Gilles ! Mon amant parfait ! - histoire érotique

Je suis conscients que mes récits vécus, doivent vous faire penser, que j'arrêtais pas de me faire baiser par des hommes mûrs.

Ce n'était pas toujours le cas !
C'était des périodes ! Ma sexualité était hétéro la plupart du temps !

Au début, je baisais ma femme tous les jours, puis, deux à trois fois par semaines, au bout de quelques années.

Quand j'avais un amant régulier, j'assumais mes deux sexualités en même temps !

Et pour en dire plus, le fait de me faire enculer, me donnait encore plus envie de ma femme !
C'est comme ça !

Si j'avais un besoin de sexe anal, j'avais du mal à avoir envie d'elle !
Donc, tout ça s'équilibrait !

Par contre, on ne se refait pas !
Malgré une relation suivie avec un homme, j'allais tout de même en lieu de rencontre !
J'en étais accroc !

Ce qui fait que le nombre d'hommes qui me baisaient, tournait entre 15 et 30 par mois !
C'est le hasard qui décidait du nombre !
Heureusement, que je vivais dans une grande ville ! c'était plus facile !

C'est parce que j'ai assumé mes besoins, que j'ai du me résoudre à utiliser des capotes!
Si je voulais continuer de prendre du plaisir, je devais m'y mettre !

J'ai un gros défaut ! J'ai toujours besoin d'imprévu !
J'ai horreur de la routine !

Donc, ma vie de salope, m'a autant comblé, que le plaisir du caudaulisme, en regardant ma femme avec d'autres hommes !
Ca me stimulait.

Quand je pense que j'ai grandi, avec la conviction que l'amour devait être obligatoirement pur, et romantique !
En fait, le diable du sexe était en moi !
J'ai aimé me faire humilier par des hommes !

Le rêve a laissé place à la réalité, et c'est bien mieux comme ça ! C'est plus jouissif !

Je ne regrette rien ! Même mes pires expériences !
Sauf, celle d'avoir baisé la femme d'un ami !

C'était inutile, parce qu'elle ne me plaisait pas ! Et que j'y ai pris aucun plaisir !
Mais, elle m'a voulu, elle m'a eu !
J'aurais du la repousser ! C'est ma faute ! Tant pis !

Bon ! Tout ça, ne doit guère vous intéresser !

Parlons de Gilles ! Mon dernier amant !
Cela se passe après ce jour, ou je l'ai appelé pour me baiser, suite à mon rêve pervers.

Il me rend visite à ma boutique, bien plus tôt que d'habitude !
Il reste à mes cotés, pendant que je m'occupe des clients.

Certains d'entre eux le connaissent, et lui disent bonsoir !
Sans deviner une seconde, qu'il me baisera à la fermeture !

Il s'est habitué à mon activité, et m'aide souvent !
J'avoue que je me sens bien à ses cotés !

Souvent, j'ai pas particulièrement envie de sodomie, mais son contact suffit pour que, peu à peu, j'en ai envie !

L'heure arrive, je vais baisser le rideau !

"Enfin, chaton ! Je bande déjà ! On va se faire un gros câlin ! J'ai envie de ta chatte !".
"Je sais, chéri ! Je l'ai remarqué ! Rien que pour ça, je t'adore ! J'ai de la chance de t'avoir ! Allez, on va dans l'arrière boutique ! Moi aussi, j'en ai envie !".

On se déshabille, l'un devant l'autre.
Il m'attend, assis sur le canapé, je monte sur lui, pour m'engouffrer dans les bras tendus.

Sa grosse verge, touche déjà l'entrée de ma chatte.
Le poids de mon corps nous sert d'appui naturel.
Il m'embrasse longuement, puis me dit:

"On est trop bien, ensemble ! Je t'adore Pascal !".

Je lui rends son baiser, puis lui avoue que je ressens la même chose.
Il me demande:

"Tu m'as pas raconté ton rêve, au fait !".
"Euh, c'est parce que j'en suis pas fier !".

"Pourquoi ?".
"Ben, c'est un truc que j'ai fait deux fois, il y a longtemps, et que j'assume pas, mais comme j'ai adoré ça, ça devient un fantasme, du coup !".

"Ah bon, c'est quoi ?".
"Euh, c'est un mec qui me baisait souvent ! Et il m'a persuadé de l'accompagner sur un chantier, en dehors de la ville ! Et là, je me suis fait enculer salement par plusieurs ouvriers étrangers ! J'ai beaucoup joui, mais j'ai eu honte de moi, ensuite ! J'ai recommencé une autre fois ! Il étaient plus nombreux encore ! Donc voilà ! De temps en temps, je rêve que je recommence à faire la pute de chantier !".

"Ah ! Moi, ça me choque pas ! Je t'ai souvent vu, te faire baiser par des tas de mecs au Sex-Shop ! C'est pas très différent !".
"Ouais ! Je voyais pas ça, comme ça ! T'as raison après tout ! La différence, c'est que les types sont magrébins, en général, et qu'ils ne sont pas tous du milieu homo ! Et ça me fait peur, les hommes aiment se vanter !".

"En tout cas, moi, j'aurai aimé te voir !".

Sa verge commence à s'insérer dans mon anus, qui s'ouvre naturellement à son contact.

"Arghhhhhhhhhh ! Orghhhhhhh ! Gilles ! Je m'en lasserai jamais ! J'aime t'avoir dans la chatte !".
"Moi, aussi chaton, c'est toujours aussi bon de t'enculer ! Orhhh ! Oui, encore, enfonces toi plus profond !".

Ma rosette anale, glisse inexorablement, sur sa grosse et longue verge.
Elle forme un anneau parfait sur sa bite.

Sa queue fait un court arrêt, en touchant mon coccyx, puis continue son chemin jusqu'à faire toucher sa base contre mes fesses.

"Orhhh ! Là, c'est parfait ! Tu m'as dans la chatte, tout entier ! C'est toujours aussi bon !".
"Mmmmmmmmmmm ! Gilles ! Je t'en supplie ! Ne t'arrêtes jamais de m'enculer ! J'ai trop besoin de ça ! Je t'adore tellement !".
"Moi aussi ! Chaton ! Moi aussi !".

Il me soulève pour entamer sa possession anale.
Je prend ma tête entre mes mains pour me laisser aller à ce plaisir.

Chaque enfoncement, me fait monter vers un sommet, qui promet de me donner d'énormes sensations.

"Orhhhh ! Gilles ! C'est trop bon ! Ca me prend dans tout le corps ! Encore ! Baises-moi !".
"Putain ! Chaton, je suis fou de toi ! Tu le sais, j'espère !".
"Arghhhhhhh ! Oui ! Je le sais ! Arhhhhhhhh ! Plus je baise avec toi, et plus je joui ! Orhh, tu vas me faire jouir encore plus fort ! Encore !".

Il s'accroche à mes hanches, et se secoue dans mon anus.
J'atteins un premier palier de plaisir puissant, il continue de m'empaler.

Il aime me voir jouir sur sa grosse bite.
Mes doigts serrent mes cheveux, mon visage se crispe d'orgasme anal.

"Arghhhhhhhhhhhh ! Gilles ! Ouiiiiiiiiiii ! Ca retombe pas ! Arghhhhhhhhhhhhhh !".

Tout mon corps n'est que plaisir anal.
Mon sphincter est pris de spasmes continus, pendant qu'il ne cesse de m'empaler sur lui.
Parfois, je suis obligé de fuir sa verge pour me contracter le sphincter !
Le plaisir est trop puissant !

Je reprend du souffle ! En attendant que mon corps se détende !
Il arbore un grand sourire lubrique, il aime tellement me baiser comme ça !

"C'est bon ! Je peux remettre ma queue ?".
"Orhhhh ! Ahhhh ! Oui ! C'est bon ! Arghhhhhhhhhhhhhhhhh ! Putain ! Tu me tues avec ta bite !".
"T'aimes ça, mon chaton ! Ne dis pas le contraire !".
"Orhhhhhhhh ! Oui, j'aime ça ! Mais ! Argggggggg ! C'est trop fort ! Argggggggggggggg !".

Il se régale à me dominer ainsi !
Il me bloque sur son gros sexe, et me burine par dessous, sans discontinuer.

J'assiste, sans pouvoir la contrôler, à mon éjaculation sur son ventre !
Ce qui le motive de plus belle !
Ca y est, il a gagné ! Je m'écroule sur lui !

Il peut faire ce qu'il veut de ma chatte béante à souhait !
Il s'y masturbe un moment, puis me soulève pour m'enculer comme une chienne, par derrière.

Il se déchaine, en me parlant de mon fantasme de pute de chantier !
Je suis une salope ! Et ça l'excite !

J'enchaine les orgasmes jusqu'à son déversement de foutre dans mes entrailles.

Il me force à m'étaler sur le canapé, avec son corps lourd sur moi.
Sa verge est profondément enfoncée dans ma chatte.

"Orhhh ! Chaton ! Pascal ! Je t'aime trop ! Putain, ce que j'aime baiser avec toi ! Tu me rends fou !".
"Hummmm ! C'était génial ! Tu m'as fait monter trop haut ! J'ai adoré ! Je suis épuisé, mais c'était trop bon !".

"Hummm ! Moi aussi ! Mon p'tit chéri !".
"Ourhhh ! J'vais pas pouvoir baiser ma femme, après ça !".

"T'as de la chance de l'avoir ! Elle est géniale ! Tu la remercieras encore, pour accepter tout ça !".
"Oui, je sais ! On s'est bien trouvé ! C'est parfait ! J'espère qu'elle a un amant, parce qu'avec ce que tu me mets, j'ai du mal à assumer avec elle ! Même si avec elle, c'est plus de l'amour, et de la sensualité !".

"L'autre jour, elle m'a dit qu'un type la draguée en terrasse d'un bar, elle a pris son numéro ! Qui sait ?".
"On aime pas trop ce genre de contact, on préfère les vrais libertins ! Ils ne nous jugent pas, c'est mieux ! Elle peut baiser avec lui, mais elle doit d'abord s'assurer qu'il restera discret !".

"Super ! Orhhh ! Putain ! Tu m'as vidé les couilles ! Chéri ! Je suis trop bien, dans ta chatte ! Je m'en lasse pas !".

Il accompagne ces mots, de coulissements dans mon anus, poisseux et spermé.

"Orhhh ! Oui, c'est bon ! J'aime ces moments là ! Encore ! J't'adore Gilles ! Je suis à toi !".
"Je sais chaton ! Moi aussi, j't'adore ! Putain, cette chatte ! C'est trop bon !".

On n'arrive plus à nous arrêter. Ca dure une éternité !
Je sens que sa verge reprend de l'ampleur, et devient plus dure !

"Arhhhhhhhh ! Putain ! Gilles ! On fait quoi ? Tu me fais encore jouir là ! Arghhhhhhhhhh !".
"Je sais, mon chéri ! Je suis obligé de continuer, maintenant ! Je veux jouir encore ! Je bande !".

Il me fait orgasmer puissamment, puis me tourne sur le dos.
Il me pilonne sans retenue à ma demande !
Je ne veux pas qu'il se retienne de jouir !

Son rythme effréné me provoque des giclements d'urine puissants.
Ce qui le rend encore plus fou !

Je me mets au sol, en position de chienne soumise, pour qu'il se déchaine à sa guise dans ma chatte béante.
En me défonçant, il me dit qu'il veut me voir baiser avec d'autres hommes devant lui !

Je lui raconte alors, mes baises sur le chantier, et il explose rapidement, autant à l'intérieur, qu'à l'extérieur de ma chatte.

Dès qu'il s'éloigne de mon orifice éclaté, je m'étale sur le sol froid.
Je suis épuisé, c'est trop de plaisir anal pour moi !
Lui, il recule en titubant, pour s'affaler sur le canapé.

"Orhhhh ! Putain ! Chaton, j'ai tout donné ! Tu m'as tout pris ! Putain, c'que c'était bon ! Toi, ça va ?".
"Pas trop, j'vais avoir besoin de reprendre des forces avant de rentrer ! Tu m'as tué ! Orhhhh ! Putain, j'ai la chatte éclatée !".

Mon orifice est sujet à de nombreux spasmes.
Mon sphincter convulse, et provoque des rejets de sperme et jus anal continu.

Je trouve l'énergie de me lever, malgré mes flatulences, pour m'allonger en posant ma tête sur sa cuisse, pendant que lui aussi, se laisse aller.
On sombre tous les deux, dans un sommeil profond.

Moins d'une heure après, le téléphone sonne !
C'est Corinne qui s'inquiète !

"Qu'est-ce que tu fous ?".
"Euh, je suis avec Gilles ! On s'est endormis ! Désolé !".

"Bon, je préfère ça ! Prenez votre temps ! Il peut venir à la maison, si il veut !".
"Je vais lui dire ! J'arrive !".

Je retourne vers mon amant, avec l'anus poisseux, mais en meilleures dispositions.

"Tu veux venir chez moi, ce soir ? C'est Corinne qui l'a proposé !".
"Je veux bien ! Rappelles là, on prend des pizzas au passage ! C'est moi qui paie !".

Tout le monde y a trouvé son compte.
Pas le soir même ! Gilles et moi, on ne pouvais plus !
Mais au petit matin ! Vers 8 heures !

On s'est aimé à trois, elle était sous moi, pendant qu'il me prenait avec douceur.
Elle a adoré m'embrasser, pour ressentir mon plaisir anal, dans ma bouche.
Parfois, c'est lui qui s'écartait pour me regarder donner du plaisir à ma belle !
J'ai adoré la prendre, tout en suçant la grosse verge de Gilles, sous les yeux de ma belle Corinne.
On lui a léché la bite ensemble, c'est merveilleux comme plaisir !

Quand il m'a enculé de nouveau, elle a tout de suite réagit, en voyant que je bandais, avec sa verge dans mon anus.

J'ai explosé dans sa bouche.
Elle a tout avalé, puis nous a léché les couilles, tout au long du reste de sa saillie anale.
Gilles a adoré se faire gober les couilles en me remplissant la chatte.

Ensuite, on s'est serré nus, les uns contre les autres, dans le lit.
Comme des pervers, mais heureux ! C'est indéniable !