FEU D’ARTIFICE 6 - Hicham, l’épilogue inattendu
Récit érotique écrit par EricDeFrance [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-08-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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FEU D’ARTIFICE 6 - Hicham, l’épilogue inattendu
Hicham s’éloigna lentement, marcha comme un automate jusqu’à sa voiture, s’installa au volant, mais ne démarra pas.
Il était encore bouleversé par ce qui venait de se passer .
Déjà, à peine la porte refermée, il était resté un moment dans le couloir, à attendre, perdu dans ses pensées.
Il avait du mal à comprendre ce qui était en train de se passer en lui. Jusque là il vivait sans aucun problème cette relation avec Eric qui, au fil du temps et des années, était devenu son “client” privilégié. Le plan lui convenait, c’était cool, agréable, il le vivait comme un temps de détente et de plaisir. Il aimait aussi leurs discussions, la confiance qui s’était instaurée entre eux, et puis, bien évidemment, le caractère tarifé de cette relation qui l’arrangeait bien.
Ce soir-là, c’était différent. C’était la nième fois qu’il quittait cette chambre d’hôtel, c’était même arrivé (une fois) que la même soirée, après un plan à trois, il revienne pour un plan à deux... et toutes ces fois-là il était reparti rapidement de l’hôtel, le coeur léger et les couilles vidées...
Mais ce soir-là, non, c’était vraiment pas pareil.
Déjà il avait beaucoup hésité à accepter la demande d’Eric de le baiser. Il lui en avait parlé à plusieurs reprises, en le présentant comme un fantasme, de son côté il lui répétait qu’il n’en était pas question. Il pensait que jamais ça se ferait, et puis, certes après avoir hésité, il avait fini par dire ok.
Et, pour la première fois de sa vie, lui qui croyait être 100% actif, il venait de se faire baiser.
Il pensait que le caractère tarifé de la relation le protègerait, mais ce n'était pas le cas.
Ce qui le troublait le plus, c'est qu'il avait pris du plaisir à ce qui venait de se passer, il avait bandé tout le temps pendant qu'il se faisait baiser, c'était un signe qui ne trompait pas.
Il réalisait aussi qu'Eric depuis qu'il le connaissait lui faisait faire des trucs qu'il n'aimait pas et même qui le répugnaient, et il se rendait compte qu'en fait ces trucs, il les aimait et prenait son pied quand le plan se déroulait.
Il se rendait compte qu'en fait il aimait quand il lui bouffait le cul, et il devait bien admettre qu'il avait aimé qu'il le baise. Il réalisait aussi qu'il avait aimé l'embrasser pour lui dire au revoir alors qu'il ne supportait pas le faire après s'être fait bouffer le cul par la langue d'Eric...
Réalisant tout cela, Hicham, assis au volant de sa voiture, sur le parking de cet hôtel où il était si souvent venu, sentit une forte émotion le gagner, et il se mit à pleurer. Doucement, pas longtemps, mais ça lui fit du bien.
Ce moment d’émotion passé, il devait se rendre à l’évidence : il n’avait pas envie de partir.
Il regarda son téléphone : 2h12. Ça faisait presque une demi-heure qu’il était là, sans bouger, sans savoir que faire.
Il envoya un message à Eric.
- Cc ?
Comme il s’y attendait il n’eut pas de réponse. Evidemment il devait dormir.
Il eut alors une idée : l’appeler, et prétexter une panne sur le parking.
Eric décrocha à la cinquième sonnerie, il entendit une voix embrumée :
- ... oui ... ,
- c’est Hicham. Pardon, je te réveille, j’ai un souci, impossible de démarrer ma caisse. Si je peux venir dormir... je commence à avoir froid... dit-il dans un rire étouffé.
- euh oui bien sûr sans problème, viens.
Lorsqu’il eut raccroché, il eut un sourire de satisfaction, ça avait marché évidemment, et, surtout, ça lui paraissait plus simple de raconter ce bobard que d’avouer qu’il n’avait tout simplement pas envie de partir.
Quand Eric lui ouvrit la porte il vit qu’il avait remis son peignoir, mais il semblait nu dessous. Lui avait toujours le costard qu’il avait mis pour ce plan “spécial”, un signe de plus, se dit-il, qu’il était en train de perdre la tête.
Mais il devait admettre qu’il se sentait bien avec Eric, en sécurité, comme dans une bulle, hors du monde et hors du temps, dans laquelle il se sentait bien.
- je suis désolé je t’ai réveillé mais là j’étais vraiment en galère...
- pas de souci, t’as bien fait d’appeler.
Hicham entreprit de se déshabiller, Eric le regardait avec envie :
- alors, on va dormir ensemble ? lui demanda-t-il en souriant.
- ben ouais... sauf si tu veux que je dorme par terre...
- ah ouais... ce serait une idée... dit Eric en raccrochant son peignoir au porte-manteau, il était bien à poil dessous.
Du coup Hicham, qui avait prévu de le garder, enleva son boxer, et, également, ses chaussettes, qu’il gardait pourtant souvent.
Comme quand ils le faisaient avant un plan, les deux hommes se retrouvèrent dans le lit, et, aussitôt, se roulèrent une bonne pelle.
Hicham, qui avait pourtant joui trois fois, sentit à nouveau le désir monter et sa queue se durcir. En fait, loin de l’émousser ces éjaculations successives l’avaient excité.
Contrairement à ses habitudes, il avait envie d’un plan “câlin”, il avait envie de se faire “câliner”, il avait envie de sexe, bien sûr, mais aussi, et avant tout, de douceur.
Ça tombait bien, Eric fut entreprenant, et Hicham se laissa totalement faire.
Il se sentit caressé le haut du corps, le torse, les tétons, et il sentit les mains d’Eric explorer le bas, toucher sa bite, bien dressée, la branler doucement, et il sentit ses doigts, humectés de salive, venir explorer son trou.
Il ferma les yeux, et se laissa complètement aller. Tout ce que lui faisait Eric lui procurait du plaisir. Il écarta simplement les jambes, et redressa légèrement son fessier, pour faciliter les choses.
Eric en profita pour le pousser du côté gauche, afin qu’il se mette sur le dos, il accompagna le mouvement, d’autant que rester sur le côté commençait à devenir inconfortable.
Eric lui releva les jambes, et fit bien ressortir sa croupe. Hicham sentit le désir lui monter de l’anus et il écarta ses fesses pour bien dégager son orifice.
Eric se mit à genoux, près de lui, et commença à le lécher et à le bouffer. Hicham, qui, décidément, aimait de plus en plus cela, poussait des petits gémissements, saccadés, de plus en plus aigus, et de plus en plus forts.
Eric se régalait de cette rondelle bien ouverte, qu’il élargissait aussi avec les doigts.
Il prit une capote dans le paquet qu’il avait laissé sur la table de nuit, l’enroula sur sa bite, qu’il vint positionner face à l’orifice qu’il avait bien préparé.
Il rentra sans difficulté, d’autant que, pour faciliter la pénétration, Hicham écarta ses fesses de ses mains.
Ses gémissements étaient devenus des cris rauques, mais tout autant réguliers.
Eric le baisa bien profond et prit un pied d’enfer. Il était d’autant plus chaud que lui n’avait joui qu’une fois.
Contrairement à tout à l’heure, il sentit le cul d’Hicham bien moins serré, et, cette fois, il avait la certitude que lui aussi prenait son pied.
Alors que jusque là il avait gardé le dos vertical, il vint se pencher pour approcher son visage de celui du jeune homme, et pour chercher ses lèvres avec sa bouche.
Aussitôt Hicham lui roula une pelle, ce qui décupla leur excitation.
Eric aussi rugissait de plaisir et sentait l’extase monter. Il se releva, continua de pilonner les entrailles d’Hicham, et entreprit de le branler. Il bandait bien à fond, et du coup, sous l’action de la main d’Eric sur sa bite, il se mit à gémir à nouveau de façon aiguë.
- je vais jouir... eut-il le temps de dire avant que la purée ne jaillisse de son gland pour la quatrième fois de la soirée, un record chez lui. Evidemment il n’y eut pas beaucoup de semence, mais le plaisir avait été très intense, et il avait du mal à reprendre sa respitation.
Il ne sentait même pas qu’Eric continuait à le baiser, avant de lui aussi, éjaculer dans le préservatif, mais toujours en lui.
Eric, encore à l’intérieur d’Hicham, fut parcouru de soubresauts, et gueula fort. Cela dura un bon moment avant qu’il ne puisse reprendre son souffle.
Il put enfin se retirer, et enlever le préservatif, qui avait tenu le choc, et qui était bien rempli.
Il se releva complètement, ce qui permit à Hicham, qui avait repris ses esprits, de se lever également.
Après un passage à la salle de bains et une bonne douche, les deux hommes purent enfin reprendre place dans le lit.
Eric s’allongea sur le dos, Hicham vint poser sa tête contre le haut de sa poitrine, et son bras doit à niveau de son épaule gauche.
Eric lui caressa la tête tendrement.
Après un dernier smack, les deux hommes fermèrent les yeux et s’endormirent rapidement.
Il était encore bouleversé par ce qui venait de se passer .
Déjà, à peine la porte refermée, il était resté un moment dans le couloir, à attendre, perdu dans ses pensées.
Il avait du mal à comprendre ce qui était en train de se passer en lui. Jusque là il vivait sans aucun problème cette relation avec Eric qui, au fil du temps et des années, était devenu son “client” privilégié. Le plan lui convenait, c’était cool, agréable, il le vivait comme un temps de détente et de plaisir. Il aimait aussi leurs discussions, la confiance qui s’était instaurée entre eux, et puis, bien évidemment, le caractère tarifé de cette relation qui l’arrangeait bien.
Ce soir-là, c’était différent. C’était la nième fois qu’il quittait cette chambre d’hôtel, c’était même arrivé (une fois) que la même soirée, après un plan à trois, il revienne pour un plan à deux... et toutes ces fois-là il était reparti rapidement de l’hôtel, le coeur léger et les couilles vidées...
Mais ce soir-là, non, c’était vraiment pas pareil.
Déjà il avait beaucoup hésité à accepter la demande d’Eric de le baiser. Il lui en avait parlé à plusieurs reprises, en le présentant comme un fantasme, de son côté il lui répétait qu’il n’en était pas question. Il pensait que jamais ça se ferait, et puis, certes après avoir hésité, il avait fini par dire ok.
Et, pour la première fois de sa vie, lui qui croyait être 100% actif, il venait de se faire baiser.
Il pensait que le caractère tarifé de la relation le protègerait, mais ce n'était pas le cas.
Ce qui le troublait le plus, c'est qu'il avait pris du plaisir à ce qui venait de se passer, il avait bandé tout le temps pendant qu'il se faisait baiser, c'était un signe qui ne trompait pas.
Il réalisait aussi qu'Eric depuis qu'il le connaissait lui faisait faire des trucs qu'il n'aimait pas et même qui le répugnaient, et il se rendait compte qu'en fait ces trucs, il les aimait et prenait son pied quand le plan se déroulait.
Il se rendait compte qu'en fait il aimait quand il lui bouffait le cul, et il devait bien admettre qu'il avait aimé qu'il le baise. Il réalisait aussi qu'il avait aimé l'embrasser pour lui dire au revoir alors qu'il ne supportait pas le faire après s'être fait bouffer le cul par la langue d'Eric...
Réalisant tout cela, Hicham, assis au volant de sa voiture, sur le parking de cet hôtel où il était si souvent venu, sentit une forte émotion le gagner, et il se mit à pleurer. Doucement, pas longtemps, mais ça lui fit du bien.
Ce moment d’émotion passé, il devait se rendre à l’évidence : il n’avait pas envie de partir.
Il regarda son téléphone : 2h12. Ça faisait presque une demi-heure qu’il était là, sans bouger, sans savoir que faire.
Il envoya un message à Eric.
- Cc ?
Comme il s’y attendait il n’eut pas de réponse. Evidemment il devait dormir.
Il eut alors une idée : l’appeler, et prétexter une panne sur le parking.
Eric décrocha à la cinquième sonnerie, il entendit une voix embrumée :
- ... oui ... ,
- c’est Hicham. Pardon, je te réveille, j’ai un souci, impossible de démarrer ma caisse. Si je peux venir dormir... je commence à avoir froid... dit-il dans un rire étouffé.
- euh oui bien sûr sans problème, viens.
Lorsqu’il eut raccroché, il eut un sourire de satisfaction, ça avait marché évidemment, et, surtout, ça lui paraissait plus simple de raconter ce bobard que d’avouer qu’il n’avait tout simplement pas envie de partir.
Quand Eric lui ouvrit la porte il vit qu’il avait remis son peignoir, mais il semblait nu dessous. Lui avait toujours le costard qu’il avait mis pour ce plan “spécial”, un signe de plus, se dit-il, qu’il était en train de perdre la tête.
Mais il devait admettre qu’il se sentait bien avec Eric, en sécurité, comme dans une bulle, hors du monde et hors du temps, dans laquelle il se sentait bien.
- je suis désolé je t’ai réveillé mais là j’étais vraiment en galère...
- pas de souci, t’as bien fait d’appeler.
Hicham entreprit de se déshabiller, Eric le regardait avec envie :
- alors, on va dormir ensemble ? lui demanda-t-il en souriant.
- ben ouais... sauf si tu veux que je dorme par terre...
- ah ouais... ce serait une idée... dit Eric en raccrochant son peignoir au porte-manteau, il était bien à poil dessous.
Du coup Hicham, qui avait prévu de le garder, enleva son boxer, et, également, ses chaussettes, qu’il gardait pourtant souvent.
Comme quand ils le faisaient avant un plan, les deux hommes se retrouvèrent dans le lit, et, aussitôt, se roulèrent une bonne pelle.
Hicham, qui avait pourtant joui trois fois, sentit à nouveau le désir monter et sa queue se durcir. En fait, loin de l’émousser ces éjaculations successives l’avaient excité.
Contrairement à ses habitudes, il avait envie d’un plan “câlin”, il avait envie de se faire “câliner”, il avait envie de sexe, bien sûr, mais aussi, et avant tout, de douceur.
Ça tombait bien, Eric fut entreprenant, et Hicham se laissa totalement faire.
Il se sentit caressé le haut du corps, le torse, les tétons, et il sentit les mains d’Eric explorer le bas, toucher sa bite, bien dressée, la branler doucement, et il sentit ses doigts, humectés de salive, venir explorer son trou.
Il ferma les yeux, et se laissa complètement aller. Tout ce que lui faisait Eric lui procurait du plaisir. Il écarta simplement les jambes, et redressa légèrement son fessier, pour faciliter les choses.
Eric en profita pour le pousser du côté gauche, afin qu’il se mette sur le dos, il accompagna le mouvement, d’autant que rester sur le côté commençait à devenir inconfortable.
Eric lui releva les jambes, et fit bien ressortir sa croupe. Hicham sentit le désir lui monter de l’anus et il écarta ses fesses pour bien dégager son orifice.
Eric se mit à genoux, près de lui, et commença à le lécher et à le bouffer. Hicham, qui, décidément, aimait de plus en plus cela, poussait des petits gémissements, saccadés, de plus en plus aigus, et de plus en plus forts.
Eric se régalait de cette rondelle bien ouverte, qu’il élargissait aussi avec les doigts.
Il prit une capote dans le paquet qu’il avait laissé sur la table de nuit, l’enroula sur sa bite, qu’il vint positionner face à l’orifice qu’il avait bien préparé.
Il rentra sans difficulté, d’autant que, pour faciliter la pénétration, Hicham écarta ses fesses de ses mains.
Ses gémissements étaient devenus des cris rauques, mais tout autant réguliers.
Eric le baisa bien profond et prit un pied d’enfer. Il était d’autant plus chaud que lui n’avait joui qu’une fois.
Contrairement à tout à l’heure, il sentit le cul d’Hicham bien moins serré, et, cette fois, il avait la certitude que lui aussi prenait son pied.
Alors que jusque là il avait gardé le dos vertical, il vint se pencher pour approcher son visage de celui du jeune homme, et pour chercher ses lèvres avec sa bouche.
Aussitôt Hicham lui roula une pelle, ce qui décupla leur excitation.
Eric aussi rugissait de plaisir et sentait l’extase monter. Il se releva, continua de pilonner les entrailles d’Hicham, et entreprit de le branler. Il bandait bien à fond, et du coup, sous l’action de la main d’Eric sur sa bite, il se mit à gémir à nouveau de façon aiguë.
- je vais jouir... eut-il le temps de dire avant que la purée ne jaillisse de son gland pour la quatrième fois de la soirée, un record chez lui. Evidemment il n’y eut pas beaucoup de semence, mais le plaisir avait été très intense, et il avait du mal à reprendre sa respitation.
Il ne sentait même pas qu’Eric continuait à le baiser, avant de lui aussi, éjaculer dans le préservatif, mais toujours en lui.
Eric, encore à l’intérieur d’Hicham, fut parcouru de soubresauts, et gueula fort. Cela dura un bon moment avant qu’il ne puisse reprendre son souffle.
Il put enfin se retirer, et enlever le préservatif, qui avait tenu le choc, et qui était bien rempli.
Il se releva complètement, ce qui permit à Hicham, qui avait repris ses esprits, de se lever également.
Après un passage à la salle de bains et une bonne douche, les deux hommes purent enfin reprendre place dans le lit.
Eric s’allongea sur le dos, Hicham vint poser sa tête contre le haut de sa poitrine, et son bras doit à niveau de son épaule gauche.
Eric lui caressa la tête tendrement.
Après un dernier smack, les deux hommes fermèrent les yeux et s’endormirent rapidement.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J'aurais tellement aimé être à la place d'Éric... surtout à la fin !
En effet … totalement imaginée naturellement …
C'est une belle fin.