Gilles, l'amant furtif du Sex-Shop, devenu un dangereux régulier.
Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-08-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Gilles, l'amant furtif du Sex-Shop, devenu un dangereux régulier.
Ce qui était agréable avec Gilles, c'est qu'on se voyait plus souvent en extérieur !
Comme nous n'habitions pas très loin, l'un de l'autre, il nous arrivait de nous croiser dans de nombreux endroits comme le supermarché, la boulangerie, etc...
Il m'a souvent baisé dans des lieux improbables, j'aimais ça !
Quelques fois, on se contentait d'une délicieuse fellation, par manque de tranquillité.
Avant le jour de l'an, on avait jamais osé s'aborder, malgré le fait qu'on se reconnaissait.
On échangeait seulement, un sourire complice.
Le plaisir qu'il me procurait au Sex-shop me revenait avec force, je pense qu'il devait avoir des pensées similaires.
Cette anecdote s'est déroulée vers le milieu de notre relation.
Un soir, Corinne et moi, on prenait du bon temps avec des amis, en terrasse d'un bar.
L'un d'eux nous apprend que ses parents lui ont laissé la maison pour le Week end.
Le lendemain, on part faire des courses, afin de faire une fête improvisée.
Tout le monde boit allègrement, sauf moi, qui commence à moins supporter l'alcool.
J'ai un rapport spécial avec ça, je n'aime pas ses effets, quand je vais trop loin.
Mais je les accompagne avec quelques verres, malgré tout, j'apprécie une légère gaité.
La musique bat son plein, Corinne danse avec des copines et des copains.
Je précise que personne ne connait notre double vie sexuelle !
Puis, vers 16 h, on entend la porte d'entrée qui claque.
"Qu'est-ce qui se passe ici ?".
Mon ami reconnait ses parents et leur dit :
"Papa ! Maman ! Qu'est ce que vous faites là ?".
Je reconnais Gilles ! Qui est donc, le père de mon ami ! Je blêmis, en me retournant vers Corinne, qui n'en mène pas large, non plus !
"Demande plutôt à ta mère ! Elle m'a gonflée !".
"Bon, on va tous partir alors ! Désolé les amis !". Répond son fils.
Gilles me fixe avec envie, et ajoute:
"Non ! Continuez ! On t'a permit de prendre la maison, faites comme ci, on était pas là ! Mais faites un peu moins de bruit, quand même !".
Il me regarde, je devine le désir dans ses yeux.
De mon coté, le fait qu'il soit le père de mon pote, bloque tout désir, je suis en dessous de tout !
La mère s'affaire dans le jardin, pendant que le père nous accompagne en buvant et me lance des regards appuyés.
Son fils nous présente tous, jusqu'à arriver à mon prénom.
"Ah ! Donc, c'est toi Pascal ! Depuis le temps qu'il me parle de toi !".
Je le trouve vicieux, de faire comme si, il ne me connaissait pas !
La soirée se déroule sans encombre, malgré la tension qui règne entre Gilles et sa femme.
Elle décide de sortir faire des courses seule, elle annonce qu'elle va flâner avant, visiblement pour ennuyer son mari, par son absence.
Puis Gilles dit à son fils qu'il va prendre une douche et le charge du bon fonctionnement de la soirée.
Il se met en retrait, et me fait signe d'aller le voir.
Tout le monde est en petit groupe, à discuter sans faire attention à moi, au son de la musique.
Je me lève pour aller dans le couloir, ou m'attend Gilles.
"Viens ! Suis-moi !". Me chuchote-t-il.
"Non ! T'es fou ! Je peux pas !".
"Allez viens ! Au moins pour discuter !".
Il a gagné, je le suis !
Il ouvre sa salle de bain, puis referme derrière nous.
"Maintenant, tu peux plus m'échapper !".
"Gilles, non !".
Il colle sa bouche à la mienne et entraine ma main sur sa grosse queue.
Il bande comme un âne !
Il se libère de ses vêtements, et fait couler l'eau, en disant:
"De toute façon, je dois me laver ! Allez suces-moi !".
Il m'attire sur sa grosse verge en érection.
Je me laisse de plus en plus, convaincre et commence à le sucer avec passion.
"Dégrafes ton pantalon, je vais te baiser !".
"Pas ici ! Pas avec ton fils, à coté !".
"Lèves toi, je te dis !".
Je me redresse et baisse mon vêtement, en lui offrant mes fesses.
Pourquoi, suis-je aussi soumis aux hommes ?
"Voilà ! Comme ça ! Ca sert à rien de lutter ! On ne pense qu'à ça tous les deux !".
Il se baisse, crache sur mon anus, puis enduit également, son gros gland et vient se coller à mon œillet.
Il parvient à prendre sa place, au fond de mon cul, assez rapidement.
Je mords mon poignet pour m'empêcher de faire entendre mes râles de plaisir.
Il entame sa longue destruction anale avec vice, il a l'air d'être excité par la situation.
Cela dure une éternité à mes yeux, il me procure plusieurs orgasmes, en m'enculant contre le mur froid de sa salle de bain.
Après 20 minutes, on entend:
"Papa ? T'es là ?".
"Oui, je prend ma douche ! J'en ai pour un moment !".
"C'est pour savoir, t'as pas vu, Pascal ?".
"Non, à mon avis, il est surement dehors !".
"OK, merci, je vais aller voir !".
Dès que son fils s'éloigne, il reprend ses assauts.
"Hummmm ! Gilles, j'ai honte ! Je connais ton fils ! Mmmmmmmmmmmmmmm !".
"Pas moi, ça m'excite d'enculer un de ses potes !".
Il redouble d'énergie et me fait éjaculer contre le mur en m'enculant profondément.
"Arhhhhh ! Gilles ! laisses moi enlever mes habits ! Je vais les tacher !".
J'ôte mes chaussures avec mes pieds, puis mon pantalon et mes chaussettes,
Il m'entraine alors dans la douche et m'encule à fond sans discontinuer.
J'évite de me mouiller les cheveux en jouissant sur sa grosse queue.
Je lui donne ce qu'il voulait de moi, je commence à couler entre mes jambes.
Il se cambre et me remplit le cul avec son foutre, dans une interminable éjaculation.
Je redescend lentement de mon dernier orgasme anal.
"Putain ! Gilles, t'es dingue ! Tu m'as défoncé encore ! Comment je vais cacher ça, aux autres ?".
"C'est ton souci ! Ne me dis pas que t'as pas aimé que je t'encules encore ?".
Il sait effectivement, qu'il n'a pas tort, il m'a encore donné beaucoup de plaisir.
Il saisit le pommeau de douche et je lui prend des mains pour me rincer les jambes.
"Je veux que tu gardes mon sperme ! Tu le rejettes pas ! Compris ?".
"Je peux pas ! C'est pas possible !".
"Compris ? Tu te débrouilles !".
"Oui !".
Je sors très vite pour m'essuyer les jambes, puis je remets le bas de mes vêtements, pour essayer de rejoindre les autres discrètement.
Sur les conseils de Gilles, je passe par une fenêtre de chambre, pour rentrer à nouveau par la porte.
Corinne se jette sur moi:
"Ou, tu étais ? Je me suis inquiétée !".
"J'étais sorti, y a rien de grave ! On peux en discuter dehors ?".
Je l'attire loin des autres en la serrant dans mes bras, puis je lui glisse à l'oreille:
"On va faire comment ? Maintenant qu'on sait que c'est son père !".
"Tant qu'il sait pas ! Tout va bien ! On va faire attention !".
"Oui, mais Gilles me fait peur, il vient de m'enculer dans sa salle de bain !".
"Quoi ! Donc t'es pas sorti ?".
"Non, il m'a baisé tout ce temps ! J'ai encore son jus dans le cul ! On va devoir rentrer mon amour ! Ou alors, tu me laisses aller à la maison, histoire que je me débarrasse de tout ça ! Mais ça va pas être simple à gérer, j'ai le cul éclaté ! Tu sais de quoi je parle !".
"Oui ! Tu choisis quoi ?".
"Je vais à la maison, et je reviens Mais j'ai peur qu'il me demande encore de baiser, il a toujours envie de recommencer une deuxième fois !".
Nous retournons chez Gilles pour annoncer mon absence pendant une petit moment.
C'est à cet instant que Gilles me dit :
"Je t'accompagne ! Comme ça, t'y vas pas tout seul !".
"Merci Papa ! C'est gentil de ta part ! Comme ça, je suis sur qu'il reviendra !".
Corinne sait que je suis pris au piège.
Sur le trajet, il me confirme qu'il adore la situation:
"Putain, j'adore me dire que je baise un copain de mon fils !".
"Pas moi ! Désolé ! J'arrive pas à mélanger ma vie sociale et privée !".
"Tu sais qu'il t'admire ? Il me parle souvent de toi, je pense qu'il aimerait te ressembler ! T'as une grosse influence sur lui !".
"Je savais pas ! Il faut pas qu'il apprenne pour nous deux !".
"Ah, ah ! S'il savait que t'es une vraie salope ! Et que je t'éclate le cul quand j'en ai envie ! Et on va remettre ça, d'ailleurs !".
"S'il sait ! Il saura aussi que tu n'es pas le père qu'il croit connaitre ! Il sera déçu de savoir que tu es homosexuel !".
"C'est entre nous ! Alors !".
Une fois chez moi, Gilles m'a encore enculé pendant une heure, sur ma table de salon.
Il a bénéficié de la béance de mon anus, encore présente, et de son sperme, pour me pénétrer sans difficulté.
Il m'a encore fait couler abondamment, puis m'a demandé de me masturber, pendant qu'il me défonçait profondément.
J'ai crié mon double orgasme, en éjaculant encore plus abondamment que chez lui.
Il s'est fait plaisir, ensuite, en terminant par m'abreuver de son foutre chaud dans la gorge.
Il s'est vicieusement amusé à me faire avouer que j'aimais lui appartenir ainsi.
Nous sommes retournés chez lui, ensuite, il a dit à son fils:
"J'adore ton copain Pascal ! Il est très intéressant ! J'aime bien discuter avec lui ! Il gagne à être connu ! Plus en profondeur !".
De son coté, Corinne me demande:
"Il a recommencé ?".
"Oui, on vient d'arrêter ! J'en peux plus !".
C'était un adepte des plans furtifs et des baises risquées.
Un jour, il m'a obligé à le sucer alors que sa femme était dans le jardin, Il m'a inondé la gorge avec abondance, encore.
Je pense qu'il cherchait un peu, à se faire surprendre, mais cela n'est jamais arrivé, et c'est mieux pour moi.
Un jour, il m'a aussi enculé dans une crique isolée, du bord de mer, on a commencé dans l'eau, puis sur le sable, entre les rochers.
Une heure plus tard, il m'a ensuite entrainé dans les fourrés, et m'a possédé encore, en me regardant sucer d'autres hommes, nous étions dans un lieu de rencontre !
Notre histoire s'est mal terminée, c'est difficile de le raconter, désolé.
Comme nous n'habitions pas très loin, l'un de l'autre, il nous arrivait de nous croiser dans de nombreux endroits comme le supermarché, la boulangerie, etc...
Il m'a souvent baisé dans des lieux improbables, j'aimais ça !
Quelques fois, on se contentait d'une délicieuse fellation, par manque de tranquillité.
Avant le jour de l'an, on avait jamais osé s'aborder, malgré le fait qu'on se reconnaissait.
On échangeait seulement, un sourire complice.
Le plaisir qu'il me procurait au Sex-shop me revenait avec force, je pense qu'il devait avoir des pensées similaires.
Cette anecdote s'est déroulée vers le milieu de notre relation.
Un soir, Corinne et moi, on prenait du bon temps avec des amis, en terrasse d'un bar.
L'un d'eux nous apprend que ses parents lui ont laissé la maison pour le Week end.
Le lendemain, on part faire des courses, afin de faire une fête improvisée.
Tout le monde boit allègrement, sauf moi, qui commence à moins supporter l'alcool.
J'ai un rapport spécial avec ça, je n'aime pas ses effets, quand je vais trop loin.
Mais je les accompagne avec quelques verres, malgré tout, j'apprécie une légère gaité.
La musique bat son plein, Corinne danse avec des copines et des copains.
Je précise que personne ne connait notre double vie sexuelle !
Puis, vers 16 h, on entend la porte d'entrée qui claque.
"Qu'est-ce qui se passe ici ?".
Mon ami reconnait ses parents et leur dit :
"Papa ! Maman ! Qu'est ce que vous faites là ?".
Je reconnais Gilles ! Qui est donc, le père de mon ami ! Je blêmis, en me retournant vers Corinne, qui n'en mène pas large, non plus !
"Demande plutôt à ta mère ! Elle m'a gonflée !".
"Bon, on va tous partir alors ! Désolé les amis !". Répond son fils.
Gilles me fixe avec envie, et ajoute:
"Non ! Continuez ! On t'a permit de prendre la maison, faites comme ci, on était pas là ! Mais faites un peu moins de bruit, quand même !".
Il me regarde, je devine le désir dans ses yeux.
De mon coté, le fait qu'il soit le père de mon pote, bloque tout désir, je suis en dessous de tout !
La mère s'affaire dans le jardin, pendant que le père nous accompagne en buvant et me lance des regards appuyés.
Son fils nous présente tous, jusqu'à arriver à mon prénom.
"Ah ! Donc, c'est toi Pascal ! Depuis le temps qu'il me parle de toi !".
Je le trouve vicieux, de faire comme si, il ne me connaissait pas !
La soirée se déroule sans encombre, malgré la tension qui règne entre Gilles et sa femme.
Elle décide de sortir faire des courses seule, elle annonce qu'elle va flâner avant, visiblement pour ennuyer son mari, par son absence.
Puis Gilles dit à son fils qu'il va prendre une douche et le charge du bon fonctionnement de la soirée.
Il se met en retrait, et me fait signe d'aller le voir.
Tout le monde est en petit groupe, à discuter sans faire attention à moi, au son de la musique.
Je me lève pour aller dans le couloir, ou m'attend Gilles.
"Viens ! Suis-moi !". Me chuchote-t-il.
"Non ! T'es fou ! Je peux pas !".
"Allez viens ! Au moins pour discuter !".
Il a gagné, je le suis !
Il ouvre sa salle de bain, puis referme derrière nous.
"Maintenant, tu peux plus m'échapper !".
"Gilles, non !".
Il colle sa bouche à la mienne et entraine ma main sur sa grosse queue.
Il bande comme un âne !
Il se libère de ses vêtements, et fait couler l'eau, en disant:
"De toute façon, je dois me laver ! Allez suces-moi !".
Il m'attire sur sa grosse verge en érection.
Je me laisse de plus en plus, convaincre et commence à le sucer avec passion.
"Dégrafes ton pantalon, je vais te baiser !".
"Pas ici ! Pas avec ton fils, à coté !".
"Lèves toi, je te dis !".
Je me redresse et baisse mon vêtement, en lui offrant mes fesses.
Pourquoi, suis-je aussi soumis aux hommes ?
"Voilà ! Comme ça ! Ca sert à rien de lutter ! On ne pense qu'à ça tous les deux !".
Il se baisse, crache sur mon anus, puis enduit également, son gros gland et vient se coller à mon œillet.
Il parvient à prendre sa place, au fond de mon cul, assez rapidement.
Je mords mon poignet pour m'empêcher de faire entendre mes râles de plaisir.
Il entame sa longue destruction anale avec vice, il a l'air d'être excité par la situation.
Cela dure une éternité à mes yeux, il me procure plusieurs orgasmes, en m'enculant contre le mur froid de sa salle de bain.
Après 20 minutes, on entend:
"Papa ? T'es là ?".
"Oui, je prend ma douche ! J'en ai pour un moment !".
"C'est pour savoir, t'as pas vu, Pascal ?".
"Non, à mon avis, il est surement dehors !".
"OK, merci, je vais aller voir !".
Dès que son fils s'éloigne, il reprend ses assauts.
"Hummmm ! Gilles, j'ai honte ! Je connais ton fils ! Mmmmmmmmmmmmmmm !".
"Pas moi, ça m'excite d'enculer un de ses potes !".
Il redouble d'énergie et me fait éjaculer contre le mur en m'enculant profondément.
"Arhhhhh ! Gilles ! laisses moi enlever mes habits ! Je vais les tacher !".
J'ôte mes chaussures avec mes pieds, puis mon pantalon et mes chaussettes,
Il m'entraine alors dans la douche et m'encule à fond sans discontinuer.
J'évite de me mouiller les cheveux en jouissant sur sa grosse queue.
Je lui donne ce qu'il voulait de moi, je commence à couler entre mes jambes.
Il se cambre et me remplit le cul avec son foutre, dans une interminable éjaculation.
Je redescend lentement de mon dernier orgasme anal.
"Putain ! Gilles, t'es dingue ! Tu m'as défoncé encore ! Comment je vais cacher ça, aux autres ?".
"C'est ton souci ! Ne me dis pas que t'as pas aimé que je t'encules encore ?".
Il sait effectivement, qu'il n'a pas tort, il m'a encore donné beaucoup de plaisir.
Il saisit le pommeau de douche et je lui prend des mains pour me rincer les jambes.
"Je veux que tu gardes mon sperme ! Tu le rejettes pas ! Compris ?".
"Je peux pas ! C'est pas possible !".
"Compris ? Tu te débrouilles !".
"Oui !".
Je sors très vite pour m'essuyer les jambes, puis je remets le bas de mes vêtements, pour essayer de rejoindre les autres discrètement.
Sur les conseils de Gilles, je passe par une fenêtre de chambre, pour rentrer à nouveau par la porte.
Corinne se jette sur moi:
"Ou, tu étais ? Je me suis inquiétée !".
"J'étais sorti, y a rien de grave ! On peux en discuter dehors ?".
Je l'attire loin des autres en la serrant dans mes bras, puis je lui glisse à l'oreille:
"On va faire comment ? Maintenant qu'on sait que c'est son père !".
"Tant qu'il sait pas ! Tout va bien ! On va faire attention !".
"Oui, mais Gilles me fait peur, il vient de m'enculer dans sa salle de bain !".
"Quoi ! Donc t'es pas sorti ?".
"Non, il m'a baisé tout ce temps ! J'ai encore son jus dans le cul ! On va devoir rentrer mon amour ! Ou alors, tu me laisses aller à la maison, histoire que je me débarrasse de tout ça ! Mais ça va pas être simple à gérer, j'ai le cul éclaté ! Tu sais de quoi je parle !".
"Oui ! Tu choisis quoi ?".
"Je vais à la maison, et je reviens Mais j'ai peur qu'il me demande encore de baiser, il a toujours envie de recommencer une deuxième fois !".
Nous retournons chez Gilles pour annoncer mon absence pendant une petit moment.
C'est à cet instant que Gilles me dit :
"Je t'accompagne ! Comme ça, t'y vas pas tout seul !".
"Merci Papa ! C'est gentil de ta part ! Comme ça, je suis sur qu'il reviendra !".
Corinne sait que je suis pris au piège.
Sur le trajet, il me confirme qu'il adore la situation:
"Putain, j'adore me dire que je baise un copain de mon fils !".
"Pas moi ! Désolé ! J'arrive pas à mélanger ma vie sociale et privée !".
"Tu sais qu'il t'admire ? Il me parle souvent de toi, je pense qu'il aimerait te ressembler ! T'as une grosse influence sur lui !".
"Je savais pas ! Il faut pas qu'il apprenne pour nous deux !".
"Ah, ah ! S'il savait que t'es une vraie salope ! Et que je t'éclate le cul quand j'en ai envie ! Et on va remettre ça, d'ailleurs !".
"S'il sait ! Il saura aussi que tu n'es pas le père qu'il croit connaitre ! Il sera déçu de savoir que tu es homosexuel !".
"C'est entre nous ! Alors !".
Une fois chez moi, Gilles m'a encore enculé pendant une heure, sur ma table de salon.
Il a bénéficié de la béance de mon anus, encore présente, et de son sperme, pour me pénétrer sans difficulté.
Il m'a encore fait couler abondamment, puis m'a demandé de me masturber, pendant qu'il me défonçait profondément.
J'ai crié mon double orgasme, en éjaculant encore plus abondamment que chez lui.
Il s'est fait plaisir, ensuite, en terminant par m'abreuver de son foutre chaud dans la gorge.
Il s'est vicieusement amusé à me faire avouer que j'aimais lui appartenir ainsi.
Nous sommes retournés chez lui, ensuite, il a dit à son fils:
"J'adore ton copain Pascal ! Il est très intéressant ! J'aime bien discuter avec lui ! Il gagne à être connu ! Plus en profondeur !".
De son coté, Corinne me demande:
"Il a recommencé ?".
"Oui, on vient d'arrêter ! J'en peux plus !".
C'était un adepte des plans furtifs et des baises risquées.
Un jour, il m'a obligé à le sucer alors que sa femme était dans le jardin, Il m'a inondé la gorge avec abondance, encore.
Je pense qu'il cherchait un peu, à se faire surprendre, mais cela n'est jamais arrivé, et c'est mieux pour moi.
Un jour, il m'a aussi enculé dans une crique isolée, du bord de mer, on a commencé dans l'eau, puis sur le sable, entre les rochers.
Une heure plus tard, il m'a ensuite entrainé dans les fourrés, et m'a possédé encore, en me regardant sucer d'autres hommes, nous étions dans un lieu de rencontre !
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