Karine et le plaisir de la soumission 10

- Par l'auteur HDS Dan48 -
Récit érotique écrit par Dan48 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Karine et le plaisir de la soumission 10 Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-11-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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Karine et le plaisir de la soumission 10
CHAPITRE 10 : Photos et vidéo (1ère partie)Hier, j’ai passé une journée fatigante. J’ai agréablement préparée la journée d’aujourd’hui, la dernière avant qu’Hugo ne parte avec ses parents en vacances loin de moi. J’ai d’abord trouvé un « petit boulot ». Je suis obligée de mettre des guillemets à boulot, parce que ce sera probablement un plaisir pour moi d’aller travailler dans ce sexshop. Le pied absolu pour une exhibe comme moi. On m’a proposé une rémunération, au black bien sûr, de 200 euros de l’heure plus un pourcentage des ventes. C’est énorme, mais j’étais prête à le faire gratis. En échange, je dois venir régulièrement. J’ai dit Top là ! Le job consiste à essayer des fringues sexy, et même osées en me montrant dans tout le sexshop. En résumé, la moitié du temps je suis habillée en pute, l’autre je suis à poil devant les clients. Le pied ! Et cerise sur le gâteau, si j’arrive à séduire un client, peut-être qu’il pourrait me payer la tenue de pute que je lui aurais montrée. Bien sûr, pour le séduire, il faudra probablement payer un peu de ma personne, mais je suis toujours d’accord pour me faire baiser en public, donc un super petit boulot. En plus, il y a le bonus du Glory-Hole ! Mais cela on verra à l’usage. Puis j’ai séduit mon charmant gynécologue : à la fin de mon rendez-vous, je l’avais tellement chauffé avec le récit de l’évolution récente de ma sexualité, qu’il n’a pas pu résister. Je l’ai remercié avec une pipe d’enfer. Et après avoir passé l’après-midi chez l’esthéticienne à me faire épiler, je me suis fait séduire à mon tour par celui qui venait de me dépoilée. J’ai bien dit celui, la propriétaire étant absente, j’ai un peu truandé les employés en pleurant sur l’urgence, j’ai ajouté 100 euros en liquide pour eux, et j’ai obtenue d’être épilée par le seul homme parmi toutes ces femmes. C’était génial. Il m’a mis les mains partout, j’étais à poil exposée dans toutes les positions. L’exhibe parfaite. A la fin, il a tenté sa chance avec moi, malgré la douleur de l’épilation au laser, j’étais chaude comme de la braise. On a baisé sur la table de massage. C’était bon ! Mais il faut vraiment que Hugo me dépucelle, le cul c’est bien, j’adore me faire enculer, mais j’aimerai bien avoir une bite au fond de ma chatte. Ça doit être trop bon.
Bien sûr, le soir, j’ai fourni à mes parents une version très édulcorée de mes activités du jour : Pour eux, j’ai trouvé un boulot à temps partiel au black dans un magasin de fringues qui loue aussi des dvd, puis visite chez le gynéco, tout va bien, et enfin un soin esthétique avec épilation du maillot. Une journée standard de jeune femme de 18 ans.
J’ai passé une bonne nuit à récupérer, ma libido dans les bottines.
Au moins, ce matin, Hugo est très content des résultats. Quand il a vu le ticket de métro mini sur mon pubis, j’ai vu ses yeux s’éclairer. Mais depuis, je suis un peu frustrée : il a dit que lors de mes exhibes, les mecs seront satisfaits de voir ma foufoune parfaitement épilée. L’épilation laser je l’ai faite pour lui, pas pour les autres.
Par contre, quand j’ai parlé du Glory-Hole gratuit, savoir que je vais me faire enculer deux fois par semaine sans lui dans un sexshop, et par un nombre indéterminé de mecs… ça l’a un peu refroidi. La rémunération et les fringues gratis ont fait passer la pilule, mais c’était limite. Vu sa réaction, j’ai passé sous silence la pipe avec le gynéco, j’ai juste dit que j’avais ma pilule et de la pommade pour apaiser mon cul après les fessées. Je n’ai même pas abordé le sujet de l’institut de beauté, pour lui, Vanessa a fait le travail, exit la partie de jambes en l’air avec Bruno. Mais quand je lui ai montré le martinet, il l’a essayé de suite, sur les feuilles d’un buisson heureusement, car vu la violence des coups… les feuilles étaient hachées, mon cul aurait été marqué pour un mois et j’aurai alerté la moitié de la ville par mes hurlements. Il va devoir se modérer le Hugo : c’est un achat pour notre plaisir commun, pas pour la destruction de mon petit postérieur.
On est allongé l’un près de l’autre depuis que je suis arrivée, j’ai juste viré mes fringues, rien de plus, depuis j’attends. Rien. Je sais que mon récit l’intéressait, mais je pensais qu’il aurait déjà entrepris de me dilater mon petit trou avec sa bite. Ça fait quand même plus de trente minutes maintenant que je suis à poil devant lui, à onduler du bassin et rien. Il regarde mais ne touche pas. Il est mon maître, je ne suis que sa soumise, ce n’est pas à moi d’attaquer, c’est à lui de prendre la décision de m’enculer ou de se faire sucer. Je m’en fiche, comme il veut, mais j’ai besoin de sa bite. C’est en principe le dernier jour avec lui avant son départ en vacances avec ses parents, sa passivité me fait enrager.
Soudain, sa montre se met à sonner. Il dit- « Déjà 10h, ça passe vite ! Viens ! On va se promener »Voilà autre chose maintenant ! Une promenade ! Je me rhabille en vitesse, frustrée mais je ne dis rien. J’essaie de cacher ma mauvaise humeur. On rejoint le sentier et on se dirige vers le centre aquatique et le parc attenant. Bien que je ne sois pas vraiment habillée pour une partie de campagne, je souris un peu, il m’a, semble-t-il, préparé une surprise… On traverse le centre sans s’arrêter et on entre dans le parc. Ma gaieté se rafraichit considérablement : il n’y a ni bar, ni restau, par ici, uniquement une activité accrobranche. Je ne me vois pas faire de l’accrobranche en (très) mini-jupe et sans culotte en période d’affluence. La sécurité du parc va débouler en cinq secs.
On tourne à gauche, je soupire de soulagement, l’accrobranche est à droite. Je ne sais pas ce qu’il y a de ce côté. C’est joli, bien aménagé, avec des bancs, une belle pelouse agrémentée de bosquets un peu partout, c’est bien vallonné. Le paysagiste a fait un job du tonnerre, mais moi je me fais un peu chier pour tout dire, en plus Hugo marche vite, je suis fatiguée de courir. Il regarde sa montre, ralentit enfin et dit - « C’est bon, on est à l’heure, il est là ! »Je regarde devant nous, je vois un mec et un couple sur des bancs devant nous, mais personne de connu… J’espère que nous n’avons pas rendez-vous avec ce mec. Typiquement le genre de type que je n’aime pas. Il a le regard vicieux, je le vois me regarder des pieds à la tête. Il doit avoir entre trente et quarante ans, un mec assez grand, plutôt balaise, mais ce que je n’aime pas, ce sont ses poils qu’il exhibe par sa chemise déboutonnée. Une vraie moquette. Beurk ! Je déteste ça. Moi j’aime les mecs avec peu ou pas de poil, dont on peut voir les abdos quand y’en a. Je ne demande pas des surhommes, mais seulement des hommes, pas des singes.
Je reste au milieu du chemin pour pouvoir continuer tout droit, mais j’entends Hugo qui m’appelle. Il s’est arrêté devant ce mec velu. Je reviens me mettre à côté d’Hugo et regarde en direction du couple à quelques mètres. Je vois une poussette. Ils ont moins de trente ans, ce doit être des jeunes mariés qui viennent d’avoir un bébé. Ils ont l’air heureux. Je tourne la tête vers Hugo, je fais semblant de m’intéresser à la discussion, mais je tique quand j’entends le mec dire- « Oui ! Y a pas d’embrouille elle est canon. Elle les mérite »Qu’est-ce que je mérite ? Il parle de quoi ? Je m’inquiète. Hugo reprend- « Alors, tu veux quoi ? Si t’es pas intéressé, on s’en va, pas de problème ! » L’autre répond- « On peut voir sa chatte ? » Je fusille Hugo du regard, je suis venue ce matin faire l’amour avec lui, et lui me prépare une exhibe pour un type que je hais. Hugo me regarde et me dit- « Soulève ta jupe qu’il voit ta chatte bien épilée de frais ! » J’ai envie de pleurer, j’hésite, mais en tant que soumise, il commande j’obéis. Je roule ma jupe jusqu’à la ceinture, mon sexe et mes fesses sont totalement exposés, au milieu du chemin. Je tourne la tête vers l’homme assis qui me répugne. Il a les yeux braqués sur ma fente totalement découverte depuis l’épilation. Je n’ai même pas eu le temps de demander à Hugo si maintenant on pouvait voir mon bouton quand il pointe. Hugo veut me prêter à ce mec, ma première excitation avec ma chatte épilée sera pour un autre. Je tourne la tête et voit que le couple a le regard braqué sur moi et ma jupe relevée. J’hésite à rebaisser ma jupe, mais Hugo n’a rien dit, il continue à parler avec ce mec. Je m’adresse au couple- « Ne vous inquiétez pas, je suis sa soumise, je me suis donnée à mon maître. Je ne suis pas obligée »La fille voudrait appeler la police, je lui dis- « Merci, non, c’est moi qui aurai le plus de problèmes. Je vous en prie. Je suis très exhibitionniste, j’aime ça ! »La fille hésite, son mec lui parle doucement. Ils détournent le regard, mais je vois qu’ils surveillent du coin de l’œil. Je regarde Hugo pour reprendre le fil de leur conversation.
- « Bon, ok ! Si ses nénés me plaisent on fait affaire à 50 et tu passes tout à l’heure la récupérer» Hugo me dit- « Montre lui tes seins qu’on en finisse » Hugo parait coincé par ce mec. Je tourne la tête vers le mec, j’ouvre la petite fermeture éclair de mon top-croc, et écarte les pans à droite et à gauche. Ayant mis les épaules en arrière pour bomber le torse et faire ressortir mes seins, le top tombe derrière mes épaules dénudées et s’arrête au niveau de mes poignets. Je suis torse nu, mes seins durcis par l’excitation de l’exhibition publique, du coin de l’œil je vois mes tétons gonflés. Je sens ma cyprine humidifier ma chatte. J’aperçois le couple qui me regarde avec intérêt : avoir avoué mon exhibitionnisme les a rassurés sur la violence apparente des ordres d’Hugo, et la libido de la femme certainement en berne depuis l’accouchement semble se ressaisir, elle a posé sa main sur la cuisse de son homme, pas très loin de l’attirail du monsieur.
Je suis stupéfaite, à côté de moi, le mec se lève et prend les 50 euros que tient Hugo. S’il me vendait à ce mec, ce devrait être le client qui paie pour baiser. Je me demande pourquoi c’est Hugo qui paie 50 euros pour que je montre mes seins et ma chatte. Au sexshop, on me payerait pour ça, pas l’inverse. Je tombe encore plus de haut quand Hugo me dit- « Tu vas avec lui, tu es gentille, et t’inquiète pas il est au courant pour ton pucelage, il y touchera pas »Hugo vient bien de me vendre, enfin non pas vendre, il paie pour que ce mec me baise. Mais pourquoi c’est lui qui paie ? Je le regarde, il me sourit rassurant. Qu’est-ce qu’il a bien pu me préparer comme surprise ? Il me dit doucement- « C’est important, vas-y vite ! »Et en plus, je dois me précipiter vers ce porc poilu. J’espère ne pas me faire ramoner comme une putain. J’ai honte, je regarde le couple qui me jette un regard étonné de la tournure de l’exhibition. Pour la première fois, j’hésite à utiliser mon safeword, puis me rappelant mon impression d’avoir vu Hugo coincé, ayant besoin de mon aide, je souris au couple pour les rassurer, enlève complétement mon haut pour leur faire croire que mon exhibition continue plus loin. Je m’éloigne seins nus.
Je cours pour rattraper le mec qui me regarde et qui voyant ma tenue me dit- « Quelle salope ! Rajuste-toi, je ne tiens pas à avoir des problèmes avec les keufs »Je remets mon haut sans le fermer, redescends ma jupe, et ferme enfin le haut à moitié pour laisser mon décolleté apparent. On arrive à sa voiture, elle est propre. Je m’attendais à une poubelle. Avant de démarrer, il se tourne vers moi, il me met sa main droite sur la chatte, il la fait glisser sur ma fente. Machinalement j’écarte les cuisses, docile. Il ressort sa main, bouge ses doigts, constate qu’ils sont mouillés, couverts de cyprine. Il me dit- « Fais attention de ne pas tacher le cuir, attrape le chiffon à tes pieds et fout-toi le sous la chatte pour éviter les taches. » Je ramasse un chiffon pourri- « Il est dégueulasse ton truc, je ne vais pas m’assoir la dessus ! »- « T’as gueule ! Tu choisis tu t’assois dessus ou je te laisse ici à poil. Je t’assure que ce que tu prendras dans ta chatte dans les dix minutes ne sera probablement pas plus propre » Il n’est vraiment pas aimable. Soumise, je me tais et glisse le torchon sous ma chatte en essayant de tirer ma jupe afin qu’il n’y ait aucun contact direct entre ma chatte et ce torchon. J’ai de plus en plus peur : on entre dans une cité crade, je reconnais, c’est le repère des trafiquants de drogue de la ville.
On la traverse sans stopper, et on s’arrête enfin devant un petit entrepôt sans enseigne ni marque distinctive. On descend de voiture et on entre par une petite porte. Il allume la lumière, l’entrepôt est aménagé, je suis dans une immense chambre avec un lit rond énorme, on doit tenir au moins à dix tant il est grand. Il y a des draps violets, des tentures roses et noires, des sextoys posés en vrac sur les meubles ou trainant à même le sol. Dans un coin, des préservatifs usagés. Très classe ! J’ai envie de vomir. En plus, ce mec ne doit jamais faire le ménage, C’est clair, cette nuit, quelqu’un a baisé dans les draps, les tâches fraiches sont révélatrices. Il me dit en se dirigeant vers le minibar- « Karine, mets-toi à l’aise, tu veux boire ? Bière ? Un soda ? »- « Un soda, merci »Il connait mon nom. Pourquoi Hugo lui aurait donné mon nom ? Je commence à avoir la certitude que c’est bien une surprise qu’Hugo m’a concocter. Je l’adore. J’aime les surprises, mais je vais l’engueuler quand je le verrai, ce mec m’a vraiment foutu la trouille.
Il me tend un coca frais qu’il vient de décapsuler. En buvant sa bière, il me dit- « Bon, Moi c’est Pierre, je te donne le programme défini avec Hugo ? »- « Oui j’ai hâte de savoir ce qu’il m’a préparé ! » Pierre sourit- « D’abord, je te baise, t’es trop canon. Hugo m’a dit que tu étais encore pucelle, pas de problème, et aussi que tu te faisais enculer, j’adore ça. Puis tu me laves la bite avec ta langue. La partie plaisir terminée, on va faire des photos. Tu prendras les poses que je te dis, tu verras c’est facile. Tu passeras pour une véritable truie auprès de ceux qui les verront. Vers midi, midi et demi maxi Hugo arrivera, et ta partie de baise avec lui commencera, je continuerai de faire des photos. Il m’a parlé de ta position la tête en bas empalée sur sa bite. Les mecs vont bander fort en te voyant à poil comme ça. Il y a aussi des caméras, une, fixe au plafond, deux mecs viendront dans une demi-heure environ pour aider à te préparer et à te filmer sous tous les angles avec les deux autres. Demain je fais le point sur tout, je fais le montage vidéo, et si tout est bon, je donne tout à Hugo disons… demain soir. Mais honnêtement, j’espère qu’il y aura un problème comme ça tu seras obligée de revenir pour des rushs complémentaires, et je pourrai recommencer à te baiser. Ah ! dans le deal, tu dois faire une pipe aux deux aides »Je ne comprends pas grand-chose à son programme à part que je vais me faire baiser et que je dois sucer deux mecs. Je ne suis pas certaine d’apprécier la surprise d’Hugo. Le sexshop est nettement mieux et en plus c’est propre là-bas.
- « Et c’est quoi ce film et ces photos ? Pourquoi c’est Hugo qui les récupère ? » dis-je ;- « Si tu les veux je te les donne à toi, je m’en fous c’est ton cul, mais j’avais cru comprendre que c’est Hugo qui s’occupe de la mise sur le net ! C’est bien ce que tu lui as demandé, Non ? Il s’est mangé ou c’est bon alors ? » (Cf. Chapitre 4)Je me rappelle maintenant que je voulais des photos anonymes à envoyer aux gens qu’on connait pour qu’ils nous voient baiser à poil sans qu’ils sachent que c’est nous. Une grosse exhibition bien crade, mais impossible à assumer publiquement dans notre ville. Le scandale serait trop grand, mes parents seraient obligés de déménager, moi aussi d’ailleurs. Quant à Hugo et ses parents, je pense qu’ils partiraient aussi. Trop la merde, ça doit rester anonyme. Rassurée, je lui dis- « Hugo a oublié de te dire que personne ne doit pouvoir nous identifier d’une façon formelle. S’ils se disent « ça doit être Hugo et Karine », pas grave s’ils n’ont pas de preuves, ce serait même mieux, on serait soupçonné, donc ils nous materaient avec plus d’attention et seraient sûr de reconnaitre nos parties intimes, sans être capable de le prouver. Aucune preuve, c’est le plus important »- « T’inquiète, Hugo me l’a dit, quand Tom arrive on t’explique comment on fait. En attendant, Hugo m’a dit que tu accepteras que je t’encule, alors si tu es d’accord ? »- « Ok, si Hugo a dit que tu pouvais m’enculer, mon petit cul est à toi. Mais je voudrai te dire un truc… si je ne jouis pas, ce n’est pas grave… enfin…tu n’es pas du tout mon type de mec, mais alors pas du tout… » Devant sa réaction, je rajoute « Ce n’est pas que tu n’es pas beau… mais… je n’aime pas les poils. Et avec toi, j’ai l’impression que je vais me faire baiser par King Kong. » Il éclate de rire, puis me dit en retirant son pantalon- « Oui ! Je suis d’accord avec toi, moi non plus je n’aime pas les poils, mais là c’est affectif, je n’arrive pas à me séparer d’eux ! » et s’esclaffe.
Je ris, j’aime son humour, et le voyant enlever son polo, je me dis « tant pis pour les poils » je me déshabille à mon tour. Je suis nue maintenant, sans complexe. Je le regarde, et mes pires craintes se confirment. Non seulement il a une véritable moquette sur la poitrine, mais il a aussi plein de poils dans le dos, sur le ventre. Et alors sa bite, et son pubis sont couverts de poils, bien brun, un vrai singe. Quand je pense à Hugo qui m’a demandé de me faire épiler la vulve pour pouvoir me faire des cunnilingus… Je grimasse ne pensant qu’au moment où je vais devoir le sucer, j’aurai autant de viande que de poils dans la bouche.
Pierre s’approche de moi, il me roule une pelle, me prends dans ses bras et m’amène sur le lit… dans les draps tachés. Il m’allonge, je m’étends les bras et les jambes en croix offerte. Il a compris que c’est plus pour obéir à Hugo que par envie, ses mains se posent sur moi et me caresse. Il empaume mes seins, et pince mes tétons en même temps. Il est doué, j’adore sa façon de me baiser. Sans rien lâcher, il dirige sa bouche vers ma chatte déjà très mouillée.
- « Salope, tu es déjà trempée. Tu n’attendais que ça, j’te plais pas alors… mais tu n’attendais qu’un bon coup de queue ! sale chienne ! »J’aime qu’on me parle crument pendant l’amour, qu’on m’insulte, me rabaisse. Il me pince et tord mes tétons je gémis, je hurle même quand il me mort violemment un téton. J’ai l’impression qu’il voudrait l’arracher. Je ne me débats aucunement, je reste offerte à son désir, la parfaite soumise voulant satisfaire son male. Je sens sa main passer sur mon cul, et un doigt s’introduire dans mon cul. Je me cambre pour l’aider. J’entends la porte s’ouvrir, je tressaille. Mon singe interrompt une seconde son doigtage pour me glisser « C’est Tom t’inquiète » et introduit un troisième doigt. Il force sur ma rondelle en tournant comme un malade. Je mouille. Régulièrement il les retire, frotte mes nymphes et les replonge dans mon cul couvert de cyprine. Il rentre un quatrième doigt. Je me demande si sa bite devient si surdimensionnée quand il bande à fond, ce que j’en ai vu jusqu’à maintenant c’est qu’elle est un peu grosse, mais quatre doigts, je n’en vois pas l’utilité… Après tout, je suis là pour qu’il m’encule et il le fait très bien avec sa main, j’attends sa bite avec impatience, surtout s’il confirme son côté vicieux en me prouvant ses compétences en bourrage de cul. Les va et viens de sa main dans mon cul provoque l’explosion de mon plaisir. Un orgasme me secoue. Je sens son pouce qui appuie fortement sur mon bouton. Je comprends la rapidité avec laquelle est venu cet orgasme. Soudain il s’arrête, m’attrape par les hanches me soulève en me faisant tourner en l’air, un fada ce mec ! Je ne comprends pas comment il a fait, je retombe à quatre pattes devant lui. Je rectifie ma position en me tournant légèrement. Mon cul est maintenant juste devant la bite, je me cambre en écartant les genoux. Il plante sa bite contre ma rondelle et pousse lentement. Sa bite rentre, elle n’arrête pas d’entrée, Putain qu’elle est longue. Je la croyais plus épaisse, les poils c’est trompeur, elle me gratte en passant mon anus, c’est une sensation étrange, différente de d’habitude. Il donne un violent coup de reins, je sens enfin ses couilles battre sur mon pubis. Dans mon cul, sa bite couverte de poils m’écarte ‘soyeusement’. Les frottements sont différents, plus doux, mais ça chauffe plus. Je pense en moi-même qu’une bite comme ça dans une chatte doit nécessiter plus de lubrification pour éviter d’avoir mal. On ne doit pas pouvoir baiser aussi longtemps. Je vois devant ma bouche une bite toute neuve, sans poil sur la verge, comme j’aime. Tom qui nous regardait depuis quelques minutes en sirotant une bière a dû se dire qu’il pouvait participer… à moins qu’il ait juste fini sa bière. Je plonge sur ce membre plus conforme à mes désirs et l’enfonce au maximum au fond de ma gorge. Du premier coup en gorge profonde. Je deviens douée. Pierre me travaille le cul avec des « Han ! » de bucheron, tout en finesse. Il est en train d’exploser ma rondelle. Il explose brutalement, déjà ! Je ne m’y attendais pas. Je sens son sperme dans mon colon. Cet enfoiré n’a même pas mis de capote. J’espère qu’ils ont un endroit pour que je me lave sinon Hugo ne sera pas content de bouffer le sperme de Pierre quand il me sucera. Il ressort de mon cul et s’allonge à côté de moi, essoufflé. Je continue ma pipe paisible sur Tom qui résiste. J’entends la porte à nouveau, c’est un véritable hall de gare ici, je continue de sucer sans m’en préoccuper.
Je sens deux mains nouvelles sur mes hanches, une voix dit « Moi, c’est Michel », il me plante sa bite d’un coup au fond du cul, jusqu’à la garde et reprend « Bonjours ! J’ai vu une place libre, j’en profite » et il me lime le cul avec vigueur. Hugo a négocié deux pipes et une sodomie, je devrai protester, mais c’est trop bon, je continue de sucer Tom en poussant mon bassin à chaque fois que la bite de Michel s’enfonce dans mon cul. L’impact est plus violent. Je vibre, je jouis en quelques secondes. Je retire la bite de Tom de ma bouche et lui demande s’il préfère mon cul sale ou que je le finisse à la bouche. En riant, il me dit que ma bouche est trop divine pour qu’il l’abandonne. Je continue en le titillant avec ma langue, il explose dans ma bouche. Je lui montre le sperme que j’ai recueilli puis j’avale. Je m’allonge sur le dos, bras et jambes en croix, heureuse. Michel en arrivant a mis la clim à fond. J’ai rapidement froid, je me glisse sous la couette. Tant pis pour les tâches. Je sens quelque chose contre mes fesses. Je passe la main et ressort un magnifique tanga que sa propriétaire a oublié. Je le tiens avec deux doigts. Moqueuse ; je dis- « Lequel de vous trois a oublié sa culotte dans mon lit ? »Ils rigolent tous, et Pierre me dit- « Il est à toi si tu veux ! » Voyant ma moue « Tu as tort, il est très bien, fendu devant et derrière, en principe, il n’est pas utile de l’enlever. Justine n’a rien compris à son fonctionnement. Elle ne le mérite pas » Michel lui répond- « Je vais le dire à ta sœur, donner sa culotte à une inconnue qui ne dit même pas bonjour, une belle inconnue certes, mais une inconnue tout de même ! A qui ai-je l’honneur de parler maintenant que j’ai fini de vous enculer belle demoiselle ? » Je ris et réponds- « Désolée, je suis bien éduquée, je ne parle jamais la bouche pleine, sinon c’est Karine, Belle enculée fera l’affaire si tu préfères puisque tu as pris la petite porte. Je pensais ne te devoir qu’une pipe »- « Enchanté belle enculée, pour la pipe pas de problème je suis déjà prêt » je ris mais Pierre intervient- « Désolé la pipe devra attendre, on est en retard »Je le coupe à mon tour- « Désolée aussi, mais je vous informe que deux enfoirés m’ont enculée sans préservatif. Je sens que j’ai une fuite au cul, j’ai besoin de me laver avant d’en mettre partout » Tom m’amène à un grand bac en béton avec un brise-jet fixé au robinet. Il n’y a que çà. Le bac fait environ un mètre de profondeur. Je sens du sperme couler le long de mes jambes. Je lui demande de m’aider pour entrer dedans pendant que Pierre et Michel range un peu le lit. Ils remettent aussi de l’ordre dans les godemichets. Je mets l’eau chaude à couler, mais elle reste désespérément froide. Je demande à Tom s’ils ont un problème avec le ballon d’eau chaude. Il sourit en disant qu’il est toujours dans le carton d’emballage. Il n’a pas eu le temps de le monter. Je vais devoir me laver le cul et les jambes à l’eau froide. J’ai tellement froid au cul que je suis insensibilisé, je ne trouve pas le trou, je pousse à côté, je me fais mal pour rien. Je demande encore à Tom de m’aider, de mettre le brise-jet dans mon trou du cul et d’ouvrir l’eau très doucement. Il me fait deux petits lavements afin que je sois propre, sans fuite. Ça devra suffire, c’est trop froid. Je m’essuie avec le torchon à mains, douteux le torchon. Tant pis. Pierre m’explique alors- «Bon, maintenant, Tom va t’appliquer un body painting sur le visage. Le genre masque de Zorro, tout simple, noir. De la racine des cheveux jusqu’à une ligne droite sous tes yeux, au milieu du nez à peu près. Quand c’est fait on regarde ce que ça donne en photo, une deuxième couche ou non. On vérifie que tu es méconnaissable, c’est tout. Si ça marche on fera pareil à Hugo quand il viendra. Tom ! au boulot » Je pose mon cul sur une chaise, devant un projecteur qui éclaire bien ma tête, et le reste. Tom me peint le visage au petit pinceau large. Il est doué, c’est régulier et droit. Je ferme les yeux quand il attaque les paupières. Il souffle dessus pour que ça sèche plus vite. Quand j’ouvre les yeux c’est déjà sec. Je me regarde dans la glace, je ne vois pas du tout de trace rose, enfin couleur de mon bronzage. Pierre m’amène dans le studio photo, la pièce à côté, et prends trois photos de mon visage sous différents angles, il les transfère sur son ordinateur, et Zorro apparait sur le grand écran. L’avis est unanime, on ne me reconnait pas, même sur celle où on voit mes seins. Impossible de faire le rapprochement. Génial. Je demande à Pierre- « Pierre s’il te plait, tu croix qu’il serait possible de me faire un vrai body painting et que je me ballade en ville à poil ? »- « Demande à Tom, moi je suis photographe. C’est lui l’artiste peintre » Tom répond sans attendre- « Pas de problème, je cherche un modèle depuis deux ans, j’ai reculé quand j’ai vu le prix pour en faire venir un de Paris. Avec le voyage, le prix est multiplié par trois. Avec toi parfait : j’ai mon modèle, tu as ton exhibe. Tout le monde est content »- « Sauf que si c’est bon, je le referai »- « Pas grave, pour toi ce sera gratuit… un petit coup de bite, une pipe et tout va bien »Il rigole, mais je suis certaine qu’il me demandera au moins une pipe. Je suis prête à payer plus si c’est aussi bon que je le crois.
Pierre règle les éclairages, pose des coussins, et commence son shooting. Il est doué, il sait ce qu’il veut ses indications sont claires et précises. Les flashs crépitent. En moins d’une heure, il a rempli la carte SD. Il a l’air satisfait. Je lui demande- « J’ai eu l’impression que les poses étaient moins hard à la fin, je me trompe ? » Il est gêné- « Oui, c’est vrai. Honnêtement, tu es tellement belle, tu passes parfaitement en photo. J’ai pris sur moi de modifier le shooting et je t’ai fait un truc qui va te plaire. Tu auras bien tes photos de salope dévergondée, elles seront moins nombreuses, mais par contre, les autres, si je ne me trompe pas, je pense que même un eunuque se mettra à bander. Tu pourras les montrer à tes bourgeoises coincées, elles devront reconnaitre la beauté du cliché et du modèle. Il faudrait que tu passes avec Hugo demain dans l’après-midi pour le tri»- « Je pense qu’il m’a dit qu’il sera là un peu le matin et en fin d’après-midi seulement. »- « Dans ce cas viens seule en début d’après-midi » devant mon sourcil en accent circonflexe il ajoute « je ne te toucherai pas, uniquement les photos, enfin j’essaierai promis » je ris puis- « Je viendrai demain avec quelques choses. Si tu peux faire des photos aussi belles que tu le dis, je vais peut-être te trouver des clients. Par contre pas de diffusion de photos de moi sans mon accord, surtout si je suis identifiable. Tu peux les montrer, mais pas les donner… ni les vendre ! »- « Marché conclu ! »- « Une chose encore. Est-ce que tu pourrais faire une chose pour moi ? » A son tour de froncer les sourcils « Ecoute, si je reviens de temps en temps faire des photos, il est probable que tu me fasses passer à la casserole. Comme j’ai beaucoup apprécié ce que vous m’avez fait tous les trois, il serait étonnant que j’arrive à refuser de remettre le couvert. Donc j’ai un besoin ! » Pierre me coupe alors- « Je te voie venir avec tes gros sabots, pas question, je ne m’épilerai pas le torse »- « Non ce n’est pas ça. Je te recommanderai à une amie Vanessa, Elle est superbe, compétente. Elle pourra trouver une solution sans douleur pour t’épiler la verge, uniquement la verge. » devant ses protestations énergiques et les rires de Tom et Michel, j’explique « Ecoute, tu baises bien je me suis régalée même si je n’aime pas trop la moquette, mais par contre, quand je te suce, j’ai plus de poils que de bite dans la bouche, j’ai envie de vomir, et pour le cul, quand tu es entièrement dans mon cul, à la base, je ne sens même pas ta bite, uniquement une touffe de poils qui grattent. Ce n’est vraiment pas génial. A mon avis, dans la chatte, les filles doivent te virer rapidement. » Il est surpris- « Comment tu le sais ? »- « Ben, vu comme elle gratte le cul, la paroi du vagin est hyper sensible. Ta bite doit être comme une rappe à fromage là-dedans, elles doivent avoir envie de hurler au bout de cinq minutes. Je t’assure, un bon débroussaillage serait utile. Je viens de faire une épilation intégrale au laser, bien sûr je l’ai sentie, mais les seules parties désagréables ont été le périnée et juste autour de l’anus. En plus, il existe une pommade anesthésiante légère que l’on peut mettre deux heures avant. Moi je n’avais pas le temps sinon je l’aurai utilisée. Je te laisse ses coordonnées, elle s’appelle Vanessa, je l’appelle demain matin pour la prévenir. Suis mon conseil, pour Toi, et pour toutes tes conquêtes, fais au moins cela sur ta bite.» Hugo arrive sur ces entre-faits, à l’heure.
- « Qu’est-ce qu’il doit faire à sa bite d’après toi ? »- « Si tu avais vu sa bite tu saurais… Il lui faut une épilation de la bite »- « Tu ne te rends pas compte, une épilation de la bite, mais ça fait mal ! » dit Hugo- « Tu crois que ça fait plus ou moins mal qu’une épilation au laser sur la chatte et l’anus ? » répondis-je- « Laisse tomber Hugo, elle n’est pas la première à me demander de me raser la bite. Je sais très bien qu’elle ressemble à un balai à chiotte » interrompt Pierre. « J’irai voir ta copine. Bon Hugo, désape toi et va voir Tom qu’il te prépare, toi Karine, sans le faire bouger commence à lui sucer sa petite bite bien blanche qu’il soit prêt, mais ne le fait pas gicler trop tôt »- « Désolé, mais Hugo n’a pas vraiment une petite bite bien blanche. Tu devrais peut-être changer l’objectif de ton appareil photo. Si tu as un grand angle, ce serait mieux »- « Regardez-moi cette prétentieuse, parce qu’elle a une grosse bite à la maison ! Tout à l’heure quand tu avais la mienne dans ton cul et celle de Tom dans la bouche tu ne la ramenais pas autant. » Hugo est secoué de rire. Tom se fâche- « La ferme maintenant, je ne peux pas travailler, il bouge comme une baleine à force de rire. »Je suce la bite d’Hugo pour qu’elle atteigne sa belle taille et qu’elle soit bien raide. Je me tourne vers Pierre- « Tu en penses quoi de la petite bite bien blanche d’Hugo ? »- « Peux pas dire, ce n’est pas mon genre, moi je suis plutôt… pour sa copine » répond Pierre- « Ok, mais ce n’est pas beau de ne pas reconnaitre ses torts. »Pour clore le débat, je replonge sur la bite, uniquement pour entretenir l’état du bel objet.
Hugo est prêt, il est debout à côté de moi, en érection, les mains sur les hanches. Il attend… Pierre lui dit- « Au lieu de rester comme un piquet, tu ne pourrais pas t’occuper les mains sur Karine, la chauffer un peu ? Ce que je veux c’est vous photographier en train de baiser. On a trois caméras, je ne pourrais pas vous donner d’info pour vous guider, du moins très doucement: on prend aussi le son je veux des bruits naturels de baise. Donc préliminaires, puis tu l’encules, tu la retournes tu l’encules tu peux intercaler un petit cunnilingus quand tu veux. A un moment, tu l’attrapes tu la mets dans votre position spéciale elle te fait une gorge profonde pendant que tu lui lèches le minou. 2 ou 3 fois, puis tu éjacules en gorge profonde. Après tu remets le couvert et cette fois tu éjacules dans son cul. Pas trop profond, pour qu’on puisse filmer le sperme qui ressort de son cul sans attendre trois plombes. Tu penses pouvoir éjaculer deux fois en si peu de temps ou tu commences par le cul, et tu feras semblant d’éjaculer dans sa gorge. ? » demande Pierre- « Pas de problème, deux fois ça va ! »- « J’espère parce que sinon il faudra que l’un d’entre nous se dévoue pour lui remplir le cul et qu’on retourne la scène du sperme qui sort » Je vois Hugo regarder Pierre en se demandant s’il est sérieux. Je souris, je pense qu’il est sérieux.
On se met en place, et on commence par une pelle bien baveuse, on enchaine naturellement, je jouis une première fois, on en est encore qu’aux préliminaires, je suis excitée comme une puce, Hugo me prépare le cul, mais revient vite aux préliminaires, il n’en a pas eu assez. Je me laisse faire, je sens Hugo à son affaire, il suit le script à la perfection. Je subis avec lascivité, je jouis et jouis encore. Hugo me fais prendre des poses que j’exécute très naturellement, comme une vrai salope. J’expose au maximum mes parties intimes. Quand les mecs de mon lycée auront vu ce film, ils connaitront tous les recoins cachés de mon corps. Arrive le moment le plus hard, Hugo m’attrape, d’un coup de rein se relève en me portant. Il a réussi. Je suis de nouveau dans cette pose si avilissante que j’adore : face à lui, la tête en bas devant ses couilles, les jambes de part et d’autre de son visage. Je prends vite sa bite dans ma bouche, je sens Hugo me faire descendre, la bite s’enfonce dans ma gorge. J’accroche mes mains aux fesses d’Hugo, prête à les serrer fortement quand je commencerai à manquer d’air. Je sens la bite ressortir, je peux de nouveau respirer par le nez, ma langue peut titiller le gland, et je recommence à descendre. C’est génial. Je gémis en permanence. Je ne peux pas le voir, mais Tom montre à Michel sur un des écrans, on voit parfaitement mon cou se dilater quand la verge d’Hugo s’enfonce dans ma gorge. Le diamètre et la longueur de sa bite font le reste. Les coups de langue sur ma chatte commencent à être désordonnés, Hugo ne va pas tarder à éjaculer. Alors que je commence à manquer d’air, empalée au maximum, le nez écrasé contre son pubis, je sens Hugo se crisper…zut, il va jouir au mauvais moment. Je ne panique pas, j’essaie de calmer les battements de mon cœur, pourvu qu’il se vide rapidement… sauf que je sens mon plaisir monter au fond de mon ventre. Hugo n’a pas arrêté de me léchouiller la chatte, je sens son haleine chaude sur mes nymphes, je jouis aussi. Cette jouissance est extraordinaire, je ne peux crier à cause de cette bite plantée au fond de ma gorge, je manque d’air, j’ai peur et ce souffle chaud de Hugo qui hâlette me fait exploser. Un flot de cyprine sort de ma chatte vient couler dans la bouche, et sur le menton d’Hugo qui choisit ce moment pour éjaculer dans ma gorge. J’ai les mains tétanisées sur les fesses d’Hugo. Il a la force de me remonter, un filet d’air pénètre enfin dans mes poumons. J’aspire bruyamment pour quérir un peu d’air. Hugo sort sa bite de ma bouche, j’avale la salive qui me gêne et respire à plein poumon. Hugo me couche sur les coussins et vient m’embrasser à pleine bouche. Je libère sa bouche et lui dis très doucement pour ne pas qu’on reconnaisse ma voix « Encule-moi mon amour », Hugo relève mes jambes et m’enfonce son sexe encore bien raide dans mon cul. Il me pistonne pendant une bonne dizaine de minutes sur un rythme soutenu, Tom voit Pierre regarder sa montre, c’est trop long, faudra des coupures. Puis soudain Hugo se crispe, il jouit dans mon cul, très proche de l’entrée comme le voulait notre metteur en scène. Je maintiens mes jambes relevées malgré la fatigue. Je sens le liquide forcer le passage, et commencer à couler. Tom film en gros plan. Sur un signe de Pierre, je me lève, et me mets debout les jambes légèrement écartées. Je suis face à Hugo. Je ne dois plus bouger pour que Pierre puisse faire des gros plans sous un angle différent de celui de Tom. Hugo s’approche. Je dis encore doucement « je t’aime » On attend le « coupez » pour se reposer, mais Pierre tient une caméra prêt de mes fesses et film le sperme qui coule. « COUPEZ », et on s’embrasse enfin.
Hugo et moi, nous allongeons dans les coussins, exténués. Repus d’amour. Pierre, Tom et Michel nous regardent admiratifs, Tom applaudit. Je souris, pour craner un peu je dis- « Pierre ? Tu veux qu’on fasse une deuxième prise ? N’hésite pas, dans cinq minutes si tu veux après les retouches maquillage ! »Hugo me regarde ahuri, et dit « sans moi ! » Les trois autres rigolent et disent qu’ils sont tous volontaires pour jouer les doublures. Je ris avec eux et Hugo. Nous repassons tous dans la première pièce pour nous rafraichir, boire un verre et grignoter. Hugo a déjà remis caleçon et pantalon, torse nu il fait partir la peinture du body-painting avec de l’eau devant le grand bac.
Je m’allonge sur le lit, je suis en nage, j’ai froid avec cette fichue clim, je me glisse sous les draps, je manipule le tanga de Justine, jouant avec les fentes qui dévoilent l’intimité de celle qui le porte. Il est très beau, et me fait envie. Je vais demander à Hugo de me permettre de sortir en jupe très courte avec des culottes fendues. S’il dit non, je ferai des photos avec Pierre et lui montrerai pour qu’il change d’avis. Satisfaite, je m’endors dans le lit, le tanga près de mon visage, la couette remontée jusque sous mes seins. Les quatre mecs se mettent à bander en me regardant, ils ont tous un grand sourire aux lèvres.
- « Hugo et Tom, vous allez chercher à bouffer pendant qu’on range avec Michel ?» suggère Pierre ;- « Ok vous voulez quoi ? » réponds Hugo avec une brève hésitation.
- « Je vous propose des sushis si ça tente tout le monde ? tu sais si Karine aime ? »- « Elle adore, ok pour moi »Tout le monde valide, Pierre dit- « Passez chez Sushi Shop, ce n’est pas loin, vous prenez deux boites à partager, demandez-leur aussi une bouteille de saké et une bouteille de rosé bien frais. Dites que vous venez de ma part, ils vous donneront tout, c’est réservé au restau japonais accolé, mais pour moi ils feront une exception, ce sont des amis. Tom tu paieras avec mon compte, tu connais le code ? Ok, faites vite je ne vais pas tenir trois plombes avec un petit lot comme ça dans mon lit» Il rigole et se met au rangement. Les autres partent faire les courses.
Dès qu’ils ont fini de ranger et ils sortent dans la cour, derrière l’entrepôt pour boire une bière sans me réveiller. Ils n’entendent pas Justine arriver. En voyant le lit occupé, elle s’approche sans bruit, elle ne connait pas cette meuf. Sans doute la dernière conquête de son frère.
Elle voit son tanga dans ma bouche. En dormant, l’odeur du minou de Justine m’a attirée et je me suis mise à sucer doucement la partie tâchée de cyprine séchée. Elle décide d’attendre son frère ou Tom, son petit copain, pour avoir une explication. Elle s’assoit sur le bord du lit, et lit un magazine. Je me retourne, d’un coup de pied je fais descendre la couette jusqu’à mi-cuisse, j’ai trop chaud maintenant, je reste sur le dos, cramponnée au tanga, dormant et suçant toujours avec application le sous-vêtement. Justine tire un peu sur le tanga, mais je refuse de le libérer. Je gémis, et continue de le sucer.
Justine entend un bruit de voiture, pensant que c’est Pierre qui arrive, elle ouvre la porte extérieure et une dizaine d’amis de Pierre entrent dans l’entrepôt. Justine a le temps de faire « CHUUUT ! » Ils entrent sans bruit et viennent tous autour du lit contempler la belle endormie qui expose son anatomie. Je ne porte que le body painting pour seul vêtement. Justine les voit tous en train de mater mon corps. Elle leur dit « regardez sans faire de bruit » elle tire doucement le tanga, je résiste, je bouge un peu et écarte les bras. Maintenant ils ont aussi une vue sur mes seins. Ils rigolent doucement elle les attire vers l’arrière-cour pour me laisser dormir, et trouve avec surprise son frère et Michel sur des fauteuils, buvant des bières. Elle demande- « C’est qui la nana à poil dans ton lit je la connais pas »- « La femme d’Hugo, il arrive avec Tom et des sushis, mais y’en aura pas assez pour tous vu tous ceux que tu ramènes»- « Ils sont venus avec du McDo, c’est bon. Tu peux me dire pourquoi elle suce avec délectation ma culotte sale ? » demande Justine.
Pierre se lève et vient vérifier si je suce bien la culotte, puis, voyant mes jambes sur la couette, il renonce à me couvrir, il revient voir sa sœur.
- « Je sais pas. Ton odeur doit lui plaire. Je ne pense pas qu’elle soit bi pourtant. Au cas où personne n’aurait compris, la pudeur et elle, ça fait deux ! »Tous rient et prennent des bières pour attendre les deux retardataires. Tom et Hugo reviennent au bout de quelques minutes avec le ravitaillement. Tom me voit explosée sur la couette, sourit et se dirige vers la cours, il dit à Hugo « laisse la dormir on viendra la chercher quand ce sera prêt » A contre cœur, il me laisse sans me couvrir.
L’accueil est chaleureux, les présentations sont faites, la table mise pour tout le monde, les mangeurs de McDo d’un bout, ceux de sushi de l’autre. Une fois tout en place, voyant Hugo occupé à parler avec trois autres convives, Pierre se lève, dit à Justine « je vais la réveiller, je la ramène on pourra manger » Il rentre dans la pièce s’assoit sur le lit, passe une main sur mon ventre. Je frissonne en dormant. Il descend la main sur mon sexe, je monte mon bassin à la recherche de la caresse. J’ouvre doucement les yeux en posant ma main sur celle qui me touche. Etonnée du propriétaire de la main, je la laisse sur mon sexe et dit - « Pierre ? Qu’est-ce que tu fais ? » Il sourit - « Je te réveille en douceur, on n’attend que toi pour manger. » Je relâche sa main. Elle bouge très peu s’attardant sur mon bouton. J’adore mais je dis - « Je suis réveillée, c’est bon »- « Tu es sûr parce que je peux continuer… »- « Il vaudrait mieux s’abstenir »Je serre soudain les jambes emprisonnant la main entre mes cuisses tout contre ma fente, le plaisir est déjà là. Je pose mes mains sur les siennes, en position fœtale, recroquevillée sur la main qui me donne tant de plaisir. Mon orgasme passe lentement, je me relève, et me dirige vers la porte en cherchant des yeux mes vêtements. Ne les trouvant pas, je sors sans me préoccuper de ma nudité, ni d’ailleurs du tanga que je cramponne toujours dans ma main gauche. Pierre me suit en souriant silencieux, les yeux braqués sur mon cul et la moule humide qu’il aperçoit à la jointure de mes cuisses.
Nous arrivons dans la cours, je ne remarque ni la présence des dix nouveaux invités ni celle de Justine. Je m’assoie à la place indiquée par Pierre, Hugo se met à ma gauche je lui souris, dans le brouillard, Pierre en bout de table, Justine en face de moi. Machinalement, je mets la culotte dans ma bouche et je la suce. Je regarde Justine, je me demande qui c’est. Puis je regarde ce que je viens de porter à ma bouche, quand je vois la culotte trempée de salive à l’entre-jambe, je rougis fortement. Je pose la culotte dans mon assiette, je veux me lever, je me rends compte que je suis toujours nue, et qu’il y a plein de gens. J’ai les larmes aux yeux.
- « Hugo, Pierre, qui sont tous ces gens ? et pourquoi j’ai cette culotte dans la bouche ? » C’est Pierre qui répond- « Ce sont des amis qui sont venus à l’improviste, si ! si ! je t’assure d’ailleurs ils sont venus avec leur repas. Je te présente Justine, ma sœur, la copine de Tom. Les autres se présenteront au fur et à mesure que tu parleras avec eux. Pour ce qui est de cette précieuse culotte, nous t’avons trouvé endormie, la serrant contre toi comme si c’était ton doudou, et la suçant avec application. Elle appartient à ma sœur Justine. » Je rougis en la regardant- « Désolée » je parle d’une toute petite voix tant je suis honteuse. Justine voulant me détendre- « Je te la prête, tu peux la garder. Encore un peu et je peux la ranger directement dans mon tiroir avec ma lingerie propre » je passe par toutes les couleurs, les larmes montent, Justine se précipite en disant- « Désolée, c’était pour te faire rire, te détendre un peu, vraiment désolée » elle se lève en me tendant la main par-dessus la table « viens avec moi, on va te rafraichir »Docile, je me lève et part avec Justine, elle me tend toujours la main, je la prends, je lui serre les doigts pour me rassurer, je suis complètement dans le coaltar comme si j’avais pris de la drogue. Arrivés dans la chambre, on s’assied sur le bord du lit et je la serre dans mes bras, rien de sexuel, un câlin, un bon vieux câlin. Elle me redemande pour sa culotte, pourquoi ? Je la regarde dans les yeux, je ne sais pas quoi lui répondre. Je ramène ma main gauche sur nos genoux, mon poing est fermé, crispé même. Je l’ouvre doucement, il y a sa culotte. Je dis- « Elle est belle ta culotte, je l’adore avec ces fentes indécentes, et … et… son odeur. C’est ton parfum, ou c’est l’odeur de ta peau ? »- « Je ne sais pas, tu me fais sentir ? »Je la mets sous son nez. Justine lève la main pour la tenir au moment de sentir. J’ai peur. Je lui dis- « Tu ne me la pends pas, n’est-ce pas ? »- « Non, je te la donne même si tu veux ! »- « Non, j’aimerai juste la garder un peu jusqu’à ce que je parte. Cette odeur est envoutante pour moi, et pour toi ? »- « Désolée, je reconnais mon odeur, l’odeur de ma mouille, et là je pense que c’est du sperme, Tom… » Elle me regarde soupçonneuse « Tu as couché avec Tom ? »- « Pas vraiment, il a refusé de me prendre, mais je lui ai fait une petite fellation pendant que Michel et Pierre m’enculaient » Elle sursaute- « Pourquoi tu les as laissé te sodomiser, ils ne pouvaient pas se contenter de te baiser ? »- « Je suis encore pucelle, alors je laisse les mecs m’enculer, j’aime bien ça en plus » je souris- « Ah ! Tu es majeur au moins ? » je fais oui de la tête, et lui demande- « L’odeur de sperme je l’avais senti, mais l’odeur qui me trouble c’est celle de la tâche, elle ne m’excite pas mais je l’aime elle me rassure, c’est bizarre. (On cherche la marque sur la culotte pour la sentir, pas de tâche). Je ne comprends pas elle était là pourtant, là… où c’est mouillé. » En le disant, je devine où elle est. Je l’ai sucé jusqu’à la faire disparaitre. Pourtant je ne suis ni bi, ni scato, ni uro, alors quoi ? « Je peux te demander… tu veux bien te mettre un doigt sur ton sexe et me faire sentir, j’ai besoin d’être certaine »- « Tu croix que c’est l’odeur de ma chatte ? »- « Plutôt de ta cyprine… ta mouille comme tu dis ! » Elle glisse sa main entre ses cuisses, déplace sa main et ferme les yeux, elle ramène sa main. Elle me tend ses doigts humides, J’attrape sa main et approche les doigts de mes narines. C’est cela, c’est bien la bonne odeur. Je lui demande- « Je peux ? »Elle me fait oui de la tête, je glisse les doigts dans ma bouche, je n’ose pas la fermer. Puis je goute, c’est ça, je sens mon sexe se liquéfier, je suce les doigts, faisant disparaitre toute trace de cyprine.
- « C’est ta cyprine qui me fait cet effet-là, je ne suis pas attirée par les femmes, sauf toi, et encore, c’est ta cyprine qui me fait de l’effet. Désolée, mais je ne suis pas certaine d’avoir envie de te revoir »- « Je te comprends, je ne suis pas lesbienne non plus, donc je n’en ai pas plus envie que toi. Ecoute ! Je t’offre ma culotte, si tu veux revenir me voir demande à Pierre, reviens avec la culotte tu pourras repartir avec mais couverte avec une odeur plus fraiche. Tu veux ? » Cette fois-ci je ris avec elle, je me détends enfin- « Oui, je dois revoir Pierre demain pour mes photos et la vidéo, puis probablement la semaine prochaine pour une proposition de boulot pour Pierre. On se reverra peut-être, je n’ai pas d’heure à te donner, ce sera le hasard. Je me demande si ton odeur m’attirera toujours »- « Ok, mais tu veux vraiment faire travailler Pierre ? »- « Je vais proposer à mes patrons que Pierre fasse des photos de lingerie érotique... On retourne avec les autres ?»- « Viens te rafraichir »On va vers le bac, je me lave le visage à l’eau, Justine sort des lingettes et finie de me démaquiller- « Tu veux te rhabiller ? »- « ça va, je suis bien maintenant, et je n’ai pas retrouvé mes fringues tout à l’heure, Hugo les a probablement rangées dans son sac, de toute façon je m’en fiche j’aime bien m’exhiber, alors qu’ils en profitent »On retourne avec les autres qui nous voient revenir main dans la main en riant, moi toujours à poil et sans complexe. On s’assoie et je pique de suite un sushi. Enjouée, je parle avec tout le monde, quelqu’un met de la musique, je danse, passe de bras en bras, souvent de main en main, je remonte les mains baladeuses qui s’égarent trop bas, sans me fâcher. Justine viens m’inviter à danser au moment où Tom va le faire. Elle est jalouse, je comprends qu’elle le surveille sans rien dire, elle n’a pas accepté la pipe. En dansant ce slow, je lui demande, elle me le confirme. Je lui dis- « Je te fais une proposition, je danse une fois avec Tom, je lui parle et lui dis qu’il ferait mieux de t’avouer ma petite fellation. »- « Et en échange ? »- « Tu me laisses discrètement mettre un doigt dans ta chatte pour que j’ai ton odeur sur moi »- « T’es vraiment une petite salope toi ! »- « Avec les mecs, oui, mais avec toi c’est autre chose, j’aime le gout de ton minou, je passerai ma journée la bouche collée à ton minou à boire ton jus. J’aime le sperme, tous les spermes, par contre je ne raffole pas de la cyprine, ni la mienne, ni aucune autre que j’ai déjà sentie. Il n’y a que la tienne. Alors tu veux ? »Elle me fait un petit oui de la tête, on s’assoie côte à côte et on fait semblant de discuter. Je trouve l’occasion, je pousse ma main, je mets quatre doigts dans sa chatte. Je bouge un peu ; quand je regarde ma main, elle est couverte de cyprine. Je lèche mes doigts un à un, un régale,avant de lécher le dernier, je le passe contre ma lèvre sous mes narines, je recouvre bien ma lèvre de sa cyprine, puis nettoie mon doigt. A chaque respiration, je sens son odeur, je suis toute mouillée. Je le dis à Justine. Puis je me relève, je vais maintenant devoir lui ramener son homme.
Je danse avec Tom qui me serre un peu trop, je lui fais la morale, et lui recommande de parler à Justine avant que Pierre, Michel ou Hugo ne lâche le morceau de son infidélité. Je sens ses mains revenir naturellement sur mes hanches, calmé net. On finit la danse, il retourne vers Justine, moi… entre deux nouveaux bras. Je passe l’après-midi à danser, à me faire peloter par Hugo et les autres, Hugo laisse faire. Justine et Tom se sont éclipsés les premiers, puis Pierre, en disant qu’il allait travailler… probablement sur le film ou les photos, les autres petit à petit. Je reste avec Hugo, Michel et un autre type qui ne perd pas une occasion de me mettre la main au panier, ça devient lourd, à chaque fois je retire sa main, elle revient dans les cinq minutes. Je passe alors des genoux d’Hugo à ceux de Michel en riant. Michel ne me tripote plus, enfin pas devant Hugo.
Je demande à Hugo de rentrer, je suis fatiguée. Ce n’est pas vrai, j’ai juste envie de me retrouver seule avec lui et de faire encore l’amour. Il me redonne mes fringues. Michel fait remarquer que c’est bien de porter si peu de tissus, c’est plus rapide à mettre et à enlever. Je souris. Il propose de nous ramener en voiture vers le parc, il doit passer à proximité pour rentrer chez lui. Il nous laisse près de l’endroit où nous avions rencontré Pierre. Nous rentrons à pieds, nous tenant par la taille et se bécotant. Je montre à Hugo le couple avec leur bébé attablé à la terrasse du bar du parc aquatique. Ils sont revenus cet après-midi et mangent une glace. Quand ils nous voient, je leur fais un coucou, ils sourient en nous faisant un signe de la main. On se dirige vers ma cachette pour faire l’amour : il est 16h, profitons-en, il nous reste au moins une heure de plaisir à prendre.
(à suivre)

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