Karine et le plaisir de la soumission 9

- Par l'auteur HDS Dan48 -
Récit érotique écrit par Dan48 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Karine et le plaisir de la soumission 9 Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-11-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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Karine et le plaisir de la soumission 9
CHAPITRE 9 : Visite chez l’esthéticienneJe crois que la journée que je suis en train de passer est la chaude que je n’ai jamais eue. (Cf. Chapitres 7 et 8) Une journée uniquement à m’occuper de moi.
J’ai passé la matinée dans un sexshop à 70 km d’ici, puis rendez-vous chez mon gynécologue à midi. J’ai passé une matinée top… même chez mon gynéco. J’avais toujours entendu des blagues assez limites sur eux, qui, à force de regarder des foufounes toute la journée, étaient blasés et pas du tout porté sur le sexe, mais là… je n’étais pas venue pour ça, mais j’ai bien aimé. Comme on dit, je reviendrai.
Je viens de m’acheter une salade, un muffin et une bouteille d’eau au drive de McDo, je cherche un endroit au parc pour grignoter et bronzer tranquillement en attendant l’heure de mon rendez-vous chez l’esthéticienne. Je trouve un endroit super, en légère pente vers le soleil, la route plus haut donc personne pour mater sous ma jupe, et juste une autre fille à une dizaine de mètres de moi qui lit allongée sur une couverture. Le soleil, le confort, la tranquillité et la sécurité, c’est bien ce que j’ai dit c’est parfait. Je m’assieds les jambes tendues, je sors mon repas et un magazine. Je me prélasse en lisant. Mon repas fini, je m’allonge et continue à lire. Je prends mes aises, une jambe repliée, l’autre un peu écartée, je suis bien. J’entends la fille, elle a une quinte de toux. Elle n’arrête pas de tousser. Elle a l’air d’avoir un malaise, je me redresse, je tourne la tête vers elle, elle s’arrête de tousser. J’allais me rallonger quand elle fait un geste, et montre quelque chose devant elle. Je cherche, je ne vois rien, elle insiste, je tourne encore la tête et surprise, à cinq mètres de moi, dans un creux du terrain, un mec est allongé en train de me regarder. De là, il a une vue directe sous ma jupe. Je me mets à genoux pour cacher mon entre-jambes : je ne porte pas de sous-vêtement et en plus, j’ai un plug anal bijou planté dans mon anus. Je regarde vers le mec, il est en train de jouer avec son téléphone, ce salop a pris des photos. Je suis rouge de honte, je me lève et pars vers mon rendez-vous. Je fais un petit signe pour remercier la fille.
J’arrive devant la vitrine, c’est ouvert, même entre midi et deux heures c’est toujours plein. Je rentre, je m’assoie de façon à ce que personne ne voit sous ma jupe très courte. Vanessa vient d’arriver, elle passe me voir, et dit qu’elle se change et qu’elle me prendra après. Elle me demande ce qu’elle doit me faire parce qu’il n’y a rien sur la fiche. Je lui réponds épilation intégrale permanente. Elle me regarde avec des yeux ronds, et me dit qu’on n’a pas le temps, il faut trois rendez-vous d’affilé pour un intégral définitif et qu’en plus sa formation laser n’est pas encore validée, elle ne peut pas me le faire. Je râle, je dis que c’était prévu, que sinon j’aurai été ailleurs, que je dois impérativement être épilée laser ce soir sinon un boulot de représentation très bien payé me passe sous le nez. Elle retourne au comptoir et regarde le planning de tous les employés. Elle revient, elle me dit - « Ce n’est pas possible la seule personne diplômée laser disponible cet après-midi si je le remplace à 14h sur son rdv, c’est Bruno, c’est un homme ! Il ne peut pas faire une épilation du maillot à une femme. »- « Pourquoi ? Il ne sait pas faire ? »Vanessa est scotchée par ma question ;- « Si il sait faire, mais c’est un homme, je vous rappelle que quand je vous fais le maillot, vous enlevez votre culotte et je frôle souvent votre sexe »J’hésite, mais Hugo m’a donné un ordre, il ne veut plus de poils.
- « On peut lui demander ce qu’il en pense ? »- « Karine, vous n’y pensez pas, si Mme la directrice l’apprend c’est des coups à nous faire virer »- « Elle n’est jamais là le vendredi après-midi, elle est avec ses enfants »- « Oui, mais elle me fait confiance »- « Ecoutez Vanessa c’est impératif pour moi, ce n’est pas une question de vie ou de mort bien sûr mais c’est extrêmement important. S’il vous plait, on demande à Bruno et s’il est d’accord, je paye la note par chèque comme d’habitude et je rajoute 60 euros en liquide que vous vous partagerez, j’irai même jusqu’à 100 euros »Je viens de penser à l’argent que m’a remis Mireille pour ma participation aux ventes du sexshop. (Cf. chapitre 7)Les 100 euros ont emporté le morceau, elle va dans le vestiaire, pas de Bruno, elle se dirige vers son box, il a déjà fait entrer sa cliente.
- « Excusez-moi, Madame, Bruno, s’il te plait, j’ai un problème est-ce que tu peux venir cinq minutes pas plus ? Vous permettez Madame, mettez-vous à l’aise, je vous ramène un thé ou un café ? »- « Qu’est-ce qu’il y a ? » demande BrunoC’est un mec plutôt grand mince la peau mat, assez beau mec en résumé.
- « Accroche-toi à ton caleçon, tu vas tomber sur le cul »Vanessa l’amène devant moi, elle explique- « Voilà, Mademoiselle Karine a pris rendez-vous pour cette après-midi pour une épilation intégrale au laser, et suite à une erreur administrative, il n’y a que toi qui ait la compétence technique. Tu crois que tu peux le faire si je te remplace avec la dame qui t’attend ? »Bruno me regarde. Il est claire que je suis à son gout, mais…- « Tu es tombée sur la tête ? Je ne peux pas le faire à une femme ! Les jambes et les aisselles, encore, mais pas les parties intimes. La directrice va me tuer »Je prends alors la parole- « Ecoutez, je l’ai déjà dit à Vanessa, c’est extrêmement important pour moi, sinon je ne vous le demanderai pas. Je pense que vous comprenez que c’est aussi gênant pour moi. Je risque de perdre un boulot d’accueil très bien payé, mais il le faut pour ce soir, j’ai rendez à 19h pour l’entretien. Je suis prête à vous payer la partie officielle par chèque et donner 100 euros en liquide que vous vous partagerez »Bruno me dit alors doucement- « Vous vous rendez compte que vous allez être presque nue avec moi dans un box, et que même en faisant attention il est probable que je touche vos seins et votre sexe. Je ne tiens pas à être accusé de tentative de viol »- « Si je vous signe un papier comme quoi je sais que vous allez me toucher et que j’accepte vos attouchements s’ils sont faits pour la réalisation de l’épilation. »- « Vous êtes prête à signer ce genre de document ? je pourrai en profiter pour vous tripoter en toute impunité, vous êtes cinglée ! »- « J’ai confiance, je suis une cliente fidèle, faite un effort, s’il vous plait »Je sors les 100 euros pour les inciter.
- « Ok, Vanessa va chercher du papier et un stylo pour Karine, je vais prévenir la cliente que tu me remplaces car j’ai une obligation »Bruno prend un café, et des petits gâteaux. Il les dépose devant sa cliente, et lui fait son speech, qu’il est désolé, que c’est Vanessa qui va s’occuper d’elle, mais qu’il sera là à sa prochaine visite. Il soupçonne la dame de venir autant pour l’esthéticien que pour le soin et le massage.
Il rejoint Karine, lit le papier, regarde la signature ébahi.
- « Vous avez vraiment signé, ce doit vraiment être important ! Ok venez, mais ne faites pas de bruit, les autres ne doivent pas savoir que je fais une épilation à une femme.» Il met dans sa poche le papier signé, et 50 euros de la liasse sur la table. Il prend les derniers 50 euros et les tend à Vanessa qui part faire les soins de la cliente qui attend.
- « Vous pourrez me rendre le papier à la fin si tout c’est bien passé, je ne voudrai pas qu’il traine et que quelqu’un le voit. »- « Bien sûr, je vous le rendrai avec la facture des soins »On avance vers le fond de l’établissement jusqu’au vestiaire des clients. Je rentre dans une cabine et enlève mon haut, ma jupe et mes chaussures. Je retire aussi mon plug et le pose dans le casier. Je prends le peignoir en satin, et l’enfile. Comme toujours, il est trop court, il m’arrive au milieu des fesses. Et devant, c’est la grande exposition. Je sais qu’ils font tous la même taille, mais c’est la première fois que je viens sans culotte, et je n’y ai pas pensé. Je mets la tête à la porte, je laisse mon postérieur caché dans la cabine. Bruno arrive- « Venez, il n’y a personne » Il ne me regarde même pas. On sort dans le couloir, on arrive dans la salle d’attente réservée aux maris qui attendent leur épouse, Bruno rentre dans le deuxième box, et une fois à l’intérieur se retourne pour fermer la porte derrière moi. Il me voit de l’autre côté du couloir, il ne voit que mon minou exposé par le peignoir trop court. Je me décide, je marche d’un pas décidé, je dis bonjour aux deux hommes qui me regardent éberlués, j’entre, il referme la porte. Il me chuchote- « Vous êtes folle ? Vous ne pouviez pas garder votre culotte au lieu de vous balader à poil ? »- « Gros malin, j’en porte pas, vu la longueur de ma jupe je pensais que vous l’aviez vu quand j’étais assise. »- « Vous auriez pu le dire j’aurai été moins surpris »- « Ne soyez pas si timide, vous saviez ce que vous verriez quand vous m’épileriez le sexe, alors maintenant ou dans une heure qu’est-ce que ça change pour vous ? C’est bien moi qui vais devoir être à poil les cuisses écartées devant vous, pas l’inverse ! »- « Minute, il n’est pas prévu d’épilation du sexe »- « Une épilation intégrale sans le sexe ni les fesses, c’est nouveau. On pourrait aussi ne pas faire les jambes ni les aisselles, ce serait plus rapide ; maintenant que je suis là, vous avez trois heures pour m’épiler laser partout sauf une petite touffe, mini au niveau du pubis. Choisissez la forme, triangle, rectangle ticket de métro, je ne suis pas bloquée la dessus, mais petit et que je puisse dire à mes parents que ce n’est pas intégral. »Désabusé, Bruno me fait allonger sur la table, la bosse de son pantalon me fait sourire, je fais comme si je n’avais rien vu. Je suis allongée sur le ventre, la tête vers la fenêtre dont les verres ont été opacifiés, les pieds côté porte, une serviette pliée sur mon bassin, une autre sous ma tête. Bruno prépare son matériel, et jure sans arrêt. Il vient vers moi et dit tout « il me manque deux trucs, je reviens »Il sort sans refermer la porte, elle est restée entrebâillée. Je garde les yeux fermés, mais je surveille la porte entre mes cils. Je vois des ombres, puis un bras qui pousse la porte, et l’ouvre totalement. Les deux maris se sont approchés et sont en train de me mater. Heureusement je n’ai les jambes que très légèrement écartées, ils ne doivent pas voir grand-chose. Je préfère ne pas bouger et leur faire croire qu’ils ne se sont pas fait prendre.
Bruno revient et au moment de commencer l’épilation, il me demande si je suis très sensible car on peut utiliser une crème anesthésiante, mais elle ne fait effet qu’au bout de 2h. C’est surtout utile pour les parties intimes, mais ça va être plus long, on ne pourra commencer mon intimité qu’au terme des 2h. Je lui demande pour combien de temps on en a pour tout le corps, il estime à 1.5h d’épilation avec les poses pour me laisser souffler quand cela fera mal. Tant pis pour la crème, on n’attend pas.
Il débute par les aisselles. Je suis surprise, ça fait moins mal que la cire. Je sens à plusieurs reprises son bras s’appuyer contre mon sein, j’adore sa délicatesse. Puis les bras et les jambes. J’ai eu mal aux coudes et aux genoux. Quand il fait le haut de la cuisse, j’imagine la vue sur mon minou, je frémis, puis il m’explique : pas de laser sur le visage le cou, ni les seins. Pas de laser sur le duvet, cela aurait un effet inverse, et ferai pousser mes poils. Parfait, j’avais peur de l’épilation des seins, puisque ça n’existe pas, c’est bien !
- « On y va ? C’est sûr, pas de regrets pour les poils de votre minou ? » - « Pas de regret, allez-y débroussaillez-moi ça » Je crane un peu mais je n’en mène pas large. J’ai une trouille bleue. Même si je n’ai presque pas eu mal jusqu’à maintenant, je sais que maintenant, je risque de déguster- « Super ! Moi qui rêvais de te tripoter sans que tu ne puisses rien dire ! »Il est adorable, il a un grand sourire, il est passé discrètement au tutoiement, il essaie de me décontracter, la peur se voit sur mon visage. Il commence par mon pubis et son nouveau ticket de métro (je le découvrirai tout à l’heure il m’a dit que c’était une surprise) ; la douleur est très supportable, c’est mieux qu’à la cire.
Aie, il s’attaque à l’aine et à mes lèvres. Là j’ai mal ! J’accroche mes mains à la table pour ne pas gémir, sans m’en rendre compte en voulant m’accrocher au drap j’attrape le pantalon de Bruno. J’ai la main crispée sur sa braguette, appuyée contre son sexe, mais je ne m’en rends pas compte, je suis juste accrochée, je ne pense absolument pas au sexe. Il continue à descendre vers mon périnée. Là, la douleur est vraiment violente, très courte mais intense, je regrette la pommade ; Par instant, il a le poing posé sur mon sexe mais ça ne me dérange pas du tout, j’ai autre chose à penser. C’est supportable sans crier, mais en plus je ne dois ni gémir ni faire du bruit en bougeant. Il me fait lâcher sa braguette pour pouvoir se rapprocher de mon bas-ventre, mon bras s’accroche à sa jambe, il en fait le tour, ma main se pose sur son sexe. Il bande fort. En sentant ma main, il utilise la sienne pour se libérer. Il dit- « Non, là tu ne serres pas, c’est fragile ! »Je prends conscience de ce que je tiens, je relâche mon étreinte qui n’était de toute façon pas forte : il n’était pas en train de m’épiler, il changeait de position. Je ris doucement et dis- « Fais attention sinon tu vas savoir ce que ça me fait à moi » Je caresse sa bite à travers le tissu et m’accroche à sa ceinture. Il rit à son tour. Il termine l’épilation de mon sexe. Il me demande de me mettre à quatre pattes.
- « Tu es certain que c’est la position normale ? » demandais-je- « Non, mais je ne peux pas me faire aider par Vanessa, alors on va utiliser les moyens du bord. J’ai déjà tout vu et tout touché, un peu plus, un peu moins … »Je me mets à quatre pattes, bien cambrée les genoux écartés. Je lui demande s’il a besoin que j’écarte mes fesses. Il me dit que ce serait mieux mais qu’il peut se débrouiller. Je mets mes mains sur mes fesses et tire pour bien m’ouvrir. Il me dit « Parfaite » je me demande s’il parle de la vue, de mes fesses ou de moi. L’épilation à proximité de mon trou du cul me dispense de chercher la réponse. J’ai du mal à ne pas retirer les mains pour les mettre devant ma bouche. J’ai les larmes aux yeux, c’est aussi douloureux que sur le périnée.
- « C’est bon j’ai fini ! Lève-toi que je remette le drap s’il te plait » Il replace le drap, je m’allonge sur le ventre. Il verse sur moi de l’huile et commence à me masser, les jambes, les pieds puis il remonte sur les fesses, le bas du dos, le dos jusqu’à la nuque. C’est divin. J’aurai presque envie de dormir. Il me soulève le bassin et glisse une serviette pliée dessous. J’ai les fesses surélevées. Il remet de l’huile dans le creux de mes reins et reprend le massage, il descend sur mes fesses. Il les malaxe avec vigueur, en tournant. A chaque tour, il passe à l’aine et frotte mes grandes lèvres. J’écarte un peu les genoux pour lui faciliter l’accès. Il masse mes grandes lèvres en serrant ses mains de part et d’autre je ne peux que gémir de plaisir. Il attrape une serviette propre, me soulève un peu la nuque et pose la serviette sur la table devant ma bouche. Je le regarde, je lui dis- « Ne met pas les doigts dans ma chatte s’il te plait je suis encore vierge »Et je mors la serviette en le regardant dans les yeux. Il repose ma nuque, je viens de me bâillonner volontairement. Il reprend le massage de ma chatte. Je gémis de plus en plus mais le bruit est infime. Il se glisse entre mes jambes et pose sa langue sur la chatte, il me lèche, c’est bon, j’ai un orgasme, j’ai porté mes mains à mon bâillon pour mieux étouffer mes cris.
Une fois calmée, il me fait retourner. Je pose la serviette sur ma bouche pour la mordre à nouveau. Il met de l’huile de massage sur ses mains et me masse un bras du bout des doigts jusqu’à l’épaule ; Idem avec l’autre bras. Il remet de l’huile sur mon ventre et reprend son massage des orteils jusqu’au cou. Il s’attarde régulièrement sur mes mamelons, fait rouler mes tétons entre ses doigts. Enfin revient à mon sexe, et le caresse, attrape mon clitoris, le décalotte, l’aspire entre ses lèvres. Je me tords de bonheur sur la table. Ma main cherche son sexe le long de la table, le trouve et je commence à le caresser. J’enlève la serviette, et lui dis doucement, - « Bruno, mon petit trou s’ennui, tu ne t’es pas occupé de lui ». Il me regarde étonné. Je lui dis « Ce n’est pas parce que je suis vierge que je n’ai pas le droit de recevoir ta bite dans mon cul ».
Il a compris au quart de tour. C’est vrai que ce que j’ai dit ne nécessite pas de dessin explicatif. Il me relève les jambes, et masse mon petit trou bien assoupli par la présence du plug anal pendant près de quatre heures. Quand il pense que mon anus est prêt, il me fait tourner sur la table, les fesses au bord. Je le regarde mettre un préservatif sur sa bite. Elle a une bonne taille, presque comme celle d’Hugo. Il pose son gland sur ma rondelle. Je n’ai que le temps de poser la serviette sur ma bouche et de mordre qu’il donne un bon coup de reins et m’encule presque jusqu’à la garde. Je gémis de plaisir. Il me pistonne aussi fort qu’il peut sans faire trop de bruit. Mais il a du mal à se contenir. Vanessa déboule dans la pièce et nous trouve en plein coït. Je la regarde, Bruno continue à m’enculer violemment. Vanessa se précipite pour tenir la table afin qu’elle fasse moins de bruit. Je la regarde avec un merci dans les yeux. Je jouis en fermant les yeux, Brunon me suit peu après et s’allonge sur moi. Je retire la serviette de ma bouche et lui roule une pelle- « Merci c’était parfait comme apothéose ! » Il ne dit rien, mais Vanessa lâche- « Vous êtes cinglés, vous voulez vous faire prendre ? Si c’était prémédité, vous me le paierez !»- « Désolée Vanessa, je te jure, totalement improvisé, mais c’était trop bon »Elle secoue la tête et repart en souriant. Bruno me dit en regardant la pendule, - « Il faut te dépêcher d’aller à la douche et de t’habiller, tu es juste entre les rendez-vous, personne ne devrait te voir nue. Suis-moi vite »C’est sans compter sur les deux maris qui me voient repasser devant, cette fois totalement sans poil, mais toujours avec un grand sourire. Avant que Bruno ne parte, je lui roule une pelle, et je rentre sous la douche. Je me lave avec le gèle-douche de l’institut de beauté que je trouve sur place, je fais partir les traces de l’huile de massage. Je sors de la douche, me sèche avec les serviettes qui sont mise à disposition des clients, et je rentre dans ma cabine où j’ai laissé mes affaires en arrivant. Je commence par remettre le plug après l’avoir copieusement léché et lubrifié. Il rentre facilement dans mon cul bien souple. Je remets ma jupe et mon haut. Je sors une brosse de mon sac et arrange mes cheveux humides. Je sors de la cabine et me dirige vers l’accueil. Il y a plusieurs employés qui discutent entre eux, avec aussi Vanessa et Bruno. Je ne m’approche pas trop, je ne veux pas m’imposer, ils repartent vers leur box respectif, mais toutes me jettent un regard amusé en me détaillant de la tête aux pieds. Une fois entre nous je me dirige vers la caisse, Bruno est là, je le vois tendre la main et la passer sous ma jupe. Vanessa est outrée- « Bruno ! Ça ne va pas ! »- « Ben quoi ! elle m’a dit qu’elle n’avait pas de culotte quand je l’ai engueulée parce qu’elle était à poil, alors je voulais vérifier »- « Alors, t’as trouvé quoi ? » dis-je sarcastique ;- « Ben rien ! Tu n’as pas de culotte ! »Il est hilare. Vanessa et moi partons aussi d’un grand éclat de rire.
Vanessa me tend ma facture, en me disant- « Je t’ai fait le super rabais très bonne cliente comme tu as dû payer de ta personne avec cet enfoiré. »- « Merci, je ne le regrette pas, c’était mérité, il est très doué … et pour tout, tu peux me croire sur parole. Tu n’auras pas de problème avec tes collègues ? »- « Elles ont compris que Bruno baisait sa cliente, elles voulaient voir ta tête. Je pense qu’il n’y aura pas de conséquence, Bruno va peut-être devoir payer lui aussi de sa personne, mais c’est sa faute, il aurait dû faire moins de bruit. De toute façon ça ne lui fait pas peur »- « Il y a des soins qui nécessitent la collaboration de Bruno dans ce que tu fais ? »- « T’inquiète, demande juste un massage le vendredi après-midi, je t’organiserai cela. Ce sera rigolo de voir Bruno faire le tapin » Elle rit en disant cela… je comprends sa blague.
- « Ah ! oui ! C’est vrai, vu que je paierai la séance, c’est lui qui fera la pute ! Je sens que tes collègues vont se foutre de lui un max »On éclate de rire, je fais mon chèque et lui donne, elle me rend la décharge que j’avais signée. Avant de sortir, on se fait la bise comme d’habitude, voyant une autre cliente venir payer ses soins, je dis à Vanessa- « Maintenant, je vais vérifier si j’ai plus froid en scooter »On rit toutes les deux, je monte sur mon scooter, je tourne et reste quelques instants face à la vitrine, je soulève un peu ma jupe, et quand je vois l’expression de Vanessa et de l’autre employée, je rebaisse ma jupe et part avant que la cliente ne tourne la tête pour comprendre l’hilarité des deux jeunes femmes.
Mon épilation a été le point d’orgue, j’ai passé une journée extraordinaire. Je suis fatiguée, je rentre chez moi, et je vais faire une petite sieste. Toute petite, le temps de rentrer il sera presque 17h, mes parents seront bientôt là. Il faudrait que je trouve une version édulcorée de mes activités du jour.
J’espère au moins qu’Hugo sera content des résultats. J’ai payé le prix fort pour pouvoir satisfaire les demandes qu’il avait faits, payer de ma personne même ! Je me demande si je dois lui parler de tout ! Je pense que pour lui aussi, sans lui mentir, je vais peut-être édulcorer un peu mes activités au sexshop, pour le reste, je n’ai fait que « subir » la volonté de ces males lubriques ! Non ça c’est trop, il ne le croira jamais, on verra bien demain.
(à suivre)

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