FEU D’ARTIFICE 2 - Kenzo - histoire érotique

"Il arrive, il fume juste sa clope... ".
C'est par ces mots qu'Hicham, qui avait dû regagner sa voiture, annonça à Eric l'arrivée de Kenzo. Il était prêt, dans la chambre, à enchaîner le deuxième plan du "feu d'artifice" de sa soirée d'anniversaire.
Kenzo, en quelque sorte, c'était l'anti-Hicham : Hicham était beau, Kenzo était quelconque ; Hicham était bien foutu, Kenzo était trop maigre ; Hicham était bien membré ; Kenzo avait une petite bite ; Hicham était intéressant ; Kenzo ne l'était pas ... On pourrait continuer la liste ...

Seulement voilà : Kenzo excitait Eric, qui ne le voyait pas souvent mais appréciait leurs plans qui au moins ne duraient pas trop. Kenzo jouissait assez vite, et, comme il n'avait pas de conversation, il partait tout aussi rapidement. Eric aimait le maltraiter ... en lui donnant des petites tapes, sur les joues, sur les fesses. Et puis, et surtout, comme il avait une petite bite, Kenzo le baisait, il disait qu'il aimait son cul, son "gros cul" comme il disait, et Eric aimait la sensation de cette (petite) bite dans son cul.

Il avait souhaité que, pour son anniversaire, Kenzo fasse partie du "feu d'artifice" qu'il avait organisé, et, comme il était venu véhiculé par Hicham, il était logique qu'il passe en deuxième.
Sa venue lui avait été annoncée, il savait qu'il prenait 5 minutes pour fumer sa clope, il allait lui apporter une phase passive (active aussi un peu) avant la phase purement active avec Alfonso, totalement passif.

Lorsqu'il entendit le bruit de la porte principale, Eric entrouvrit la porte de la chambre, c'était la première à droite, et Kenzo entra.
Dès qu'il le vit, Eric ressentit une forte pulsion, il était encore tout excité de ce qu'il avait vécu avec Hicham, et il eut envie de baiser cette petite frappe de Kenzo.
Sans même le saluer, ni lui dire un mot, il le retourna, le plaqua contre le mur, lui baissa son pantalon de survet et son boxer, dénudant ainsi ses fesses et ses parties. Evidemment, il n'aurait jamais fait ça avec Hicham, comme avec d'autres d'ailleurs, mais il aimait maltraiter Kenzo qui donnait l'impression d'aimer ça, et, en tout cas, se laissait faire.

Eric ne portait que son peignoir de bain de couleur blanche, qu'il emmenait toujours avec lui quand il descendait dans cet hôtel. Il l'enleva vite fait et le jeta sur le lit pour se retrouver totalement à poil, le sexe à nouveau en érection.
Il s'approcha de Kenzo, qui n'avait pas bougé, le plaqua contre le mur et vint frotter sa bite entre ses fesses, il cracha dans sa main pour humecter son sexe et fit de même pour humecter l'anus de Kenzo, il approcha sa bite et rentra d'un coup sec ; ça arracha un gémissement au jeune homme qui, toutefois, cambra ses fesses pour faciliter la pénétration.

Eric n'avait eu aucun mal à pénétrer Kenzo jusqu'au bout, ce qui le conforta dans l'idée qu'en fait il était une bonne salope et qu'il devait se prendre de bonnes grosses bites. Ce n'est pas la sienne, qui, certes était plutôt épaisse, mais ne faisait que 16 cm, qui allait lui faire mal.

Eric prit le temps de bien installer sa bite et entama des va-et-vients qui achevèrent de transformer Kenzo en véritable femelle. Il se mit à gémir de façon aiguë et saccadée, ce qui excita encore plus Eric et le fit accélérer ses mouvements, pour, sinon faire mal à Kenzo, du moins pour qu'il la sente bien passer.
Dans le même temps il se recula un peu pour dégager le jeune homme du mur afin de mettre son dos plus à l'horizontale.
Comme d'habitude Kenzo avait un survet (pantalon et blouson) avec juste un tee shirt. Cette position permit à Eric de passer sa main sur le torse du jeune et d'enlever ses vêtements du haut : d'abord le blouson, qu'il déboutonna et enleva, puis le tee-shirt, qu'il fit passer par sa tête.

Comme d'habitude Kenzo se laissait faire.
Il lui donnait même l'impression qu'on pouvait tout lui faire, que rien ne le gênait, qu'il encaissait tout, qu'il serait même capable d'endurer les pires humiliations.
Son torse n'avait rien à voir avec celui d'Hicham, si ce n'est qu'il était imberbe comme le sien. Mais il était tout plat, et quand on le caressait comme Eric était en train de le faire, on sentait à peine les tétons, tellement il était mince.
Ca ne faisait rien, Eric prenait son pied en l'enculant.

Il eut envie de changer de position, se retira, laissa Kenzo enlever ses baskets, son pantalon et son boxer.
Le voir totalement à poil excita encore plus Eric qui l'embrassa à pleine bouche.
Comme d'habitude, Kenzo restait totalement passif, limite inerte, il ne mettait pas la langue, mais laissait Eric explorer sa bouche avec la sienne.
Cette situation à la fois amusait et excitait Eric.

Il l'amena sur le lit, et le posa bien au milieu.
Il s'attarda quelques secondes, pour bien le mater. Le voir ainsi, totalement nu, l'excita totalement, il lui donnait l'impression d'être totalement à sa merci, et de pouvoir faire de lui ce qu'il voulait. Kenzo n'était pas beau, mais excitant, du moins pour Eric, d'autres, la majorité sans doute, l'auraient trouvé quelconque.
Depuis qu'Eric s'était retiré de ses entrailles, Kenzo s'était mis à bien bander, son petit sexe était vraiment dur et lui lançait comme le message qu'il avait envie de baiser.

Eric voulut toutefois retarder le moment où Kenzo serait actif, et il avait encore envie de l'enculer, cette fois dans cette position.
Il le rejoignit sur le lit, et approcha sa bite du visage du jeune homme, qui, toutefois, ne la prit pas en bouche, mais se contenta de la branler après l'avoir salivée avec ses mains. Eric apprécia cet instant qui lui montrait que Kenzo pouvait dire non, et que, finalement, on ne pouvait pas lui faire tout subir.
Quelque part, cette pensée le rassura, et, a contrario, il se dit que quand Kenzo se laissait faire, c'est qu'il aimait ...

Il se mit sur lui et le pénétra à nouveau.
Comme tout à l'heure, sa bite rentra comme dans du beurre, et il se remit à pilonner l'anus de Kenzo qui gémissait sous ses assauts.
Etre sur lui lui donnait l'impression, et la satisfaction, de le dominer, il pouvait mater son torse frêle, mais imberbe, et il poussa son avantage en lui donnant de petites tapes sur la joue, la poitrine et les fesses, et en l'insultant.
Kenzo sourit faiblement, mais se laissait faire. En tout cas il bandait bien à fond, sa p'tite bite était bien dure et bien raide, ce qui décupla l'excitation d'Eric.

Il se retira sans trop de ménagement et, sans transition, vint s'empaler sur le sexe de Kenzo qu'il sentit à peine dans son anus.
Kenzo gémissait encore plus et, après quelques mouvements de va-et-vient, ne tarda pas à spermer.
Heureusement, Eric s'était dégagé à temps de sa bite, il aurait détesté que cette petite frappe éjacule en lui. Et puis quoi encore ...

Kenzo n'avait pas beaucoup giclé (en proportion de la taille de sa bite ?) et l'avait fait sur lui. Eric alla lui chercher du papier toilette à la salle de bains, il n'avait qu'une hâte, c'était qu'il s'en aille.
Sans dire un mot, Kenzo s'essuya, puis se rhabilla, avant de se diriger vers la porte de la chambre.

Dans un dernier moment d'excitation, et aussi de volonté de l'humilier, Eric s'approcha de lui, le colla encore une fois contre le mur, lui ouvrit la bouche, lui adressa un mollard à l'intérieur, avant de l'embrasser avec la langue, en allant bien fouiller dans sa bouche.

Ensuite il le retourna, lui baissa son froc et cette fois le doigta jusqu'à lui faire mal, avant de retirer ses doigts et de lui dire de se casser.
Kenzo remonta son caleçon et son pantalon, lui sourit en lui disant qu'il avait beaucoup aimé le plan.
Eric lui sourit aussi, lui tapota la joue, lui dit qu'il avait bien aimé aussi, et le remercia d'avoir joué le jeu.
Kenzo lui souhaita son anniversaire et lui apposé un baiser sur la bouche, Eric le remercia et lui ouvrit la porte.

Il remit son peignoir et s'allongea quelques instants sur le lit. Il sourit intérieurement, en se disant que, tout compte fait, il avait bien aimé ce plan trash avec Kenzo, et en se remémorant ce précepte selon lequel y en a pas deux qui baisent pareil. C'était bien vrai ...

Il regarda son téléphone, il avait un sms d'Hicham :
- Kenzo vient de revenir, il est tout content et a bien pris son pied ... Je t'envoie Alfonso ?
- Oui, avec plaisir.