Hammam marocain

Récit érotique écrit par Sucette [→ Accès à sa fiche auteur]
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Hammam marocain
Hammam marocain.
Un ami m'avait conseillé cette adresse pour goûter à un vrai hammam marocain. Pas ceux, aseptisés des hôtels pour touristes.
Dans une ruelle, je finis par trouver l'entrée. On me demande de me déshabiller entièrement et de placer mes vêtements dans un panier. On me fournit aussi un pagne qui me couvre les fesses et les cuisses.
On m'a d'abord allongé sur une natte plastifiée à même le sol, arrosé plusieurs fois avec un seau d'eau très chaude puis enduit de savon noir avant d'être récuré au gant de crin. L'opération s'est accompagné d'un pétrissage vigoureux.
A nouveau rincé à l'eau tiède en plusieurs fois, on m'a conduit dans une autre pièce au sol chauffé pour me sécher et me reposer.
Un homme corpulent au crâne rasé me propose un massage.
Voulant tester tous les services d'un hammam traditionnel j'accepte.
On me conduit dans une autre pièce à l'écart et l'on me désigne une natte.
Je suis allongé sur le ventre, l'homme s'assoit sur mes cuisses. Ses mains énormes me massent les épaules, le cou, fermement mais avec douceur, les omoplates, glissent sur les côtés et caressent ma poitrine.
Mes tétons réagissent instinctivement. Il reprend son massage de ma colonne vertébrale jusqu'au scrotum sous le pagne. Il se déplace à califourchon sur mes chevilles et me masse les cuisses. Ses mains remontent sous mon pagne et pétrissent mes fesses. Il les écartent, les compriment.
Je suis complètement détendu. Il passe son bras sous mon ventre pour me soulever le bassin et défait le pagne. Son massage reprend des cuisses au dos. Il me retourne, me relève une jambe et me masse les pieds, les orteils et les chevilles, l'une après l'autre.
Je suis nu face à lui. Il se lève, verse un peu d'huile sur ses mains et reviens s’assoir sur mes jambes pour me masser la poitrine en ronds concentrés en se penchant sur moi. Je sens son souffle puis il descends et frôle mon gland avant de masser l'intérieur des cuisses à nouveau.
Ne réagissant pas, il me caresse négligemment la verge puis il me relève les jambes à la verticale en m'étirant. Il alterne, me soulève la fesse et frôle mon anus. Non seulement, je ne me refuse pas mais je souris et soulève mon bassin quand il le repose.
Je vois aussi une bosse grossir sous son short en nylon. Il me sourit, sans un mot, Il se lève et ferme la porte à clé.
Ses caresses sur ma verge reprennent de plus belle, son doigt glisse dans mon fondement et me pénètre. Il est gros, la taille d'une petite verge qu'il agite de plus en plus vite à mesure que mon excitation grandit.
Il me couche sur le côté, il a enlevé son short et je sens sa verge contre mes fesses son souffle contre mon oreille. Il se frotte contre moi. De mon bras valide je saisis son zob, en fait le tour et le masturbe.
Soudain, mon sexe se raidit et convulse en longs jets qui atterrissent sur le carrelage.
Il m'assoit sur la natte,jambes écartées, en appuis sur mes bras. Il est debout devant moi, son sexe à la hauteur de ma bouche. Je vois une bite circoncise, droite, épaisse.
J'ouvre la bouche et je l'avale, je suce son gland, lisse, circoncis, il donne des coups de hanche pour aller au fond de ma gorge. Il me baise littéralement, je bave.
Il me retourne, la tête dans les bras, le postérieur vers lui.
Il s'enduit d'huile de massage, enfonce un doigt puis un deuxième avant de les remplacer par sa verge.
La pénétration est lente et profonde, je n'ai ressenti aucune douleur. Son bassin bute contre mon fondement.
Il sort et recommence plusieurs fois avant d'accélérer.
Je me sens rempli, dominé. Je ne bande plus mais mon sexe coule quand il jouit dans mes entrailles.
Nous restons quelques minutes, lui en moi, sur mon dos , à plat ventre. Puis il me relève quand sa verge est ressortie, flasque et maculée, son sperme coule entre mes cuisses, se mêlant au mien sur le tapis.
Il me conduit dans un cabinet de toilette qui sert aussi de douche et me nettoie des pieds, à la tête. Il me caresse encore.
Il me reconduit au vestiaire, je me rhabille et au moment de payer, il chuchote quelques mots au caissier qui en me rendant ma monnaie me tend un papier avec un numéro de téléphone et une adresse.
La suite prochainement…
Un ami m'avait conseillé cette adresse pour goûter à un vrai hammam marocain. Pas ceux, aseptisés des hôtels pour touristes.
Dans une ruelle, je finis par trouver l'entrée. On me demande de me déshabiller entièrement et de placer mes vêtements dans un panier. On me fournit aussi un pagne qui me couvre les fesses et les cuisses.
On m'a d'abord allongé sur une natte plastifiée à même le sol, arrosé plusieurs fois avec un seau d'eau très chaude puis enduit de savon noir avant d'être récuré au gant de crin. L'opération s'est accompagné d'un pétrissage vigoureux.
A nouveau rincé à l'eau tiède en plusieurs fois, on m'a conduit dans une autre pièce au sol chauffé pour me sécher et me reposer.
Un homme corpulent au crâne rasé me propose un massage.
Voulant tester tous les services d'un hammam traditionnel j'accepte.
On me conduit dans une autre pièce à l'écart et l'on me désigne une natte.
Je suis allongé sur le ventre, l'homme s'assoit sur mes cuisses. Ses mains énormes me massent les épaules, le cou, fermement mais avec douceur, les omoplates, glissent sur les côtés et caressent ma poitrine.
Mes tétons réagissent instinctivement. Il reprend son massage de ma colonne vertébrale jusqu'au scrotum sous le pagne. Il se déplace à califourchon sur mes chevilles et me masse les cuisses. Ses mains remontent sous mon pagne et pétrissent mes fesses. Il les écartent, les compriment.
Je suis complètement détendu. Il passe son bras sous mon ventre pour me soulever le bassin et défait le pagne. Son massage reprend des cuisses au dos. Il me retourne, me relève une jambe et me masse les pieds, les orteils et les chevilles, l'une après l'autre.
Je suis nu face à lui. Il se lève, verse un peu d'huile sur ses mains et reviens s’assoir sur mes jambes pour me masser la poitrine en ronds concentrés en se penchant sur moi. Je sens son souffle puis il descends et frôle mon gland avant de masser l'intérieur des cuisses à nouveau.
Ne réagissant pas, il me caresse négligemment la verge puis il me relève les jambes à la verticale en m'étirant. Il alterne, me soulève la fesse et frôle mon anus. Non seulement, je ne me refuse pas mais je souris et soulève mon bassin quand il le repose.
Je vois aussi une bosse grossir sous son short en nylon. Il me sourit, sans un mot, Il se lève et ferme la porte à clé.
Ses caresses sur ma verge reprennent de plus belle, son doigt glisse dans mon fondement et me pénètre. Il est gros, la taille d'une petite verge qu'il agite de plus en plus vite à mesure que mon excitation grandit.
Il me couche sur le côté, il a enlevé son short et je sens sa verge contre mes fesses son souffle contre mon oreille. Il se frotte contre moi. De mon bras valide je saisis son zob, en fait le tour et le masturbe.
Soudain, mon sexe se raidit et convulse en longs jets qui atterrissent sur le carrelage.
Il m'assoit sur la natte,jambes écartées, en appuis sur mes bras. Il est debout devant moi, son sexe à la hauteur de ma bouche. Je vois une bite circoncise, droite, épaisse.
J'ouvre la bouche et je l'avale, je suce son gland, lisse, circoncis, il donne des coups de hanche pour aller au fond de ma gorge. Il me baise littéralement, je bave.
Il me retourne, la tête dans les bras, le postérieur vers lui.
Il s'enduit d'huile de massage, enfonce un doigt puis un deuxième avant de les remplacer par sa verge.
La pénétration est lente et profonde, je n'ai ressenti aucune douleur. Son bassin bute contre mon fondement.
Il sort et recommence plusieurs fois avant d'accélérer.
Je me sens rempli, dominé. Je ne bande plus mais mon sexe coule quand il jouit dans mes entrailles.
Nous restons quelques minutes, lui en moi, sur mon dos , à plat ventre. Puis il me relève quand sa verge est ressortie, flasque et maculée, son sperme coule entre mes cuisses, se mêlant au mien sur le tapis.
Il me conduit dans un cabinet de toilette qui sert aussi de douche et me nettoie des pieds, à la tête. Il me caresse encore.
Il me reconduit au vestiaire, je me rhabille et au moment de payer, il chuchote quelques mots au caissier qui en me rendant ma monnaie me tend un papier avec un numéro de téléphone et une adresse.
La suite prochainement…
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
toutes les mêmes ces mecs dès qu'ils voient une bite!!
J'ai connu ça une fois chez un ... coiffeur (!) dans un pays d'Asie. Ca avait ete très très sensuel etsuper chaud. J'avais adore. Il m'avait baisé très longuement

