Je t'aime, moi non plus (Course suite) - histoire érotique

J'étais donc à quatre pattes les fesses à l'air, le concombre contre mon petit trou, lui était derrière moi, je prenais mon souffle, je m'apprêtais à souffrir, à marcher comme un canard !

J'avais beau avoir lubrifier mon anus, je sentais que j'allais le sentir passer, et ça, sans mauvais jeu de mot !

- Tu es prête ?
- Non, mais oui...
- Bizarre ta réponse, allais tortille ton gros cul et demande poliment comme la grosse cochonne que tu es pour t'enfoncer le concombre.

Ses mots étaient crus, y avait malgré tout une certaine douceur et taquinerie là dedans, moi ça me donnait chaud dans le bas du ventre, me sentir humiliée ainsi, à sa merci, ma chatte en feu depuis si longtemps, je me lâchais.

- Petite Peggy, aurais une requête...
- Oui ? Répondit-il.
- Veux tu bien lui écarter son gros cul avec le concombre ?
- Il est déjà contre ton anus, je te propose de te l'enfoncer toi, je le tiens, pousse !

C'était d'autant plus gênant, mais j'appuyais mon anus contre le concombre, je sentais son bout qui me donnait des frissons, après quelques instants, je reçu une claque sur les fesses.

- Allait, concentre toi et accélère.
- Pardon, oui !

Peu à peu je sentais le bout rentrer en moi, j'étais tellement concentrée que je ne me rendais pas compte que je passais entre être la bouche ouverte et me mordiller les lèvres, j'en arrivais à baver, je devais être honteuse à voir !

Un peu plus du bout était rentré, je me sentais toute élargie, il commençait à me fesser les fesses avec sa main de libre.

- Tu t'es baisée hier avec le concombre, aujourd'hui tu t'encule dessus mais comme tu n'as pas écoutée, je veux que tu te souvienne que tu dois toujours écouter !
- Pardon, je le mérite, j'écouterais !

Je finis par me laisser aller et à bien le sentir en moi, de moi-même je faisais des vas et viens dessus, je poussais des cris mais je ne pouvais m'empêcher de continuer, je fermais les yeux, j'imaginais se concombre rentrer en moi et ressortir, cette honte que je ressentais m'excitait d'autant plus ! Je ne sais pas pendant combien de temps je fis des vas et viens dessus, mais alors que je devais avoir un anus prêt à accueillir beaucoup de chose dedans il me dit :

- Je vais te mettre 10 fessées, tu vas les compter et puis je te retirais ton jouet du cul, tu resteras ainsi, je veux voir à quel point ton trou de balle est élargis.
- D'accord ! Dis-je à bout de force.

Et les claques retentit sur mes fesses, je les comptais 1, 2, 3... 10 ! Alors que je reprenais mon souffle, je sentais qu'il sortait lentement et avec douceur le légume de mes fesses, il le déposait sous mes yeux, je me rendis compte également que à force d'avoir gardé les yeux fermés, ma vue était trouble avec la lumière, il avait mis un préservatif sur le concombre.

Il vint devant moi avec mon téléphone et me montrait la photo qu'il avait prit, j'avais effectivement l'anus bien écarté, j'avais honte de le voir affiché ainsi devant moi, mais je ressentais une certaine fierté et toujours la même excitation.

Il repassait derrière moi et je sentis du froid sur mon anus et quelque chose s'enfoncer m'arrachant un gloussement.

- Voilà un petit cadeau pour toi, tu le retiras ce soir !

Je restais dans la même position, j'osais pas bouger tant qu'il ne le disait pas, mais il me remis lui même mon legging et m'attrapais la main pour m'aider à me relever.

- Et bien, je vois que t'es pas encore tout à fait revenue.
- Je suis épuisée, je transpire encore plus que pendant la course.
- Vu tout ce que tu as donné, c'est normal.

Il me présentait un verre d'eau et je ressentis à chaque pas que je faisais que mon cul avait été martyriser mais que quelque chose s'y trouvait.

Je crois que je ne ressemblait plus à rien, je finis par rentrer chez moi, j'avais à peine passée la porte que je me déshabillait, je me regardais dans le miroir, cheveux complètement décoiffé, maquillage, n'en parlons pas, mon corps était suintant, je me tournais dos au miroir pour voir ce que j'avais dans le derrière, mais ne vis pas bien, je me mis à 4 pattes dos au miroir, chose que je n'aurais jamais faite avant et vu un plug en métal placé dans mon petit trou...

J'étais toujours humide, j'allais exploser, j'allais dans ma salle de bain et fit couler la douche, passer avec le gant de toilette sur mon corps me donnait envie de me caresser mais je n'avais pas le droit, je pris sur moi, je mis une nuisette et partit me coucher un peu dans mon canapé.

J'avais envie de plus.