Fantasme 5

- Par l'auteur HDS Dan48 -
Récit érotique écrit par Dan48 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Fantasme 5 Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-10-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Fantasme 5
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

CHAPITRE 5 : Claire un nouvel an qui finit bien
Je vous rappelle, je suis Claire, une très jolie brune de déjà 18ans, bientôt 19 en mars, bien roulée. Je n’ai presque aucun défaut. Enfin, je dis presque, parce que si vous avez lu les chapitres précédents, vous avez remarqué que j’ai difficilement accepté ma rupture avec mon petit ami Luca, et que ma réaction a été spéciale, très spéciale. Je ne pensais pas, que sous prétexte que je ne voulais pas coucher, un mec pouvait me planter là. Alors que je lui laissais faire de moi ce qu’il voulait. Bien sûr pas question de prendre ma virginité ni mon cul, mais je ne passais pas un jour sans lui sucer la bite, et en plus j’avalais sans rien dire, hormis, un « miam » quand personne ne m’entendait. J’ai un peu honte d’aimer le sperme. Je ne comprends pas, moi qui suis une « gueule sucrée », prête à me damner pour des profiteroles ou un St Honoré, si tu me présente du sperme, j’avale.
Il me revient une anecdote, une fois que nous étions au McDo avec Luca et un couple Samantha et Pierre, nous nous étions mis dans un recoin pour pouvoir nous peloter sans remarque de la direction. Les mecs ont transporté nos plateaux avec les commandes. Luca pose mon plateau devant moi, et part vers les toilettes. On a tous attendu qu’il revienne pour commencer. A son retour j’attrape ma première frite, la met dans bouche, Luca sort alors un préservatif de sa poche, usagé le préservatif, enfin je veux dire plein. Il le retourne au-dessus de mon cornet de frites et il le vide. Il en met partout sur mes frites. Je le regarde, il me dit « Je sais que tu aimes la sauce et comme tu n’as pas osé en demander au serveur » Il rit bêtement de sa blague douteuse qui fait aussi exploser l’autre couple. Mon amie, Samy, me dit moqueuse « heureusement que tu aimes ça ! » On a déjà parlé sperme Samantha et moi, elle sait que j’aime sucer, mais elle, elle se serait fâchée, et aurait probablement quitté la table. Je regarde Luca, furieuse, je ne connais pas assez le nouveau copain de Samy pour ce genre blague. Luca se rend compte de sa bévue, veut prendre le cornet pour le jeter, je lui dis « Laisses, ça va » et tranquillement je prends une frite sur le dessus. Elle est couverte à moitié de son sperme. Je les regarde alternativement tous les trois, en finissant par Pierre. J’ai laissé la frite devant ma bouche pendant l’échange de regard. Pierre n’y croit pas, il sourit avec un regard narquois. Je mets la frite dans bouche, la mâche un peu et l’avales, j’en prends une autre… je finis le cornet avant d’attaquer mon burger. Je lève les yeux sur lui, il me fixe toujours incrédule. Alors je m’excuse en disant moqueuse « Désolé, mais j’aime trop mon Luca, je ne peux résister à son jus ! » Samy éclate de rire, les garçons rient plutôt jaune.
Pour en revenir au plaquage en règle que j’ai subi à la fin des vacances d’été, J’ai vraiment très mal pris la chose. J’ai totalement disjoncté. J’étais un peu exhibitionniste, là je n’hésite plus à me mettre à poil devant des étrangers, à sucer plusieurs mecs d’affilé, à me promener à 4 pattes nue le cul en l’air en pleine rue. J’ai même dragué involontairement mon beau-père, et comme j’étais un peu éméchée ce soir-là, il a échappé de peu à une pipe.
Je voulais choquer Luca, c’est réussi, mais il n’est pas le seul à être choqué. Mon médecin en a parlé à au père de Luca qui est le chef de la police de la ville pour qu’il cherche à m’éviter des ennuis, et probablement à les éviter aussi à son fils d’ailleurs : bizarrement, les patrouilles de police ont beaucoup diminué dans les secteurs où je m’exhibe. Bref je suis devenue une véritable chienne en chaleur qui suce tout ce qui pend entre les jambes d’un mec. Une véritable pute, sauf que toujours pas question d’offrir ma virginité.
Avec l’aide de mes parents et d’un ami, Jérémy, j’ai commencé à reprendre pied dans la réalité. Ma sexualité se rapproche maintenant de la normale. Pas d’abus de langage tout de même, je m’exhibe toujours un peu, je suce toujours, mais de moins en moins d’inconnu. Et je vous interdis de dire qu’à force de sucer les inconnus, je connais tout le monde, qu’il n’y a plus d’inconnus dans le secteur. Sérieusement, j’ai l’impression d’aller mieux. Noël semble m’avoir définitivement servi de leçon. Je n’ai pas sucé âme qui vive depuis cette date. Pourtant le mois dernier, il ne s’est pas passé une journée où je n’ai pompé de verge, le matin au petit déj, à midi, et le soir avant d’aller me coucher. Minimum 3 fois par jour. Je n’en pouvais plus. Aujourd’hui, je suis heureuse de mon abstinence. Mais ne chantons pas victoire tout de suite, ça ne fait que 6 jours depuis Noël. (cf chapitre précédent)
Revenons à nos moutons, nous devons tous nous préparer pour le Nouvel An. Nous sommes invités chez des relations de mon beau-père. Comme la plupart de nos connaissances, ils sont au courant de mon état, et de mes lubies. Ils savent que je vais probablement faire des choses qui vont faire parler dans les chaumières. Mon beau-père a été soft, ils sont loin de tout savoir. Ma mère m’a demandé à plusieurs reprises de m’habiller correctement au moins, et de faire attention. J’aimerai qu’ils n’aient pas trop honte de moi pour une fois. Je sais que je suis leur fille, qu’ils m’adorent, qu’ils savent ce qui a provoquer mon attitude excessive, mais il y aura beaucoup de relations de travail alors, je me dois de faire un effort. Je prépare une petite valise avec des vêtements. A part ma ceinture de chasteté et mes genouillères, je n’ai pas porté le moindre habit depuis noël. Ah si, c’est vrai, mon collier de chienne et la laisse pour me promener dans le lotissement. Ca va me changer. J’ai même acheté un string en dentelle Aubade, très transparent. Mon premier sous-vêtement neuf depuis juin. Ma mère est heureuse de ma décision et espère que je vais tenir les trois jours. Elle m’a bien recommandé de faire le moins de pipe possible. Je me dis que si j’arrive à tenir trois jours ce sera presque gagné, mais …
Le téléphone sonne, je suis sur le canapé, ma valisette à côté de la porte d’entrée. Ma mère décroche, et après les politesses d’usage, me tend le combiné en disant « Ma chérie, c’est Helena pour toi » en cachant le micro elle ajoute « soit gentille avec elle pour une fois » On est rivale depuis la 6ème, et la guerre est féroce. Je réponds, décidée à rester aimable,
- « Allo, salut Helena, que deviens-tu ? »
- « Salut, Claire, je venais aux nouvelles. Je voulais savoir si tu allais bien oser venir avec tes parents ? » Je sens que ça va dégénérer
- « Pourquoi je n’oserai pas venir ? ma valise est prête, on va bientôt monter en voiture, pour un coup c’est Claude qui en retard »
- « J’ai entendu dire par plusieurs amis des 2 sexes que tu étais devenue une grosse salope exhibitionniste qui suce tout ce qui bouge. Alors je voulais être certaine de te voir à l’œuvre. Pour une fois, presque tous les amis de mes parents amènent leurs enfants. Mes parents ne comprennent pas pourquoi tous les enfants ont voulu venir cette année. Quand ils auront vu ta chatte et ton cul, ils comprendront. »
Je suis hors de moi, cette pouffe se fout de moi et a dû prévenir tous les enfants des invités. La garce. J’ai envie de l’insulter, mais je me contente de répondre calmement
- « T’inquiète je serai là. Tu n’en croiras pas tes yeux »,
Je raccroche sans lui laisser le temps de parler. Je suis en larmes. Moi qui voulais bien me tenir, elle me cherche déjà. Je sais que les insinuations, sous-entendus et insultes vont pleuvoir pendant les trois jours. Je me demande comment on a pu être amie avant la 6ème. Je ne peux tout de même pas lui casser la figure : les parents ne vont pas aimer ça.
Je me relève, j’attrape ma valise, la pose sur la table, l’ouvre, et posément jette tous les vêtements sur le canapé. Je ne laisse que mes trousses de toilette et à maquillage. Je remonte dans ma chambre devant les yeux ahuris de mes parents. Je m’assois sur mon lit, après une dernière hésitation, je me remets nue, j’enfile mon harnais, lui fixe la laisse, enfile bottines et genouillères. Je regarde ma ceinture de chasteté en latex transparent, Oui ou Non ?, et puis … Non, j’attrape la bouteille de lubrifiant, mon plug anal queue de cheval, et après l’avoir enduit, je me l’enfonce dans le cul violement. Je couine de douleur. Dans ma colère, j’ai oublié : je ne l’ai pas mis depuis près de 10 jours et mon petit cul s’est bien resserré.
Je redescends l’escalier, entre dans le salon où mes parents m’attendent, et devant leurs yeux attristés, dis
- « Je te préviens, si je viens, je serai en chienne pendant trois jours. Alors je comprends si tu préfères que je ne vienne pas »
- « Tu t’es déjà disputé avec Helena ? C’est cela ? »
Sans attendre de confirmation, elle regarde mon père, interrogative. Mon père répond qu’il ne sait pas. Elle s’assied sur le canapé, la tête entre les mains.
- « Maman, ne t’embêtes pas, je comprends, laissez-moi ici seule, je vais mettre ma ceinture de chasteté pour être en sécurité, et vous allez vous amuser. Je te foutrai trop la honte » Ma mère me regarde en larme, puis elle se redresse, les yeux noirs de colère
- « Cette petite conne d’Helena exagère, elle fout la merde. Il n’est pas question de passer le Nouvel An sans toi. Il faut qu’on y aille pour ton père, alors allons montrer ton joli petit cul à tout le monde … (Elle réalise que j’ai mis mon plug anal-queue) Tu devrais peut-être mettre ta ceinture de chasteté, non ? »
- « Je préfère ma queue, c’est plus provoc, si je mets ma ceinture, Helena va en rajouter en disant que j’ai mis une culotte en zinc, ou une autre connerie. Non provocation et exhibition maximum … si Claude ne s’y oppose pas. »
- « Tu peux y aller comme ça, tu es divine, J’espère simplement que tu ne vas pas provoquer trop d’infarctus parmi les invités, vu leur grand âge. Ils sont au courant de tes difficultés, mais je n’ai pas dit à Georges, que tu seras en chienne, ce n’est pas trop facile à expliquer. Si je peux me permettre sans te fâcher, ne suce pas trop, même si tu vois des boules dans les pantalons, s’il te plait, pour cela j’aurai honte en te laissant faire sans rien dire. »
Je me jette dans les bras de mes parents en les embrassant. Je respire un grand coup, je me mets à quatre pattes, je dis « tu peux me mettre les pinces et le relève cul ? », mon beau-père me demande « tu croix que c’est obligatoire ? » c’est ma mère qui lui répond « elle veut être une chienne jusqu’au bout des ongles, alors mets les lui ». Claude s’agenouille entre mes cuisses écartées et me fixe deux pinces sur les grandes lèvres de mon sexe, puis accroche chacune d’elle après le harnais. C’est un harnais basé sur une ceinture comme un porte-jarretelles, deux sangles font le tour de mes cuisses au niveau de l’aine pour le tenir tendu vers le bas, et sur la partie haute, deux autres sangles séparent mes seins et s’accroche au collier de mon cou, pour le tendre. Chaque sangle est reliée à la ceinture centrale pour un ensemble très rigide. Bien serré, il ne cache rien, expose plutôt ma fente, et en plus il est conçu pour qu’on puisse lui accrocher des chaines, et autres jouets. Là, les deux pinces sont accrochées de façon à m’ouvrir le sexe. Je demande à mon père de serrer plus fort les chaines des pinces : je sens maintenant mes petites lèvres s’ouvrir seule sous la traction. Quand je sortirai de la voiture, l’excitation aidant, j’aurai le vagin béant. Mon père fixe le relève-cul entre la ceinture et la base de la queue en crin de cheval. Il tend, force un peu jusqu’à ce que je sois tellement cambré que la queue semble commencer verticalement en bas du dos et retomber comme un palmier. Mon père a fait des photos de mon arrière train pour que je puisse voir aussi, c’est très beau. Très vulgaire, mais très beau. J’ai le vagin exposé, comme si j’attendais une saillie, exactement ce que je veux. Horreur, affolée, je dis à mon père
- « Papa, tu sais s’il y aura des vrais chiens ? »
- « Non chérie, j’ai demandé à Georges que les siens soient tous au chenil. Pour ceux des invités, on verra sur place s’il y en a »
Je me dirige vers la malle de la voiture, mon père sort tous les bagages et les poses sur la banquette arrière. Il dispose ma couverture chienne, pose ma gamelle, et ma laisse. Je monte, m’allonge sur le dos, j’écarte les cuisses. J’ai mal au sexe : les pinces plus l’écartement des cuisses, cela force sur mes petites lèvres j’ai peur de me déchirer au niveau de la jonction du périnée. J’ai crié en écartant les cuisses, mon père attend pour voir si tout va bien. Jérémy qui s’était approché sans bruit dit « Alors Claire, tu as changé d’avis, tu vas t’exposer, malgré les jeunes qui seront là ? » je le découvre à côté de mon père, les yeux fixé sur ma fente martyrisée, qui ne ressemble d’ailleurs plus du tout à une fente, un vulgaire trou rond serait plus juste. Il est bloqué sur mon sexe. Je sais maintenant quel genre de regard je vais devoir subir pendant trois jours. Exactement ce que je veux. Je vais foutre la honte à Helena. Pour moi, ma pudeur est aux oubliettes depuis six mois.
Mon beau-père ferme le haillon, Jérémy approche et après un très bref regard sur mon visage, plonge au plus profond de mon vagin. Je me demande s’il est à la recherche de mes amygdales ?
Une heure et demie plus tard, on arrive à la propriété des Lefèbvre. Elle est immense, c’est un manoir avec des dépendances, des écuries, un chenil, parc et pelouses. Georges a un haras, et un élevage de chiens de race dans deux domaines accolés à sa résidence principale. Mon beau-père gare la voiture dans le parking, Georges et trois domestiques viennent nous accueillir. Quand je sors du haillon, ils ont un temps d’arrêt. Je me remets à quatre pattes, je regarde Georges. La dernière fois que je l’ai vu, j’avais 12 ans, j’étais timide et couverte de fringues, aujourd’hui, plus rien et 18 ans, des formes de rêve que j’exhibe sans vergogne. Claude joue le jeu
- « Désolé Georges je t’avais annoncé une surprise, mais j’ai eu un peu de mal à tout dire, j’espérai une tenue plus … disons … couvrante … » Devant les regards des domestiques qui se bousculent pour attraper les bagages, mais en ratant le moins possible du spectacle que je donne, il continue « L’un de vous peut-il attraper la laisse et emmener la chienne faire ses besoins plus loin ? Elle s’appelle Claire. Vous la ramènerez quand elle se sera soulagée. Attendez, je vous donne un sac à caca au cas où elle ferait la grosse commission »
C’est la stupeur totale, deux domestiques se bousculent pour attraper la laisse, et moi j’ai du mal pour ne pas m’étouffer. Il m’a traité en chienne d’une façon parfaitement avilissante, je ne pensais pas mon beau-père aussi bon acteur. Je suis aux anges. Georges a un sourire jusqu’aux oreilles Mon beau-père continue
- « Tenez, le sac à caca, et des mouchoirs en papier pour l’essuyer. Elle ne doit pas rester humide »
Là c’est le bouquet. Je suis humiliée au plus haut point devant des domestiques, offerte en plus à leurs attouchements mais ravie de ses propos. Je sens un flot de cyprine envahir mon vagin. Là c’est sûr, impossible de ne pas faire sensation quand je vais faire mon apparition publique dans la salle de réception. Nous devrions être bon dernier à cause de moi, personne ne ratera mon entrée.
Je m’éloigne de la voiture, mais je reste dans la lumière afin d’être bien visible. Je m’accroupis, en écartant les genoux, et je commence à uriner. Le domestique se penche et mate sans remords ma fente qui ruissèle, il est face à moi. Ses yeux font la navette entre mes yeux et ma fente. Je soutiens son regard en souriant. Il attrape un mouchoir en papier. Je me déplace un peu pour sortir de la zone couvert de mon urine, m’assois sur le sol, avance mes jambes légèrement en les écartant, m’appuie sur mes mains que j’ai mises près de mes fesses, et soulève mon bassin, je fais le pont, lui mettant mon minou à 20 centimètres du visage. Il approche le mouchoir de mon sexe hésitant. Je lui dis d’une voix douce où mon trouble est perceptible.
- « Merci de ne pas mettre les doigts ni le mouchoir à l’intérieur de ma chatte, s’il vous plait, je suis encore vierge, et mon propriétaire serait en colère si je perdais mon pucelage »
Je m’humilie à plaisir. Je sais que mes paroles vont faire le tour des domestiques. J’adore, je tremble déjà de plaisir quand le domestique tamponne ma fente pour essuyer l’urine, un peu… ma cyprine, beaucoup. J’hésite à aller essayer de déféquer, j’ai pas envie actuellement, mais si je dois demander plus tard. Tant pis… une humiliation de plus, ce sera plus tard. Je demande au domestique de refixer les pinces qui ont sautée pendant le voyage en voiture. Il tâtonne beaucoup pour les mettre, à mon avis, il n’est pas aussi nul qu’il voudrait me le faire croire, il en profite un max, et moi je mouille et gémie à chaque effleurement sur ma chatte. Une fois les pinces fixées, le domestique comprend que j’ai fini mes besoins et me ramène vers la voiture. Je vois mes parents et Georges qui entrent déjà dans la maison, ils ont vu le domestique me tripoter, et ont décidé de me laisser me débrouiller. Je vais être obligée de faire mon entrée seule, tenue en laisse par un domestique. Je les vois disparaitre à l’intérieur, je panique un peu, je ne vais pas assez vite en marchant à quatre pattes, même avec mes genouillères qui protègent mes genoux, c’est trop lent. Le domestique lui se régale, il s’est positionné au niveau de mes bottines, il a une vue plongeante sur l’intérieur de ma chatte qui s’est de nouveau ouverte avec les pinces bien tendues.
Nous rejoignons la salle bondée en traversant plusieurs couloirs. Nous croisons des domestiques des deux sexes qui n’en croient pas leurs yeux et me matent sans retenue. Les réflexions volent bas du genre « c’est qui cette pute ? » ou « t’as vu la salope à poil ? » c’est rigolo, uniquement des voix féminines. Les mecs matent en silence. J’ai peur d’entrer, je tire sur la laisse en reculant. Le domestique se baisse près de moi, et me demande quel est le problème. Je lui réponds un peu sarcastique, « Désolée, la provoc et l’exhibition devant des inconnus, c’est bien, mais là il y a beaucoup trop de monde que je connais, j’ai trop peur». Pas con, il a compris mes motivations, je ne suis apparemment pas une pute de bonne famille qui considère les domestiques comme de la merde. Il m’amène dans une pièce adjacente, remplie de domestiques qui me regardent avec stupeur. Il s’accroupit à nouveau « Du courage, sinon vous allez partir en courant, et là vous serez ridicule. Vous en avez après qui si ce n’est pas indiscret ? » Quand je réponds « Helena », plusieurs serviteurs, témoins de la conversation, opinent du chef, l’une d’elle va même jusqu’à laisser échapper, « elle est pourrie jusqu’à la moelle cette salope » Helena n’a pas l’air très aimée de son personnel. Une jeune femme arrive et me tend un petit verre, et me dit « avalez ça d’un coup. Attention c’est fort ». Je lui obéis, et manque de m’étouffer. C’était du Cognac, et une bonne dose. Je la regarde pour la remercier mais je n’arrive pas à articuler. Je sens la laisse qui se tend, le domestique tire vers la porte, je dis « merci beaucoup », et je me dirige vers la salle de réception. Quand je suis dans l’encadrement de la porte, le silence se fait, j’avance vers Georges et mes parents, tenue en laisse par un domestique, nue, mes mamelles pendantes entre mes bras, le cul cambré au maximum pour que ma queue soit bien verticale et offre mon vagin béant à la vue de tout le monde. Je suis obscène mais tellement belle. Je pense en moi-même que tous les hommes présents doivent bander pour moi. Un début de fou rire me prends que j’arrive à maitriser rapidement, gardant un grand sourire aux lèvres : je me suis dit « Même les impuissants et les homo doivent aussi bander pour moi. » J’ai une idée subite, je me demande s’il y a un homosexuel, probablement, je me demande si je me décidais, s’il accepterait de me prendre le cul. Ca doit être bien de se faire enculer par un homo, il doit savoir s’y prendre. Je rougis de ma pensée, heureusement je ne l’ai pas dite à haute voix, je ne suis pas homophobe, j’ai même un ancien copain du lycée homo, je l’aime bien… je me demande si lui accepterait de m’enculer.
Je vois les pieds de mes parents approcher. Le domestique tend la laisse à mon beau-père qui la prend pas très rassuré. Georges dit alors
- « Mesdames, mesdemoiselles, et messieurs, maintenant que nous sommes au complet, et avant de porter un toast et profiter de la fête jusqu’à plus d’heure, je pense que je dois vous présenter notre dernière arrivée. Je tiens à vous préciser que les mots que je vais prononcer le sont avec son accord total, ainsi que ceux de Claude et de son épouse. Je vous présente donc cette superbe chienne de race … on va dire … indéterminée, c’est avec elles qu’on a les plus belles chiennes, (il rougit de ses propos, n’osant pas regarder en direction de son épouse). Comme vous pouvez le constater à son absence totale de pudeur, elle a une ligne parfaite, et des rondeurs qui font envies. Je vous préviens pourtant, cette petite chienne est jeune, elle n’a pas encore 3 ans, multipliez par 7 pour la correspondance, et n’a encore jamais été couverte par un mâle, alors ne promenez pas vos mains à l’intérieur de son… enfin vous voyez où je veux dire. Par contre, son propriétaire, Claude, m’a dit qu’elle aimait les caresses. N’est-ce pas Claude, je ne dis pas de bêtise ? Donc ça c’est autorisé »
Mon beau-père s’accroupit près de moi, j’ai un doute sur son but. Ce n’est pas pour une pipe, c’est certain alors que me veut-il ? Il me met la main sur les épaules, elle descend le long de ma colonne vertébrale jusqu’à mes fesses, effleure mon sexe sans s’attarder, à mon gémissement, remonte vers mon flanc et mes seins. J’ai compris. Comme je fais quelques fois à la maison, en privé, je me couche sur le dos, écarte les jambes en relevant juste les genoux, je cherche des caresses pas du sexe, et je mets mes mains de part et d’autre de mes épaules, comme s’il avait dit « haut les mains ». Je ne le regarde pas, mon regard observe les invités autour de moi, ils n’en perdent pas une miette, même les domestiques me regardent. Certains se bousculent pour voir mon corps. Mon beau-père me caresse le nombril, remonte, prend un sein, puis descend vers ma fente ouverte par les pinces. Il caresse un peu ma fente, je vois des regards choqués mais remplis d’intérêt. Sa main remonte un peu, cherche, trouve le capuchon de mon bouton, je me demande s’il va oser, je frémis, tends un peu mon bassin vers l’avant, tout le monde comprends le désir qui m’envahi, je voudrai fermer les yeux de plaisir mais je veux voir leurs regards désapprobateurs. Claude décalotte mon clitoris et l’expose ouvertement, sans me masturber.
Il ne bouge plus sa main, montre mon corps à Georges, qui machinalement s’était accroupi. La main de Georges reprend la caresse de mon père en commençant par les seins, il pince doucement mes tétons, je me cambre, il descend en effleurant mon ventre, et s’arrête sur le bouton qui pointe depuis la caresse de mon beau-père. Il décalotte à son tour mon bouton. Je sens l’impudeur extrême de ma situation, et le père d’Helena le caresse, il continue malgré mes gémissements, et les mouvements spasmodiques de mon bassin qui annonce mon plaisir. Je le regarde dans les yeux, et prononce les paroles fatidiques qui vont faire de moi, pour Helena et la majeur partie des invités, la reine des salopes, la petite pute en chaleur : « Oui, c’est bon, continuez s’il vous plait, finissez moi je vous en supplie » Georges a bien compris, il caresse pince tord doucement mon bouton, mon bassin monte et suit le mouvement de sa main. Mon orgasme arrive, je vois devant moi debout entre mes jambes, une vue directe sur la scène, Helena, je me cambre, puis relève mon bassin à presque 20 cm du sol, je crie sans retenue ma jouissance. Je sens Georges retirer sa main, je n’ai pas fini de jouir, je plaque sa main sur mon bouton pour le frotter. Il me laisse faire je jouis pendant presque trois minutes sans m’arrêter, les yeux braqués sur Helena, puis je lâche la main, me mets en position fœtal, les deux mains sur ma fente, je récupère.
Georges ne sait plus trop quoi dire, puis il enchaine par son discours de bienvenue
- « Maintenant que les présentations sont faites, (il se caresse le nez en cherchant les mots qu’il avait prévus de dire avant… Moi… - il sent l’odeur de ma mouille sur ses doigts - rougit fortement, remet sa main dans sa poche gêné, et commence son speech « … »
Sans attendre, le domestique qui m’a amené, prend la laisse et tire légèrement dessus, je suis toujours sur le dos les quatre fers en l’air. Je le regarde, je comprends que je dois bouger, je me remets à quattre pattes et je sors derrière lui. Helena et pas mal d’hommes suivent mon petit cul du regard, jusqu’à ce que je disparaisse. Il me fait traverser une pièce vide et me dit
- « vous voulez vous rafraichir, une douche chaude ? » Je lui réponds
- « Je suis une petite chienne, je ne prends pas de douche chaude. Eventuellement le tuyau d’arrosage, mais sinon je prendrai une douche en rentrant à la maison dans trois jours ».
- « Vous venez de jouir, vous ne pouvez pas rester sans vous laver le sexe… (hésitant, puis un grand sourire aux lèvres) votre sexe va sentir mauvais. » je lui souris, il est si gentil avec moi
- « Helena sera ravie de pouvoir dire que ma chatte sent la petite fille qui se néglige »
- « On s’en fout d’Helena, venez par ici ».
Il tire sur la laisse et m’amène dans une pièce carrelée, les toilettes du personnel. Il y a deux domestiques devant des urinoirs en train de se soulager. Je leur dis bonsoir, j’ai honte de ma tenue dans des toilettes pour hommes. Je me sens vraiment chienne. Il m’enlève mes bottines, les pose au milieu de la pièce, enlève mes genouillères, les jette dans le bac à douche, attrape mes jambes, soudainement j’ai peur, il me dit « t’inquiète pas » je lui dis qu’il doit me retirer mon plug anal, l’eau va abimer les crins de chevaux, il détache le relève-cul. Tendu comme il est, l’accessoire saute et le bout me frappe au niveau de la rondelle. Je ne peux pas éviter un « Aie » sonore, plus de surprise que de douleur. Il s’excuse, et me saisit les jambes, je fais la brouette sur le dos, je marche avec les mains en arrière, et lui m’emporte vers la douche. Il attrape la pomme de douche, ouvre l’eau elle est tiède presque chaude, il asperge mes jambes, mes cuisses, remonte jusqu’à mon nombril et redescend sur ma fente. Avec les pinces, l’eau bienfaitrice rentre et inonde le col de mon utérus. J’ai le vagin plein d’eau chaude je suis bien. Il arrose mon anus. Il me tend la pomme de douche en disant de ne pas le mouiller. Je fais attention. Il détache les pinces, attrape un savon moussant qui traine dans le fond du bac. Il s’en verse une bonne dose sur les mains et commence à me laver les pieds. Il remonte prudemment, il a peur de ma réaction. Il passe sur ma fente doucement, je lui dis « uniquement sur mes lèvres, les petites et les grandes » Ses mains continuent sur mon bouton. Je vois son regard, je dis souriante « Oui, là aussi, mais doucement, ne me faites pas jouir, sinon on en a pour un moment » Il rit de ma blague, et continue sur mon ventre. Je lui fais remarquer « mes seins aussi ont été salis ». A voir son regard, cela l’enchante. Il nettoie bien les mamelons tendus, tourne sur mes tétons, je gémis rapidement et dit « vous devriez passer à mon cul sinon je vais alerter vos collègues de travail », j’entends des rires derrière moi, je tourne la tête, ils sont cinq à regarder leur collègue qui me lave. J’ai un petit sourire, je rougis, et ne dis plus rien. Il m’a bien nettoyé le cul en s’attardant sur mon anus. J’ai sentis son doigt s’appesantir sur mon anneau et pénétrer un peu, une phalange, il n’a pas osé pour la 2ème. Je n’ai rien dit. Il m’a demandé si j’acceptais de me mettre debout sur mes jambes, il a précisé ce sera plus facile pour me sécher. Il m’a essuyé en s’attardant bien sur mon entre-jambe : « votre père a dit qu’il fallait que cet endroit ne soit pas humide », je fais oui en hochant la tête, et j’écarte un peu plus les jambes. Je lui rappelle qu’il doit rattacher les pinces, puis le relève-cul. Pour les pinces il assure, mais pour le cul, il a du mal. Il me martyrise l’anus. Une fois rééquipée, il m’amène dans une pièce où manifestement les jeunes ont attendus l’arrivée des adultes en début de soirée. Je vois des sandwichs, je me jette dessus je suis affamée, le domestique pose une bouteille de coca près de moi et s’éloigne.
Le domestique se dirige vers la salle à manger où le repas est en cours, il cherche mon beau-père. Les discussions vont bon train. Le sujet de prédilection des gens est mon cul. Certains sont pour, d’autres sont outrés qu’on laisse une petite pute se faire tripoter devant les invités. Il s’approche, se penche vers son oreille, et lui dit que j’attends dans le salon de jeu, que j’ai à manger et à boire. Mon beau-père le remercie.
Je me suis étendue les jambes légèrement écartées, et j’ai fini par m’endormir. Le repas terminé, Helena est partie dans les premières et a foncé. Elle vient passer ses nerfs sur moi. Plusieurs jeunes sont venus avec elle. Les mecs préfèrent me mater plutôt que de se mêler de l’altercation. C’est à celle qui crie le plus fort. Je lui fais bien remarquer qu’elle a provoqué ma venue en chienne avec ses agressions verbales au téléphone. Elle continue à m’agresser, elle prend à témoins les jeunes qui sont maintenant tous là et qui se régalent de l’ensemble agression-exhibition. J’en ai un peu assez, qu’elle n’entende que ce qu’elle veut. Je me redresse, m’approche d’elle, énervée et tournée vers les autres, elle ne me voit même pas. Je suis à quatre pattes, à ses pieds, je lève une jambe, et je me mets à lui pisser sur le pantalon et les chaussures. Les jeunes explosent de rire sans aucune exception, elle sent le liquide sur le bas de son pantalon, et elle hurle, « espèce de salope, tu m’as pissé dessus », je réponds « Waff Waff, et encore j’aurai pu te mordre aussi » et j’éclate de rire. L’assemblée est hilare, Helena me regarde et part d’un fou rire, qu’elle ne peut contrôler. Je me lève, sur mes deux jambes, je m’approche d’elle et la prends dans mes bras, elle hésite une seconde, et me serre en riant. Elle me dit « t’es une sacré salope quand même » je confirme en disant « Je suis d’accord, mais je me soigne. » et j’ajoute « les mecs ne vont pas être content, mais maintenant je ne suce plus, et je garde toujours mon pucelage. Je suis la seul salope de mon acabit à être encore vierge » C’est la stupéfaction générale. Helena me demande « t’es vraiment encore vierge ? Luca a dit … » je lui coupe la parole et dit « Luca est un petit con, il m’a plaqué parce que je refusais d’ouvrir les cuisses pour qu’il puisse me déflorer. Il me mettait à poil dans tous les coins, me tripotait, m’exhibait, sortait sa bite pour une pipe, mais son but était mon pucelage. Quand j’ai dit non, il m’a plaqué, la semaine d’après je le voyais avec une pouffe sur le parking du supermarché, quand il m’a vu, il lui a écarté le string et lui a mis les doigts dans la chatte. On ne s’est plus adressé la parole, mais apparemment il m’a habillée pour la route. » Helena explose de rire, on se pose tous la question, pourquoi rit-elle ? Il n’y a rien qui fasse rire dans mon histoire. Entre deux hoquets, elle bégaye : « Lui il t’a habillée, et toi tu t’es mise à poil ! » et elle repart dans son fou rire. Les jeunes garçons et filles viennent vers moi, compatissant, ils ont tous entendu la version Luca, et maintenant ils ont compris les mensonges qu’il avait fait. Is viennent me consoler. Helena vient me voir en s’excusant de son attitude, et moqueuse me dit
- « Alors c’est moi qui ai provoqué cette tenue ? Mais j’ai l’impression qu’elle te va bien. Tu ne serais pas un peu salope sur les bords ?»
- « Pas qu’un peu, mais ce que je disais est vrai je me soigne. A part mon côté exhibitionniste je suis quasi guérie pour le reste de mes dépravations. »
- « Demain, faudra quand même t’habiller correctement pour la messe »
- « Désolée ma grande, mais suite à ton coup de téléphone, j’ai vidé ma valise de colère, toutes mes fringues et petites culottes sont par terre dans la salle à manger de mes parents, j’ai rien d’autre à mettre. »
En disant cela je lève les yeux et voit un mec appuyé contre la fenêtre, Je le trouve beau comme un dieu, bien baraqué, un sportif c’est sûr. Il détourne le regard. J’ai l’impression de le connaitre mais impossible de me rappeler. Je me penche sur Helena, et lui dit à l’oreille « Ne te retournes pas, qui c’est l’apollon à la fenêtre ? » Elle vérifie discrètement, me regarde en fronçant les sourcils « T’es sérieuse là ? Tu me cherches ?» Devant mon air ahurie, elle se penche vers moi « c’est mon grand frère, il est musclé, mais il n’est pas si beau que ça » Je ne peux m’empêcher de le regarder encore une fois, il me sourit, je souris à mon tour, une vraie midinette. Helena dit « Et bé, ça c’est la meilleurs de toute » elle m’attrape un téton et le tort. Elle me glisse à l’oreille en rigolant « Pas touche à mon frère salope »
La soirée se prolonge, je reste dans mon coin sans trop bouger, j’ai détaché les pinces pour laisser mon sexe se refermer, j’ai les jambes serrées, et souvent les bras croisés sur mes seins. J’aimerai que le frère d’Helena, Brice, ne me voit pas trop nue. Je sais qu’il a probablement déjà tout vu, mais je suis gênée. Je sens mon minou s’humidifier à chaque fois que je le regarde ou que je pense à lui. Une vraie midinette je vous dis. Je me préférais en exhibitionniste.
Helena voit mon manège, essayant de cacher ma nudité. Elle fait signe à son frère, l’attire dans un coin sombre, et lui explique la situation. Il me regarde, je suis en train de le chercher du regard, il a bougé et je ne le trouve pas. Il voit mon air perdu, désorientée. Il adore. Helena attend la réaction de son frère. Il lui dit « Vas lui dire que j’aimerai bien me promener avec elle demain. Je l’attendrai vers 9h30 au bord de la piscine au sous-sol. » Helena dit, « faut que je lui trouve des fringues, quelle est la fille qui a à peu près sa taille ? » Brice « Laisse tomber les fringues, elle est trop canon comme ça » Helena « regarde la, depuis qu’elle t’a vu elle cache son corps alors qu’avant elle s’en fichait. » Avec un froncement de sourcil, elle se dit qu’elle cherchera des fringues pour la messe, mais ne les donnera à Claire qu’après la promenade. Helena se demande si Claire tiendra sa parole quand elle dit qu’elle ne suçait plus.
Il fait nuit, Helena m’héberge pour la nuit. On a posé un matelas sur sol. Elle dort maintenant, mais me regarder enlever mon plug anal, lui avait mis la rate au court-bouillon. Elle n’arrêtait de me poser des questions. Et quand je lui ai dit que c’était le cadeau de noël que mes parents m’avaient fait elle riait tant que j’ai cru qu’elle allait réveiller les autres. Elle était stupéfaite du petit diamètre. Je lui ai expliqué que j’étais aussi vierge du cul, à part un doigt par ci par là. Elle m’a dit en rigolant « Comprends-moi, je ne peux pas laisser mon grand frère se faire alpaguer par une jeune vierge sans expérience » Elle s’est retournée et s’est endormie. Moi, je tourne et vire en pensant à Lui. Demain il va m’emmener me promener, je serai nue. En plus je vais devoir mettre mon attirail et marcher à quatre pattes, sinon je serai ridicule avec les pinces, le plug anal. Ce n’est pas possible j’ai trop honte. Il faut qu’Helena me prête des fringues. Rassurée je m’endors et dors d’une traite jusqu’à 8h. C’est Helena qui me réveille, en disant « Entrez », je me retourne sur mon matelas, éclatée sur le dos je m’étire, et en ouvrant les yeux, devant moi, un plateau à la main, un domestique est en train de me regarder. C’est un de ceux qui était présent lors de ma douche. Je resserre mes membres naturellement, avec un sourire gêné. Il sort après avoir posé le plateau. Je dis à Helena « Tu aurais pu me dire qu’il y avait quelqu’un » Du tac au tac elle répond « je ne savais pas que tu allais te retourner pour t’exhiber une fois de plus, petite salope » Un grand sourire éclaire son visage. Elle se moque de moi. Je la regarde et me demande comment on a pu être fâchée aussi longtemps. C’est bien un truc de fille ça. Je me rappelle même plus le début de notre querelle. Repue, j’ai mangé les 2 tiers des tartines, je lui demande des fringues, elle me répond j’ai rien à ta taille mais je vais faire la quête auprès des filles pour que tu sois un peu plus décente à la messe. Quand je lui rappelle mon rendez-vous avec son frère, elle me dit « ne le déçois pas, habille toi comme il t’attend » Je suis stupéfaite, Helena me demande d’aller au rendez-vous à poil, déguisée en chienne en chaleur. Et pourquoi pas à quatre pattes aussi. Elle me confirme la position. Elle est folle. Je serai morte au premier regard.
Helena est devant moi avec tout mon attirail. Elle m’attend, je sors de la douche, elle m’a enduit le corps d’un lait parfumé. Je suis tout alanguie. Je n’ai pas une grande volonté de résistance. Elle a talqué le harnais, elle m’aide à le passer, il glisse sur mon corps comme un gant. Elle me fait pencher en avant et me plante le plug anal dans le cul. « Non, pas le plug, il va me prendre pour une pute » elle me répond « T’es encore pucelle, comment pourrait-il te prendre pour une pute ? » elle me met mon collier avec ma médaille, quand je me retourne, elle me dit « Ecartes les cuisses, cochonne » Elle me met les pinces, instinctivement elle les serre au max. Elle regarde ma fente s’ouvrir sous la traction des pinces elle dit « C’est génial, j’adore, faut vraiment être une petite salope pour imaginer ta tenue. Il y a des fois où je me demande si c’est vrai, si Luca a menti sur toi » Quand je sursaute et me précipite sur elle, elle éclate de rire, et dit « je rigole, mais faudra que tu m’aides, je veux la même tenue. Je connais un endroit, où avec un loup sur les yeux, on va passer une soirée d’enfer à faire les salopes » Elle me met mon relève-cul, mes genouillères et mes bottines. Elle regarde à l’intérieur de mon vagin béant « C’est génial ce relève-cul, on voit le col de l’utérus… je vois ton pucelage, c’est géant. Tu es harnachée mademoiselle la salope. » Elle prend le téléphone « Demandez à Lucien de venir dans ma chambre immédiatement s’il vous plait » je n’entends pas la réponse, mais à sa tête ce devrait être un oui. Je me mets dans un coin pour n’être pas visible de l’entrée et j’attends. Je ne sais pas qui est ce Lucien. On frappe à la porte « Entrez », Lucien apparait, c’est encore un des domestiques qui me regardait me faire laver. Helena dit « Lucien, vous allez emmener, la petite chienne ici présente au sous-sol à la piscine. Vous y trouverez mon frère qui devrait attendre, sinon vous la garderez jusqu’à son arrivé. Vous lui remettrez la laisse, et pensez à lui amener des sacs à caca et des mouchoirs pour quand elle fera ses besoins pendant sa promenade » Je suis rouge, j’ai du mal à respirer. Je la regarde les yeux furibonds, elle a un petit sourire narquois en me disant « Bonne promenade petite chienne… Au fait Lucien pensez à dire à mon frère que la petite chienne s’appelle Claire. S’il ne connait pas son nom il ne pourra pas se faire obéir… En position petite chienne, tu n’as rien à faire debout » Lucien vient d’attraper la laisse sur mon nombril, en passant il a touché mon sein droit. J’ai honte, je me mets à quatre pattes, en passant le long du lit, Helena me caresse le dos, et au bon moment me claque les fesses. Je crie de douleur, la marque de sa main est bien visible sur mes fesses Helena dit « Oh la belle rouge ! » Lucien me fait traverser la maison pour rejoindre le monte-charge. Plusieurs domestiques occupés au ménage me voient passer en laisse nue à quatre pattes suivant Lucien. Ils se posent des questions, sans réponse. Nous prenons l’ascenseur jusqu’au sous-sol, là encore des domestiques descendent les draps sales, et remontent des denrées alimentaires pour le repas suivant. Je suis exhibée devant tout le personnel. Nous entrons dans la salle de la piscine, Brice n’est pas encore arrivé. Je me sens mal, le relève-cul est très tendu. Je pense à la vue qu’à Lucien et à celle qu’aura bientôt Brice. La honte me fait frissonner. Je tire sur la laisse pour partir. Lucien résiste, il ne comprend pas ma volonté de partir. La porte s’ouvre, Brice est là c’est trop tard. Dans la pénombre, je le regarde arriver. Quelque chose me trouble. Lucien transmet à Brice les instructions d’Helena puis lui tend la laisse, les sacs à caca et les mouchoirs en expliquant leurs utilités. Je suis mortifiée, je n’ai même pas rougis, je suis devenue pale comme une morte, jamais ma honte n’a été aussi intense : Je sais qui est ce garçon, c’est celui du cinéma.(cf chapitre 3) Brice me regarde avec un sourire, et me dit
- « Viens, Claire, on va se promener. » au bout de quelques instants il poursuit « Merci d’avoir accepté de remettre ta tenue de chienne, tu es trop belle avec. » Il passe sa main sur mes cheveux et sa main descend le long de mon dos jusqu’à mes fesses. Il me met la main entre les cuisses, sur ma fente trempée. Je gémie, « Tu es déjà très mouillée, tu devais m’attendre depuis un moment » je ne devrais pas lui répondre, j’ai honte, mais j’ai trop envie qu’il sache
- « Oui, je t’attendais avec impatience »
- « je pense que nous devrions faire une promenade agréable »
On avance en silence pendant près d’un kilomètre, je suis fatiguée, marcher à quatre pattes, cambrée comme je suis, est exténuant. Nous croisons une dizaine de personnes à pied, je ne me cache pas. Un homme dit « Jolie chienne Monsieur le Vicomte », Brice répond « Merci Edmond, merci, je confirme très jolie chienne » J’ai honte mais je suis si heureuse qu’il ait dit à cette homme qu’il me trouvait jolie. Il me dit
- « Alors cela te fait plaisir de me revoir ? » Interdite, je ne comprends pas où il veut en venir. Il reprend « Quand m’as-tu reconnu ? Moi, c’est quand j’ai vu tes yeux ! » Le menteur, je panique, compte tenu de la scène d’hier, pas un mâle n’a regardé mes yeux.
- « Parce qu’on se connait ? Où est-ce que je t’ai vu ? »
- « Attends tu ne m’as pas reconnu ? Je suis vexé. Moi qui croyais avoir été inoubliable en te broutant le minou ! » Je suis pâle, il m’a reconnue. Il sait qu’il m’a léché la chatte. Je m’exhibe beaucoup, mais ils ne sont pas nombreux ceux qui m’ont lécher la chatte, ça il ne me sait pas. Je décide de mentir pour pouvoir me justifier
- « Personne ne m’a lécher la chatte, pas depuis Luca »
- « Mais c’est que tu es une petite menteuse » je le regarde, je fais semblant d’être sûr de moi, puis soudain j’avoue
- « Le cinéma… c’était Toi ? La seule fois où je me fais prendre, il faut que ce soit Toi» Il sourit en hochant la tête. Je souris, une bouffée de chaleur gonfle entre mes jambes. Je lui ai dit qu’il était le seul, maintenant je peux me taire, il se tait aussi, il a accepté la version de la petite salope que je suis.
On tourne et on arrive à une vieille bâtisse en pierre. Il y a plusieurs personnes, une jolie jeune femme est là. Elle dit « tout a été installé selon vos ordres, Monsieur, la chambre est prête, la table est mise, Jeanne servira à midi. Je peux vous débarrasser de la chienne, Monsieur ? » Brice lui tend la laisse. Elle tire dessus, j’hésite, le regarde puis la suis. Nous sortons du bâtiment et nous dirigeons vers la dépendance. Deux employés sont en train de nettoyer les sols, ils jettent un œil sur moi, apprécient ce qu‘ils voient. L’un demande « c’est qui ? » Elle répond « une petite chienne qui intéresse Monsieur Brice » il répond avec un sourire « je comprends qu’elle l’intéresse » Elle se tourne vers moi et tire la laisse pour m’amener dans une pièce toute vitrée, les deux hommes me voient toujours, et de l’autre côté, ils sont au moins vingt en train de prendre une collation avant de reprendre le travail. Je ne comprends pas pourquoi Brice m’a abandonnée avec cette ravissante jeune femme. Elle me fait monter à quatre pattes sur la paillasse carrelée, elle écoute mon cœur à différents endroits avec un stéthoscope. Pourquoi cette auscultation. Elle me fait mettre sur le dos les jambes écartées. La paillasse est froide, je frissonne. « C’est bien ce système de pinces, je n’ai pratiquement pas besoin d’écarteur. » j’ai peur pour ma virginité, je lui dis « s’il vous plait, attention à mon hymen, je vous en prie » Elle me regarde étonnée, écarte un peu ma vulve d’une main, voit mon hymen intact.
- « Vous êtes encore vierge ? Quel âge avez-vous ? »
- « Je viens d’avoir mes 18 ans en octobre, Mademoiselle, Je suis aussi presque vierge du cul. J’ai été doigtée deux fois, juste un doigt pas très gros, et je viens de recevoir ce mini plug anal pour noël pour ne pas me déformer l’anus » je suis perdu, pourquoi dis-je cela à cette femme qui m’ausculte. Qui est-elle ?
- « Je vais faire attention »
Elle fait un prélèvement au fond de mon vagin, au niveau du col de l’utérus, je pleure, j’ai peur qu’elle ait abimé mon hymen. Elle me demande d’écarter mes fesses avec les mains, elle me met un doigt dans le cul, fais plusieurs aller-retour, introduit un deuxième doigt. Une fois mon anus légèrement entre-ouvert, elle introduit un goupillon et fait un prélèvement. Je regarde sur la gauche, les vingt types ont terminé leur repas ils sont au spectacle et me regarde me faire ausculter. La jeune femme leur fait signe de partir, ils partent lentement un par un. Elle me palpe les seins, les tétons, puis descend sur mon bouton, le masse en le tournant jusqu’à provoquer un orgasme. Elle regarde mon vagin et me dit c’est bien tu lubrifies correctement, tes saillies ne seront pas douloureuses. Elle me fait une prise de sang, me demande mon nom de chienne, mon vrai nom complet, date de naissance, sécu, adresse actuelle. Elle me demande si j’ai envie de déféquer, choquée je lui réponds non, si je me fais des lavements car elle a remarqué que mon canal anal est très propre. Après ma confirmation, elle demande « Ca te sers à quoi ce lavement du cul puisque tu sais que tu ne te feras pas enculer ? » J’ai honte de répondre « Au cas où, Mademoiselle, je ne voudrais pas qu’il ressorte son doigt ou son sexe couvert de ma merde » Elle se retourne, et remplit le dossier sur son PC. Elle me regarde, demande : « Il te plait Monsieur Brice ? » A ma façon de rougir, elle devine ma réponse « Est-ce que tu penses que tu vas te faire saillir par Monsieur Brice aujourd’hui ou lors d’une prochaine visite ? » « Saillir ? Mademoiselle » « Oui Claire, je te demande si tu es prête à offrir ta virginité et ton cul à Monsieur Brice » Je suis rouge, je n’arrive pas à répondre. Puis j’entends Brice demander « Mademoiselle Valentine, vous avez bientôt finie ? » Je ne sais plus où me mettre depuis plus d’une heure, je suis exposée les cuisses grandes ouvertes. Il vient d’entendre Valentine me demander si je pensais m’offrir à lui. J’ai tellement honte. Valentine répond, « J’ai presque fini Monsieur, je voulais savoir s’il s’agit d’une relation d’un jour ou si vous reverriez Claire, en fait si la saillie se passera aujourd’hui où un autre jour ? » Elle parle de moi comme d’une chienne, d’un animal. Je regarde Brice dans les yeux, perdue. Brice me dit « mademoiselle Valentine est le vétérinaire des élevages. Elle s’occupe aussi de la santé de tous. Quand je lui ai parlé de toi, hier soir à la soirée, elle m’a demandé de t’ausculter avant car quand on fait ses besoins dans la nature comme toi, on peut être piquée par des parasites comme les tiques ou autres. Alors elle va te vacciner. Tu devras refaire ce vaccin tous les ans si tu continues ton activité de chienne. Elle va aussi t’injecter une puce électronique sous la peau, à l’aine. C’est ton dossier médical, il y aura les comptes rendus d’auscultation, analyses, prélèvements, des photos. Elle aura vite terminé, dans 10 minutes ce sera bon je pense. Valentine me fait mon vaccin dans la fesse, prend des photos de moi sous toutes les coutures, compte tenu de ma nudité, ce sont plus des photos pornos que des photos médicales. Enfin, elle arrive avec une grosse seringue, plutôt un genre de pistolet hypodermique. L’aiguille fait entre 2 et 3 millimètres de diamètre. Je vais avoir mal. Elle tire un peu sur ma cuisse, j’écarte les jambes, je ne la regarde pas, j’ai le regard braqué sur les yeux de Brice, il regarde mon entre-jambe. Je relève le bassin pour lui offrir une meilleure vue. Brice ne réagit pas, mais Valentine dit « j’ai bien fait de vous demander de l’ausculter, Monsieur, elle est chaude, je pense qu’elle vous laissera la saillir dès aujourd’hui, au pire demain si vous la ramenez. » Je ne suis pas une vache ou une jument qu’elle parle de saillie, je suis une femme. Et même si j’ai envie de son sexe, elle ne doit pas lui dire que je vais tout lui offrir, j’ai trop honte. J’entends dehors la voix d’un homme « il s’emmerde pas le Brice, il va se saillir la petite chienne qui est arrivée à poil » je m’aperçois qu’il n’y a pas de vitre à certaines fenêtres ils ont tout entendu. Je me mets à pleurer. Elle me plante l’aiguille dans la hanche, à l’intérieur de la cuisse, c’est très sensible, je crie, l’injection est rapide, elle retire l’aiguille et désinfecte. Elle masse avec le doigt, et déplace la puce, quand elle enlève la main, Brice met la sienne, et dit, « je la sens bien, cela ne va pas la gêner » « Non pas d’inquiétude Monsieur, attendez, je la rhabille » je me demande quel vêtement j’en ai pas. Elle me met à 4 pattes et me plante mon plug dans le cul. Avec dextérité, elle fixe le relève-cul, et je vois Brice regarder mes lèvres intimes s’ouvrir pour offrir mon vagin à son regard. Je rougis en le regardant. Il lève les yeux sur moi et sourit. « J’adore quand votre chatte s’ouvre comme ça. » Ce sont des propos obscènes, mais je mouille immédiatement. Valentine me passe un doigt sur ma fente ouverte, ressort son doigt trempé, et le tend à Brice en disant » vous voyez elle est prête pour la saillie » Brice me regarde, approche le doigt de Valentine de son nez le renifle, « Claire l’odeur de votre chatte est un délice, » il prend le doigt en bouche et le nettoie, remet le doigt dans ma fente, et lèche à nouveau « et le gout, un supplice, je vous adore, venez on va déjeuner. Il m’aide à descendre, je me remets à quatre pattes, et lui tend ma laisse. On traverse la cours où les hommes fument leur cigarette. Il m’emmène à la salle à manger, il y a deux domestiques pour le service. Il me demande, tu veux manger en tant que chienne ou femme ? Je lui demande de choisir. Il me dit alors je choisis Chienne. Il s’assoit, le domestique qui m’attendait pour tirer la chaise attache la laisse au pied de la table, il prend mon assiette, la pose par terre à côté de moi. Je reste à genou. La cuisinière sert Brice, puis lui dit ici Germaine en me montrant. Elle me voit à genou tenant mon assiette à hauteur de mes seins. Germaine me sert, je pose mon assiette au sol, et j’attends. Brice commence à manger. Je vois les chaussures de Valentine, et d’une autre personne. Je suis gênée en entendant Valentine demander à Brice s’il a envie d’une fellation en mangeant. Etonné il la regarde et il confirme. Valentine dit « Claire, sous la table, Suce Monsieur Brice, et applique-toi » Sous le regard intéressé des spectateurs, je passe sous la table entre ses jambes, je commence ma fellation. Ils ne peuvent plus voir le haut de mon corps, mais on devienne clairement mon activité en regardant les va et vient de mon bassin. Plusieurs employés arrivent pour parler à Brice. L’un d’eux prend la parole sans attendre puis il remarque le manque d’intérêt de Brice, il ne parait pas content et au moment de faire une réflexion, Valentine lui tape sur le coude et lui montre sous la table. Il se baisse juste un peu et voit mon cul et ma chatte en gros plan il se redresse, rouge. Il attend que j’ai terminée. Brice décharge dans ma bouche. Depuis le dessous de la table, en refermant sa braguette, je dis, « Vous avez bon gout aussi Brice, votre sperme est délicieux » la cuisinière s’étouffe. Je ressorts et me penche sur mon assiette pour manger mon plat avec mes doigts, je me brule mais c’est très bon. Le domestique change les assiettes, et amène un autre plat, il me pose le mien par terre, je le mange, j’en ai partout sur le menton, sur les seins, ça coule vers mon sexe, mais je ne dis rien. Nous passons au dessert, j’ai de la crème chantilly sur la joue et les seins. Le repas est terminé, Brice se lève, je me mets à genoux. Il peut voir que j’ai mangé salement. Les spectateurs me regardent en face de lui. Il voit les aliments sur mon corps. Valentine intervient « je vais la faire laver pendant que vous réglez le problème d’Alphonse, Monsieur. » Tout le monde me regarde sortir à quatre pattes avec des restes de repas sur moi. Valentine appelle « Lucien lavez moi ça au jet, que Monsieur Brice puisse s’en servir. » Lucien prend le tuyau qui sert pour arroser les fleurs et me nettoie à la pression ? Ca fait mal, surtout quand ça passe sur ma fente et sur mes tétons. Les employés ont arrêté leur travail pour regarder Lucien m’astiquer : il passe un chiffon mouillé sur les restes collés sur ma peau, mais frotte aussi mes seins et ma vulve. Je gémis, et bouge mon bassin. Valentine crie « Lucien t’es pas payer pour faire jouir la chienne de Monsieur Brice » Lucien retourne s’occuper de mon dos et de mon cul. Malgré l’eau froide, j’ai chaud à l’endroit qu’il frotte. Je regarde les ouvriers qui guettent tous les recoins de mon corps, de mon intimité. Une fois propre, Brice sort et attrape la laisse que Lucien lui tend, il me dit
- « Viens on va baiser tu me fais trop envie »
- « Brice, je suis vierge, vous voulez prendre ma virginité ? » La dizaine d’employés et les 3 domestiques entendent mes paroles. J’attends la réponse de Brice tremblante
- « Ca te pose un problème ? Tu n’en as pas envie ? » hésitante,
- « J’en ai envie Brice, j’ai envie de vous offrir ma virginité. J’espère que vous prendrez aussi mon cul. Je ne me suis jamais faite enculer, alors j’aimerai que vous soyez le premier » c’est fait j’ai dit oui, maintenant j’attends avec impatience qu’il m’amène au lit pour me faire l’amour pour la première fois. Je regarde les employés à côté de moi, je suis fier, Brice va me faire l’amour
Brice s’arrête, me regarde, il me prend dans ses bras, il m’embrasse, caresse mes seins. J’ai envie de Lui. Il me soulève, me repose délicatement sur la table de la salle à manger, je regarde autour de moi affolée les employés et les domestiques, je regarde Valentine. Je garde les jambes serrées, il me dit « ouvres tes jambes, offre-moi ton corps et ta virginité » j’ai les larmes aux yeux, pas comme ça ! J’écarte mes jambes, je les remonte vers mon visage pour être totalement offerte. Je me positionne j’ai tout le monde devant moi, ils voient mon corps offert, ma fente béante, comme dirait Valentine, prête pour la saillie bestiale d’une chienne. Je suis humiliée, avilie mais heureuse de m’offrir. Brice me dit « demande moi, petite chienne, dis à tout le monde ce que tu veux que je fasse » je suis encore plus humiliée, Valentine sourit, pourquoi est-elle aussi heureuse ? Très fort, je dis « Je veux que Monsieur Brice me prenne, qu’il me déflore, et qu’il m’encule » doucement je reprends « mon amour, prends-moi, prends ma virginité, baise moi, encule moi fais de moi une femme, fais que ta chienne en chaleur soit satisfaite d’avoir été saillie en public » Brice se jette sur mon corps. Il fait pénétrer sa verge jusqu’au fond de mon vagin d’un seul coup de rein, sans prendre la moindre précaution. Je crie lors de la pénétration, la douleur est intense, mais disparait au fur et à mesure qu’il me lime le vagin et qu’il se dilate. Je jouis encore et encore. Noyée dans mon plaisir je vois les employés et Valentine qui continuent à me regarder me faire baiser. Brice dit « Retourne-toi que je t’encule, je veux t’exploser la rondelle »
Sa vulgarité me chavire, me couvre de honte, mais je m’allonge sur la table les seins écrasés sur la nappe, j’écarte les jambes, et avec mes mains j’ouvre mes fesses. Sans attendre sa demande, je lui dis « Encules moi mon amour, défonce moi, je veux sentir ta grosse bite au fond de mon cul. », Il me prend le cul, je hurle de douleur, je ne suis pas assez lubrifiée, ça me brule, et il force pour aller au fond, je sens ses boules battre contre mon sexe, il est au fond. Il me lime pendant près d’un quart d’heure, je suis en feu j’ai mal et je sens la boule de chaleur au creux de mon ventre, j’explose de plaisir, j’ai un orgasme incroyable. Je vois Valentine faire la gueule. Je me dis qu’elle est amoureuse de Brice, et qu’elle va me haïr d’avoir autant jouis aujourd’hui. Il ressort de mon anus, me retourne encore. J’ai juste le temps de remonter mes jambes, il enfourne brutalement sa verge au fond de mon vagin, me lime une fois et décharge sa semence contre le col de mon utérus. Brice me porte, il m’emmène dans la chambre au premier, la cuisinière regarde le sang sur la nappe mêlé de sperme. Elle regarde Valentine dans les yeux, s’approche d’elle, lui dit en lui montrant la nappe tachée, « elle était vraiment vierge ! » elle l’a gifle à la volée avec violence. « Tu n’as pas honte de ce que tu viens de leur faire ? » Valentine s’assois au sol, et se met à pleurer. Elle a les marques de la main sa mère, de Germaine, sur chacune de ses joues.
Dans la chambre, Brice me prend une deuxième fois. Cette fois, il me fait l’amour, prend soin de moi et de mon plaisir. Il prend son temps, j’ai plusieurs orgasmes. Je crie sans retenue aucune, sans pudeur. Je lui dis que je l’aime, il me dit qu’il m’aime aussi. Nous arrivons au manoir vers 22h, nous mettons une heure de plus qu’à l’aller pour revenir. Brice s’arrête au moins trois fois pour me prendre en chemin. Nous avons aussi raté la messe, mais je ne le regrette pas. Brice m’emmène directement dans sa chambre. Il me demande si j’utilise un moyen de contraception. Je lui dis que mes pilules sont chez mes parents, que je n’ai jamais commencé de les prendre. Je le rassure, je ne suis pas dans la période de fécondité de mon cycle. En principe ce sera dans dix jours si je me rappelle bien. On ne craint rien. Je vais prendre une douche avec lui, il me prend encore, debout contre le mur. Nous sortons de la salle de bain, un repas délicieux nous attend. On passe la nuit ensemble à faire l’amour.
Le lendemain, Helena nous réveille à 7h. Je lui dis
- « Helena, pitié, on s’est endormi à 6h. Ton frère est un monstre. Je ne sais pas comment il fait, depuis 15h jusqu’à ce matin 6h, je suis morte » Helena se tourne vers son frère
- « Tu sais faire ça pendant 12 heures d’affilé ? Tu t’es gavé de petites pilules bleues ? Même pas ? Comment tu fais ? » Je me suis déjà rendormie, Brice répond
- « On a fait des pauses régulières, mais elle m’inspire j’ai toujours envie » Helena ironise
- « Alors épouse-la. Ne la laisse pas partir, mais si tu l’épouses, penses à virer Valentine sinon elle va vous pourrir la vie » mais Brice reprend sérieusement
- « Tu sais que j’y pense, mais c’est trop tôt on se connait que depuis deux jours. Je vais lui proposer de vivre avec moi pour un essai si on est bien, je lui demanderai de devenir ma femme »
Helena lui fait remarquer que ma réputation est exécrable. Que je suis une chienne en chaleur, même si je suis encore pucelle. Il lui répond avec un sourire que le problème du pucelage est terminé, qu’il m’a aussi pris le cul. Que j’étais aussi vierge du cul. Donc il ne reste que le problème de la fidélité, mais comme il est probable que je reste sa chienne soumise, il pense que c’est accessoire. Helena tourne son regard vers mon vagin exposé, voit du sperme s’en écouler, ainsi que des traces sortant de mon anus. Elle a compris que c’était sérieux, elle dit à son frère qu’elle espère que ça marchera entre nous deux et sort.
On s’est marié quatre mois plus tard. Moi en blanc, dans une vraie robe. Mais Brice a veillé à ce que je ne porte pas de sous-vêtement, mais il a tenu à récupérer la jarretière tout seul. On a passé notre voyage de noce au Kenya. On vient de rentrer, Brice m’avait demandé avant notre départ en voyage, d’arrêter la pilule que j’ai commencée quand nous nous sommes mis en ménage. Je l’ai fait immédiatement, on est amoureux fou l’un de l’autre : j’espère être enceinte et lui donner un fils pour la transmission du titre. Tout le monde est heureux pour nous.
Je ne ressens plus d’envie de m’exhiber, je suis épanouie. Je n’ai qu’un problème, Brice ne veut pas virer Valentine. C’est une trop bonne véto. Raison professionnelle. Qui vivra verra.
(si je trouve une suite dans le jus je l’écrierai)

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Un chapitre fabuleux, tellement pervers et passionnant.
Un grand merci
Pour la suite .... une vie de débauche ? Des piercings aux tétons de ses mamelles ? Une
vie de chienne permanente ? Des humiliations publiques ? Une vie nue ?
Au plaisir.
Rudy



Texte coquin : Fantasme 5
Histoire sexe : Une rose rouge
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