Karine et le plaisir de la soumission 7

- Par l'auteur HDS Dan48 -
Récit érotique écrit par Dan48 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Karine et le plaisir de la soumission 7 Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-10-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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Karine et le plaisir de la soumission 7
CHAPITRE 7 : Une soumise au sexshopJe suis seule aujourd’hui jeudi, mon Hugo est avec sa mère pour faire des courses en vue de leur départ pour un mois de vacances en Espagne. Il ne me reste qu’une journée à passer avec lui avant ce mois de solitude : demain doit être un jour mémorable, je dois avoir fait tout ce qu’il m’a demandé, avoir un corps parfait pour lui. Hier soir en rentrant d’une après-midi bien chargée où j’avais enfin pris la décision de lui offrir mon pucelage anal, j’ai appelé mon gynécologue pour un rendez-vous : le premier des souhaits de mon chéri, que je prenne la pilule. Sa secrétaire voulait me faire venir à la rentrée de septembre car le cabinet était fermé en août, mais j’ai pleuré en disant qu’il fallait absolument que je vienne avant leurs vacances, que c’était important. Elle s’est laissée fléchir, d’après le ton qu’elle employait, je suis certaine qu’elle pensait que j’avais besoin de la pilule du lendemain, elle m’a dit qu’il n’y avait qu’une seule possibilité, aujourd’hui 12h, en plus des rendez-vous normaux. J’ai dit oui tout de suite, c’était inespéré.
Comme d’habitude, mes parents sont partis travailler très tôt vers 7h20, moi, après avoir pris mon petit déjeuné avec eux, je prépare mon planning serré de la journée : départ vers 8h, soixante-dix kilomètres à scooter pour aller au sexshop de la grande ville d’à côté, si tout va bien arrivée prévue pour 9h30, une heure max pour mes achats et voir ce qui pourrait être intéressant, je devrais donc être de retour vers 11h30. Cela me laisse une demi-heure de marge pour les imprévus et le rendez-vous chez le gynéco. L’après-midi, deuxième demande de mon Chéri, épilation du minou. L’esthéticienne est prévue à 14h30. Elle va faire la tête quand je vais lui dire que c’est pour une épilation permanente mais tant pis, c’est ce que j’ai négocié avec Hugo en échange de l’épilation intégrale qu’il désirait.
Je me suis habillée sexy : ma mini la plus mini, un mini kilt à base de noir et rouge qui ne couvre mes jambes que sur cinq centimètres sous la jonction des cuisses, un kilt pour ceux qui ne le savent pas, c’est une pièce de tissus en tartan (tissus écossais) enroulée autour de la taille, mais pour faire plus sexy et probablement diminuer le prix de revient, il est prévu assez peu de recouvrement pour que ça s’écarte un peu, comme une jupe légèrement fendue, afin de révéler un peu plus haut sans tout montrer, pour une question de sécurité, on met souvent une grande épingle de sureté dorée entre les deux pans, pour éviter que la jupe s’ouvre trop, sauf que la jupe étant très courte, je ne peux pas mettre cette sureté, c’est donc ouvert plus haut, vraiment très haut, et en haut, un chemisier blanc assez transparent qui quand mes tétons pointent, laisse bien voir mes aréoles. Jusqu’à maintenant je le portais avec un soutien-gorge couleur chair, mais là, Hugo a bien insisté, pas de sous-vêtement. Je complète l’ensemble avec des bottines à talons hauts qui me font une jambe superbe, bien galbée. Je marche devant le miroir de ma chambre, je me trouve belle… mais très (trop ?) sexy. Je m’en fiche, je ne connais personne à la ville d’à côté. Je hausse les épaules, je me donne du courage… et en route. Je frissonne en ouvrant la porte de la maison pour rejoindre mon scooter… pour 1h30 de route…En arrivant dans la zone commerciale où se trouve le sexshop, j’ai quinze bonnes minutes d’avance, le trajet s’est bien passé, en plus, la route était en descente presque tout le temps, j’ai pu rouler plus vite que prévu, mais j’ai froid à mon petit abricot. Je n’avais pas pensé au vent avec la vitesse. Ma jupe est tellement courte, elle ne cache pratiquement rien quand je suis assise sur la selle, je suis obligé de garder les cuisses bien serrées en roulant.
La galère, c’est quand je suis coincée à un feu tricolore, avec un pied par terre, si c’est le gauche, le passager de la voiture se rince l’œil, si c’est le droit ce sont les piétons qui n’en ratent pas une miette. La première fois j’ai choisi le droit parce qu’il y avait 2 mecs à l’arrière du 4x4 à côté de moi, malheureusement six personnes sont arrivées de la rue adjacente et ont lorgné directement sur mon minou exposé. Les commentaires sarcastiques ont fusés, le feu est passé au vert, j’ai démarré sans demander mon reste. Jusqu’à ma destination, j’ai posé exclusivement le pied gauche. J’ai eu un peu de chance cette fois, une fille dédaigneuse, puis un mec appréciateur ont seulement contemplé mon sexe. Je range mon scooter sur le côté du sexshop de façon à ce que ma plaque d’immatriculation ne soit pas trop visible, ne tentons pas le diable. Le magasin a l’air énorme, un supermarché du sexe. J’espère que je ne connaitrais personne, je suis venue ici et à cette heure là pour ça, mais …J’entre dans le magasin, je suis surprise, c’est très lumineux, je m’attendais à une lumière plus tamisée, plus glauque. Par contre, la tête du couple derrière la caisse, pas l’amabilité personnifiée, faut avoir envie de venir ! La femme me fait signe d’approcher, elle serait charmante avec un sourire, je vois sur le côté de la caisse une vingtaine d’écrans, dont certains qui montrent l’extérieur, le parking. Je me dis « merde ! Ils m’ont vu arriver en scooter ». Bingo, la femme me demande mon âge, et quand je lui réponds 18 ans, elle a un petit sourire en coin, et me demande une pièce d’identité. Je me rebiffe, mais elle me fait bien comprendre que ou je lui prouve que je suis majeur et j’entre, ou je ressors immédiatement. Ils ont déjà eu des contrôles de police, et ne veulent plus d’ennui. Je suis obligée de leur montrer ma carte et sans s’excuser, elle me dit que je peux y aller. Elle me glisse doucement : les accessoires sont au rez-de-chaussée avec les films et les cabines, au premier les vêtements, et tout pour le SM. Alors qu’elle est presque arrivée à sa caisse, elle se retourne et dit d’une voix forte « Pour le Glory Hole, prenez un jeton à la caisse et c’est au bout du couloir à gauche. » Je suis rouge comme une tomate, je regarde autour de moi s’il y a d’autres clients qui pourraient avoir entendu ses propos. Ils sont plusieurs dont un jeune couple au rayon plug anal à quelques mètres, le garçon me regarde d’un air coquin. Au fond j’aperçois plusieurs mecs seuls. Je visite les lieux, je vois des sextoys dont la taille me fait rêver, mais là Adieu ma virginité ! Le rayon étant libre maintenant, je vais voir pour un plug anal. Je suis très serrée du cul, c’est vrai que je ne me suis faite enculer qu’une fois, mais hier, j’ai eu mal au cul pendant un moment après, alors je me dis que ce serait bien de me l’élargir un peu… mais pas trop, il faut que mon Hugo trouve mon cul confortable. S’il nage dedans il n’appréciera pas… Et puis Non… je n’en prendrai pas, je vais d’abord lui demander son avis... Mais j’en vois un, superbe, avec un bijou au bout. Je m’approche, je regarde les dimensions : diamètre de la boule 3.5cm, ce n’est pas trop gros, plus petit que la bite de mon chéri, une fois qu’elle est passée, le cul doit se refermer sur la tige qui est beaucoup plus fine. C’est juste la boule qui élargit le cul quand elle passe, à l’aller et au retour. J’en ai vraiment envie. J’en prends un avec un bijou rouge assorti à ma jupe. Je garde la boite en main en m’arrangeant pour qu’elle soit bien visible. J’ai envie que les clients voient ce que j’achète. Je continue à déambuler dans les rayons, je croise plusieurs fois certains clients hommes qui me frôlent « involontairement », ou pas ! Je ne trouve pas ce que je cherche. J’hésite, puis je retourne vers la caisse. Zut, la femme n’est pas là, elle est occupée avec un couple. Je commence à repartir vers les rayons, puis je me dis, qu’est-ce que je risque, une humiliation de plus, j’aime avoir un peu honte… je vais à la caisse, et prenant mon courage à deux mains, je demande d’une voix si tremblante que l’homme doit savoir que c’est la première fois que j’entre dans ce genre de magasin. Comme la femme, il serait mieux s’il ne faisait pas la gueule, je pense qu’il doit même avoir du charme avec un petit sourire.
- « Excusez-moi, Monsieur, je ne trouve pas ce que je cherche, pourriez-vous m’aider ? »Il me regarde en silence quelques secondes, jette un œil à sa femme, et voyant qu’elle en a pour un moment, il me fait son meilleur sourire en me disant- « Bien sûr, Mademoiselle, vous cherchez quoi exactement ? »Je ne suis pas rassurée par ce sourire, et en plus il va falloir que je lui dise ce que je cherche, je suis conne, bien sûr qu’il ne peut pas deviner seul, il va falloir le dire. L’éternelle honte des débutantes.
- « Je cherche du matériel pour les lavements, s’il vous plait, Monsieur » Au lieu de me dire où aller, il me demande- « Vous savez ce que vous voulez, ou vous avez besoin de renseignements ? »Je pique un fard, je reste quelques secondes à ne rien dire, je me demande ce que je pourrai bien demander comme renseignement, je veux juste un appareil pour me laver le cul pour que la bite de mon chéri ne ressorte pas couverte de merde, pas une encyclopédie, je finis par dire- « Non Monsieur, j’aurai besoin d’aide pour choisir »Je deviens folle, je viens de dire l’inverse de ce que je pense. Ma langue semble penser différemment de ma tête, je suis en pleine exhibition verbale, avec ce mec, pas aimable… mais bien bâti et qui maintenant commence à sourire.
- « Par ici, je vous montre le chemin »Il passe devant, je le suis. En arrivant à l’escalier qui monte à l’étage, il s’écarte, me montre l’escalier, et m’invite à passer la première. Je comprends immédiatement qu’il veut mater ma culotte, il va aimer voir que je n’en ai pas. Sans hésitation, je monte en ne serrant pas particulièrement les cuisses, il me laisse trois ou quatre marches d’avance, en tournant légèrement la tête, je vois qu’il est bien penché en avant pour mater ma chatte. Je sens de l’humidité se former entre mes nymphes. Arrivée sur le palier, je me retourne vers lui en écartant les jambes puis les resserrant légèrement. Il a eu pendant une seconde une vue parfaite sur ma fente mouillée. Il m’amène à un rayon marqué ENEMA. Je suis dubitative, il m’explique ENEMA, c’est lavement en anglais, pour le SM. Il me questionne sur mes besoins, sur ce que je recherche, lavage ou SM, taille de la réserve d’eau, taille de la canule qui doit rentrer dans mon cul, lieu où cela sera utilisé. Chaque réponse que je fais est une torture pour ma pudeur. Je révèle à un inconnu plein d’informations sur mon intimité et ma sexualité. Je suis rouge en permanence, mon minou trempé. Je lui précise enfin que l’objet ne doit pas être trop gros car je dois pouvoir le cacher à mes parents, il me sort une boite avec un ensemble à monter et démonter facilement après usage. La boite ne tient pas trop de place. Il m’explique comment le monter, je remarque deux clients qui tournent autour de nous, l’un d’eux dit « prenez celui-là, Mademoiselle, c’est un bon conseil, j’ai pris le même pour ma femme » Je ne sais pas où me mettre, maintenant les clients viennent aussi pour me donner des conseils. Je dis que je le prends, le patron me demande si ce sera tout, je lui tends le plug anal que je tiens caché dans ma main depuis qu’il m’aide à trouver le matériel, et dit - « Il y a cela aussi »Pas gêné pour deux sous, il regarde ouvertement l’objet et ses dimensions. Il dit alors- « Vous savez, il y en a d’autres avec différents diamètres, les effets changent en fonction du poids… (voyant que je reste muette, il insiste) si vous êtes sûr d’en acheter un, je vous fais une fleur, vous pouvez les essayer, vous verrez le poids varie, les sensations aussi. Il est important d’essayer pour savoir celui que vous préfèrerez. » j’ai le souffle coupé, il ajoute « attendez-moi, je reviens, regardez les autres rayons »Je rêve, le mec vient de me proposer d’essayer un plug anal avec lui, et il est même parti chercher un assortiment.
Les deux autres clients hommes sont toujours à proximité, ils me regardent discrètement. Je passe devant plusieurs rayons SM, avec fouets, menottes, et autres jouets … j’arrive devant des tenues extraordinaires comme cette mini-jupe en cuir presque aussi courte que celle que je porte, mais avec une coupe droite, très moulante probablement et avec une fermeture éclair sur le devant. La jupe semble plus longue, mais … la fermeture éclair s’arrête à dix centimètres du bas de la jupe. A mon avis au niveau du milieu, plutôt au-dessus du sexe. Je reste scotchée devant. Le patron arrive à ce moment et me dit - « J’ai votre taille si vous voulez l’essayer »- « Désolée, ce n’est pas dans mes prix » - « Essayez-la au moins vous verrez comme ce genre d’article vous irai bien, et si c’est le cas, je suis certain que vous trouvez bien quelqu’un pour vous l’offrir »Je le regarde en face, afin de savoir s’il s’agit d’une proposition perverse de sa part- « Et vous pensez que vous auriez ma taille ? »- « Je reviens ! »Sans perdre une seconde ni me demander la taille que je fais, il pose sur un meuble les boites de plug anal qu’il avait en main, et il disparait derrière un rideau. Il réapparait au bout de deux minutes à peine avec plusieurs boites.
- « Voilà, j’ai trouvé votre taille, il faut que ce soit bien moulant pour que ce soit beau. Venez ici »Il m’entraine à quelques mètres vers le fond du magasin, dans un espace plus dégagé. Je ne vois pas de cabine d’essayage à cette endroit, celle que j’ai vu est juste à côté de l’escalier, à une trentaine de mètres d’ici. Il me dit :- « Mettez-vous là et déshabillez-vous. Posez vos vêtements sur le meuble là, je vous montre » - « Monsieur ! ici ? Pourquoi pas dans la cabine là-bas ? Vous avez bien vu que je ne porte pas de sous-vêtement, je ne peux pas me déshabiller ici, on va me voir ! »Le patron me regarde, cherche autour de nous où sont les deux clients qui me matent depuis mon arrivée, et en voyant qu’il n’y a qu’eux à me mater, il me dit :- « Ces vêtements vous plaisent ? non ? Alors si vous voulez avoir une chance que ces Messieurs vous les offrent, déshabillez-vous et essayez-les. Laissez-moi vous mettre en valeur, vous repartirez probablement avec, et moi j’aurai fait de bonnes affaires. »Je suis scotchée par sa proposition. Je le crois pas, il me suggère tout simplement de m’exhiber devant ces types et qu’ils vont m’offrir ces fringues hors de prix en échange. Je sais, je m’exhibe presque tous les jours, mais avec des gens qui sont plus loin, là, ils sont juste… plus près de moi… au pire, je dois m’attendre à quelques attouchements, mais… après tout… Est-ce que je suis prête à me faire tripoter ? Baissant le ton, je lui dis :- « Ok, mais je ne baiserai pas avec ces types, je ne suis pas une pute » il me regarde avec un air ironique- « Tu te balades avec la chatte à l’air, tu la montres au premier venu, et tu ne veux pas baiser ? J’te comprends pas, tu veux quoi ? Juste te faire violer ? C’est ça ton fantasme ? »- « Non, ce n’est pas ça… je suis encore vierge… pucelle si vous préférez. Je ne peux pas baiser avec des inconnus. » puis je rajoute précipitamment, « mais j’aime bien me faire enculer par contre, ça je l’ai déjà fait, pas souvent, mais je l’ai fait. »- « Alors ça ira, si tu ne les envois pas chier grossièrement, il se pourrait qu’ils te payent la tenue, si c’est le cas, je te ferai un cadeau »C’est le monde à l’envers, maintenant lui aussi veut me faire un cadeau ! Je regarde les deux hommes à quelques mètres dans d’autres rayons, ils ne font même plus semblant de regarder des objets en vitrine, ils me matent tranquillement. Ils ont tous les deux près de soixante ans, plutôt bien conservés pour leur âge bien habillés, avec classe, pas beaux, mais pas laids non plus. J’hésite encore une seconde… je commence à me déshabiller. Le patron me dit - « Enlève tout »- « Pas besoin qu’ils voient mes seins pour essayer une jupe ! »Il me regarde, semblant me prendre pour une demeurée. Je lui jette un regard affolée puis je décide que ce n’est qu’une exhibe de plus, au chaud pour un coup, alors je déplace mes mains qui s’étaient posées sur ma jupe, et les pose sur mon chemisier. Je le déboutonne, les pans s’écartent laissant apparaitre une partie de mes seins, je lève mon regard vers les hommes, continue à défaire les boutons un à un, et enlève mon chemiser. Je le pose, bien plié, sur la vitrine à côté de moi. Je leur fais un striptease. Je remarque les boites de plug anal que le patron a déposées là. Je me retourne vers les hommes, le torse nu, mes tétons sont pointés droits vers eux, je sens mes seins durcir, et mes tétons s’allonger. Mes aréoles qui, en temps normal, sont parfaitement dans le prolongement du galbe de mes seins, sont gonflées, comme un mini sein rosé supportant mes tétons qui ont doublé d’épaisseur. Je n’ai jamais été aussi excitée lors d’une exhibition, mon vagin se liquéfie. Je vois les hommes se rapprocher insensiblement. Je défais l’unique attache de ma jupe, j’hésite à l’enlever, mais ne tenant qu’un seul des deux bouts de la ceinture du kilt, la jupe tombe toute seule le long de ma cuisse, dévoilant mon intimité et la touffe de poils blonds sur le dessus de mon pubis. Je ne fais aucun geste pour me dissimuler, mais inquiète je me tourne vers le patron : leurs regards lubriques me font peur. Je redis au patron - « Je ne veux pas qu’ils me violent, mon cul oui mais pas ma chatte »Je suis comme une biche prise au piège, j’ai tendu le bras pour me faire battre et maintenant je suis terrifiée des conséquences de mes actes. Le patron me tend la jupette en cuir avec un « essaye là », il avance vers les hommes et discute à voix basse avec eux. Manifestement, il les connait bien, il les appelle par leur prénom. Je vois qu’ils rechignent, la jupe n’est pas donnée, et en plus, les autres boites, ce ne sont pas d’autres tailles, mais d’autres vêtements.
J’ai mis la jupe. En me voyant dans la glace, j’ai fait tourner la jupe d’un quart de tour, la fermeture éclair est maintenant positionnée sur la hanche, c’est comme s’il s’agissait d’une jupe très fendue, mais décente. Sauf que je suis torse nu, les seins à l’air. Le patron me dit de marcher pour voir si c’est bien ma taille. Je marche et fais des tours sur moi-même, les hommes peuvent admirer mon corps, je ne leur cache pas grand-chose. C’est pourtant insuffisant pour le patron qui s’approche en disant pas comme ça la jupe. Il pose ses mains sur la ceinture, je pose mes mains sur les siennes avec un regard suppliant. Il me regarde dans les yeux, me dit doucement - « Faut ce qu’il faut ! » et plus fort « Comme ça c’est mieux, vous n’êtes pas d’accord messieurs ? »Il a fait tourner la jupe, la fermeture est maintenant bien dans l’axe de mon minou, et comme je l’avais supposé, bien au-dessus de ma fente. La jupe ne cache absolument rien de mon intimité, juste mes fesses. J’essaie de la descendre un peu, le patron me tape sur les mains en disant c’est parfait comme ça.
- « Viens, suis-moi, il faut que femme voit comme ça te va bien » Il se dirige vers l’escalier en me tenant par la main, je suis torse nu, avec une micro-jupe en cuir fendue devant au milieu pour exposer mon minou à la vue de tous.
- « Je ne peux pas descendre comme ça, c’est plein de monde » Depuis un bon moment déjà, j’entendais les portes battantes à l’entrée à chaque arrivée de nouveaux clients. Même si certains sont repartis, je pense qu’il doit y avoir au moins vingt ou trente personnes en bas.
- « T’inquiète, je suis là, et tu vas me faire une pub d’enfer, tu auras bien mérité ton cadeau »Je ne dis pas un mot, mon côté soumise prend le dessus, je me rapproche de lui, hésitante. Il me reprend par la main pour me rassurer et nous descendons l’escalier.
Je me suis trompée, ce n’est ni vingt ni trente, il y a au moins cinquante personnes. Je bombe le torse pour faire ressortir mes seins, et je suis le patron vers la caisse. Je dois frôler certains clients qui ne s’écartent pas. Je sens mes seins frotter contre eux, ça m’excite. On arrive près de sa femme, il écarte mes bras pour m’exposer en disant- « Qu’est-ce que tu en penses, Mireille, ça lui va bien ! »Elle regarde son mari, d’un air qui veut dire qu’elle se demande où il veut en venir. Compte tenu du nombre de client actuel, elle ne peut pas râler- « Superbe, ça lui va parfaitement. Dans une soirée, mademoiselle, vous allez être l’attraction suprême. Votre chatte, comme ça, c’est un appel au peuple. Tous les mâles vont vouloir vous mettre la main au panier. » Se tournant vers son mari « Tu devrais la faire remonter, il y a beaucoup de client, sa tenue est un peu extrême pour le rez-de-chaussée »Le patron me reprend par la main, m’entraine entre les clients jusqu’au rayon des plugs anal, et me demande si je n’en veux pas un autre d’une couleur différente. Un autre ! Tout le monde maintenant est persuadé que j’en porte un. Je rougis un peu. Après mon refus, il m’entraine à l’étage, mais au milieu de l’escalier, alors je suis encore exposée, il s’arrête, me met ses mains sur mes hanches, face à la foule, me chuchote d’écarter les pieds, et dit tout fort- « Mesdames, messieurs, n’hésitez pas si vous désirez des tenues sexy, il y en a plein d’autres, plus ou moins osées à l’étage. Vous pouvez demander à ma femme, elle vous dira les heures de faible affluence pour que vous puissiez choisir tranquillement. »Arrivés à l’étage, je vois les deux hommes, ils se sont remis à côté de mes vêtements pliés, et m’attendent. Le patron ouvre la deuxième boite, il sort un haut pour me couvrir. Enfin, je ne suis pas certain que couvrir soit le bon mot à utiliser. Ce top est extraordinaire, il est fait de plusieurs pièces de tissus, avec de larges espaces entre eux. Cela semble couvrant mais en réalité, ça ne cache pas grand-chose. J’ai un sein dévoilé, mais son téton est dissimulé, l’autre totalement couvert, mais l’échancrure est telle que mon sein sort régulièrement pour apparaitre totalement. J’ai le dos quasiment nu. Une tenue superbe, mais à ne pas utiliser si des personnes cardiaques sont présentent, l’infarctus est certain. Le patron me fait assoir. J’ai le sexe totalement exposé quand la jupe remonte au niveau de ma taille tant elle est moulante, de toute façon, vu la position de la fermeture éclair, j’ai le minou exposé, un peu plus un peu moins…. Le patron me demande ma pointure et quand je lui dis 38, il a un grand sourire, et ouvre une boite. Il sort une paire d’escarpin noirs, à talons aiguilles rouges. Ils sont aussi assortis à la jupe que j’avais en arrivant. Il me les met, en profitant pour bien m’écarter les cuisses, il passe doucement la tranche de sa main entre les lèvres de ma chatte, et regarde, il siffle et montre sa main aux deux hommes- « Putain elle est trempée cette petite salope » Il porte sa main à son nez « Et merde ! en plus elle sent vachement bon de la chatte. » En entendant ces mots, je sens la boule de chaleur que je connais bien au creux de mes reins. J’essaie de me calmer, je ne peux pas jouir comme ça, ce n’est pas possible.
Je me lève, et marche devant les deux hommes, je fais le mannequin, les hommes ne se privent pas pour me mettre leurs mains partout, je les laisse faire j’ai trop envie de jouir. La jupe est de nouveau tortillée autour de ma taille ne cachant plus rien du tout. Ils me pelotent sans vergogne, me tripotant les seins, les pinçant les tordant, je sens un doigt dans mon cul, puis deux puis trois. Les doigts appartiennent à deux mains différentes, ils ne tirent pas les chairs de mon anus dans le même sens. C’est agréable, ils m’ouvrent le cul à deux, me préparent à la sodomie. Je suis heureuse, j’ai encore mal de la fessée d’hier, mais je ne ressens plus aucune douleur de ma sodomie par Hugo. Je vois d’autres clients qui viennent de monter qui me regardent me faire caresser sans pudeur. L’un des deux hommes me presse pour que je me baisse, je me mets à genoux, défait sa ceinture, sors son sexe de bonne taille mais sans plus, j’hésite, me tourne vers le patron- « Vous avez des préservatifs, s’il vous plait ? »L’homme se baisse vers mon oreille et me dit qu’il est sain, qu’il se fait tester régulièrement et qu’il n’a baisé qu’une fois, avec sa femme, depuis un mois, alors pas de risque. Je le regarde dans les yeux, je le crois sincère, je suis folle de lui faire confiance comme ça, je plonge sur son sexe. Je me déchaine sur sa bite, je suis trop excitée, faut qu’il vienne. Je sens les mains de l’autre homme sur mes hanches, il tente de me faire me relever : ils ne savent pas ce qu’ils veulent. Sans sortir le sexe de ma bouche j’appuie mes mains au sol et me relève. Je reste penchée en avant pour continuer à sucer. Je sens mes seins pendre, libérés de mon petit haut ajouré. En entendant la braguette de l’autre s’ouvrir, je sors le sexe de ma bouche, me tourne vers l’homme. Ils sont au moins dix à me mater en train de baiser. Je frissonne. Je dis à l’homme qui va bientôt me saillir en levrette- « Dans mon cul s’il vous plait, pas dans ma chatte, rappelez-vous ! »Il a un sourire béat, et répond- « Pas de problème, Mademoiselle » puis plus fort, voulant faire de l’humour « Jean, tu as du lubrifiant pour le tout petit cul de la demoiselle, sinon elle va gueuler et quelqu’un est capable d’appeler les pompiers ! ».
Jean, le patron lui tend un flacon de gel lubrifiant. L’homme me tartine la rondelle avec le liquide, passe un doigt extérieur et intérieur, pose le flacon contre mon cul force un peu pour faire rentrer le tube verseur, et appuie un grand coup sur le flacon ? Je sens une énorme giclée de lubrifiant froid à l’intérieur. C’est une sensation très agréable. Il pose son gland contre mon anus et appuie. Ma rondelle s’ouvre immédiatement, ils m’ont parfaitement préparée lors de l’intrusion de leurs doigts. Il pousse plus fort, il n’arrête pas. Sa bite n’est pas très grosse, mais elle semble très longue. Je pense que si je le suce, il va me la mettre au fond de la gorge. Ils se mettent l’un et l’autre à me besogner violemment, j’ai mon premier orgasme rapidement, je sens ma cyprine déborder sur les lèvres de ma chatte. Je m’active avec ma langue, pendant que l’autre me bourre le cul. Il ne tarde pas à jouir bruyamment. Celui qui est dans ma bouche, sort sa bite, et se dirige vers mon cul, Moi qui pensait avoir ma dose de sperme, c’est raté. Celui qui vient de jouir dans mon cul me colle sa bite dans la bouche, je commence par le nettoyer consciencieusement, puis le suce pour le faire jouir une deuxième fois. Je sens le gland contre ma rondelle entre-ouverte par la sodomie précédente. Il trouve le chemin sans difficulté, mais il force pour s’introduire au fond, son calibre est nettement plus important. Il me parait pourtant moins gros qu’Hugo, il devrait me pénétrer facilement, sans douleur. Effectivement, il arrive au fond et commence à me bourrer le cul comme s’il voulait passer au travers. Je déguste, je gémis, je jouis, la douleur est très faible. Il est résistant. Il me pistonne pendant près de quinze minutes avant de lâcher son jus dans mon cul. Je pense qu’aucun des deux n’a utilisé les préservatifs que le patron a amenés. Je sens la bite sortir de ma bouche, l’homme n’a pas jouis, je le regarde interrogative, - « Désolé mon petit, à mon âge, une fois c’est bien »Il m’aide à me relever, je l’embrasse à pleine bouche. Le patron est à côté de moi, il me fait comprendre d’enlever le haut et la jupe. Je le vois ranger jupe, haut et chaussure dans leur boite, prendre mes vêtements pliés et mon sac sur la vitrine, puis il descend les escaliers. Je reste nue avec les deux hommes qui continuent à me caresser en me maintenant les cuisses ouvertes. Docile, je me laisse faire, la dizaine de voyeurs hommes et femmes restant à me mater. Ils me font jouir encore, et quand une main s’égare sur mon minou et cherche à s’y introduire, je lui bloque prestement la main avant qu’elle ne fasse des dégâts à mon hymen. L’homme me regarde dans les yeux et dit « Tu es vraiment pucelle ? » Tout le monde a entendu, je vois que la stupéfaction fait l’unanimité parmi l’assistance. Je confirme ma virginité, tous commentent le fait que la petite salope qui vient de se faire enculer en public est vierge, certains en éclatent de rire. Je ne comprends pas toutes les blagues, mais je pense qu’elles doivent être plutôt grasses ! Je sens que je commence à me vider, lentement le sperme s’échappe de mon anus assoupli et coule à l’intérieur de mes cuisses.
Les deux hommes se lèvent me roulent une pelle bien baveuse, me disent merci et qu’ils espèrent me revoir de temps en temps, que leur cadeau ne sera pas à fonds perdus. Je comprends que le patron avait raison, qu’ils vont bien m’offrir la tenue, ou au moins une partie, j’aurai la surprise tout à l’heure. Je me penche vers l’homme, je l’embrasse à mon tour, le remercie du cadeau et lui demande s’il a un téléphone que je pourrai appeler sans risque de tomber sur son épouse. Il attrape son téléphone pour me donner le numéro, je lui dis- « Non je n’ai pas le mien ici, le patron l’a pris avec mes affaires, envoyez-moi un sms au 06… comme ça j’aurai votre numéro, je pourrai vous appeler quand je reviendrai. Dites à votre ami de m’en envoyer un aussi au cas où vous ne seriez pas disponible » il sourit, il envoie le sms sans perdre de temps puis- « Merci, mais ne pensez pas que vous aurez un cadeau comme ça à chaque fois ! » J’ai envie de lui répondre qu’il ne doit pas être certain que je le laisserai m’enculer à chaque fois, mais il m’a dit cela avec un grand sourire béat qui atténue fortement le côté désagréable du propos. Même s’il semble me traiter de pute, il sait que je n’en suis pas une, juste une petite salope dévergondée. Il a été maladroit mais je ne lui en veux pas, il m’a supérieurement bien enculée. Et j’avais raison, j’adore me faire enculer.
Je les regarde partir, ils me laissent nue au milieu des voyeurs, je passe mes doigts le long de mes cuisses, ramenant un peu de leur sperme, je les nettoie en les suçant un à un. J’attends quelques minutes sans me cacher, et au moment où j’allais descendre à mon tour, je vois le patron qui revient. Les voyeurs se sont égayés dans les rayons et font leur choix pour pimenter leur vie sexuelle. Il me dit- « Tu vois j’avais raison, ils t’ont offert la tenue complète, et quelle pub, il n’y a jamais autant de monde à l’étage. »- « Quoi toute la tenue ? pas que la jupe ? »- « Non, la jupe, le haut et les chaussures. L’ensemble dépasse les six cents euros. »Je suis heureuse du cadeau, mais je me sens un peu mal, j’avais envie qu’ils m’enculent, mais...
- « J’ai l’impression que je viens de me prostituer »- « Pas du tout, ils auraient pu partir sans rien payer, tu ne t’es pas vendue, tu t’es exhibée comme une petite salope, ils t’ont caressée, ça t’a plu, tu t’es laissée baiser. Ils étaient contents, ils te font un cadeau. C’est tout. Ne va pas chercher midi à quatorze heures. C’est juste un cadeau après une bonne baise. Ton copain ne te fait jamais de cadeau, lui ? Alors ? »- « Oui ! Vous devez avoir raison. Il est quelle heure au fait ? »- « 9h40 ! Pourquoi tu es pressée ? »- « Je dois partir vers 10h30 pour arriver à l’heure à mon prochain rendez-vous à midi »- « Tu n’es pas d’ici toi ! Tu habites à G… c’est ça ? »Il calcule vite le temps de voyage avec un scooter ;- « Oui, je suis venue ici pour ne pas rencontrer de gens que je connais. Je ne pensais pas me retrouver à poil à me balader dans le magasin. Vous n’auriez pas des lingettes pour que je m’essuie un peu ? »Je ris en disant ça, je suis nue, ruisselante de sperme et ça ne me dérange pas du tout. Jean attrape une boite dans un rayon ouvre le sachet d’une lingette intime, il se met à genoux devant moi, et me nettoie l’intérieur des cuisses, jusqu’à l’anus. Il me masse le bas du ventre en appuyant vers le bas et recueille sur la lingette un maximum du sperme sorti de mon anus. Il prend une nouvelle lingette propre et passe sur toute mon intimité en commençant par ma fente, finissant par ma rondelle. Je me demandais ce qu’il attendait pour me tripoter à son tour.
- « Tu seras plus fraiche comme ça ! Viens avec moi, je vais t’offrir un cadeau »Je le suis, on descend l’escalier, il y a toujours autant de monde. Le patron m’entraine par le couloir qui part vers le Glory Hole, nous arrivons à l’entrée, c’est plein de mecs, surtout des jeunes de mon âge et même plus jeunes. Le patron ouvre une porte à droite marquée PRIVATE, et me fait entrer. Certains mecs m’ont vue à poil. Le patron me dit - « Tu préfères quoi ? Te faire enculer ou sucer ? »- « Je peux pas me faire enculer, ils vont me prendre la chatte à la première occasion. »- « Si tu préfères te faire enculer, tu le dis, je t’arrange ça sans risque »Je le regarde dans les yeux très étonnée de son affirmation.
- « J’aime les deux, mais vous pouvez vraiment faire en sorte que je me fasse enculer sans risque qu’il me prenne la chatte ? »- « Viens ici, assied toi sur cette chaise, je sais ce n’est pas très confortable, mais c’est propre, je désinfecte deux fois par jour, quand une bite se présente, si elle n’a pas son chapeau tu lui en mets un, alors tu peux sucer. Quand il a giclé tu le laisses se démerder avec son préservatif usagé et t’attends le suivant. Quand t’en as assez, tu sors, tu prends ce téléphone, t’appelles et tu dis à ma femme ou à moi que tu veux te faire enculer. On viendra t’installer. Tu vas prendre ton pied et personne ne te giclera à la gueule. Que des avantages ! »- « Merci, j’aime bien le sperme moi, prévenez-moi, un peu avant 10h30, il faudrait que je parte vers cette heure-là. »- « Pas de problème, attends que je prenne tes mesures, je vérifierai si j’ai ton bonheur ! »Il mesure je ne sais quoi, la distance de mon cul avec ma chatte, mon tour de taille, et quelques autres tailles que je ne comprends pas.
- « C’est bon, j’ai tout, si je peux je reviens dans 10 minutes, sinon tu te contenteras de faire des pipes pour aujourd’hui »Je me rassois sur la chaise, j’ouvre la petite trappe devant un trou rond d’une vingtaine de centimètres de diamètre. Une bite bien raide apparait dans la minute qui suit. Elle a son petit chapeau. Le mec inconnu avance, j’ai sa bite et ses couilles devant le nez. Je le prends en bouche. Je le suce, titille son gland avec ma langue, je m’active. C’est génial, je n’ai que sa bite pour m’occuper, je ne suis distraite par rien d’autre de son anatomie, je ne m’occupe que de sa jouissance. De la soumission à l’état pur, diablement avilissant. Je me dis que je vais essayer de le faire gicler rapidement. La fille qui est allongée sur le dos à la première place du box commence à bouger. Je pense qu’un mec est en train de la prendre. Elle a posé son livre, et participe mentalement à l’acte. Elle est là pour subir la saillie. Le mec de l’autre côté ne voit que son corps à partir du nombril, de tout façon il n’y a que sa chatte qui l’intéresse. C’est dommage pour lui, elle est très jolie. La bite que je suce vient de gicler, je la laisse sortir de ma bouche, je pourrai dire à Jean que je l’ai fait gicler en 2 minutes 30 chrono, alors j’attends la suivante. Une autre, déjà, je n’aurai même pas eu le temps de boire un peu d’eau. Je suce le nouveau, il a une petite bite, il ne doit pas être vieux. J’ai confirmation peu après : je l’ai fait gicler encore plus rapidement. C’est avilissant à souhait ! Mais je suis très fier. J’aimerai bien le faire à l’air libre, à visage découvert ! Je frémis d’avance. La fille aussi a fini. Le mec a jouis et s’est retiré. Elle me dit que quelques fois c’est un peu frustrant, car elle ne jouit pas à chaque saillie, certains sont trop rapides, c’est le problème. Elle me dit qu’elle est en fac, qu’elle se détend comme ça. Le patron est sympa, comme il la trouve jolie, il ne lui fait pas payer l’entrée, elle se montre juste nue pour que les mecs la voient, pour les motiver, rien de plus. Incroyable, elle est un peu salope comme moi, elle vient se détendre en se faisant baiser, quand elle en ressent le besoin. Pas besoin de supporter un mec à la maison. Et c’est mieux qu’en boite, l’entrée est aussi gratuite mais ici, la saillie est garantie sans complication. Quand je lui dis que je suis là aussi pour le plaisir, elle rigole en me disant que je n’aurai pas assez d’orgasme, puis elle me demande si mes parents apprécient ma distraction. On est encore en train de rire quand Jean revient. Il me dit de fermer le clapet, et de venir. Devant la fille ébahie, il me met une ceinture de chasteté. Il vérifie qu’elle ne bouge pas en me secouant comme un prunier par la ceinture. Il me dit- « Voilà, j’avais ta taille. C’est un modèle qui bloque la chatte, mais qui laisse un accès total au trou du cul. Avec ça tu peux te faire enculer sans risque, comme promis. Tu veux commencer maintenant ou tu continues à sucer ? »- « J’avoue que j’hésite, je peux être installée ici, à côté de Mélanie, on pourra continuer à discuter entre deux coups ? »- « Pas de problème, mais ici c’est sur le dos, tu auras les jambes attachées en l’air. Faut que je vérifie en t’attachant que l’accès à ton cul est bon. On essaie ?
- « Allez ! »- « Regarde-moi que je te prenne en photo » Machinalement je le regarde en souriant et quand il a pris la photo je réalise- « Pourquoi tu as besoin d’une photo ? »- « Au-dessus du trou où tu seras allongée, il y a un petit écran 15 pouces, les photos de toi défilent pour que le mec sache à quoi ressemble la fille qu’il tringle. Il ne peut pas être certain que c’est vraiment toi, mais ça le rassure. »- « Après tu détruis les photos ? »- « En principe elles sont stockées quelques temps au cas où la fille revienne, ce qui est souvent le cas. Elles viennent souvent régulièrement pour le vice. J’en ai eu une qui est venue pour draguer un mec, mais le plus souvent, on a des demandes pour savoir si c’est rémunéré et combien. Quand une fille ne veut pas pour les photos, on utilise les photos d’une fille qui lui ressemble un peu. De toute façon, on garde toujours une ou deux photos en archives sécurisées au cas où la police ferait une enquête criminelle, pas la police des mœurs, uniquement la Crime. Je peux pour les photos ? »- « Oui vas-y ! Tu veux une pose particulière ? »- « Non, un gros plan du visage, une vue d’ensemble seins et chatte, et un gros plan de la chatte, pour toi ce sera ton trou du cul avec la ceinture en arrière-plan. » Clic-Clac c’est dans la boite !
- « Euh ! Et alors… c’est rémunéré un peu ? »- « Officiellement non, mais si la fille insiste… pour une heure uniquement en période d’affluence si on manque de filles pour faire marcher le Glory-Hole, maxi deux heures. »- « Je comprends, et nous, on ne voit pas les mecs ? »- « En principe non, mais si tu veux les voir, je t’amène de l’autre côté et je te fais rentrer dans le trou par là-bas. Tu veux quoi ?»- « Je viens avec Toi » Mélanie me dit - « Tu es folle, ils vont voir ton visage, ils pourront te reconnaitre dans la rue, s’il y en a un de ton lycée, ta vie deviendra un enfer »- « Pas de risque, je ne suis pas d’ici, je ne suis que de passage »Je sors avec Jean et je passe dans la grande salle où les mecs tournent la bite à la main pour la plupart. Je les regarde dans les yeux. Mélanie se trompe, aucun ne pourra me reconnaitre. Aucun ne s’est intéressé à mon visage, tous par mes seins et la ceinture de chasteté. Elle est faite dans un matériau souple, transparent très solide. Ma chatte est parfaitement visible, légèrement entre-ouverte : la bande entre mes cuisses au niveau du sexe est un peu large, elle appuie fort sur mes cuisses. Cela tire un peu sur les lèvres de ma chatte en les écartant un peu. Juste de quoi entre-ouvrir mon sexe et laisser deviner mes nymphes.
Jean me dit de me glisser par le trou, mais j’ai un peu de mal, le trou est un peu haut pour moi. Deux mecs lâchent leur bite, me soulèvent et m’enfournent par le trou. Je me mets en position, je sens Jean qui relève ma jambe gauche et l’attache à une chaine, il fait pareil à droite. La sensation est extraordinaire, pour la soumise masochiste que je suis, être attachée les jambes en l’air, écartées, l’intimité exposée à des inconnus dont on ne connait ni le nombre ni l’apparence, c’est extrêmement jouissif, l’orgasme est déjà presque là. Le premier qui va m’enculer sera étonné que je jouisse aussi vite par le cul, enfin à moins que personne ne soit intéressé par mon cul. Je sens Jean qui me caresse l’intérieur de la cuisse et me dit « amuse toi bien, petite, profite. »Et maintenant, j’attends, ah ben non, le premier est déjà là, le gland du mec s’appuie sur ma rondelle, il force, et d’un coup de rein arrive au fond. Je sens son pubis contre mes fesses. Il me pilonne pendant trois ou quatre minutes et je sens sa semence dans mon anus à travers le préservatif. Il se retire, le suivant est déjà là il s’enfonce d’un coup dans mon anus encore ouvert, il donne de violent coups de reins. Je jouis en gémissant, lui gicle alors que mon orgasme est toujours en cours. Ce sont des rapides. Hugo est un bien meilleur baiseur, même mes deux vieux de toute à l’heure ont fait mieux. Les bites se succèdent sans presque aucune interruption. Une fois, une a été plus grosse que les autres, et le mec savait mieux s’en servir, il est resté six ou sept minutes à me travailler l’anus, j’ai jouis une fois avec lui. A 10h30, je vois arriver Jean, qui me dit - « C’est l’heure. Fini pour aujourd’hui. Tu as aimé ? »- « J’y resterai pas des heures pour le plaisir ! Quand on se fait enculer faudrait que ça dure plus longtemps. Sinon c’est pas mal, mais je n’ai pas eu autant d’orgasme que je l’espérais. Ce sont de véritables TGV ces mecs. Ils ont presque giclés avant que j’ai senti leur présence. Jean, le mec actuel vient juste de commencer, laisse le finir. » Mélanie rit en disant- « Je préfère un TGV à un tortillard poussif, pense à nous qui les avons dans la chatte, heureusement qu’ils n’y restent pas vingt minutes chacun, ils nous feraient crever, l’idéal, un mec qui a déjà jouis une fois dans une autre fille, on a le temps d’avoir un orgasme et il te baise paisiblement »- « Connaisseuse je vois ! C’est vrai aussi que dans le cul, je monte moins vite, et avec la ceinture de chasteté, je ne peux pas me masturber en simultané. Au fait, elle est géniale. Jean, elle coute combien, si j’ai les moyens, je me l’offrirai bien. Je pourrai m’exhiber sans risque»- « C’est vrai elle te plait ? » devant mon hochement de tête, il me dit, « Tu as l’intention de revenir ? »- « Honnêtement, si mon Maître me le permet, j’aimerai qu’il accepte que je vienne au Glory-Hole… contre rémunération. J’ai un fantasme de prostitution, et ici c’est soft, plutôt un genre échangisme, ça reste amateur, entre adultes consentants, pas de risque que ça dérape, et s’il refuse, alors, de temps en temps, même si je n’ai pas besoin de l’argent, je n’ai pas les moyens de me payer régulièrement des trucs dans ta boutique, c’est un peu cher, et j’ai envie de tout acheter pour moi et aussi pour lui. Je pense que tu as compris que j’étais une soumise. Mon Maître est mon petit ami, il m’exhibe surtout, c’est rare qu’il me prête à quelqu’un sauf pour une fellation. J’espère qu’il prendra bien les sodomies de tes clients, sinon mes fesses vont être rouges pendant un bon moment ! »- « Ecoute, on va parler avec ma femme en remontant, on va te faire une proposition. Je vais te détacher, je te fais sortir par l’autre côté, les mecs apprécieront de te voir entière et à poil. »Jean arrive de l’autre côté, le mec est toujours en train de me labourer le cul. Je le sens gicler. Il se retire, la main de Jean est déjà sur ma cheville pour me détacher. J’entends un mec dire- « Qu’est-ce que vous faites Monsieur, je l’ai pas encore baisé moi ! »- « Désolé, jeune homme, je n’avais pas vu l’heure, sa maman l’attend à l’accueil elle va être en retard pour son cours d’éducation sexuelle » Jean se moque du mec qui n’insiste pasJe sens deux paires de bras qui m’aident à sortir du trou, je me retrouve au milieu de toutes ces bites… J’essaie de marcher, je manque de tomber. Je suis engourdie : presque une heure les jambes en l’air, écartelée, le dos bien rond pour donner libre accès à mon cul qui refuse de se refermer sur commande. J’ai des difficultés pour marcher. Je fais quelques flexions, je grimace mais ça va. J’ai mal aux jambes. On sort de la pièce sous le regard des mecs, et on remonte le couloir jusqu’à la grande salle du sexshop. Je suis toujours à poil. Je demande à Jean où sont mes vêtements. Il me fait comprendre qu’ils sont à côté de sa femme, à la caisse. Les clients me voient nue, sans complexe ni pudeur. J’arrive à la caisse, Jean me fait passer derrière. Sa femme, Mireille vient me prendre dans ses bras pour une accolade amicale, souriante et me dit - « Assied-toi, faut qu’on parle »- « Tu n’aurais pas mes fringues ? J’aime m’exhiber mais il a beaucoup de monde, là » Elle rigole en me tendant un sac du magasin avec ma jupe, mon haut et mes bottines. Il n’y a pas mon sac à mains. Elle comprend ce que je cherche, en pendant que je me rhabille, elle me dit- « Ton sac est dans le coffre sous la caisse, je ne voulais pas qu’il soit volé, je vais te le sortir » je la remercie d’un signe de tête, elle reprend « Jean me dit de te faire une proposition commerciale, alors voilà ce que nous te proposons : tu viens régulièrement faire de la pub dans le magasin. Tu aimes t’exhiber, alors tu te mets à poil et tu essaies les fringues sexy et aussi les plus osées. Tu te balades avec dans toute la boutique, tu fais bander les mecs et mouiller les filles. Côté rémunération, 200 euros en liquide de l’heure d’exhibe publicitaire, et s’il y a des ventes de fringues pendant que tu es là, 10% de chaque vente. Ta tenue représente presque 70 euros de prime. L’accès gratuit dans le Glory Hole bien sûr, mais pas plus de 2 heures d’affilées avec une pose de 10 minutes toutes les heures, c’est trop fatigant. On fournit les préservatifs aux mecs avec obligation de les utiliser. Les mecs doivent fournir un certificat de santé régulièrement. On a un vigil qui surveille sur écran que la règle soit respectée. Il s’assure aussi que les mecs soient corrects avec les filles. Quand je dis fille, 99% sont des filles, mais on a aussi des mecs qui viennent sucer et se faire enculer. Tu viens quand tu veux, pas d’obligation, tu es payée à chaque visite. Mais on est obligé d’avoir un dossier sur toi avec des renseignements et un contrat de service sans rémunération officielle au cas où l’URSSAF nous tombe dessus : Toi comme les autres filles, vous êtes officiellement toutes des salopes qui viennent s’encanailler. Inconvénient, pas question de salaire officiel, ni de prestation sociale, ce serait limite du proxénétisme, s’ils font une assimilation, on tombe sous le coup de la loi et on en prend tous plein la gueule. Jean m’a dit que tu serais prête à venir régulièrement, aucune obligation à te faire baiser directement dans le magasin en public comme aujourd’hui, mais aucun interdit, si tu en as envie, ne te prives pas. Par contre, je n’ai pas compris, tu te fais enculer mais pas touche à ta chatte. Je comprends pas ce que cela veut dire »- « Je suis encore vierge, je suis pucelle. Je voudrai que mon petit ami me prenne ma virginité, mais c’est un sujet pas très facile à aborder »- « Tu as tort, tous les mecs rêvent de dépuceler une fille, je connais même des porcs qui seraient prêt à payer pour coucher avec une vierge »- « Non ce n’est pas ça, je suis sa soumise, je lui ai donné mon corps et tous ses orifices, ma virginité était une clause spécifique, la remettre en question chamboulerait notre relation. Surtout si je lui dis, dépucelle–moi mon chéri je veux aller me faire sauter par tous les trous dans un sexshop »- « Je vois, ok pour ta chatte. Vu la quantité de mecs qui ont visité ton cul en quarante minutes, on te fera toujours passer par la salle pour t’installer afin que les mecs sachent que c’est bien toi. Faudra juste qu’on fasse attention qu’ils ne se battent pas pour te baiser avant les autres. Chacun son tour. Compte tenu que tu participes à la pub du sexshop, si tu veux baiser en public avec certains clients, dis-le nous, on sait à qui tu pourras faire confiance ; de plus, baise ou pas, tu auras trente pour cent de rabais sur tes achats au magasin sauf cas particuliers comme les fringues (10% pour les fringues) Bien sûr tu paieras en hors taxes, pas de tva entre nous on se débrouillera avec les profits et pertes. Est-ce que cette proposition te convient ? Parle sans gêne, tu nous rends service, on te rend service. De toute façon tu arrêtes quand tu veux »- « Jean a parlé que je vienne deux fois par semaine. Ne parlons pas d’août, c’est les vacances, pas de problème. Par contre après la rentrée, je n’aurai que le mercredi après-midi, et éventuellement le samedi ou dimanche si mes parents ne me coincent pas, je ne pourrai jamais savoir avant de partir, de plus mon scooter n’est qu’un 50cc, il me faut presque 1.5h pour venir et autant pour repartir. Il ne reste pas beaucoup de temps pour m’exhiber pour vous avec vos fringues. »Mireille réfléchit. Jean lui a dit que Karine habite à G…, 70 km, 140 km aller-retour, ça va être long surtout en hiver. En plus, faire 140 km pour maxi deux heures de présence c’est pas vraiment rentable, pour personne. La fatigue en sus. Mireille se redresse, elle vient de prendre une décision. Elle demande- « Tu as ton permis voiture, ou moto ? »- « Je viens de passer le permis 125, mais j’attends d’avoir des sous pour le permis voiture »- « Si tu as le permis 125, pourquoi roules-tu en 50cc ? »- « J’ai regardé, trop cher pour moi : 3000 euros pour une occase sur le bon coin. J’ai dit à mes parents que je voulais de l’argent pour mon anniversaire et à noël pour m’acheter un scooter 125. Actuellement je n’ai que 1000 euros sur mon livret. »- « Voilà ce que je te propose, je te prête l’argent pour t’acheter un scooter 125, tu me rembourses par la moitié de tes gains à chaque fois, jusqu’au solde. Pas d’intérêt. Un jour comme aujourd’hui tu te serais fait 270 euros soit 135 euros pour me rembourser, il suffit de sept ou huit trajets pour rembourser plus de mille euros, alors regarde les prix, commande le. Achète un bon modèle, pense aussi à cet hiver, si tu es soumise à ton mec, je suppose que tu ne portes jamais de culotte, même en hiver. En scooter sans culotte pendant 70 bornes, et tu vas choper un rhume de foufoune ma belle. Ta chatte sera toute dure » Elle rigole en disant ses conneries, mais si elle savait comme j’ai eu froid à la chatte en venant et on est en été, alors en décembre c’est sûr, en arrivant j’aurai des glaçons qui pendront à la chatte.
J’ai vu sur internet un genre de cabine sur un scooter BMW, une bonne marque fiable, je vais chercher.
- « D’accord merci, je vais regarder en occase j’espère trouver parce qu’en neuf ça va me couter la peau de mon cul et aussi de ma chatte »- « Ça serait dommage pour ta chatte, elle a l’air de beaucoup plaire comme elle est actuellement »- « Prépare le contrat, je pense qu’il y aura un contrat, c’est normal, surtout si tu me prêtes de l’argent. » - « Tu es une drôle de fille, la plupart essaierait de m’arnaquer, toi tu penses à me protéger. Jean a raison. Je vais préparer un bon contrat, ce sera un acte sous seing privé, un contrat officiel ne passerait pas forcément juridiquement, tu seras aussi bien protégée. »- « C’est quoi acte sous seing privé ? J’ai jamais fait de droit encore »- « C’est un document qui est fait entre plusieurs personnes, et que les juges et la police n’ont pas à connaitre. Il établit une ou plusieurs règles entre les signataires. Ici tout ce que nous venons de dire, activités, salaire, temps de travail, rabais, règle de prêt et des remboursements, règles de rupture. Je regarderai si j’ai oublié quelques choses. On le signe tous les trois devant un notaire pour le faire authentifier. Il gardera un exemplaire en archives et nous on aura chacun un exemplaire pour la vie de tous les jours. »- « Devant notaire c’est officiel, mais alors mes parents vont savoir pour le Glory Hole et mes exhibitions »- « Pas du tout. Primo, le notaire, tu le connais, il t’a enculée tout à l’heure au premier, il ne parlera pas, Secundo, le notaire et son associé, qui lui aussi t’as enculée au premier, sont associés passifs du sexshop, ils n’ont donc aucun intérêt à parler de notre arrangement. Alors réfléchis bien à notre proposition, je me suis permise de prendre ton téléphone quand je l’ai entendu beeper tout à l’heure pour les sms des notaires, et j’ai rentré notre téléphone privé à Jean et Mireille. C’est anonyme et discret. Si tu penses à quelque chose appelle-moi. Au fait, voilà un sac avec tes cadeaux de la part des notaires, et ceux de notre part à Jean et moi. Je te le garde là avec ton sac à main, maintenant que tu es habillée, file à l’étage, Jean t’attends, dis-lui qu’on est d’accord sur le principe on signe probablement la semaine prochaine. Redescend avec lui en partant. »- « Dimanche, je te demanderai peut-être autre chose, mais je dois en parler à Hugo avant »Je l’embrasse en la serrant fort dans mes bras, et je cours à l’étage. Jean m’attend au fond, dans l’espace plus dégagé. Je lui transmets le message de Mireille, il sourit, content de lui. Il me dit- « Maintenant on se dépêche, appuie toi sur la vitrine là » Je me penche en avant les deux bras croisés sur la glace, le nez dirigé vers les fouets, paddles, verges et autre martinets. Jean me met devant la bouche le plug anal que j’avais choisie.
- « Lèche-le bien qu’il soit bien lubrifié » Je le lèche, et bave dessus pour qu’il soit couvert de salive. Pendant ce temps, Jean relève ma jupe et la remonte jusqu’à mon nombril. Il exagère, la remonter de dix centimètres aurait suffi. Je tourne un peu la tête : je comprends, nous avons des spectateurs. Il récupère le plug d’une main, de l’autre il écarte mes fesses. Il le plante en douceur dans mon cul. Les sodomies à répétition font qu’il rentre comme dans du beurre. Aucune gêne. Il me dit- « C’est le petit que tu as choisi. Maintenant ceux que je te recommande, je vais t’en mettre deux différents, dis-moi celui que tu préfères » Il retire le premier, me colle le deuxième, puis enfin le troisième. Il me fait me relever. En position debout, je sens bien le plug peser sur mon sphincter, c’est agréable, avec le premier je ne sentais rien.
- « Jean, je suis très en retard, dépêche-toi s’il te plait. Le dernier, c’est le plus agréable. »- « Je m’en doutais ! Vendu, il est à toi, tu verras en arrivant chez toi tu le sentiras bien peser à l’intérieur. Tu l’enlèves le soir tu le nettoies à l’eau et au savon, pas de détergent. Tu le suces bien avant de le mettre. Amuse-toi bien avec ton jouet »- « Jean, une question, le martinet, là, il fait mal ? il laisse des marques ? »Jean me regarde dans les yeux et dit me le donnant- « Soit prudente avec ça, pas d’excès, mal employé il peut faire très mal et laisser des marques permanentes. N’oublie pas ton safeword si ton maître joue avec sur toi, n’hésite pas à le prononcer si tu vois le moindre sang. »Je l’embrasse sur la joue, et on redescend voir Mireille. Je pose le martinet et la boite du plug sur la caisse. J’attrape mon portefeuille pour payer mes achats, et j’attends. Mireille me sourit, met les deux objets dans le sac. Elle me donne ensuite une liasse de billets de 10 euros.
- « C’est ton salaire pour aujourd’hui, on a triplé les ventes de fringues hot, fais attention sur la route » Elle ressort le martinet « cadeau, pense à nous quand ton petit copain te marquera le cul pour la première fois »Je ne dis rien, reconnaissante, je sors et me dirige vers mon scooter. J’enlève l’antivol, regarde autour si on peut me voir, il y a deux mecs dont la tête me dit quelque chose, ils devaient être au Glory-Hole. Je range le sac avec mes nouveaux cadeaux dans le top case, je passe la jambe pour m’assoir, soulève l’arrière de ma jupe pour poser mes fesses directement sur la selle, je sens le plug bien coincé contre la selle, à l’intérieur de mon cul. Au moment de démarrer les deux mecs me barrent le chemin et me proposent d’aller boire un verre avec eux. Je leur dis que je n’ai pas le temps, et voyant qu’ils me reluquent la chatte et qu’ils n’ont pas l’intention de me laisser partir, je lève les yeux vers la caméra de surveillance, et mes lèvres miment « aidez-moi »La porte s’ouvre trente secondes plus tard, et Jean déboule.
- « Un problème les gars ? Vous êtes certains de vouloir chercher la bagarre ? »- « On ne veut pas la bagarre, on demande juste si elle veut boire un verre avec nous »- « Et elle vous a dit non, alors barrez-vous avant qu’on se fâche et que vous soyez interdit de séjour ici »- « Ne vous fâchez pas Monsieur, on s’en va, sans rancune Mademoiselle, on espère que vous reviendrez, vous êtes trop belle »Je remercie Jean et je me mets en route. Je regarde l’heure : 11h, je n’ai plus la moindre marge de manœuvre. Si je suis en retard, mon gynéco sera fermé. Je démarre et roule à fond tout le temps. Je pense que je vais devoir faire attention maintenant que je vais me balader sans culotte, cette micro-jupe est assez risquée. Pourtant, j’avoue que je ne me préoccupe pas de quel pied est posé au sol à chaque feu rouge. C’est en entendant certaines réflexions que je me dis que je me suis encore trompé de pied, mais je m’en fous, ils n’ont qu’à regarder mon minou, si cela leur fait plaisir, qu’ils en profitent. Je sors enfin de la ville. Je fonce, j’espère être à l’heure. J’arrive à destination, et file directement au cabinet du gynéco. Je regarde l’heure, midi moins une.
(à suivre)

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Texte coquin : Karine et le plaisir de la soumission 7
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