Examen reussit, recompense inoubliable 1 - histoire érotique

Valériane, 19 ans, étudiante en Angleterre, a réussi ses examens. Elle traverse la Manche pour retrouver ses parents. François son papa et Olga sa maman sont ravis du résultat des études de leur fille. Pour fêter ça, le champagne coule à flot, l'après-midi et une grosse partie de la nuit ne fut que beuverie, pour se terminer en une orgie torride. Le lendemain matin, François, se souvient de la soirée, il devient pâle. Honteux de ce qu'il a fait, il culpabilise à s'en rendre malade. Ce qui n'est pas le cas de Valériane, qui descend en nuisette de sa chambre en souriant, elle est radieuse. Elle ressent encore sur son corps, la bouche et les doigts de sa maman qui l'ont fait jouir comme une dingue. Mais le summum, c'est la verge de son papa qui lui a labouré la chatte, et qu'elle a sucé pour en recueillir la précieuse semence au gout de miel.


Elle embrasse son papa pour le saluer, en se collant à lui. Ses lèvres affleurent celles de son papa, qui rougit, il ravale sa salive en déglutissant bruyamment. Olga apparait à son tour, tout sourire, elle porte une blouse mal boutonnée, tout comme sa fille est nue dessous. Valériane s'approche de sa maman et l'embrasse en la serrant très fort dans ses bras. Les deux femmes se sourient et semblent ne rien regretter de la beuverie de la veille. Elles prennent place autour de la table, François avait deja préparé le petit déjeuner. Pendant qu'il sert le café, Olga demande :

-Alors ma fille, tu as bien dormi, pas trop vaseuse, les idées sont claires ?


Valériane répond en riant :

-J'ai très bien dormi, mais j'ai un peu mal à chatte avec ce que papa m'a mis hier !


La maman éclate de rire et réplique :

-Oh oui, vu comment il t'a pilonné, avec sa grosse bite, c'est normal que tu aies mal ma chérie, mais maintenant le passage est ouvert !



François ne dit pas un mot, il baisse la tête de honte. Olga le regarde et dit en souriant :

-Alors comme cela en a fait souffrir sa fille avec sa bite de cheval, fais voir la coupable, qu'on la punisse !


Valériane reprend :

-Oui papa, fait la voir la bébête qui a pénétrée le ventre de ta fille comme un soudard !



François reste sans voix, il regarde les deux femmes qui éclatent de rire. Olga ajoute :

-Tu étais plus volontaire hier hein mon cochon, aller ne fait pas ta chochotte, montre la coupable !



François réagit en béguant :

- Hier, c'était l'alcool qui commandait, mais aujourd'hui, je suis pris de remords, et je ne veux pas recommencer ce délire incestueux !


Olga dit en faisant une moue en regardant sa fille :

-Nous ma chérie, nous n'avons pas de regrets, nous sommes prêtés à recommencer, n'est-pas ma chérie !

Valériane répond :

-Oh oui, c'est faisable, je suis disposée à le faire, mais avec ton aide maman, aller, joue avec mon corps, fais-moi gémir comme hier maman !



Olga acquiesce, elle avale rapidement son petit déjeuner et part au salon en disant :

-Ma chérie, je vais me chauffer en t'attendant, ne tarde pas trop, laisse ton dégonflé de papa qui n'assume pas, et rejoins-moi vite !


Une fois au salon, Olga ouvre les pans de la blouse, et se laisse tomber sur le canapé. Rapidement, sa main entre en action. Ses doigts agiles caressent sa fente, taquinent son clito un instant, avant de s'enfoncer profondément dans son vagin. Le bruit que fait le va-et-vient ressemble à un clapotis, qui devient plus perceptible lorsque Olga, accélère le ramonage de sa vulve qui déborde de cyprine. De la cuisine, on peut entendre ses gémissements. Valériane se lève, regarde son papa un moment et lui demande :


-Maman et moi, nous allons te regretter, aller joins-toi à nous, laisse-toi faire mon petit papa baiseur !


François regarde sa fille, il voit à travers le fin tissu de la nuisette la petite touffe de poil qui décore la jeune chatte, que le coquin a défoncé hier et remplit de sa semence. Valériane sort de la cuisine, suivit par le regard pétillant de son papa. Ses yeux écarquillés suivent l'ondulation féline, que fait le bassin de Valériane à chacun de ses pas. Elle entre au salon, et regarde sa maman grimaçante qui se fouille la chatte. Olga regarde sa fille et lui dit :

-Oh ma chérie, je suis brulante, vient éteindre le feu qui brule en moi !


Valériane s'agenouille face à sa maman et lui retire la main et plaque sur la vulve dégoulinante sa bouche, elle aspire plusieurs fois le jus que la chatte rejette, puis gobe la perle de tous les plaisirs. Elle le suce comme un bonbon pendant de longues minutes, la coquine sais se servir de sa bouche, les gémissements de sa maman le prouvent. La chatte agressée et un puits intarissable, Valériane se gave du jus délicieux qui coule doucement dans sa gorge. Sa maman pousse un cri rauque, la langue de sa fille vient de lui pénétrer le conduit profondément. Le souffle d'Olga et celui d'un taureau énervé. Valériane lui travaille la chatte avec une telle voracité, que sa maman jouit.