Hammam 2

Récit érotique écrit par Sucette [→ Accès à sa fiche auteur]
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Hammam 2
Hammam 2
Le soir même, ma curiosité m'a imposé de téléphoner. Quelques minutes plus tard, j'ai été mis en rapport avec mon correspondant qui avec une voix sucrée m'a donné rendez-vous en début d'après-midi du lendemain.
Une voiture est venue me chercher et m'a conduit sur les hauteurs de Rabat.
J'ai été conduit dans une suite où un homme corpulent vêtu d'une djellaba immaculée avec une barbe poivre et sel soigné et un regard perçant et malicieux. Assis sur un sofa avec des coussins moelleux face à une petite table, je me suis senti tout de suite très à l'aise.
Il a claqué dans ses mains et un jeune éphèbe s'est empressé de nous servir le thé. Nous avons devisé un long moment, me questionnant sur mon séjour au Maroc, mes impressions et mes rencontres.
J'ai répondu longuement à toute ses questions et j'ai abordé mon expérience au hammam avec forces détails.
Cela l'intéressait visiblement car je voyais son vêtement se soulever.
Le jeune serviteur est revenu nous servir des pâtisseries. Il lui a demandé de se dévêtir.
Sans un mot, il a fait tomber son short sous lequel il était nu. Il s'est levé et il l'a caressé devant moi lentement , doucement, tendrement et il m'a invité à le rejoindre
Un corps magnifique, des lèvres pulpeuses, un nez fin, des yeux bleus, des cheveux blonds bouclés.
Il appartient à la peuplade amaguiz qui vivent dans les montagnes.
Mes mains se joignent aux siennes pour parcourir cette peau satinée presque cuivrée. Ses tétons réagissent, nous nous amusons à les effleurer, les pincer à tour de rôle. Son sexe est maintenant tendu et pointe vers le ciel. Nous empoignons ses bourses et glissons un doigt sur son anus.
Sous ses injonctions, il prend appuie bras tendus sur le sofa, écarte les jambes et présente ses fesses vers nous.
Il retire sa djellaba, lui écarte les fesses pour me montrer l'anneau plissé qui palpite, crache et le sodomise dans la foulée.
J'ai eu le temps d'apercevoir une verge épaisse et noueuse pourvu d'un gland circoncis énorme.
Le jeune garçon a encaissé sans crier mais ses traits étaient tendus, les lèvres serrées, des larmes aux yeux.
« Je lui ai interdit de crier, je le sodomise au moins chaque semaine. Je l'ai bien dressé... »
Devant ce spectacle, je ne peux résister et je me suis déshabillé à mon tour. Il le besogne avec rage et je me masturbe gentiment.
Son maître se retire, le jeune se tourne et s'agenouille pour recevoir l'offrande. De longues giclées crémeuses, s'écrasent sur son visage, le front, le nez, la bouche. Son maître se sert de son sexe pour étaler son sperme puis s'enfonce dans sa bouche ouverte qui le nettoie consciencieusement.
Une tape sur la joue et il le renvoie en lui demandant de faire venir le majordome qui m'a reçu à l'accueil.
Il me dit qu'il a littéralement acheté ce jeune et l'a arraché à la plus extrême pauvreté. Très tôt, il manifestait un comportement efféminé qui l'aurait de toute manière conduit à la prostitution et toutes les avanies.
Nus, nous allons dans une autre pièce sombre et il me fait allonger sur un lit bas, nu sur le ventre appuyé sur un coussin. A cheval sur mes cuisses, le majordome, véritable armoire à glace, épilé, le crâne rasé, des bras comme mes cuisses m'enduit d'huile d'amande et commence par mes épaules et mon cou. Le maître s'approche et joint ses mains. J'ai son sexe devant mes yeux qui se balance...
Les quatre mains descendent sur mes flancs. Il se redresse pendant que son employé malaxe mes fesses, s'empare de mes bourses. Tandis qu'une main me masturbe, l'autre caresse mon anus puis s'y introduit.
Le maître qui a retrouvé sa vigueur présente sa verge devant mes lèvres. Je parviens à lécher son gland violacé qui m'investit ensuite jusqu'à la luette. Il coulisse, lubrifiée par ma bave jusqu’au fond de ma gorge sans difficulté vu ma position tandis que des doigts épais… me ramonent, excitant ma prostate.
Je sens que je vais jouir, les doigts accélère et mon sperme fuse sous mon ventre. Le maître quitte ma bouche, je m'agenouille et tend mes fesses. Il me pénètre, me pilonne et jouit au fond de mon intimité.
Le serviteur s'est éclipsé discrètement. Il me relève et m'embrasse. Il m'entraine dans une pièce carrelée où nous nous douchons puis il m'invite dans une piscine attenante à l'abri des regards.
Un ami à lui organise une fête à Casa la semaine suivante. Il m'invite et viendra me chercher.
La première partie est familiale mais ii y aura une suite beaucoup moins sage.
La discrétion est de rigueur.
La suite : Fête à Casa...
N'hésitez pas à donner votre avis, les conseils sont bienvenus.
Le soir même, ma curiosité m'a imposé de téléphoner. Quelques minutes plus tard, j'ai été mis en rapport avec mon correspondant qui avec une voix sucrée m'a donné rendez-vous en début d'après-midi du lendemain.
Une voiture est venue me chercher et m'a conduit sur les hauteurs de Rabat.
J'ai été conduit dans une suite où un homme corpulent vêtu d'une djellaba immaculée avec une barbe poivre et sel soigné et un regard perçant et malicieux. Assis sur un sofa avec des coussins moelleux face à une petite table, je me suis senti tout de suite très à l'aise.
Il a claqué dans ses mains et un jeune éphèbe s'est empressé de nous servir le thé. Nous avons devisé un long moment, me questionnant sur mon séjour au Maroc, mes impressions et mes rencontres.
J'ai répondu longuement à toute ses questions et j'ai abordé mon expérience au hammam avec forces détails.
Cela l'intéressait visiblement car je voyais son vêtement se soulever.
Le jeune serviteur est revenu nous servir des pâtisseries. Il lui a demandé de se dévêtir.
Sans un mot, il a fait tomber son short sous lequel il était nu. Il s'est levé et il l'a caressé devant moi lentement , doucement, tendrement et il m'a invité à le rejoindre
Un corps magnifique, des lèvres pulpeuses, un nez fin, des yeux bleus, des cheveux blonds bouclés.
Il appartient à la peuplade amaguiz qui vivent dans les montagnes.
Mes mains se joignent aux siennes pour parcourir cette peau satinée presque cuivrée. Ses tétons réagissent, nous nous amusons à les effleurer, les pincer à tour de rôle. Son sexe est maintenant tendu et pointe vers le ciel. Nous empoignons ses bourses et glissons un doigt sur son anus.
Sous ses injonctions, il prend appuie bras tendus sur le sofa, écarte les jambes et présente ses fesses vers nous.
Il retire sa djellaba, lui écarte les fesses pour me montrer l'anneau plissé qui palpite, crache et le sodomise dans la foulée.
J'ai eu le temps d'apercevoir une verge épaisse et noueuse pourvu d'un gland circoncis énorme.
Le jeune garçon a encaissé sans crier mais ses traits étaient tendus, les lèvres serrées, des larmes aux yeux.
« Je lui ai interdit de crier, je le sodomise au moins chaque semaine. Je l'ai bien dressé... »
Devant ce spectacle, je ne peux résister et je me suis déshabillé à mon tour. Il le besogne avec rage et je me masturbe gentiment.
Son maître se retire, le jeune se tourne et s'agenouille pour recevoir l'offrande. De longues giclées crémeuses, s'écrasent sur son visage, le front, le nez, la bouche. Son maître se sert de son sexe pour étaler son sperme puis s'enfonce dans sa bouche ouverte qui le nettoie consciencieusement.
Une tape sur la joue et il le renvoie en lui demandant de faire venir le majordome qui m'a reçu à l'accueil.
Il me dit qu'il a littéralement acheté ce jeune et l'a arraché à la plus extrême pauvreté. Très tôt, il manifestait un comportement efféminé qui l'aurait de toute manière conduit à la prostitution et toutes les avanies.
Nus, nous allons dans une autre pièce sombre et il me fait allonger sur un lit bas, nu sur le ventre appuyé sur un coussin. A cheval sur mes cuisses, le majordome, véritable armoire à glace, épilé, le crâne rasé, des bras comme mes cuisses m'enduit d'huile d'amande et commence par mes épaules et mon cou. Le maître s'approche et joint ses mains. J'ai son sexe devant mes yeux qui se balance...
Les quatre mains descendent sur mes flancs. Il se redresse pendant que son employé malaxe mes fesses, s'empare de mes bourses. Tandis qu'une main me masturbe, l'autre caresse mon anus puis s'y introduit.
Le maître qui a retrouvé sa vigueur présente sa verge devant mes lèvres. Je parviens à lécher son gland violacé qui m'investit ensuite jusqu'à la luette. Il coulisse, lubrifiée par ma bave jusqu’au fond de ma gorge sans difficulté vu ma position tandis que des doigts épais… me ramonent, excitant ma prostate.
Je sens que je vais jouir, les doigts accélère et mon sperme fuse sous mon ventre. Le maître quitte ma bouche, je m'agenouille et tend mes fesses. Il me pénètre, me pilonne et jouit au fond de mon intimité.
Le serviteur s'est éclipsé discrètement. Il me relève et m'embrasse. Il m'entraine dans une pièce carrelée où nous nous douchons puis il m'invite dans une piscine attenante à l'abri des regards.
Un ami à lui organise une fête à Casa la semaine suivante. Il m'invite et viendra me chercher.
La première partie est familiale mais ii y aura une suite beaucoup moins sage.
La discrétion est de rigueur.
La suite : Fête à Casa...
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