Karine et le plaisir de la soumission 11
Récit érotique écrit par Dan48 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-11-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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Karine et le plaisir de la soumission 11
CHAPITRE 11 : Photos et vidéo (suite et fin)Hier vendredi, j’ai passé une journée étonnante ! J’ai d’abord eu peur qu’Hugo essaie de me prostituer, je n’aurai probablement pas accepté. Même si comme beaucoup de femmes, j’ai ce fantasme latent qu’est la prostitution, je pense que notre dispute aurai été violente. S’il avait insisté, la rupture aurait été inévitable. Pourtant je l’aime, c’est fou comme je l’aime. Certains fantasmes doivent rester à l’état de fantasme, franchir certaines limites doit être réfléchi, murement.
Ceux qui ont lu les chapitres précédents doivent se demander comment je peux dire que j’aime Hugo alors que je me fais enculer toutes les cinq minutes. J’avoue que je ne sais pas, mais quand je ne le vois pas pendant quelques jours il me manque… je suis en manque… Il est comme une drogue pour moi.
Bien que je me fasse tringler régulièrement par des étrangers, je n’ai pas l’impression de le tromper : je ne cherche que le plaisir, pas de sentiment, juste ma jouissance. De son côté, il doit être un peu caudaliste : malgré sa jalousie, s’il est présent, il me pousse à me lâcher totalement, à m’offrir au premier venu sans la moindre pudeur. Il ne s’oppose jamais à une de mes initiatives quelque fois très limite. En échange, je ne refuse jamais quand il me prête à une de ses relations : une seule réserve, il ne doit pas y avoir d’échange d’argent pour que cette personne obtienne mes faveurs sexuelles. Je suis sa soumise, je lui obéis en tout, mais il n’a pas la possibilité de me prostituer. Je suis une salope exhibitionniste qui s’assume, pas une pute.
Hugo est passé à la maison tout à l’heure pour m’annoncer une bonne nouvelle, son départ avec ses parents est repoussé de 24h pour une raison professionnelle de son père, on a encore aujourd’hui à passer ensemble. Il a profité que mes parents travaillent pour venir me voir, pour voir sa salope soumise dans son milieu naturel. Quand il est arrivé, j’étais encore au lit, en entendant la sonnette, j’ai regardé par la fenêtre de ma chambre à l’étage, j’avais les seins bien visibles si un voisin regardait, mais je m’en foutais. Quand j’ai vu Hugo, je suis descendu en courant j’ai ouvert la porte et je lui ai sauté dans les bras pour l’embrasser. Le fait que je n’ai pas le moindre morceau de tissus pour couvrir ma nudité ne m’a absolument pas dérangée. Hugo lui m’a vite soulevée pour m’amener à l’intérieur et fermer la porte. On s’est embrassé, j’ai appuyé mes seins sur le dossier du fauteuil de mon père quand il regarde la télé le soir, j’ai écarté les jambes, cambrée pour offrir ma croupe et j’ai dit à Hugo - « Prend-moi ici comme ça. »Il a sorti son sexe de son pantalon, me l’a collé contre ma rondelle et m’a enculée. Il a dû forcer en donnant des coups de reins de plus en plus forts. Je n’étais pas lubrifiée du tout. Me faire enculer à sec a été très douloureux mais c’est ce dont j’avais envie. Je voulais qu’il force mon cul, qu’il me déchire l’anus.
Heureusement, je pratique beaucoup depuis quelques jours, ça a été douloureux, mais il ne m’a pas déchirée, au contraire, j’ai jouis comme une folle, un orgasme de dingue, décuplé par la douleur. C’était trop bon.
J’ai pris un petit déjeuner, nue en face de mon Hugo qui s’est contenté d’un café. Quand j’ai voulu lui faire une pipe, il m’a repoussée en me disant qu’il était fatigué. J’ai essayé de lui dire que j’avais besoin d’avoir une petite dose de son sperme pour ma prochaine tartine, il a ri et m’a dit que j’étais punie, au pain sec, sans sperme. On a ri. On s’est fait un grand câlin. Puis quand il m’a dit qu’il devait déjà repartir, je l’ai supplié de rester- « C’est trop tôt, reste encore un peu ! »- « Je dois être à la maison pour 10h30 »- « On a encore une demi-heure, reste encore ! » Quand j’ai vu qu’il hésitait, je lui ai dit- « De tout façon, tu ne peux pas partir, tu m’as punie, j’ai eu le plain sec, mais pas la fessée alors au boulot avant de partir. Attend ici »Je me suis précipitée dans ma chambre, j’ai attrapé le martinet, enlevé l’étiquette (il n’a encore jamais servi hormis son essai sur les buissons) et je suis redescendue.
- « Il faut que tu l’essaies au moins une fois, que l’on sache si ça nous plait » Et je lui tends le martinet. Je me remets dans la même position que j’avais pour qu’il me sodomise, je garde même les jambes écartées pour avoir plus de stabilité. J’attrape ma serviette de table que j’avais posée sur le dossier de la chaise à proximité, et avant de la mettre dans ma bouche pour atténuer mes cris, je lui dis- « Je veux être fouettée partout, fesse dos seins ventre sexe. Je veux être rouge, mais pas trop marquée quand même, je vais chez Pierre cet après-midi. Penses-y quand tu me fouetteras, il va probablement me prendre ou me demander de le sucer, alors venge-toi. »Il me regarde, pensif, je vois que le rappel de Pierre pour cet après-midi ne lui a pas trop plu. Il se met en place et me donne un premier coup sur les fesses. Il se rend compte qu’il n’a pas frappé assez fort, il recommence nettement plus fort, mes fesses ont légèrement bougé sous l’impact. Un peu plus fort et ce sera parfait pour mes fesses. Bingo ! Je cris, mon premier cri sous le fouet. J’enlève la serviette de ma bouche et dit- « UN »Les coups se succèdent, plus ou moins fort jusqu’à 20. J’enlève le bâillon et lui rappelle qu’il ne doit pas se contenter de mes fesses. J’ai des larmes dans les yeux. Je n’ai que le temps de remettre la serviette, les coups tombent sur mon dos. J’ai déjà eu un orgasme. Il me demande de me retourner. Je n’attendais que cela, même si j’ai une trouille bleue : c’est nettement plus douloureux que les fessées à la main. J’hésite sur la position, j’en essaie plusieurs, je fini par m’appuyer les épaules sur le dossier du fauteuil, les bras écartés se cramponnant aux accoudoirs. Mes seins sont parfaitement exposés. Il se met sur le côté et donne le premier coup… avec la même force que pour mon dos. Je hurle dans la serviette, il a atteint les deux seins en même temps, sur les tétons. Mes jambes ne me soutiennent plus, je m’écroule au sol : Les bras serrés sur mes seins. Hugo se précipite.
- « Karine, ça va ? Désolé, je pensais pas taper si fort »- « ça va ! c’est la surprise »Je lui mens, la douleur a été horrible. Je sens mon vagin humide, mais plus de trace de jouissance. J’ai eu trop mal. Le gynéco avait raison, tout est une question de limite. Je regarde mes seins, la marque est rouge vif, la peau n’est pas fendue, mais il s’en est fallu de très peu. Je touche mes tétons, ils sont très sensibles. Je me relève, reprends la pose, et avant de remettre le bâillon, je lui dis- « UN, s’il te plait un peu moins fort, tu risques de fendre la peau » Je remets la serviette. Il a compris à mon mensonge, qu’il a fouetté trop fort, mais que je veux qu’il continue. Les autres coups se succèdent très douloureux, mais ne marquent que très peu les mamelons : les seins sont une zone vraiment très sensible, à fouetter avec précautions. A VINGT, je me relève et change de position. Je m’allonge sur le dossier en travers cette fois la tête à la limite du vide, une jambe sur un accoudoir, le pied opposé posé au sol. Mes jambes sont bien écartées, je sens mes lèvres et mes nymphes s’ouvrir. J’ai le vagin trempé, je n’ai pas joui par les seins, j’espère qu’il va réussir en fouettant ma vulve. Je lui dis- « Vas-y vingt coups, commence doucement puis de plus en plus fort. Je ne commence à compter que quand je penserai que la puissance est bonne. D’accord ? »- « Je me mets où, vers ta tête ou à tes pieds ? Si je reste vers ta tête je pense que je vais aussi toucher tes fesses, si je me mets vers tes pieds, j’ai peur de toucher ton bouton. »- « … Vers mes pieds, mes fesses ont déjà eu leur dose » J’ai longuement hésitée, le fouet sur mon bouton, ça va être violent, mais je dois essayer, c’est pour ce coup que j’ai choisi le martinet, pour être fouettée sur mon clitoris. J’ai vu un petit film sur internet, une blonde se faisait fouettée comme ça, au début, son abricot était à peine fendu, à la fin les lèvres avaient triplées de volume, rouges, on apercevait ses nymphes rougies par le fouet. Elle pleurait, se tordait sous la morsure du fouet, mais reprenait inlassablement sa position en comptant les cinquante-cinq coups qu’elle a reçus. Une vraie masochiste, je veux voir ma chatte gonflée ou à tout le moins, marquée par le fouet.
- « … UN » Je n’ai pas compté les quatre premiers coups, Hugo n’osait pas. Maintenant je souffre à chaque coup, mais j’ai aussi des éclairs de plaisir lors de l’impact, je suis en quasi-orgasme permanent depuis le cinquième coup. C’est divin, pardon disons plutôt … diabolique. Mon vagin est une fontaine qui déborde un peu à chaque coup de martinet.
Pour la première fois, je me recroqueville sur moi-même, je n’ai pas crié, pas le moindre son. Il a touché mon bouton. C’est une explosion fantastique. Je jouis comme une folle, mais la douleur est d’une intensité monstrueuse. Je reprends la pose en tremblant, je vois Hugo qui hésite à continuer- « … QUINZE… »Les coups suivant tombent loin de mon clitoris. A dix-neuf, je crache la serviette, et lui dis- « Mon clito, s’il te plait, sur mon clito »Au moment de frapper le dernier coup, il voit mes mains sur mon sexe, mes doigts ont décalotté mon bouton et tire pour le faire saillir, Hugo frappe droit et ne rate pas la cible. La douleur et l’orgasme sont instantanés. Je relève le bassin, le tendant comme un arc, en offrande suprême au plaisir. Au bout de quelques minutes, je regarde Hugo, je dis- « VINGT. Merci mon amour, je n’avais jamais autant joui, faudra qu’on recommence, mais pas trop souvent, je ne dois surtout pas m’habituer à autant de douleur. »Il sourit, un peu rassuré. Je lui demande d’approcher, je le fais mettre sur le côté, je lui demande de ma caresser, de me faire jouir encore cette fois en caressant les seins et ma vulve martyrisées. De ne pas hésiter, me les toucher, me les malaxer. Je veux jouir comme ça. Il me caresse, tendrement puis plus fermement, je sens le plaisir monter, je jouis une dernière fois, en gémissant- « C’est trop bon, je n’ai jamais joui comme ça »Hugo reste immobile à regarder mon corps marqué de stries rouges, je le regarde souriante, je le vois subitement lire l’heure sur sa montre. Je lui demande s’il est en retard il fait oui de la tête. Je lui dis « embrasse-moi et vas-y, on se voit ce soir chez Pierre ou ici si on a déjà fini. » Il ne veut pas me laisser comme ça, il insiste, je lui demande alors de me mettre de la crème dans le dos et sur les fesses. Une fois enduites, je l’embrasse, et lui dis,- « Pars maintenant je me débrouille pour mes seins et ma chatte. »Il part en courant, je regarde l’heure, il a peu de chance d’être à l’heure, ses parents doivent déjà l’attendre. Je me lève, je vais fermer la porte d’entrée qu’Hugo a laissée ouverte, je vais dans la véranda, m’installe sur le transat pour m’enduire et me reposer. J’hésite à me couvrir, je jette un œil dehors, d’ici je ne peux être vue que d’une fenêtre, celle de Max, le fils de nos voisins. Je décide de prendre le risque. Je m’endors rapidement.
Il est plus de 13h quand je me réveille. J’ai entendu frapper à la porte. Je me lève et cherche à savoir qui c’est. J’entends une voix qui dit- « Karine, c’est Max, je sais que tu es là, je t’ai vue, depuis ma chambre. »S’il m’a vue depuis sa chambre, il m’a vue nue. Alors tant pis. Il va donc être le premier à savoir mon état de soumise masochiste. Ce n’est pas la meilleure idée que j’ai eu ces derniers temps. Je réponds- « Alors si tu m’a vue, entre, c’est ouvert »Il entre, referme soigneusement la porte, pénètre dans la salle à manger. Je l’attends là, nue, exposée à son regard. Je lui dis- « Tu veux boire quelque chose ? café, thé, soda. »Max ne répond pas, les yeux braqués sur mon corps marqué. Je lui demande- « Tu n’as jamais vu de fille nue ? »- « Si souvent… mais pas d’aussi près »- « Non je te demande en vrai pas sur internet »- « Non, tu es la première… c’est quoi toutes ces marques, ton père t’a battue ? »- « Non, ce n’est pas lui… j’ai demandé à mon petit ami de me fouetter… j’ai acheté un martinet, je voulais essayer pour savoir ce que ça faisait »- « Et alors ? »- « ça fait très mal, mais c’est génial »- « T’es maso ? »- « Un peu, je suis aussi exhibitionniste, salope et soumise à mon petit ami »- « C’est pour ça que tu restes toute nue devant moi ? »- « Oui, tu peux en profiter, je suis d’accord, et tu peux venir quand tu veux quand mes parents sont absents, mais en échange, tu ne le dis à personne. Si tu respectes ta parole, je te ferai une fellation, et même je te laisserai peut être me sodomiser. »- « Tu le jures ? »- « Je dois prendre une douche, tu peux m’aider ? j’ai encore un peu mal au dos, j’aimerai que tu me frotte doucement le dos »- « Tu veux que je prenne une douche avec toi ? tout nu ? »- « Je trouve que c’est mieux pour se laver, pas toi ? Viens, mes parents ne rentrent que ce soir »- « Les miens aussi, vers 21h, je peux rester avec toi cet après-midi ? »- « Désolée j’ai un rendez-vous aujourd’hui vers 14h30/15h… Lundi si tu veux. Je serai seule toute la journée, tu peux venir quand tu veux je laisserai la porte arrière ouverte, si je ne suis pas en bas je serai dans ma chambre. Tu montes et tu entres sans frapper. Si je dors encore, ne me réveille pas, tu peux te déshabiller et venir sous la couette avec moi, mais essaie de ne pas me réveiller »- « Tu veux que je couche avec toi ? »- « Non, que tu te couches contre moi, nu. Quand je me réveillerai, tu auras une surprise, allez viens m’aider à me laver »Je l’entraine dans ma chambre, le déshabille, il se laisse faire, mais une fois son slip baissé, il cache sa bistouquette derrière ses mains. Je l’emmène vers la douche, je rentre la première. Je tourne le mitigeur, une bonne eau bien chaude se met à couler sur moi, j’attrape Max et lui tends le gel douche. Je sens ses mains sur mon dos qui tournent et… reste sur mon dos. Je fais descendre ses mains sur mes fesses en lui disant « laves-moi partout » Il se décoince un peu, il reste un bon moment sur mes seins, puis va sur mon sexe. J’attrape ses mains et lui dit « on fait comme ça » Je lui montre comment me laver la vulve, les grandes lèvres, mes nymphes, mon bouton. C’est bon, et vu sa bite il aime aussi. Une fois bien lavée, je m’occupe de lui, il me dit « j’ai déjà pris ma douche » je prends son sexe à pleine main en disant « je suis certaine que là, il faut relaver » Je pensais lui faire une fellation, raté, il lâche tout entre mes doigts… Demain sera certainement mieux !
On sort de la douche, je regard mon corps, il n’y a déjà presque plus de marques. A part celle en travers de mes seins, les autres sont à peines plus foncées que ma peau bronzée. Quand je serai avec Pierre dans deux heures il ne devrait rester que celle des seins. C’est un magicien mon amour de gynéco. Cette pommade est vraiment très efficace, et en plus la douleur est presque terminée. (à part les seins bien entendu)Max me remet de la crème sur les quelques traces qui restent, une couche plus épaisse sur mes seins. Je reste avec Max une heure sur mon lit, il ne me touche pas, il me contemple surtout. Je prends une position lui dévoilant mon intimité, je regarde sur internet pour mon futur scooter. J’en ai trouvé 2 modèles de deux marques différentes, à peu près au même prix, Ils sont six à vendre. Il y a un BMW C1 avec ABS, 3500 km année 2000, dans ma ville, il appartient à quelqu’un du parc aquatique. J’irai demain, j’emmènerai Max pour le voir, il me donnera des conseils. Mis en vente 4500 euros, c’est beaucoup trop pour un truc qui n’est plus fabriqué depuis 2004. Je vais essayer de faire descendre le prix. Il est l’heure, je dis à Max que je dois partir, il se rhabille prestement, il me regarde mettre ma micro jupe, un trop-croc assez transparent, et mes bottines. Je monte sur mon scooter, je lui dis de regarder sous ma jupe, il rougit en me disant que je ne peux pas sortir comme ça. Je lui envoie un bisou et je démarre.
J’arrive chez Pierre un quart d’heure plus tard. Il n’y a personne. Je remonte sur mon scooter, je ne peux pas rester à attendre ici avec une jupe aussi courte sans culotte, je me dirige vers le parc. J’arrive proche de l’endroit où Pierre avait garé sa voiture hier, Je laisse mon scooter à proximité, et je rentre à pied dans le parc : ma mini-jupe est un peu trop remontée, je sens chaque petit coup de vent sur ma fente. Je me promène, j’arrive à l’endroit où le couple était hier, je les voir assis dans l’herbe un peu plus loin. Je me rapproche d’eux, ils m’ont reconnue, ils me font signe. Je vais près d’eux. Je suis debout, ils ont une vue sur mon entre-jambes, je leur dis - « Bonjour, j’ai rendez-vous mais comme je suis en avance, je me promène »- « Restez discuter avec nous si vous voulez »Je roule ma jupe au niveau de ma taille et m’assoie près d’eux.
- « Je suis désolée pour la vue sur mon intimité, mais cette jupe ne me permet pas de m’assoir sur l’herbe, elle est trop serrée. »- « Ma femme a été impressionnée hier par votre façon de retirer votre haut et de rester torse nu, sans complexe »Je les regarde une seconde amusée, j’enlève mon top. Je suis presque nue maintenant.
- « Comme ça vous voulez dire ? J’avoue que ça ne me pose pas de problème, je suis réellement exhibitionniste »La femme a les yeux braqués sur mes seins et mon sexe. Elle me dit- « Si ce n’est pas une indiscrétion, vous avez fait l’amour avec l’homme avec lequel vous êtes partie hier ? »- « Oui, et aussi avec deux autres qui sont arrivés pendant qu’il me montait. Puis quand mon copain est arrivé, c’est lui qui m’a prise devant eux. » Je vois la femme qui se pince les lèvres avec ses doigts, c’est très sexy, elle se jette à l’eau- « Vous faites ça aussi avec des femmes, enfin je veux dire avec des couples ? »- « Vous voulez me demander quoi exactement, n’ayez pas peur, je me surprends moi-même quelques fois »- « J’ai eu mon bébé il y a peu, je suis en plein retour de couche. Mon gynéco nous a dit qu’on pouvait faire l’amour mais sous capote sinon j’allais retomber enceinte. On aime ni l’un ni l’autre. Je me demandais si vous accepteriez de coucher avec nous deux, je vous fais l’amour, et mon mari vous fait l’amour. Je ne risquerai pas de tomber enceinte. J’en ai parlé avec mon mari, il a été étonné de ma proposition, mais il m’a demandé de choisir une fille qui lui plairait. Avec ce qu’il a dit hier sur votre physique, je sais que vous lui plaisez, à moi aussi. Alors… on peut vous payer si vous voulez ? »- « Me payer ? Pas question, je ne me prostitue pas. J’aime le sexe, surtout sans capote quand c’est possible. Par contre, je suis toujours vierge, donc je ne veux pas de sexe ou de doigt dans ma chatte. Vous pourrez m’enculer si vous voulez, j’adore ça, je me ferai un lavement, je ne vous salirai pas le sexe. J’aime beaucoup aussi les fellations. Pour ce qui est des femmes, je ne sais pas, je n’ai jamais rien fait avec une femme, sauf une amie Justine : je rêve de lui manger la chatte : rien que de gouter sa liqueur et j’ai un orgasme, c’est terrifiant dans quel état elle me met en me tendant un doigt couvert de sa mouille »- « Vous accepteriez alors ? »- « Avec grand plaisir, je vais vous donner mon téléphone, envoyer-moi un sms si vous ne changez pas d’avis en me disant quand et où je vous dirai si c’est possible, sinon je vous enverrai mon planning »- « On se verra chez nous à cause du bébé, c’est possible ? »- « Parfait, je passerai demain, je dois voir quelqu’un au centre pour un scooter, si je vous vois au retour, je viendrai discuter un peu, je ne serai pas seule, je serai avec mon voisin, qui me colle un peu mais il est gentil »- « Excusez-moi, c’est qui la personne qui travaille au centre avec laquelle vous avez rendez-vous ? je travaille là » demande l’homme- « Je ne sais pas, il vend un scooter BMW C1 qui m’intéresse peut-être si j’arrive à lui faire baisser ses prix. »- « Je vois qui c’est, vous pourriez mettre combien ? »- « 3000 euros, pas plus, je ne pense pas qu’il accepte il en veut 4500, c’est beaucoup »L’homme regarde sa femme, ils se sourient. Il dit alors- « Marché conclu à 3000 euros alors »- « C’est vous le propriétaire ? Super, mais je n’aurai pas l’argent avant la semaine prochaine, je n’ai que 1000 euros actuellement. Si on peut faire une promesse de vente, pour bloquer la vente, je signe de suite »- « Pas la peine, je retire l’annonce en rentrant, Virginie vous envoie un sms tout à l’heure en fonction de nos possibilités la semaine prochaine, et on se fait une soirée. Vous passerez la nuit à la maison, et si vous avez déjà l’argent vous repartirez le lendemain avec le scooter. Je vais vous envoyer les papiers par internet pour que vous préveniez votre assureur. Vous avez un mail ?
- « Karine666@hotmail.com »- « J’aime bien votre adresse mail, c’est culotté, vos parents n’ont pas tiqué ? »- « C’est mon adresse spéciale, je l’utilise quand c’est lié au sexe, excusez-moi maintenant je suis en retard à mon rendez-vous »- « Au fait, nous, c’est Virginie et Yannick, Yann c’est mieux »Je me rhabille et file chez Pierre. Il vient juste de se garer quand j’arrive. Il me fait entrer, me tend un coca, et comme entrée en matière, me dit avec humour- « Met toi à l’aise, tu préfères baiser maintenant ou après ? »- « Tu avais dit que tu ne me toucherais pas ! Tu as oublié ? »- « Ah ! tu m’avais cru ? Fallait pas, on va dire après, en remerciement du travail bien fait. Allez viens on va voir tout ça »Il commence par passer le film : dix minutes de sexe hard, un très bon porno, avec un max de gros plans. J’en suis toute mouillée. Quand je pense à certains de ma classe au lycée, je me dis que mon cul et ma chatte vont être le sujet de toutes les conversations. Je vais adorer les voir se demander qui est la salope sur la vidéo.
On passe aux photos, d’abord les plus hard, celles que je lui ai demandées. Outch ! C’est du lourd. Entre les poses et les gros plans, il a raison, la fille en photo est une vraie truie. Je suis une vraie truie. Hugo les diffusera petit à petit. On pourrait aussi en afficher discrètement sur le panneau au lycée. J’ai pleins d’idées subitement ! Elles sont toutes bonnes. Pierre me confirme qu’il a déjà fait le tri, que je ne suis là que pour les voir… et me faire sauter accessoirement. Je souris.
Il me montre la dernière série. Celle qu’il appelle les photos d’art. C’est chaud quand même, mais c’est vrai que c’est nettement plus artistique, je mouille en me voyant. Comme si j’avais envie de me faire l’amour. Elles sont superbes. Je lui demande- « Tu veux en faire quoi des dernières ? »- « Je vois que tu réagis au quart de tour… Je voudrais que tu m’autorises à les utiliser pour mon book, j’ai quelques photos de nue actuellement, mais de l’art pur, là je pense faire une deuxième partie, plus hot avec ces photos, pour montrer mes compétences en matière d’improvisation, avec aussi celles où tu baises avec Hugo. Tu en penses quoi ? Evidemment, tu toucheras ta part si quelqu’un m’en achète »- « Tu les vendrais à qui ? »- « J’ai des amis qui travaillent dans des grands magasines comme Playboy, Lui, Newlook, Maximal. L’un d’eux a même des contacts avec le magasin américain Hustler. Je vais voir si tu me le permets. »- « Ok, mais ne donne pas mon vrai nom. S’il le faut, je choisirai un pseudonyme »- « Pas de problème, on a de grandes chances de se faire du blé avec ces photos, même si elles sont anonymes »Je continue à regarder ces photos superbes, si bandantes. Quand je pense que c’est moi. Pierre me dit- « Tu as pensé à la réaction de tes parents devant ces photos ? »- « Il n’y a aucune raison qu’ils les voient jamais »- « Tu n’as pas l’intention de leur en envoyer, comme à tes copains ? »- « Ben non ! Pourquoi veux-tu que je leur en envoie ? »- « Tu as dit que c’était pour entendre les réactions de tes amis, leurs réflexions graveleuses, insultantes. Je pense que tu devrais savoir ce que pensent tes parents et ceux d’Hugo en voyant ces clichés. Tu serais aux premières loges pour avoir leur opinion. Surtout, si tu leurs montre à partir de ton téléphone, comme si tu les avais reçues, tu pourrais leurs demander leur opinion, ils seraient obligés de te répondre en les regardant. Tu aurais ton exhibe, et des commentaires probablement désagréables. En plus, ton père ne saura pas que c’est toi sur les photos, tu pourras penser qu’il est probablement en érection devant toi. »- « Non, ça je ne pourrai pas, ce serait trop crade » J’ai la chatte trempée. Son idée me met dans tous mes états… il ne faut pas… « Au fait j’ai amené un ensemble, tu pourrais faire quelques photos que je puisse montrer ton travail à ma patronne ? »Je sors la mini-jupe, le haut et les escarpins. Je mets des bas qui tiennent seuls, noirs très fins transparents. Il siffle, en disant « superbe ». Il m’entraine vers le labo photo, et prépare le matériel. Je me change. La bande collante des bas arrive trois centimètres sous le niveau de la jupe. On peut voir quelques centimètres de peau : terriblement sexy. Quand je tourne un peu et qu’il me voit presque de face, il aperçoit ma vulve exposée par l’ouverture de la jupe. Je vois une bosse se former immédiatement dans son short. Il a bien fait de se mettre en short, je vois immédiatement les réactions d’un male à ma tenue. Très excitant. Il se tient bien et commence le shooting, il prend rapidement une centaine de clichés : il a un matériel professionnel très performant. Quand il a terminé il transfert le contenu de la carte SD sur l’ordi, on regarde les photos une à une. Il a un œil acéré, il élimine les clichés les moins bons à une vitesse impressionnante. Il sélectionne une vingtaine de photo et me les montre sur le plasma, je me vois presque grandeur nature, ultra sexy, pas pute du tout malgré mon impudeur. C’est parfait. Il me fait une clef USB et je vois qu’il crée un dossier Karine avec la date d’aujourd’hui. Il ajoute cinq étoiles au bout du nom du fichier. Il me dit- « Je vais devoir monter à Paris pour montrer ces photos là, pas question de les envoyer, tu es parfaitement identifiable. Je te tiendrai au courant dès que je m’absenterai.
Je me lève pour partir, je ne veux pas qu’il voit mon trouble quand je pense à ces inconnus qui vont contempler ma nudité, je sens ma mouille déborder de ma fente, il faut que je parte, ça va se voir sur l’intérieur de mes cuisses. Je lui demande en me dirigeant vers la porte- « Tu as tout mis sur les clefs USB ? »- « Oui, pour la partie sexe, je vous en ai fait deux, une pour chacun... et Oh ! tu vas où comme ça, je n’ai pas eu mon petit remerciement moi »- « Il faut que je parte, je vais être en retard »- « Menteuse, tu devais passer tout l’après-midi à faire le tri des clichés avec moi. Je l’ai fait cette nuit pour qu’on ait plus de temps toi et moi, et regarde, tu ne peux pas me faire ça, regarde ! »Il baisse son short et son boxer : il me montre son sexe, la verge est totalement glabre, et les poils de son pubis, taillés plus courts. Il a déjà été voir Vanessa, je ne lui ai téléphoné que ce matin à 8h pourtant, à l’ouverture. Il reprend- « Alors, après tant de souffrance, tu ne peux pas me laisser comme ça, j’ai froid maintenant »Je m’approche, prends son membre à pleine main et commence à le branler lentement.
- « Quand as-tu fais ça ? »- « J’ai téléphoné vers 8h, Vanessa m’a dit qu’elle venait de raccrocher d’avec toi. Qu’elle pouvait demain. J’ai insisté, j’ai dit que tu venais à 14h, que je devais être au top. Elle a ri et m’a donné rendez-vous à 13h30, elle me prendrait entre deux clients, mais sans pommade, par contre. C’est pour cela que j’étais en retard. D’ailleurs j’ai encore mal, j’ai vraiment besoin d’un soin d’urgence »Je ris, me mets à genoux, et commence une fellation tout en douceur. Au bout de quelques instants, je demande- « C’est mieux comme ça ? »- « Un peu… ça s’améliore, mais c’est pas encore ça… Oui ! continue, c’est bon. Je ne regrette plus mes poils, c’est chaud, c’est doux, c’est trop bon, continue »Je lui suce le sexe pendant une dizaine de minutes, il passe son temps à gémir, jusqu’à ce qu’il éjacule dans ma bouche. J’ai du mal tant il y a de sperme. Quand il a terminé, un filet de sa semence coule le long de mon menton jusque dans mon cou. Je m’essuie avec mes doigts, je les porte ensuite à ma bouche pour les lécher.
- « Merci, j’ai nettement moins mal, tu peux revenir quand tu veux pour mes soins, on dit demain si tu veux ? » Je souris en finissant le nettoyage de mes doigts « Au fait, tu disais aussi que les poils étaient gênant quand je suis au fond de ton petit cul, J’aimerai bien que tu vérifies si c’est mieux maintenant, si ça gratte moins ! »Je me relève, je le regarde sans rien dire… j’enlève mon haut, ma mini-jupe, et sans ôter mes bottines, je me mets à genoux sur le lit, cambrées, offerte, je dis- « Alors viens, essayons, j’ai peut-être un peu de temps après tout… et si j’ai un peu de retard je trouverai bien une excuse à fournir… »Il approche sa bouche de mon cul et me lèche la fente et le cul avec dextérité. Mouillée comme je suis, il ne lui faut pas cinq minutes à ce jeu pour me faire jouir. Je passe l’heure suivante, avec sa bite ou dans mon cul ou au fond de ma gorge. Il se rattrape, il sent bien que j’aime. Je lui ai fait quelques remarques sur la méthode bucheron en rut qu’il a utilisée hier, il est plus modéré maintenant dans ses assauts. Je prends mon pied. On essaie toutes les positions possibles, de dos, de face, moi sur lui, lui sur moi, lui se laissant faire. Je suis vannée.
On s’allonge l’un près de l’autre par-dessus la couette ravagée. On entend alors des applaudissements, Justine et Tom s’approchent du lit en nous applaudissant, cela fait près de trente minutes qu’ils attendent dans le noir qu’on ait terminé. Justine dit- « Quelle performance. Bravo, vous m’avez impressionnée, je vais retenir certaines positions pour les essayer avec Tom. Vous m’avez mise dans tous mes états mes salops »Elle retire sa jupe et sa culotte, Tom ouvre son pantalon, Justine lui dit- « Ce soir Tom, pas maintenant ! »Etonné, il la regarde. Elle monte sur le lit, se dirige vers moi, se positionne les genoux de part et d’autre de mon visage et dit- « Tu voulais savoir si ma mouille te ferai encore de l’effet aujourd’hui, j’aimerai bien le savoir aussi, juste par curiosité bien sûr »Elle se baisse et pose sa vulve sur ma bouche. Je goutte sur ses lèvres... je me jette sur sa fente pour enfoncer ma langue dans sa chatte humide. Je lui fais un cunnilingus d’enfer, elle se tord de plaisir sous les regards de son frère et de son compagnon. J’avoue que j’ai plusieurs orgasmes, rien qu’en lapant le jus de sa moule. J’adore ça. Justine crie son plaisir en me traitant de tous les noms, salope chienne en chaleur, et même putain, grosse sale. Elle a une imagination incroyable et un sacré vocabulaire en matière d’insulte féminine. Je passe une après-midi de rêve. Le seul qui se fait un peu chier dans l’histoire : il doit se contenter de me regarder baiser le frère puis la sœur, c’est Tom. Et encore le frère qui remets le couvert. A un moment, Justine essaie de me brouter le minou mais elle s’arrête rapidement, et reste allongée près de moi en me caressant doucement un sein, et son téton.
Quand son frère a terminé de me prendre le cul, on reste un moment allongés tous les trois. Je regarde Justine qui ne dit rien, et n’ose pas me regarder dans les yeux. Je lui dis- « Ce n’est pas grave si tu n’aimes pas me sucer la chatte, je comprends, Moi, je ne sais pas si j’aimerai avec une autre fille. »- « Non, je ne sais toujours pas… quand je t’ai léché, j’hésitais à savoir si j’aimais ou non ton gout, et j’ai réalisé que j’avais dans la bouche le sperme de Pierre. J’ai recraché, c’est mon frère, je ne peux pas bouffer son sperme. »En voyant sa bouille déçue, je ris, je me penche et lui roule une pelle, je glisse ma langue dans sa bouche timidement. Sa langue me répond, on finit par s’embrasser comme deux amoureux. Quand nos bouches se séparent enfin, en la regardant je dis- « Je ne sais pas si je suis bi, mais c’était vraiment bon. J’espère que tu as aimé. La prochaine fois que je viens, je ferai attendre ton frère, pour qu’il passe après toi. Tu pourras vérifier si tu aimes mon minou ! »On rit en se regardant et en regardant la mine boudeuse de Pierre, et celle franchement frustrée de Tom.
Je me relève, et m’habille immédiatement, une fois n’est pas coutume. Je récupère mes affaires en m’excusant.
- « Maintenant je suis en retard, Hugo m’attends pour tirer un dernier coup avant son départ en vacances avec ses parents. Je ne veux pas le faire trop attendre. »J’allais partir quand Justine me demande- « Les garçons n’ont pas osé te le demander, mais c’est quoi ces marques sur tes fesses et tes seins ? » Rougissante, je lui réponds- « J’ai voulu qu’Hugo essaie le martinet que j’ai acheté en début de semaine. Avant il me fessait avec la main sur mon cul nu, mais je voulais un peu plus… hard. J’ai été servie, j’ai adoré. »- « même sur les seins ? »- « Là c’est un accident, le premier coup était trop fort, après il s’est modéré, c’était parfait. Et quand il a enchainé sur la vulve ça a été le pied intégrale »- « Il t’a fouettée sur la chatte ? Il est fou ? » Elle est furieuse- « Non, c’est moi qui lui ai dit de me fouetter le sexe, j’en avais envie, pour voir. Mais je ne pense pas qu’on recommence de sitôt. C’est trop bon j’ai peur de devenir accro. Je sais que je suis un peu masochiste. C’est extrêmement douloureux, alors à prendre avec modération, beaucoup de modération. Je ne suis pas folle, t’inquiète. A bientôt Pierre je te tiens au courant pour les photos sexy »Je rentre en passant par le centre aquatique, je suis en retard, Hugo doit m’attendre dans notre cachette, je n’ai pas voulu prendre le risque d’être surprise par mes parents en train de copuler avec lui à la maison. Je me gare le plus près possible, et je pars à pieds vers mon petit lupanar personnel. Quand j’arrive, Hugo est en caleçon, les pieds dans l’eau. Je pose mon sac, et me jette dans ses bras. En voulant se lever, il perd l’équilibre, me bouscule, je me retrouve assise dans trente centimètres d’eau. Je suis trempée. Rafraichie subitement !
On s’embrasse, Hugo m’éloigne de lui en disant hilare « Tu es vraiment mouillée ». Je sors de l’eau et me déshabille. Je prends mes vêtements, je les emmène vers l’autre rive pour les faire sécher au soleil.
- « Hugo, pense à me les ramener avant de partir sinon, je devrai ou renter à poil à la maison, ou rentrer trempée. Je ne sais pas ce qui sera le pire ? »Je me dirige vers Hugo. Je l’embrasse, et le laisse prendre l’initiative. J’avoue que je suis un peu fatiguée. Depuis ce matin, je baise, et Pierre était déchainé. Le bonus avec Justine. Je suis claquée. Je reste un peu passive. Hugo ne s’en rend pas compte, ou préfère ne rien dire, j’ai senti ses hésitations en touchant mes seins balafrés. Même si on ne voit presque plus et que je pourrai m’être fait cela en me frottant avec une branche, il sait que c’est lui qui est responsable, qu’il a frappé comme une brute.
Pendant une demie heure, il fait attention à me donner un maximum de plaisir. Je jouis plusieurs fois, et quand il ne peut plus se retenir et jouis au fond de mon anus, il s’allonge près de moi.
- « Je t’aime, Karine, ça va ? c’était bon ? »Il passe doucement les doigts sur la marque de mes seins- « Je t’aime aussi, c’était génial. Et arrête de culpabiliser pour mes seins, tu ne l’as pas fait exprès, j’aurai du te dire de faire attention quand je t’ai présenté mes seins, c’est de ma faute ! »Il me sourit, reconnaissant, rassuré par mes propos. Au moment où il veut me reprendre mon téléphone sonne, ce sont les parents, je me précipite. Ma mère me dit qu’ils sont invités à diner par le patron de mon père ce soir, qu’ils rentreront tard, qu’il y a ce qu’il faut au frigo, et… d’être sage bien sûr. Elle m’embrasse et raccroche.
Je me tourne vers Hugo, et lui demande- « Tu es libre jusqu’à quelle heure ce soir ? J’ai quartier libre, mes parents ne rentreront probablement pas avant minuit. »Il se lève, prend son téléphone, et appelle sa mère.
- « Maman, c’est Hugo… Oui ça va Maman, ne t’inquiète pas. Je me demandais, si comme c’est le dernier soir avant qu’on parte, je suis avec Karine, on était avec des copains, ils nous ont invités à venir au cinéma avec eux, on sera une dizaine, est-ce que je peux y aller, je renterai après avoir raccompagné Karine chez elle… vers minuit à peu près je pense, le temps d’aller du cinéma jusque chez elle et de revenir… on passera au Burger King, il est à côté du cinéma… t’inquiète, on est grand l’un et l’autre. C’est ce qui t’inquiète ! Ah … Bisous maman à demain, merci. »Avec un grand sourire, il ajoute- « Quartier libre jusqu’à minuit. C’était facile, mais je ne comprends pas ma mère, depuis que tu as eu dix-huit ans, elle me fait moins confiance, c’est idiot ! »Je viens l’embrasser, il me caresse doucement les fesses. Je lui demande- « Que voulez-vous faire maître ? Vous pouvez vous baigner un peu, m’enculer un peu aussi, me manger serait très apprécié de votre soumise… même aller au cinéma avec votre soumise si vous ne voulez pas mentir à votre maman, ou un peu tout ça à la fois ? Quels sont vos désirs maître, ils sont ma loi »Il rit, je me prosterne en lui embrassant le dessus des pieds.
- « En tant que maître vénéré, je désire un peu de tout ça, soumise ! Veuillez-vous occuper de mon membre qui s’ennuie ! »Je passe de la position prosternée à la position à genoux et j’aspire son gland avec ma bouche pour lui faire la meilleure des fellations possible. Je suis maintenant très motivée. Je déguste sa semence en cinq minutes chrono. On va se baigner pour récupérer. J’en profite pour vérifier le séchage de mes vêtements. Ils sont encore humides, mais ils sont mettables. Je demande à Hugo- « J’ai les photos et la vidéo, tu veux qu’on aille à la maison les voir, ou tu veux qu’on reste encore ? »- « Chouette, allons les voir »- « Alors viens prendre mes vêtements, emmènes-les sur la rive pour que je puisse m’habiller »Je lui tends les vêtements, il traverse la zone où il n’a plus pied sans les mouiller, il les pose dans l’herbe de l’autre côté. Je le rejoins pour me rhabiller. Il me demande étonné- « Tu te rhabilles ? Tu ne rentres pas nue ? »- « Pas ce soir, je dois récupérer mon scooter au centre et je te rejoins chez moi. Je ne me vois pas faire ça à poil, surtout la promenade en scooter, elle risquerait d’être épique. »On part chacun de notre côté, on se retrouve devant chez moi.
Je me précipite sur mon ordi, je banche la clef 1, celle de la vidéo. Je la lui passe. Je suis assise sur ses genoux. Je sens nettement une bosse se former sous mes fesses pendant le déroulement de l’action. Une fois terminée la vidéo, j’enchaine avec les photos. D’abord les hard. Il ne dit pas un mot, le souffle court. Puis les plus artistiques. Il laisse enfin échapper un mot, « Putain que tu es belle ». Ses mains glissent sur mes flancs et mes seins en regardant les photos.
Quand c’est terminé, je sens qu’il a des intentions cochonnes. J’essaie de le modérer, j’aimerai qu’il se retienne jusqu’au cinéma. S’il n’y a pas trop de monde, je voudrais lui faire une pipe dans la salle, pendant le film. J’ai envie de ça depuis longtemps. Je lui dis- « Si vous êtes sage maître vénéré, il y aura un bonus. Si vous vous contentez de me lutiner un petit peu, je vous montre d’autres photos, et quand on sera dans la salle de cinéma, si l’affluence le permet, je me mettrai nue pour vous faire une fellation, sinon j’essaierai en gardant mes vêtements. Dans tous les cas, si vous en exprimez le désir, je vous laisserai m’enculer dans la rue… si vous trouvez un endroit discret où votre soumise pourrait relever sa jupe sans être vue par le banc et l’arrière banc bien sûr ! »- « Tu accepterai de te faire sodomiser en pleine rue ?
- « Pour le dernier soir avec toi, je suis prête à tout »On s’embrasse, je branche la deuxième clef USB. Il voit les photos, stupéfait, avec cet ensemble, je fais à la fois très classe, et très pute. Un monstre de sensualité. Je donne vraiment envie d’acheter cette tenue. Hugo me demande d’où je sors ces fringues. Quand je lui dis que c’est un cadeau du Sexshop pour mon embauche sexy, il ne cherche pas plus loin. Que je porte près de 700 euros de fringues ne l’étonne même pas. Je souris, la jalousie des mecs est vraiment étonnante. A sa place j’aurai les boules de laisser ma copine se faire baiser par deux mecs, sachant qu’elle va y retourner plusieurs fois. C’est vrai que l’âge de ces joyeux donateurs est plutôt rassurant, plus de soixante ans alors que j’en ai que dix-huit, pourquoi être jaloux. Il est caudaliste je vous dis !!
- « J’ai faim, on va au Burger King et au cinéma maintenant ? » Hugo regarde l’heure, calcule- « Ok on y va, on aura le temps pour la première séance, on pourra faire un détour pour rentrer et je ferai la fête à ton petit cul. Ce qu’il faudra pour patienter jusqu’à mon retour. Pour la clef, garde la jusqu’à mon retour, on fera les envois sur internet à la rentrée, avec nos nouvelles classes : cela fera un beau sujet de conversation pour les terminales cette année. »Je ris, et vais cacher les clefs dans ma cachette aux trésors. J’y ai mis mon ancien journal, je l’ai tenu jusqu’à ce que nous commencions nos galipettes avec Hugo. Même si je sais que ma mère ne lirai jamais mon journal, s’il venait à s’ouvrir et qu’elle voit involontairement certains mots comme fellation ou enculer, je pense que ses bonnes résolutions tomberaient instantanément. Je ne pourrai même pas lui en vouloir. Depuis nos galipettes, j’ai tout mis sur le cloud, avec trois codes, le site bien sûr, mais le dossier ET le fichier sont aussi protégés chacun par un mot de passe. Les fringues, je les cache, bien en évidence dans une boite marquée DESSOUS. Ma mère connait mes dessous, elle les lave toute les semaines, et mon père n’ira pas fouiller dans une boite marquée comme ça. Je suis une petite rusée ! Enfin j’espère.
Je me change, je mets une autre mini-jupe très courte avec un chemisier noir plus couvrant, il fait frais après 22h surtout avec le minou à l’air. Je mets mes sandales Répetto Salvador noires. Leurs talons de presque dix centimètres me font un mollet bien galbé. On part avec Hugo, chacun sur son scooter. On se gare devant le cinéma. Il est hilare, quand je demande ce qui le fait rire, il me dit que j’ai le minou exposé en permanence, que tout le monde peut le voir. Je tire un peu sur la jupe pour la descendre plus sur mes hanches, pleine d’illusion. Elle est vraiment courte, elle n’est pas prévue pour s’assoir sans culotte, danser à la rigueur.
On se dirige vers le restau, on passe la commande et on s’assoit dans un endroit tranquille. Régulièrement il glisse sa main sous ma jupe et frotte ma fente. Il retire le dos de sa main mouillé, il le lèche et reprend son repas, heureux.
(à suivre)
Ceux qui ont lu les chapitres précédents doivent se demander comment je peux dire que j’aime Hugo alors que je me fais enculer toutes les cinq minutes. J’avoue que je ne sais pas, mais quand je ne le vois pas pendant quelques jours il me manque… je suis en manque… Il est comme une drogue pour moi.
Bien que je me fasse tringler régulièrement par des étrangers, je n’ai pas l’impression de le tromper : je ne cherche que le plaisir, pas de sentiment, juste ma jouissance. De son côté, il doit être un peu caudaliste : malgré sa jalousie, s’il est présent, il me pousse à me lâcher totalement, à m’offrir au premier venu sans la moindre pudeur. Il ne s’oppose jamais à une de mes initiatives quelque fois très limite. En échange, je ne refuse jamais quand il me prête à une de ses relations : une seule réserve, il ne doit pas y avoir d’échange d’argent pour que cette personne obtienne mes faveurs sexuelles. Je suis sa soumise, je lui obéis en tout, mais il n’a pas la possibilité de me prostituer. Je suis une salope exhibitionniste qui s’assume, pas une pute.
Hugo est passé à la maison tout à l’heure pour m’annoncer une bonne nouvelle, son départ avec ses parents est repoussé de 24h pour une raison professionnelle de son père, on a encore aujourd’hui à passer ensemble. Il a profité que mes parents travaillent pour venir me voir, pour voir sa salope soumise dans son milieu naturel. Quand il est arrivé, j’étais encore au lit, en entendant la sonnette, j’ai regardé par la fenêtre de ma chambre à l’étage, j’avais les seins bien visibles si un voisin regardait, mais je m’en foutais. Quand j’ai vu Hugo, je suis descendu en courant j’ai ouvert la porte et je lui ai sauté dans les bras pour l’embrasser. Le fait que je n’ai pas le moindre morceau de tissus pour couvrir ma nudité ne m’a absolument pas dérangée. Hugo lui m’a vite soulevée pour m’amener à l’intérieur et fermer la porte. On s’est embrassé, j’ai appuyé mes seins sur le dossier du fauteuil de mon père quand il regarde la télé le soir, j’ai écarté les jambes, cambrée pour offrir ma croupe et j’ai dit à Hugo - « Prend-moi ici comme ça. »Il a sorti son sexe de son pantalon, me l’a collé contre ma rondelle et m’a enculée. Il a dû forcer en donnant des coups de reins de plus en plus forts. Je n’étais pas lubrifiée du tout. Me faire enculer à sec a été très douloureux mais c’est ce dont j’avais envie. Je voulais qu’il force mon cul, qu’il me déchire l’anus.
Heureusement, je pratique beaucoup depuis quelques jours, ça a été douloureux, mais il ne m’a pas déchirée, au contraire, j’ai jouis comme une folle, un orgasme de dingue, décuplé par la douleur. C’était trop bon.
J’ai pris un petit déjeuner, nue en face de mon Hugo qui s’est contenté d’un café. Quand j’ai voulu lui faire une pipe, il m’a repoussée en me disant qu’il était fatigué. J’ai essayé de lui dire que j’avais besoin d’avoir une petite dose de son sperme pour ma prochaine tartine, il a ri et m’a dit que j’étais punie, au pain sec, sans sperme. On a ri. On s’est fait un grand câlin. Puis quand il m’a dit qu’il devait déjà repartir, je l’ai supplié de rester- « C’est trop tôt, reste encore un peu ! »- « Je dois être à la maison pour 10h30 »- « On a encore une demi-heure, reste encore ! » Quand j’ai vu qu’il hésitait, je lui ai dit- « De tout façon, tu ne peux pas partir, tu m’as punie, j’ai eu le plain sec, mais pas la fessée alors au boulot avant de partir. Attend ici »Je me suis précipitée dans ma chambre, j’ai attrapé le martinet, enlevé l’étiquette (il n’a encore jamais servi hormis son essai sur les buissons) et je suis redescendue.
- « Il faut que tu l’essaies au moins une fois, que l’on sache si ça nous plait » Et je lui tends le martinet. Je me remets dans la même position que j’avais pour qu’il me sodomise, je garde même les jambes écartées pour avoir plus de stabilité. J’attrape ma serviette de table que j’avais posée sur le dossier de la chaise à proximité, et avant de la mettre dans ma bouche pour atténuer mes cris, je lui dis- « Je veux être fouettée partout, fesse dos seins ventre sexe. Je veux être rouge, mais pas trop marquée quand même, je vais chez Pierre cet après-midi. Penses-y quand tu me fouetteras, il va probablement me prendre ou me demander de le sucer, alors venge-toi. »Il me regarde, pensif, je vois que le rappel de Pierre pour cet après-midi ne lui a pas trop plu. Il se met en place et me donne un premier coup sur les fesses. Il se rend compte qu’il n’a pas frappé assez fort, il recommence nettement plus fort, mes fesses ont légèrement bougé sous l’impact. Un peu plus fort et ce sera parfait pour mes fesses. Bingo ! Je cris, mon premier cri sous le fouet. J’enlève la serviette de ma bouche et dit- « UN »Les coups se succèdent, plus ou moins fort jusqu’à 20. J’enlève le bâillon et lui rappelle qu’il ne doit pas se contenter de mes fesses. J’ai des larmes dans les yeux. Je n’ai que le temps de remettre la serviette, les coups tombent sur mon dos. J’ai déjà eu un orgasme. Il me demande de me retourner. Je n’attendais que cela, même si j’ai une trouille bleue : c’est nettement plus douloureux que les fessées à la main. J’hésite sur la position, j’en essaie plusieurs, je fini par m’appuyer les épaules sur le dossier du fauteuil, les bras écartés se cramponnant aux accoudoirs. Mes seins sont parfaitement exposés. Il se met sur le côté et donne le premier coup… avec la même force que pour mon dos. Je hurle dans la serviette, il a atteint les deux seins en même temps, sur les tétons. Mes jambes ne me soutiennent plus, je m’écroule au sol : Les bras serrés sur mes seins. Hugo se précipite.
- « Karine, ça va ? Désolé, je pensais pas taper si fort »- « ça va ! c’est la surprise »Je lui mens, la douleur a été horrible. Je sens mon vagin humide, mais plus de trace de jouissance. J’ai eu trop mal. Le gynéco avait raison, tout est une question de limite. Je regarde mes seins, la marque est rouge vif, la peau n’est pas fendue, mais il s’en est fallu de très peu. Je touche mes tétons, ils sont très sensibles. Je me relève, reprends la pose, et avant de remettre le bâillon, je lui dis- « UN, s’il te plait un peu moins fort, tu risques de fendre la peau » Je remets la serviette. Il a compris à mon mensonge, qu’il a fouetté trop fort, mais que je veux qu’il continue. Les autres coups se succèdent très douloureux, mais ne marquent que très peu les mamelons : les seins sont une zone vraiment très sensible, à fouetter avec précautions. A VINGT, je me relève et change de position. Je m’allonge sur le dossier en travers cette fois la tête à la limite du vide, une jambe sur un accoudoir, le pied opposé posé au sol. Mes jambes sont bien écartées, je sens mes lèvres et mes nymphes s’ouvrir. J’ai le vagin trempé, je n’ai pas joui par les seins, j’espère qu’il va réussir en fouettant ma vulve. Je lui dis- « Vas-y vingt coups, commence doucement puis de plus en plus fort. Je ne commence à compter que quand je penserai que la puissance est bonne. D’accord ? »- « Je me mets où, vers ta tête ou à tes pieds ? Si je reste vers ta tête je pense que je vais aussi toucher tes fesses, si je me mets vers tes pieds, j’ai peur de toucher ton bouton. »- « … Vers mes pieds, mes fesses ont déjà eu leur dose » J’ai longuement hésitée, le fouet sur mon bouton, ça va être violent, mais je dois essayer, c’est pour ce coup que j’ai choisi le martinet, pour être fouettée sur mon clitoris. J’ai vu un petit film sur internet, une blonde se faisait fouettée comme ça, au début, son abricot était à peine fendu, à la fin les lèvres avaient triplées de volume, rouges, on apercevait ses nymphes rougies par le fouet. Elle pleurait, se tordait sous la morsure du fouet, mais reprenait inlassablement sa position en comptant les cinquante-cinq coups qu’elle a reçus. Une vraie masochiste, je veux voir ma chatte gonflée ou à tout le moins, marquée par le fouet.
- « … UN » Je n’ai pas compté les quatre premiers coups, Hugo n’osait pas. Maintenant je souffre à chaque coup, mais j’ai aussi des éclairs de plaisir lors de l’impact, je suis en quasi-orgasme permanent depuis le cinquième coup. C’est divin, pardon disons plutôt … diabolique. Mon vagin est une fontaine qui déborde un peu à chaque coup de martinet.
Pour la première fois, je me recroqueville sur moi-même, je n’ai pas crié, pas le moindre son. Il a touché mon bouton. C’est une explosion fantastique. Je jouis comme une folle, mais la douleur est d’une intensité monstrueuse. Je reprends la pose en tremblant, je vois Hugo qui hésite à continuer- « … QUINZE… »Les coups suivant tombent loin de mon clitoris. A dix-neuf, je crache la serviette, et lui dis- « Mon clito, s’il te plait, sur mon clito »Au moment de frapper le dernier coup, il voit mes mains sur mon sexe, mes doigts ont décalotté mon bouton et tire pour le faire saillir, Hugo frappe droit et ne rate pas la cible. La douleur et l’orgasme sont instantanés. Je relève le bassin, le tendant comme un arc, en offrande suprême au plaisir. Au bout de quelques minutes, je regarde Hugo, je dis- « VINGT. Merci mon amour, je n’avais jamais autant joui, faudra qu’on recommence, mais pas trop souvent, je ne dois surtout pas m’habituer à autant de douleur. »Il sourit, un peu rassuré. Je lui demande d’approcher, je le fais mettre sur le côté, je lui demande de ma caresser, de me faire jouir encore cette fois en caressant les seins et ma vulve martyrisées. De ne pas hésiter, me les toucher, me les malaxer. Je veux jouir comme ça. Il me caresse, tendrement puis plus fermement, je sens le plaisir monter, je jouis une dernière fois, en gémissant- « C’est trop bon, je n’ai jamais joui comme ça »Hugo reste immobile à regarder mon corps marqué de stries rouges, je le regarde souriante, je le vois subitement lire l’heure sur sa montre. Je lui demande s’il est en retard il fait oui de la tête. Je lui dis « embrasse-moi et vas-y, on se voit ce soir chez Pierre ou ici si on a déjà fini. » Il ne veut pas me laisser comme ça, il insiste, je lui demande alors de me mettre de la crème dans le dos et sur les fesses. Une fois enduites, je l’embrasse, et lui dis,- « Pars maintenant je me débrouille pour mes seins et ma chatte. »Il part en courant, je regarde l’heure, il a peu de chance d’être à l’heure, ses parents doivent déjà l’attendre. Je me lève, je vais fermer la porte d’entrée qu’Hugo a laissée ouverte, je vais dans la véranda, m’installe sur le transat pour m’enduire et me reposer. J’hésite à me couvrir, je jette un œil dehors, d’ici je ne peux être vue que d’une fenêtre, celle de Max, le fils de nos voisins. Je décide de prendre le risque. Je m’endors rapidement.
Il est plus de 13h quand je me réveille. J’ai entendu frapper à la porte. Je me lève et cherche à savoir qui c’est. J’entends une voix qui dit- « Karine, c’est Max, je sais que tu es là, je t’ai vue, depuis ma chambre. »S’il m’a vue depuis sa chambre, il m’a vue nue. Alors tant pis. Il va donc être le premier à savoir mon état de soumise masochiste. Ce n’est pas la meilleure idée que j’ai eu ces derniers temps. Je réponds- « Alors si tu m’a vue, entre, c’est ouvert »Il entre, referme soigneusement la porte, pénètre dans la salle à manger. Je l’attends là, nue, exposée à son regard. Je lui dis- « Tu veux boire quelque chose ? café, thé, soda. »Max ne répond pas, les yeux braqués sur mon corps marqué. Je lui demande- « Tu n’as jamais vu de fille nue ? »- « Si souvent… mais pas d’aussi près »- « Non je te demande en vrai pas sur internet »- « Non, tu es la première… c’est quoi toutes ces marques, ton père t’a battue ? »- « Non, ce n’est pas lui… j’ai demandé à mon petit ami de me fouetter… j’ai acheté un martinet, je voulais essayer pour savoir ce que ça faisait »- « Et alors ? »- « ça fait très mal, mais c’est génial »- « T’es maso ? »- « Un peu, je suis aussi exhibitionniste, salope et soumise à mon petit ami »- « C’est pour ça que tu restes toute nue devant moi ? »- « Oui, tu peux en profiter, je suis d’accord, et tu peux venir quand tu veux quand mes parents sont absents, mais en échange, tu ne le dis à personne. Si tu respectes ta parole, je te ferai une fellation, et même je te laisserai peut être me sodomiser. »- « Tu le jures ? »- « Je dois prendre une douche, tu peux m’aider ? j’ai encore un peu mal au dos, j’aimerai que tu me frotte doucement le dos »- « Tu veux que je prenne une douche avec toi ? tout nu ? »- « Je trouve que c’est mieux pour se laver, pas toi ? Viens, mes parents ne rentrent que ce soir »- « Les miens aussi, vers 21h, je peux rester avec toi cet après-midi ? »- « Désolée j’ai un rendez-vous aujourd’hui vers 14h30/15h… Lundi si tu veux. Je serai seule toute la journée, tu peux venir quand tu veux je laisserai la porte arrière ouverte, si je ne suis pas en bas je serai dans ma chambre. Tu montes et tu entres sans frapper. Si je dors encore, ne me réveille pas, tu peux te déshabiller et venir sous la couette avec moi, mais essaie de ne pas me réveiller »- « Tu veux que je couche avec toi ? »- « Non, que tu te couches contre moi, nu. Quand je me réveillerai, tu auras une surprise, allez viens m’aider à me laver »Je l’entraine dans ma chambre, le déshabille, il se laisse faire, mais une fois son slip baissé, il cache sa bistouquette derrière ses mains. Je l’emmène vers la douche, je rentre la première. Je tourne le mitigeur, une bonne eau bien chaude se met à couler sur moi, j’attrape Max et lui tends le gel douche. Je sens ses mains sur mon dos qui tournent et… reste sur mon dos. Je fais descendre ses mains sur mes fesses en lui disant « laves-moi partout » Il se décoince un peu, il reste un bon moment sur mes seins, puis va sur mon sexe. J’attrape ses mains et lui dit « on fait comme ça » Je lui montre comment me laver la vulve, les grandes lèvres, mes nymphes, mon bouton. C’est bon, et vu sa bite il aime aussi. Une fois bien lavée, je m’occupe de lui, il me dit « j’ai déjà pris ma douche » je prends son sexe à pleine main en disant « je suis certaine que là, il faut relaver » Je pensais lui faire une fellation, raté, il lâche tout entre mes doigts… Demain sera certainement mieux !
On sort de la douche, je regard mon corps, il n’y a déjà presque plus de marques. A part celle en travers de mes seins, les autres sont à peines plus foncées que ma peau bronzée. Quand je serai avec Pierre dans deux heures il ne devrait rester que celle des seins. C’est un magicien mon amour de gynéco. Cette pommade est vraiment très efficace, et en plus la douleur est presque terminée. (à part les seins bien entendu)Max me remet de la crème sur les quelques traces qui restent, une couche plus épaisse sur mes seins. Je reste avec Max une heure sur mon lit, il ne me touche pas, il me contemple surtout. Je prends une position lui dévoilant mon intimité, je regarde sur internet pour mon futur scooter. J’en ai trouvé 2 modèles de deux marques différentes, à peu près au même prix, Ils sont six à vendre. Il y a un BMW C1 avec ABS, 3500 km année 2000, dans ma ville, il appartient à quelqu’un du parc aquatique. J’irai demain, j’emmènerai Max pour le voir, il me donnera des conseils. Mis en vente 4500 euros, c’est beaucoup trop pour un truc qui n’est plus fabriqué depuis 2004. Je vais essayer de faire descendre le prix. Il est l’heure, je dis à Max que je dois partir, il se rhabille prestement, il me regarde mettre ma micro jupe, un trop-croc assez transparent, et mes bottines. Je monte sur mon scooter, je lui dis de regarder sous ma jupe, il rougit en me disant que je ne peux pas sortir comme ça. Je lui envoie un bisou et je démarre.
J’arrive chez Pierre un quart d’heure plus tard. Il n’y a personne. Je remonte sur mon scooter, je ne peux pas rester à attendre ici avec une jupe aussi courte sans culotte, je me dirige vers le parc. J’arrive proche de l’endroit où Pierre avait garé sa voiture hier, Je laisse mon scooter à proximité, et je rentre à pied dans le parc : ma mini-jupe est un peu trop remontée, je sens chaque petit coup de vent sur ma fente. Je me promène, j’arrive à l’endroit où le couple était hier, je les voir assis dans l’herbe un peu plus loin. Je me rapproche d’eux, ils m’ont reconnue, ils me font signe. Je vais près d’eux. Je suis debout, ils ont une vue sur mon entre-jambes, je leur dis - « Bonjour, j’ai rendez-vous mais comme je suis en avance, je me promène »- « Restez discuter avec nous si vous voulez »Je roule ma jupe au niveau de ma taille et m’assoie près d’eux.
- « Je suis désolée pour la vue sur mon intimité, mais cette jupe ne me permet pas de m’assoir sur l’herbe, elle est trop serrée. »- « Ma femme a été impressionnée hier par votre façon de retirer votre haut et de rester torse nu, sans complexe »Je les regarde une seconde amusée, j’enlève mon top. Je suis presque nue maintenant.
- « Comme ça vous voulez dire ? J’avoue que ça ne me pose pas de problème, je suis réellement exhibitionniste »La femme a les yeux braqués sur mes seins et mon sexe. Elle me dit- « Si ce n’est pas une indiscrétion, vous avez fait l’amour avec l’homme avec lequel vous êtes partie hier ? »- « Oui, et aussi avec deux autres qui sont arrivés pendant qu’il me montait. Puis quand mon copain est arrivé, c’est lui qui m’a prise devant eux. » Je vois la femme qui se pince les lèvres avec ses doigts, c’est très sexy, elle se jette à l’eau- « Vous faites ça aussi avec des femmes, enfin je veux dire avec des couples ? »- « Vous voulez me demander quoi exactement, n’ayez pas peur, je me surprends moi-même quelques fois »- « J’ai eu mon bébé il y a peu, je suis en plein retour de couche. Mon gynéco nous a dit qu’on pouvait faire l’amour mais sous capote sinon j’allais retomber enceinte. On aime ni l’un ni l’autre. Je me demandais si vous accepteriez de coucher avec nous deux, je vous fais l’amour, et mon mari vous fait l’amour. Je ne risquerai pas de tomber enceinte. J’en ai parlé avec mon mari, il a été étonné de ma proposition, mais il m’a demandé de choisir une fille qui lui plairait. Avec ce qu’il a dit hier sur votre physique, je sais que vous lui plaisez, à moi aussi. Alors… on peut vous payer si vous voulez ? »- « Me payer ? Pas question, je ne me prostitue pas. J’aime le sexe, surtout sans capote quand c’est possible. Par contre, je suis toujours vierge, donc je ne veux pas de sexe ou de doigt dans ma chatte. Vous pourrez m’enculer si vous voulez, j’adore ça, je me ferai un lavement, je ne vous salirai pas le sexe. J’aime beaucoup aussi les fellations. Pour ce qui est des femmes, je ne sais pas, je n’ai jamais rien fait avec une femme, sauf une amie Justine : je rêve de lui manger la chatte : rien que de gouter sa liqueur et j’ai un orgasme, c’est terrifiant dans quel état elle me met en me tendant un doigt couvert de sa mouille »- « Vous accepteriez alors ? »- « Avec grand plaisir, je vais vous donner mon téléphone, envoyer-moi un sms si vous ne changez pas d’avis en me disant quand et où je vous dirai si c’est possible, sinon je vous enverrai mon planning »- « On se verra chez nous à cause du bébé, c’est possible ? »- « Parfait, je passerai demain, je dois voir quelqu’un au centre pour un scooter, si je vous vois au retour, je viendrai discuter un peu, je ne serai pas seule, je serai avec mon voisin, qui me colle un peu mais il est gentil »- « Excusez-moi, c’est qui la personne qui travaille au centre avec laquelle vous avez rendez-vous ? je travaille là » demande l’homme- « Je ne sais pas, il vend un scooter BMW C1 qui m’intéresse peut-être si j’arrive à lui faire baisser ses prix. »- « Je vois qui c’est, vous pourriez mettre combien ? »- « 3000 euros, pas plus, je ne pense pas qu’il accepte il en veut 4500, c’est beaucoup »L’homme regarde sa femme, ils se sourient. Il dit alors- « Marché conclu à 3000 euros alors »- « C’est vous le propriétaire ? Super, mais je n’aurai pas l’argent avant la semaine prochaine, je n’ai que 1000 euros actuellement. Si on peut faire une promesse de vente, pour bloquer la vente, je signe de suite »- « Pas la peine, je retire l’annonce en rentrant, Virginie vous envoie un sms tout à l’heure en fonction de nos possibilités la semaine prochaine, et on se fait une soirée. Vous passerez la nuit à la maison, et si vous avez déjà l’argent vous repartirez le lendemain avec le scooter. Je vais vous envoyer les papiers par internet pour que vous préveniez votre assureur. Vous avez un mail ?
- « Karine666@hotmail.com »- « J’aime bien votre adresse mail, c’est culotté, vos parents n’ont pas tiqué ? »- « C’est mon adresse spéciale, je l’utilise quand c’est lié au sexe, excusez-moi maintenant je suis en retard à mon rendez-vous »- « Au fait, nous, c’est Virginie et Yannick, Yann c’est mieux »Je me rhabille et file chez Pierre. Il vient juste de se garer quand j’arrive. Il me fait entrer, me tend un coca, et comme entrée en matière, me dit avec humour- « Met toi à l’aise, tu préfères baiser maintenant ou après ? »- « Tu avais dit que tu ne me toucherais pas ! Tu as oublié ? »- « Ah ! tu m’avais cru ? Fallait pas, on va dire après, en remerciement du travail bien fait. Allez viens on va voir tout ça »Il commence par passer le film : dix minutes de sexe hard, un très bon porno, avec un max de gros plans. J’en suis toute mouillée. Quand je pense à certains de ma classe au lycée, je me dis que mon cul et ma chatte vont être le sujet de toutes les conversations. Je vais adorer les voir se demander qui est la salope sur la vidéo.
On passe aux photos, d’abord les plus hard, celles que je lui ai demandées. Outch ! C’est du lourd. Entre les poses et les gros plans, il a raison, la fille en photo est une vraie truie. Je suis une vraie truie. Hugo les diffusera petit à petit. On pourrait aussi en afficher discrètement sur le panneau au lycée. J’ai pleins d’idées subitement ! Elles sont toutes bonnes. Pierre me confirme qu’il a déjà fait le tri, que je ne suis là que pour les voir… et me faire sauter accessoirement. Je souris.
Il me montre la dernière série. Celle qu’il appelle les photos d’art. C’est chaud quand même, mais c’est vrai que c’est nettement plus artistique, je mouille en me voyant. Comme si j’avais envie de me faire l’amour. Elles sont superbes. Je lui demande- « Tu veux en faire quoi des dernières ? »- « Je vois que tu réagis au quart de tour… Je voudrais que tu m’autorises à les utiliser pour mon book, j’ai quelques photos de nue actuellement, mais de l’art pur, là je pense faire une deuxième partie, plus hot avec ces photos, pour montrer mes compétences en matière d’improvisation, avec aussi celles où tu baises avec Hugo. Tu en penses quoi ? Evidemment, tu toucheras ta part si quelqu’un m’en achète »- « Tu les vendrais à qui ? »- « J’ai des amis qui travaillent dans des grands magasines comme Playboy, Lui, Newlook, Maximal. L’un d’eux a même des contacts avec le magasin américain Hustler. Je vais voir si tu me le permets. »- « Ok, mais ne donne pas mon vrai nom. S’il le faut, je choisirai un pseudonyme »- « Pas de problème, on a de grandes chances de se faire du blé avec ces photos, même si elles sont anonymes »Je continue à regarder ces photos superbes, si bandantes. Quand je pense que c’est moi. Pierre me dit- « Tu as pensé à la réaction de tes parents devant ces photos ? »- « Il n’y a aucune raison qu’ils les voient jamais »- « Tu n’as pas l’intention de leur en envoyer, comme à tes copains ? »- « Ben non ! Pourquoi veux-tu que je leur en envoie ? »- « Tu as dit que c’était pour entendre les réactions de tes amis, leurs réflexions graveleuses, insultantes. Je pense que tu devrais savoir ce que pensent tes parents et ceux d’Hugo en voyant ces clichés. Tu serais aux premières loges pour avoir leur opinion. Surtout, si tu leurs montre à partir de ton téléphone, comme si tu les avais reçues, tu pourrais leurs demander leur opinion, ils seraient obligés de te répondre en les regardant. Tu aurais ton exhibe, et des commentaires probablement désagréables. En plus, ton père ne saura pas que c’est toi sur les photos, tu pourras penser qu’il est probablement en érection devant toi. »- « Non, ça je ne pourrai pas, ce serait trop crade » J’ai la chatte trempée. Son idée me met dans tous mes états… il ne faut pas… « Au fait j’ai amené un ensemble, tu pourrais faire quelques photos que je puisse montrer ton travail à ma patronne ? »Je sors la mini-jupe, le haut et les escarpins. Je mets des bas qui tiennent seuls, noirs très fins transparents. Il siffle, en disant « superbe ». Il m’entraine vers le labo photo, et prépare le matériel. Je me change. La bande collante des bas arrive trois centimètres sous le niveau de la jupe. On peut voir quelques centimètres de peau : terriblement sexy. Quand je tourne un peu et qu’il me voit presque de face, il aperçoit ma vulve exposée par l’ouverture de la jupe. Je vois une bosse se former immédiatement dans son short. Il a bien fait de se mettre en short, je vois immédiatement les réactions d’un male à ma tenue. Très excitant. Il se tient bien et commence le shooting, il prend rapidement une centaine de clichés : il a un matériel professionnel très performant. Quand il a terminé il transfert le contenu de la carte SD sur l’ordi, on regarde les photos une à une. Il a un œil acéré, il élimine les clichés les moins bons à une vitesse impressionnante. Il sélectionne une vingtaine de photo et me les montre sur le plasma, je me vois presque grandeur nature, ultra sexy, pas pute du tout malgré mon impudeur. C’est parfait. Il me fait une clef USB et je vois qu’il crée un dossier Karine avec la date d’aujourd’hui. Il ajoute cinq étoiles au bout du nom du fichier. Il me dit- « Je vais devoir monter à Paris pour montrer ces photos là, pas question de les envoyer, tu es parfaitement identifiable. Je te tiendrai au courant dès que je m’absenterai.
Je me lève pour partir, je ne veux pas qu’il voit mon trouble quand je pense à ces inconnus qui vont contempler ma nudité, je sens ma mouille déborder de ma fente, il faut que je parte, ça va se voir sur l’intérieur de mes cuisses. Je lui demande en me dirigeant vers la porte- « Tu as tout mis sur les clefs USB ? »- « Oui, pour la partie sexe, je vous en ai fait deux, une pour chacun... et Oh ! tu vas où comme ça, je n’ai pas eu mon petit remerciement moi »- « Il faut que je parte, je vais être en retard »- « Menteuse, tu devais passer tout l’après-midi à faire le tri des clichés avec moi. Je l’ai fait cette nuit pour qu’on ait plus de temps toi et moi, et regarde, tu ne peux pas me faire ça, regarde ! »Il baisse son short et son boxer : il me montre son sexe, la verge est totalement glabre, et les poils de son pubis, taillés plus courts. Il a déjà été voir Vanessa, je ne lui ai téléphoné que ce matin à 8h pourtant, à l’ouverture. Il reprend- « Alors, après tant de souffrance, tu ne peux pas me laisser comme ça, j’ai froid maintenant »Je m’approche, prends son membre à pleine main et commence à le branler lentement.
- « Quand as-tu fais ça ? »- « J’ai téléphoné vers 8h, Vanessa m’a dit qu’elle venait de raccrocher d’avec toi. Qu’elle pouvait demain. J’ai insisté, j’ai dit que tu venais à 14h, que je devais être au top. Elle a ri et m’a donné rendez-vous à 13h30, elle me prendrait entre deux clients, mais sans pommade, par contre. C’est pour cela que j’étais en retard. D’ailleurs j’ai encore mal, j’ai vraiment besoin d’un soin d’urgence »Je ris, me mets à genoux, et commence une fellation tout en douceur. Au bout de quelques instants, je demande- « C’est mieux comme ça ? »- « Un peu… ça s’améliore, mais c’est pas encore ça… Oui ! continue, c’est bon. Je ne regrette plus mes poils, c’est chaud, c’est doux, c’est trop bon, continue »Je lui suce le sexe pendant une dizaine de minutes, il passe son temps à gémir, jusqu’à ce qu’il éjacule dans ma bouche. J’ai du mal tant il y a de sperme. Quand il a terminé, un filet de sa semence coule le long de mon menton jusque dans mon cou. Je m’essuie avec mes doigts, je les porte ensuite à ma bouche pour les lécher.
- « Merci, j’ai nettement moins mal, tu peux revenir quand tu veux pour mes soins, on dit demain si tu veux ? » Je souris en finissant le nettoyage de mes doigts « Au fait, tu disais aussi que les poils étaient gênant quand je suis au fond de ton petit cul, J’aimerai bien que tu vérifies si c’est mieux maintenant, si ça gratte moins ! »Je me relève, je le regarde sans rien dire… j’enlève mon haut, ma mini-jupe, et sans ôter mes bottines, je me mets à genoux sur le lit, cambrées, offerte, je dis- « Alors viens, essayons, j’ai peut-être un peu de temps après tout… et si j’ai un peu de retard je trouverai bien une excuse à fournir… »Il approche sa bouche de mon cul et me lèche la fente et le cul avec dextérité. Mouillée comme je suis, il ne lui faut pas cinq minutes à ce jeu pour me faire jouir. Je passe l’heure suivante, avec sa bite ou dans mon cul ou au fond de ma gorge. Il se rattrape, il sent bien que j’aime. Je lui ai fait quelques remarques sur la méthode bucheron en rut qu’il a utilisée hier, il est plus modéré maintenant dans ses assauts. Je prends mon pied. On essaie toutes les positions possibles, de dos, de face, moi sur lui, lui sur moi, lui se laissant faire. Je suis vannée.
On s’allonge l’un près de l’autre par-dessus la couette ravagée. On entend alors des applaudissements, Justine et Tom s’approchent du lit en nous applaudissant, cela fait près de trente minutes qu’ils attendent dans le noir qu’on ait terminé. Justine dit- « Quelle performance. Bravo, vous m’avez impressionnée, je vais retenir certaines positions pour les essayer avec Tom. Vous m’avez mise dans tous mes états mes salops »Elle retire sa jupe et sa culotte, Tom ouvre son pantalon, Justine lui dit- « Ce soir Tom, pas maintenant ! »Etonné, il la regarde. Elle monte sur le lit, se dirige vers moi, se positionne les genoux de part et d’autre de mon visage et dit- « Tu voulais savoir si ma mouille te ferai encore de l’effet aujourd’hui, j’aimerai bien le savoir aussi, juste par curiosité bien sûr »Elle se baisse et pose sa vulve sur ma bouche. Je goutte sur ses lèvres... je me jette sur sa fente pour enfoncer ma langue dans sa chatte humide. Je lui fais un cunnilingus d’enfer, elle se tord de plaisir sous les regards de son frère et de son compagnon. J’avoue que j’ai plusieurs orgasmes, rien qu’en lapant le jus de sa moule. J’adore ça. Justine crie son plaisir en me traitant de tous les noms, salope chienne en chaleur, et même putain, grosse sale. Elle a une imagination incroyable et un sacré vocabulaire en matière d’insulte féminine. Je passe une après-midi de rêve. Le seul qui se fait un peu chier dans l’histoire : il doit se contenter de me regarder baiser le frère puis la sœur, c’est Tom. Et encore le frère qui remets le couvert. A un moment, Justine essaie de me brouter le minou mais elle s’arrête rapidement, et reste allongée près de moi en me caressant doucement un sein, et son téton.
Quand son frère a terminé de me prendre le cul, on reste un moment allongés tous les trois. Je regarde Justine qui ne dit rien, et n’ose pas me regarder dans les yeux. Je lui dis- « Ce n’est pas grave si tu n’aimes pas me sucer la chatte, je comprends, Moi, je ne sais pas si j’aimerai avec une autre fille. »- « Non, je ne sais toujours pas… quand je t’ai léché, j’hésitais à savoir si j’aimais ou non ton gout, et j’ai réalisé que j’avais dans la bouche le sperme de Pierre. J’ai recraché, c’est mon frère, je ne peux pas bouffer son sperme. »En voyant sa bouille déçue, je ris, je me penche et lui roule une pelle, je glisse ma langue dans sa bouche timidement. Sa langue me répond, on finit par s’embrasser comme deux amoureux. Quand nos bouches se séparent enfin, en la regardant je dis- « Je ne sais pas si je suis bi, mais c’était vraiment bon. J’espère que tu as aimé. La prochaine fois que je viens, je ferai attendre ton frère, pour qu’il passe après toi. Tu pourras vérifier si tu aimes mon minou ! »On rit en se regardant et en regardant la mine boudeuse de Pierre, et celle franchement frustrée de Tom.
Je me relève, et m’habille immédiatement, une fois n’est pas coutume. Je récupère mes affaires en m’excusant.
- « Maintenant je suis en retard, Hugo m’attends pour tirer un dernier coup avant son départ en vacances avec ses parents. Je ne veux pas le faire trop attendre. »J’allais partir quand Justine me demande- « Les garçons n’ont pas osé te le demander, mais c’est quoi ces marques sur tes fesses et tes seins ? » Rougissante, je lui réponds- « J’ai voulu qu’Hugo essaie le martinet que j’ai acheté en début de semaine. Avant il me fessait avec la main sur mon cul nu, mais je voulais un peu plus… hard. J’ai été servie, j’ai adoré. »- « même sur les seins ? »- « Là c’est un accident, le premier coup était trop fort, après il s’est modéré, c’était parfait. Et quand il a enchainé sur la vulve ça a été le pied intégrale »- « Il t’a fouettée sur la chatte ? Il est fou ? » Elle est furieuse- « Non, c’est moi qui lui ai dit de me fouetter le sexe, j’en avais envie, pour voir. Mais je ne pense pas qu’on recommence de sitôt. C’est trop bon j’ai peur de devenir accro. Je sais que je suis un peu masochiste. C’est extrêmement douloureux, alors à prendre avec modération, beaucoup de modération. Je ne suis pas folle, t’inquiète. A bientôt Pierre je te tiens au courant pour les photos sexy »Je rentre en passant par le centre aquatique, je suis en retard, Hugo doit m’attendre dans notre cachette, je n’ai pas voulu prendre le risque d’être surprise par mes parents en train de copuler avec lui à la maison. Je me gare le plus près possible, et je pars à pieds vers mon petit lupanar personnel. Quand j’arrive, Hugo est en caleçon, les pieds dans l’eau. Je pose mon sac, et me jette dans ses bras. En voulant se lever, il perd l’équilibre, me bouscule, je me retrouve assise dans trente centimètres d’eau. Je suis trempée. Rafraichie subitement !
On s’embrasse, Hugo m’éloigne de lui en disant hilare « Tu es vraiment mouillée ». Je sors de l’eau et me déshabille. Je prends mes vêtements, je les emmène vers l’autre rive pour les faire sécher au soleil.
- « Hugo, pense à me les ramener avant de partir sinon, je devrai ou renter à poil à la maison, ou rentrer trempée. Je ne sais pas ce qui sera le pire ? »Je me dirige vers Hugo. Je l’embrasse, et le laisse prendre l’initiative. J’avoue que je suis un peu fatiguée. Depuis ce matin, je baise, et Pierre était déchainé. Le bonus avec Justine. Je suis claquée. Je reste un peu passive. Hugo ne s’en rend pas compte, ou préfère ne rien dire, j’ai senti ses hésitations en touchant mes seins balafrés. Même si on ne voit presque plus et que je pourrai m’être fait cela en me frottant avec une branche, il sait que c’est lui qui est responsable, qu’il a frappé comme une brute.
Pendant une demie heure, il fait attention à me donner un maximum de plaisir. Je jouis plusieurs fois, et quand il ne peut plus se retenir et jouis au fond de mon anus, il s’allonge près de moi.
- « Je t’aime, Karine, ça va ? c’était bon ? »Il passe doucement les doigts sur la marque de mes seins- « Je t’aime aussi, c’était génial. Et arrête de culpabiliser pour mes seins, tu ne l’as pas fait exprès, j’aurai du te dire de faire attention quand je t’ai présenté mes seins, c’est de ma faute ! »Il me sourit, reconnaissant, rassuré par mes propos. Au moment où il veut me reprendre mon téléphone sonne, ce sont les parents, je me précipite. Ma mère me dit qu’ils sont invités à diner par le patron de mon père ce soir, qu’ils rentreront tard, qu’il y a ce qu’il faut au frigo, et… d’être sage bien sûr. Elle m’embrasse et raccroche.
Je me tourne vers Hugo, et lui demande- « Tu es libre jusqu’à quelle heure ce soir ? J’ai quartier libre, mes parents ne rentreront probablement pas avant minuit. »Il se lève, prend son téléphone, et appelle sa mère.
- « Maman, c’est Hugo… Oui ça va Maman, ne t’inquiète pas. Je me demandais, si comme c’est le dernier soir avant qu’on parte, je suis avec Karine, on était avec des copains, ils nous ont invités à venir au cinéma avec eux, on sera une dizaine, est-ce que je peux y aller, je renterai après avoir raccompagné Karine chez elle… vers minuit à peu près je pense, le temps d’aller du cinéma jusque chez elle et de revenir… on passera au Burger King, il est à côté du cinéma… t’inquiète, on est grand l’un et l’autre. C’est ce qui t’inquiète ! Ah … Bisous maman à demain, merci. »Avec un grand sourire, il ajoute- « Quartier libre jusqu’à minuit. C’était facile, mais je ne comprends pas ma mère, depuis que tu as eu dix-huit ans, elle me fait moins confiance, c’est idiot ! »Je viens l’embrasser, il me caresse doucement les fesses. Je lui demande- « Que voulez-vous faire maître ? Vous pouvez vous baigner un peu, m’enculer un peu aussi, me manger serait très apprécié de votre soumise… même aller au cinéma avec votre soumise si vous ne voulez pas mentir à votre maman, ou un peu tout ça à la fois ? Quels sont vos désirs maître, ils sont ma loi »Il rit, je me prosterne en lui embrassant le dessus des pieds.
- « En tant que maître vénéré, je désire un peu de tout ça, soumise ! Veuillez-vous occuper de mon membre qui s’ennuie ! »Je passe de la position prosternée à la position à genoux et j’aspire son gland avec ma bouche pour lui faire la meilleure des fellations possible. Je suis maintenant très motivée. Je déguste sa semence en cinq minutes chrono. On va se baigner pour récupérer. J’en profite pour vérifier le séchage de mes vêtements. Ils sont encore humides, mais ils sont mettables. Je demande à Hugo- « J’ai les photos et la vidéo, tu veux qu’on aille à la maison les voir, ou tu veux qu’on reste encore ? »- « Chouette, allons les voir »- « Alors viens prendre mes vêtements, emmènes-les sur la rive pour que je puisse m’habiller »Je lui tends les vêtements, il traverse la zone où il n’a plus pied sans les mouiller, il les pose dans l’herbe de l’autre côté. Je le rejoins pour me rhabiller. Il me demande étonné- « Tu te rhabilles ? Tu ne rentres pas nue ? »- « Pas ce soir, je dois récupérer mon scooter au centre et je te rejoins chez moi. Je ne me vois pas faire ça à poil, surtout la promenade en scooter, elle risquerait d’être épique. »On part chacun de notre côté, on se retrouve devant chez moi.
Je me précipite sur mon ordi, je banche la clef 1, celle de la vidéo. Je la lui passe. Je suis assise sur ses genoux. Je sens nettement une bosse se former sous mes fesses pendant le déroulement de l’action. Une fois terminée la vidéo, j’enchaine avec les photos. D’abord les hard. Il ne dit pas un mot, le souffle court. Puis les plus artistiques. Il laisse enfin échapper un mot, « Putain que tu es belle ». Ses mains glissent sur mes flancs et mes seins en regardant les photos.
Quand c’est terminé, je sens qu’il a des intentions cochonnes. J’essaie de le modérer, j’aimerai qu’il se retienne jusqu’au cinéma. S’il n’y a pas trop de monde, je voudrais lui faire une pipe dans la salle, pendant le film. J’ai envie de ça depuis longtemps. Je lui dis- « Si vous êtes sage maître vénéré, il y aura un bonus. Si vous vous contentez de me lutiner un petit peu, je vous montre d’autres photos, et quand on sera dans la salle de cinéma, si l’affluence le permet, je me mettrai nue pour vous faire une fellation, sinon j’essaierai en gardant mes vêtements. Dans tous les cas, si vous en exprimez le désir, je vous laisserai m’enculer dans la rue… si vous trouvez un endroit discret où votre soumise pourrait relever sa jupe sans être vue par le banc et l’arrière banc bien sûr ! »- « Tu accepterai de te faire sodomiser en pleine rue ?
- « Pour le dernier soir avec toi, je suis prête à tout »On s’embrasse, je branche la deuxième clef USB. Il voit les photos, stupéfait, avec cet ensemble, je fais à la fois très classe, et très pute. Un monstre de sensualité. Je donne vraiment envie d’acheter cette tenue. Hugo me demande d’où je sors ces fringues. Quand je lui dis que c’est un cadeau du Sexshop pour mon embauche sexy, il ne cherche pas plus loin. Que je porte près de 700 euros de fringues ne l’étonne même pas. Je souris, la jalousie des mecs est vraiment étonnante. A sa place j’aurai les boules de laisser ma copine se faire baiser par deux mecs, sachant qu’elle va y retourner plusieurs fois. C’est vrai que l’âge de ces joyeux donateurs est plutôt rassurant, plus de soixante ans alors que j’en ai que dix-huit, pourquoi être jaloux. Il est caudaliste je vous dis !!
- « J’ai faim, on va au Burger King et au cinéma maintenant ? » Hugo regarde l’heure, calcule- « Ok on y va, on aura le temps pour la première séance, on pourra faire un détour pour rentrer et je ferai la fête à ton petit cul. Ce qu’il faudra pour patienter jusqu’à mon retour. Pour la clef, garde la jusqu’à mon retour, on fera les envois sur internet à la rentrée, avec nos nouvelles classes : cela fera un beau sujet de conversation pour les terminales cette année. »Je ris, et vais cacher les clefs dans ma cachette aux trésors. J’y ai mis mon ancien journal, je l’ai tenu jusqu’à ce que nous commencions nos galipettes avec Hugo. Même si je sais que ma mère ne lirai jamais mon journal, s’il venait à s’ouvrir et qu’elle voit involontairement certains mots comme fellation ou enculer, je pense que ses bonnes résolutions tomberaient instantanément. Je ne pourrai même pas lui en vouloir. Depuis nos galipettes, j’ai tout mis sur le cloud, avec trois codes, le site bien sûr, mais le dossier ET le fichier sont aussi protégés chacun par un mot de passe. Les fringues, je les cache, bien en évidence dans une boite marquée DESSOUS. Ma mère connait mes dessous, elle les lave toute les semaines, et mon père n’ira pas fouiller dans une boite marquée comme ça. Je suis une petite rusée ! Enfin j’espère.
Je me change, je mets une autre mini-jupe très courte avec un chemisier noir plus couvrant, il fait frais après 22h surtout avec le minou à l’air. Je mets mes sandales Répetto Salvador noires. Leurs talons de presque dix centimètres me font un mollet bien galbé. On part avec Hugo, chacun sur son scooter. On se gare devant le cinéma. Il est hilare, quand je demande ce qui le fait rire, il me dit que j’ai le minou exposé en permanence, que tout le monde peut le voir. Je tire un peu sur la jupe pour la descendre plus sur mes hanches, pleine d’illusion. Elle est vraiment courte, elle n’est pas prévue pour s’assoir sans culotte, danser à la rigueur.
On se dirige vers le restau, on passe la commande et on s’assoit dans un endroit tranquille. Régulièrement il glisse sa main sous ma jupe et frotte ma fente. Il retire le dos de sa main mouillé, il le lèche et reprend son repas, heureux.
(à suivre)
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