Karine et le plaisir de la soumission 8

- Par l'auteur HDS Dan48 -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Karine et le plaisir de la soumission 8 Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-11-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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Karine et le plaisir de la soumission 8
CHAPITRE 8 : Visite chez mon gynécologueMa journée solitaire continue, mon Hugo est avec sa mère pour faire des courses en vue de leur départ pour un mois de vacances en Espagne. J’ai passé ma matinée dans un sexshop à 70 km d’ici, une matinée… très… productive, disons. Je viens juste d’arriver au cabinet de mon gynécologue. J’ai rendez-vous à midi, et… il est midi. Pile à l’heure. J’entre dans le cabinet, la secrétaire est train de s’habiller pour partir. Je me dépêche d’entrer dans la salle d’attente. Il y a un homme seul. Je me demande s’il vient pour lui ou s’il accompagne quelqu’un. Je m’assois sur une chaise sans précaution aucune, un bruit se fait entendre, métal sur plastique.
L’homme me regarde, je rougis sans dire un mot. Je pense à mon plug anal qui vient de faire ce bruit gênant quand je me suis assise. J’ai oublié de l’enlever en cours de route, j’étais tellement en retard que je ne me suis même pas arrêtée une minute pour le retirer. Maintenant, avec ce mec qui me regarde, je ne sais pas comment l’ôter avant que la visite commence. Je me tortille sur mon siège mal à l’aise : les toilettes sont dans le bureau de la secrétaire, mais elle les ferme à clef quand elle part. L’homme me regarde, il doit penser que j’ai envie d’aller faire pipi.
J’entends la porte du docteur qui s’ouvre, il raccompagne sa patiente, l’homme se lève et rejoint son épouse. Le gynéco les laisse partir sans les accompagner jusqu’à la porte, il reste dans le couloir, il est juste là. Il se tourne vers moi :- « A vous Mademoiselle Karine ! »Il entre dans son cabinet et va s’assoir derrière son bureau, je le suis, et m’assoie à mon tour dans le fauteuil devant lui. Il est presque dans l’axe du bureau. Je garde les cuisses bien serrées de peur qu’il ne s’aperçoive que je ne porte pas de culotte.
Il est mon gynéco depuis deux ans, mais jusqu’à aujourd’hui, j’avais toujours eu une tenue décente. Je n’ai pas choisi ce gynéco en fait, j’avais pris son prédécesseur, un vieux monsieur très cool. Je n’avais pas voulu de la gynéco de ma mère, et comme c’était la seule femme dans notre ville, j’ai choisi un vieux monsieur. C’était plus rassurant pour moi. N’empêche que la première fois où j’ai dû me mettre à poil devant lui j’étais mal, et je vous dis pas quand il a fallu mettre les pieds dans les étrillés. Je n’aurai pas été à poil, je serai sortie du bureau pour courir dans la rue jusqu’à la voiture où m’attendait ma mère. Le fait d’être nue, un bras devant mes seins, et l’autre main entre mes cuisses, m’a bien motivée pour rester sur place. L’auscultation a été un enfer, il a eu beau tout faire pour me mettre à l’aise, j’étais très (très) tendue, j’avais le visage en feu, plus rouge que rouge. Pourtant, il a été parfait, il ne m’a pas fait mal, et une fois rhabillée, on a parlé un quart d’heure pour me décontracter. Quand il a pris sa retraite, il y a deux ans, un jeune médecin, interne en gynécologie obstétrique aux hôpitaux de Paris a pris sa suite. 35 ou 36 ans à peu près, le physique d’un sportif, plutôt mignon. Je sais qu’une partie de sa clientèle a fui lors de son arrivée. On en a parlé un jour où j’étais la dernière patiente, à 16h. J’avais fait une plaisanterie en lui disant que gynéco était un bon métier car on finissait tôt de travailler. Et là, il a ri avec moi, et m’a dit que beaucoup de femmes jeunes avaient préférées changer de gynéco sans donner de raison après la première visite. Il croyait que sa pratique professionnelle posait un problème et il a demandé à sa secrétaire si elle avait entendu une rumeur. Elle lui a alors révélé que sa pratique n’était pas en cause, mais que plusieurs maris ou compagnons avaient fait des remarques acides sur son âge et son physique. Moi jusqu’à aujourd’hui, ça ne m’avait pas posé de problème, je le trouvais trop vieux, normal à l’époque, je n’avais que 16 ans.
Donc, perso, je vais chez le gynéco sans peur… enfin… sauf maintenant.
- « Alors, Mademoiselle, quel est ce problème si urgent ?» Je me tortille sur mon fauteuil, le discours que j’avais préparé s’est enfui, je ne trouve pas mes mots. Je vois ses yeux se baisser en direction de mes cuisses. Je les resserre brusquement en le regardant, un sourire extrêmement furtif est passé sur ses lèvres, il me regarde dans les yeux à nouveau. Je sais qu’il a vu mon absence de culotte, il fait comme si… J’essaie de parler sans trembler- « Docteur, c’est mon petit copain, nos relations sont devenues plus… intimes, j’aurai besoin de la pilule au cas où. Je sais que je vous ai dit que je ne voulais pas, mais maintenant… je la voudrai. »J’ai dit cela d’un trait de peur qu’il ne m’interrompe et que je ne sache plus quoi dire.
- « Bien sûr, pas de problème, je vais vous examiner, mais auparavant je vais vous poser quelques questions personnelles pour savoir où vous en êtes… c’est pour votre dossier de suivi, c’est confidentiel ne vous inquiétez pas… Lors de votre dernière visite, vous étiez encore vierge, est-ce que ça fait longtemps qu’il vous a déflorée ? »- « Non ! Non ! docteur, je suis toujours vierge. Il ne m’a pas déflorée, je n’ai pas voulu, mais … disons que… comme il devenait très insistant… j’ai fini par accepter… qu’il me… sodomise. »Je n’arrivais à le dire, les mots ne voulaient pas sortir. Je réalise que ma façon d’expliquer les choses prêtait à confusion, je me précipite pour ajouter- « Mais il ne m’a pas forcée, j’étais d’accord… D’ailleurs, j’ai beaucoup aimé. »Je regarde mes chaussures, rouge comme une pivoine.
- « Ok je vois… nous verrons cela lors de l’examen, la pilule, c’est que vous envisagez de lui demander de vous déflorer ? Parce que sinon, les raisons que vous m’aviez données pour refuser la pilule sont toujours valables, la sodomie ne change rien. »Je suis rouge de honte- « Je ne suis pas certaine encore mais si pendant que… enfin vous voyez ce que je veux dire… si… il se trompe… je préfère être prête »Le docteur me regarde avec les sourcils relevés- « S’il se trompe… oui bien sûr… je vous rappelle que s’il se trompe comme vous dites alors que vous n’êtes pas consentante, ce sera un viol, même s’il vous sodomise régulièrement. »Il laisse passer quelques secondes pour que j’assimile bien ses propos, et me demande s’il y a autre chose ;- « Oui… je ne sais pas comme le dire… c’est la première fois que j’en parle, avec ma mère ce n’est pas possible, elle ne comprendrait pas, mes parents s’aiment j’en suis certaine, mais l’amour pour eux, c’est le dimanche matin pendant qu’ils croient que je dors, et si ma mère a de la chance, un peu aussi le samedi matin. Moi, j’ai plus de besoins, et Hugo aussi. On se retrouve très souvent, un peu n’importe où, on ne se préoccupe pas trop des convenances. Vous voyez ce que je veux dire ? On s’est fait surprendre plusieurs fois, on a plutôt bien ri en courant tout nu pour aller plus loin continuer si c’était possible ou se rhabiller suivant où on était. Que les gens nous aient vus nus ne nous a pas gênés, au contraire même, moi, je trouve cela excitant. »Le docteur reste silencieux, en hochant la tête, il prend quelques notes, je me décontracte un peu, je continue.
- « On a trouvé quelques endroits tranquilles pour se retrouver, et on « s’amuse » un peu. Une fois, Hugo m’a confisqué mes vêtements, j’ai dû aller presque jusque chez mes parents, toute nue. J’ai adoré, mais quand on croisait des gens je vérifiais de loin si je les connaissais. On a fait aucune mauvaise rencontre, mais quand j’y repense je me dis que nous avons été très cons tous les deux. Cela ne nous empêche pas d’avoir envie de recommencer. Mais ce n’est pas de cela dont je veux vous parler… il y a quelques jours, j’ai fait une bêtise, pas grave rassurez-vous ! On était en train de… jouer, avec Hugo. J’étais nue comme souvent, et à un moment j’ai vu un homme dans un buisson, un voyeur. Au lieu de prévenir Hugo, j’ai rien fait, au contraire, j’ai tout fait pour qu’il me voie mieux. Je me suis exhibée quoi ! Puis, j’en ai parlé à Hugo, on a fait fuir le voyeur, et comme on en riait, j’ai cru que l’affaire était classée. Mais Hugo a dit que comme il ne pouvait en parler à mes parents, il allait devoir me punir lui-même. Au début j’ai trouvé cela rigolo, mais quand il a parlé de fessée cul nu, j’ai arrêté de rire. Hugo faisait semblant d’être fâché, il m’a dit qu’il ne savait jamais sur quel pied danser avec moi, aujourd’hui le voyeur, hier, j’ai voulu qu’il me morde fort. Il ne sait plus ce que je veux. Il m’a alors rappelé qu’une fois que nous avions fait l’amour, je lui avais demandé un… cunnilingus et que je voulais qu’il me morde le clitoris. Il m’a dit que plus il me mordait fort… là… plus mes orgasmes étaient forts. J’ai besoin que vous m’expliquiez ce que j’ai et que vous me prescriviez une pommade pour mes fesses, car avec la fessée que je lui ai permis de me donner comme punition, j’ai dégusté fort, j’ai eu mal pendant deux jours, j’ai encore un peu mal… En plus, ce matin, j’ai acheté… un martinet pour mon Hugo. Je pense que je vais encore avoir mal aux fesses, mais il me fait jouir rien qu’en me fessant. » Je ne me reconnais pas, je me suis lâchée, j’ai honte des horreurs que je viens de révéler.
- « Beaucoup de questions difficiles Mademoiselle, je ne suis pas sexologue, mais vu qu’il n’y en a pas dans la région, je vais essayer de vous aider. Pour l’exhibitionnisme, c’est un fantasme très courant chez l’Homme en général. Peu décident de passer à l’acte, ce sont principalement des hommes qui s’exhibent, et il s’agit très souvent de pervers sexuels qu’il faut combattre en parlant à la Police. Vous, comme la plupart des femmes qui passent à l’acte, il semble que la nudité ne vous gêne que modérément. Là par exemple vous êtes venue sans sous-vêtement, mais vous êtes gênée, alors que je vous ai déjà examinée nue. Ce n’est donc pas de la perversion, au plus un peu de provocation. C’est bénin. Faite attention de ne pas être excessive en vous exhibant devant des enfants par exemple, enfin je ne sais pas, vous êtes intelligente vous trouverez la limite. Pour les voyeurs, attention, ils sont donc souvent aussi des pervers. Pour le côté masochiste qui vous préoccupe, tant que vous n’allez pas trop loin, ce n’est pas un problème. La douleur produit des endorphines qui facilitent et amplifient le plaisir, le plaisir sexuel aussi. C’est pour cette raison que vous avez plus d’orgasme, des orgasmes plus forts en cas de douleur. Faites pourtant attention, tout est dans la limite. Des claques sur les fesses pendant la pénétration, oui, être fouettée jusqu’au sang non. C’est à vous et à votre compagnon de savoir mettre une barrière. Prévoyez ce que l’on appelle un safeword, un mot de sécurité, Si vous pensez que votre compagnon vous frappe plus que nécessaire pour atteindre votre plaisir, prononcez le pour qu’il stoppe. Le masochisme ne sera pas un problème… On va passer à l’examen physique si vous n’avez pas d’autres questions.»Il se lève pour faire le tour de son bureau, je me lève à mon tour, je vois une bosse sur son pantalon. Je me dis que mes problèmes lui ont fait de l’effet. Je souris en baissant la tête. Je me dirige vers la pièce d’examen, j’enlève mon haut. Je vais pour enlever ma jupe, je me tourne vers lui, j’avais oublié le plug. Je détache ma jupe qui tombe à mes pieds, je la pousse vers la chaise pour ne pas devoir m’accroupir. J’hésite un peu avant de m’assoir sur la table d’examen. Etant restée debout près du fauteuil d’examen, les pieds cramponnés au sol. Il me dit doucement- « Mettez les pieds dans les étriers, s’il vous plait… et… détendez-vous »Il y a eu une petite chute dans sa voix en fin de phrase. Il a dû apercevoir le plug entre mes fesses. Il ne fait aucune remarque. Il prend un écarteur, et commence l’auscultation délicate de ma vulve. Il est prudent à cause de mon hymen. Il fait le prélèvement habituel. Jusque-là tout est normal. Il passe délicatement un doigt à l’entrée de mon vagin, regarde la texture de ce qui s’est déposé dessus, puis le sent. Le fait qu’il sente l’odeur de ma chatte, même s’il m’a déjà expliqué que c’était le moyen le plus facile pour détecter une infection, m’a toujours extrêmement gêné. Aujourd’hui, je pense que je me suis faite enculer toute la matinée, j’ai eu la chatte trempée une bonne partie du temps, je risque d’avoir une odeur plus forte que d’habitude, malgré la lingette que j’ai utilisée lorsque je me suis rhabillée. Il hésite, il sent encore, gêné il me demande- « Avez-vous eu des rapports sexuels depuis votre dernière douche ? »Aussi gênée que lui, je réponds- « Oui, ce matin, j’ai eu des rapports… mais uniquement anal ! »- « Vous avez été très excitée sexuellement, non ? »Je baisse les yeux en rougissant sans répondre.
- « C’est bon, ne vous inquiétez pas, cela ne sent pas mauvais, c’est juste nettement plus fort que d’habitude. Les autres fois, vous aviez pris votre douche juste avant de venir »- « Désolée docteur, je pensais avoir le temps, mais comme j’étais très en retard, je suis venue directement, j’ai juste utilisée une lingette pour le nettoyage intime. Je pensais que ça suffirait. Je suis désolée docteur, je ne pensais pas que vous verriez que je ne suis pas parfaitement propre »Je suis mortifiée, être obligée d’avouer que je me suis pas lavée après avoir baisé. J’ai vraiment honte de moi.
- « Tranquillisez-vous votre odeur intime est très agréable ! » Le gynéco rougit fortement. Je me dis qu’en voulant me rassurer, il vient de lâcher une incongruité indigne d’un bon gynécologue. Je me risque à penser qu’il a envie de moi.
Il fait pourtant attention pour cacher la bosse qui déforme son pantalon. Des pantalons qu’il porte toujours larges pour éviter qu’une patiente puisse s’apercevoir qu’elle ne le laisse pas indifférent. Et aujourd’hui, avec mes problèmes, mon physique de madone et mon bijou anal, je l’excite un max, le bon docteur pense qu’il se la ferait bien. Il va devoir se contrôler.
De mon côté, je suis troublée par ses mots. Aucun doute, il me désire, je regarde la bosse, elle est toujours bien là, je vois ses mouvements et la posture qu’il prend pour me la cacher. Je lui souris et le regarde dans les yeux.
- « Alors, je vais bien ? »- « Oui, tout semble bien, on en aura confirmation à la réception de votre frottis. »J’enlève un pied de l’étrier pour me lever, le docteur s’écrit- « Attendez ! Je n’ai pas terminé, je dois vérifier… là… depuis que vous vous faites sodomiser, je dois surveiller l’état de votre anus… surtout que vous m’avez dit que vous aviez commencés récemment. Votre compagnon vous sodomise souvent ? »Je suis piégée, Hugo ne m’a sodomisée qu’une fois, mais ce matin, entre les notaires et le Glory Hole, je n’ai pas compté, mais… 40 minutes de sodomie non-stop, j’estime… j’ai reçu au moins trente bites dans mon cul. Certes, ils ont été très rapides pour jouir, je vais faire une estimation plus basse, s’il n’y avait eu que de la baise, cela aurait représenté quatre vraies sodomies comme Hugo et les notaires.
- « Disons que ma première fois était hier, ça a duré longtemps… c’était très bien. Ce matin, on a recommencé quatre ou cinq fois, toujours aussi bien. »Je suis rouge, je ne peux pas lui dire pour le Glory Hole, alors Hugo en porte la responsabilité ! Je baisse les yeux en souriant.
- « D’accord, en plus vous avez la chance d’être tombée sur un surhomme, Waouh ! Cinq fois ! Gardez-le surtout. » J’arrête de sourire, devant le ton acerbe et moqueur du docteur. Il n’a pas l’air content. Je regarde ses yeux, ils ont perdu leur côté rieur. Je l’ai blessé… mais qu’est-ce que j’ai dit ?
Je me demande s’il est jaloux ? De quel droit, il est mon docteur, c’est tout. Mais c’est vrai que je lui raconte ma vie intime depuis une demi-heure, et avec un max de détails comme s’il était un eunuque insensible, il a de quoi l’avoir mauvaise. Je m’en veux.
- « Je vous prie de m’excuser docteur, je ne voulais pas… » Je ne termine pas ma phrase, je ne veux pas qu’il prenne cela pour des avances. Il me regarde dans les yeux, ce qu’il y voit à l’air de lui plaire, son sourire réapparait sur ses lèvres et dans son regard.
- « C’est moi qui vous prie de m’excuser, je n’aurai pas dû. On finit l’examen de votre anus alors ? »Je rougis, remets mon pied dans l’étrier, et avance mes fesses au bord du fauteuil. Mon regard ne quitte pas ses yeux. Il va devoir toucher à mon plug, je suis troublée par le désir soudain de jouir par ses mains. Il attrape le plug, lève les yeux, voit mon regard fixé sur lui, il tire un peu sur le plug, la boule force un peu sur mes sphincters, on voit un peu la boule par mon anus qui s’ouvre, il remet le plug en place, mon anus se referme, puis il recommence à ouvrir mon anus, cette fois, il va jusqu’à l’ouverture maximum de mes chairs étirées par le sextoy, puis le remet encore. J’ai une respiration saccadée, je sens mon plaisir monter en flèche, s’il recommence je vais partir, je ne pourrai jamais retenir mon orgasme. Mes genoux sont écartés comme jamais. Il me regarde, j’ai la tête en arrière, la bouche ouverte, les yeux plantés dans les siens. Je ne cache pas mon désir. Il me sourit, et tire sur le plug, il arrête au maximum de dilatation jusqu’à provoquer mon orgasme, je donne un violent coup de bassin, le sextoy pénètre brutalement dans mon anus, puis en ressort tout aussi rapidement. Je crie mon plaisir- « Oui c’est trop bon, continuez, s’il vous plait »Je sens mon vagin s’humidifier et déborder sur mes lèvres. Le docteur me dit- « Désolé, je voulais voir votre sensibilité suite à vos propos, je ne pensais pas que vous jouiriez aussi vite et aussi fort »Il ment comme un arracheur de dents, il a vu dans mes yeux que j’allais jouir, il l’a fait exprès. L’enfoiré, il aurait pu s’abstenir de mentir, il sait que j’ai aimé, et que c’est ce que je voulais. Il ne l’emportera pas au paradis, il n’assume pas.
Il ouvre ma vulve pour voir la quantité de cyprine que j’ai produite, et il y en a beaucoup, je ne suis pas une fontaine, mais il est clair que je n’ai pas de difficulté à lubrifier mon fourreau d’amour. Il revient vers mon anus, et y place un écarteur, il arrête de l’ouvrir quand je commence à gémir. Je lui glisse qu’il peut encore m’ouvrir un petit peu, ce qu’il fait. J’ai posé ma main sur son bras, quand arrive ma dilatation sans douleur maximum, je sers son poignet, il me demande de le tenir en place pour ne pas qu’il tombe… je tiens un écarteur planté dans mon cul dilaté… Je suis en plein délire. Il fait un nouveau prélèvement, je sens qu’il cherche loin à l’intérieur. Il remet le goupillon dans son tube protecteur, écrit des références, et demande- « Votre anus est très propre, vous vous faites des lavements régulièrement ? »Je n’ai donc plus droit à aucune pudeur avec lui, je le regarde dans les yeux et dis- « Oui, c’est mon intention, j’ai acheté le matériel ce matin pour que ce soit plus facile à faire »Je n’ai plus honte avec lui, je peux tout lui dire- « J’aimerai que mon anus soit toujours prêt et accessible, au cas où »- « Oui ! Euh ! Surveillez votre poids si vous le faites tous les jours, et avec une grande quantité de liquide, vous risquez une légère perte de poids. Vous diminuerez sensiblement la sur-digestion des aliments lors du transit intestinal. »Il caresse doucement mon anus avec son pouce, paisible, je le laisse faire sans bouger. Je sens le plaisir remonter. J’essaie de paraitre impassible pour qu’il continue. Il se rend compte de la situation trop tard, je me cambre, et gémis fortement. Des spasmes secouent mon ventre. J’ai attrapé son poignet, je le sers durant la durée de mon orgasme. A la fin je lui dis- « Merci, c’était très bon »Je tiens ma vengeance, je lui souris. A son tour d’être piégé- « Vous m’avez terminée ? »Il opine de la tête, et subitement se rend compte des mots exacts que je viens de prononcer. Il rougit fortement, je me redresse en posant mes pieds par terre. Il ajoute- « Désolé, vous me troublez, j’ai oublié la palpation des seins pour les tumeurs »Trop bon, en plus il va devoir me tripoter les seins, avec un peu de chance, si ça dure suffisamment, je vais peut-être encore jouir. S’il y arrive, je lui saute dessus, parole de scout. Je reste debout, il vient près de moi, sur le côté droit, je lève le bras droit au-dessus de ma tête, il commence la palpation. Comme d’habitude, c’est un peu douloureux, il fait son travail, il recherche vraiment une éventuelle tumeur. Il lâche mon sein, il m’a semblé que les dernières secondes étaient plus douces, moins… professionnelles. Je dois savoir… Il a fait le tour, il palpe maintenant mon sein gauche. Il me fait un peu mal. Je pose ma main droite sur la main qui brutalise un peu mon sein, mais je le laisse faire. Il me regarde dans les yeux sans rien dire. Il continue, mais je sens maintenant sa douceur, la palpation vient de se transformer en une caresse fort agréable. Ma main empêche la sienne d’arrêter. Je me sers contre lui, appuyant mon ventre contre sa hanche. Ma respiration devient plus saccadée, plus haletante. Je lui dis- « Continue s’il te plait, c’est bon, fais-moi jouir encore, je t’en prie »Il continue à me caresser les seins, les tétons, il les lèche, tète mes tétons. Une de ses mains descend sur mon ventre pour caresser mon clitoris. Mon orgasme explose, je me crispe dans ses bras, la tête dans son cou, une main appuyée sur la main qui pince mon bouton. Je relève la tête et l’embrasse d’une bouche impérieuse. Sa langue répond à la mienne, puis il se recule en disant- « Arrête, ce n’est pas bien ce que je fais, arrête ! »Je reste collée à lui, mes mains ont ouvert sa blouse et s’attaque à la fermeture de son pantalon qui cède rapidement, j’ai le temps d’attraper son sexe à pleine main avant qu’il ait réagi. Il a beau dire des « non, il ne faut pas » ou des « ce n’est pas bien ce qu’on fait », je tombe à genoux et me jette sur son sexe à pleine bouche. Je le suce, titille, aspire, mordille. Tout mon savoir-faire y passe. Il ne dit plus rien, il reste debout la tête en arrière à gémir doucement. Je continue la fellation avec application. Aux tressaillements qui parcourent sa bite, je sais qu’il ne va pas durer longtemps. Il explose bientôt dans ma bouche, j’avale voluptueuse sa semence. Je continue à le sucer pour qu’il reprenne sa rigidité parfaite, il me demande d’arrêter. Je sors sa bite de ma bouche pour lui dire- « Pas question d’arrêter, je veux te sentir au fond de mes fesses, je ne peux pas t’offrir mon sexe mais je veux que tu me prennes le cul ! »Aussitôt dit, je replonge sur sa bite. Affolé, il m’attrape par les épaules et me relève de force, je suis obligé de lâcher sa bite. Il me dit- « On n’a pas le temps, ma secrétaire va arriver dans cinq minutes à peu près, elle a avalé une montre suisse quand elle était enfant. Elle est toujours à l’heure. Il nous reste deux minutes, rhabille toi vite s’il te plait, on se reverra ailleurs si tu veux, mais fais-moi plaisir, habille-toi ! »- « Je voulais te faire plaisir, mais pas en me rhabillant » dis-je comme une enfant boudeuse.
Je me rhabille pendant qu’il se rajuste. Je n’ai qu’une jupe et un haut c’est rapide. Il reste encore au moins trente secondes, j’attrape mon plug sur la desserte de la table d’examen, je viens à côté de lui, lui tournant le dos en me penchant, je lui dis- « Il va falloir quand même que tu remettes en place ce que tu as enlevé, il n’est pas question que je le mette toute seule » Et je lui tends le plug. Il me regarde avec un sourire complice, met le plug dans sa bouche, le recouvre de salive, le ressort, vérifie s’il est bien humide, l’approche de mes fesses que j’écarte à deux mains. Il l’enfonce en douceur, le retire et le remet pour s’assurer qu’il est bien en place. Au moment où il allait me mettre une calotte sur mes fesses, on entend la porte d’entrée du cabinet s’ouvrir et claquer en se refermant. On entend un « C’est moi, docteur, je suis revenue ». Je retourne m’assoir sagement sur le fauteuil, les genoux bien serrés, comme une fille bien sage.
Le docteur est à son bureau en train de compléter mon dossier médical et à remplir des ordonnances quand la secrétaire vient taper à la porte et passe la tête. Voyant que je suis toujours là, - « Je m’excuse, docteur, Mademoiselle, je pensais que la visite était terminée, je suis vraiment désolée »- « Ne vous excusez pas, Michelle, nous avons fini, le dossier est complété, il ne reste qu’à expliquer les ordonnances. Je suis en retard, pourriez-vous préparer l’envoi des deux prélèvements au labo, et nettoyer un peu pour le rendez-vous de 13h30, j’aurai juste le temps d’avaler mon sandwich »- « Bien sûr docteur »Je lui donne le chèque pour la consultation. Il me remet mes ordonnances. Aucun commentaire sur celle de la pommade pour les fessées, je remarque qu’il a mis cinq tubes à renouveler trois fois, je devrais en avoir assez jusqu’à mon prochain rendez-vous. Pour l’ordonnance des pilules, il me précise- « Ce sont des pilules minidosées, vous ne devriez pas avoir d’effet secondaire sauf peut-être au niveau des seins, mais il y a peu de chance. Celles que je vous ai prescrites sont de dernière génération, vous devriez bien les supporter. En principe, vous devriez les commencer après vos prochaines règles, mais si vous préférez ne pas attendre, commencez par les blanches, et à la fin des règles, jetez bien la plaquette entamée, ne la finissez pas, prenez une plaquette entière et suivez bien les jours. Ah ! dernier rappel, je sais vous avez l’impression que je radote, comme un vieillard sénile, mais c’est important, elles sont minidosées, alors prenez-les toujours à la même heure, soyez précise, plus vous serez précise, moins vous aurez de chance de tomber enceinte. A bientôt Mademoiselle Karine»Je lui dis au-revoir, ainsi qu’à la secrétaire qui s’active dans le box d’auscultation, il me raccompagne à la porte, en me mettant la main sous la jupe, et en jouant avec le plug. Je tourne la tête vers lui, il a un grand sourire, j’aperçois la secrétaire dans le bureau du docteur, elle a fini le nettoyage, je lui tape la main, il comprend immédiatement, il me libère, j’ouvre la porte et rejoint mon scooter à quelques mètres de là. Je sens que contrairement à ma mère, je vais apprécier de plus en plus mes visites chez le gynécologue. Au fait, c’est quoi son prénom ?
J’ai faim, je vais passer au McDo drive, je vais me prendre une salade, un muffin, et une bouteille d’eau. Je vais aller les manger au parc en attendant mon rendez-vous chez l’esthéticienne.
(à suivre)

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