il n'en était que plus beau, je l'avais trouvé un peu maigre le premier jour.
D'abord, je le suivais des yeux, je regardais ses mouvements, ses gestes, il se déplaçait avec élégance, il laissait tomber sa serviette et en sifflotant se dirigeait vers la cuisine.
Je le suivais, je m'amusais de la situation, je l'avais vu moins d'une heure plus tôt, c'est vrai je lui avait dit de prendre un bain mais je ne m'imaginais qu'il le ferait aussitôt, qu'il se promènerait à poil dans l'appartement alors que j'y étais encore …
Brusquement je comprenais, il voulait juste m'allumer, il avait envie de moi et ne devait pas savoir comment s'y prendre.
Moi : Et bien Taxi, je vois que tu as pris une douche !
Il hurlait et je suis sûr qu'il ne faisait pas semblant. Il se retournait il faisait une tête, il était entièrement nu et sa queue se relevait fièrement.
Taxi : Monsieur Jonathan ! Vous êtes toujours là, je croyais que vous étiez sorti.
J'éclatais de rire, mon linge que j'avais toujours autour de moi tombait sur le sol. Taxi semblait terrifié, il semblait avoir peur de prendre une correction. Je m'approchais de lui, je commençais à bander. J'approchais une main de sa joue, il faisait un geste comme pour se protéger.
Moi : Mais je n'ai pas l'intention de te frapper.
Je posais mes mains sur ses joues, le tirais vers moi et l'embrassait.
Moi : C'est mieux comme ça, tu avais besoin de prendre une douche !
Il me prenait dans ses bras, on se serrait l'un contre l'autre. Sur son visage un large sourire se dessinait, je sentais sur tout mon corps la douceur de sa peau. Et là ou il posait ses mains je sentais la tendresse de ses caresses.
J'étais en manque de tendresse, et lui était très tendre. Je l'entraînais dans ma chambre, il ne résistait pas. Je le caressais sur tout le corps, sans insister sur aucune zone de sa peau en particulier. Je le repoussais sur le lit et m'allongeais sur lui.
Sa peau était chaude autant que douce, elle restait toujours un peu moite juste après son bain. Moi j'avais séché totalement. On se couvrait de caresses et de baisers, il finissait par me caresser les couilles et la bite avec insistance, je le laissais faire et quand je me penchais c'était pour lui sucer la queue.
Taxi : Prenez moi Monsieur Jonathan.
Moi : Tu aimes bien ça toi aussi ?
Il était allongé sur le dos, je lui relevais les jambes et les repliais sur lui.
Je tenais fermement ses deux chevilles jointes. Son cul était bien accessible, il me laissait faire. Je lui caressais les fesses, j'avais acheté un peu de ce lubrifiant que mon cousin m'avait fait découvrir. Je lui en passais sur la raie des fesses. Il me caressait le bras et me regardait. Par moment il avait l'air d'un gamin, un gamin adulte mais un gamin.
Il était jeune et ne savait pas son âge, il avait de la barbe, pas très développée encore mais elle poussait et son corps était celui d'un homme. Je plaçais ma queue sur son anus. Il me regardais, il n'avait pas peur, aucune inquiétude. Je poussais.
Il gémissait de plaisir, c'est sûr il aimait. Il aimait encore plus que moi ce petit gars. Doucement, mon but n'était pas de lui faire mal j'enfonçais ma queue et je voyais l'expression de son visage changer, ses yeux se retournait et il les fermait, il se cambrait et appuyait la tête sur l’oreiller, et je sentais tout son corps se redresser, son dos se redresser il se cambrait. Je poussais à fond, il ouvrait la bouche et gémissait plus fort.
Mon ventre s'écrasait sur ses fesses, je lui repliais les jambes encore un peu plus et m'appuyais sur lui. Il parvenait à glisser une main derrière ma cuisse et me tirait vers lui. Je poussais alors de toutes mes forces.
Il haletait, son souffle devenait irrégulier. Sans ménagement je lui écartais les jambes, aussitôt il les refermait fermement dans mon dos et me retenais de toutes ses forces. Je me retirais, il me retenait. Je m'enfonçais de nouveau, il gémissait et me retenait toujours avec autant de force, il me tirait vers lui.
Je me retirais de nouveau et m'enfonçais. Il attrapait mes bras et me tirait le corps vers lui. Je me laissais tomber sur lui et il m'agrippait alors frénétiquement par les épaules . Il passait un bras derrière mon cou, me caressait avec des mouvements rapides qu'il semblait ne plus contrôler. Il respirait fort.
J'avais perdu l'équilibre et je m'appuyais alors sur lui de tous mon poids. Mon bassin se relevait et retombait avec rapidité, et plus en plus vite. Des mouvements de plus en plus amples. Quand mon bassin s'écrasait contre ses fesses c'était avec violence maintenant et je sentais son ventre réagir, me masser la queue.
Je me retirait complètement. J'étais essoufflé, je le regardait dans les yeux, il avait un regard de fou. D'un mouvement rapide je m'enfonçais bien à fond, il criait. Je recommençais plusieurs fois de suite puis continuais à lui limer le cul avec vigueur.
Il me saisissait, me prenait dans ses bras et me serrait contre lui, je pouvais toujours bouger mon bassin et ne m'en privait pas. Il tremblait et m'embrassait sur le visage.
Je râlais, je gémissais à mon tour. Il jouissait, je le sentais il éjaculait, aussitôt j'en faisais de même. Je me laissais alors tomber sur lui. On ne bougeait plus, on prolongeait ce moment de folie par un long moment de partage et de tendresse. Ma queue restait plantée dans son cul, je ne débandais pas. Ça m'avait manqué.
Il ne voulait pas me lâcher, il a fallu que je fasse plusieurs tentatives avant qu'il ne se décide à ouvrir ses bras. Je regardais, j'étais au dessus de lui appuyé sur mes mains, il me caressait les bras. Je lui donnais un dernier baiser avant de me relever, je bandais presque mou quand je me retirais de son cul.
Je le prenais par la main et l'entraînait.
Moi : Allez on y retourne …
Je prenais la direction de la salle de bain il me suivait.
Taxi : Mais Monsieur Jonathan je viens de prendre un bain.
Moi : J'ai besoin que quelqu'un me frotte le dos.
Taxi : Mais vous venez de prendre un bain vous aussi Monsieur Jonathan.
Je le tirais vers moi, lui donnais un baiser sur la bouche il ne disais plus rien et me suivait sans résister.
Moi aussi je lui ai frotté le dos.
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