Je t'aime, moi non plus (moment seule 3)
Récit érotique écrit par Pael [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-08-2024 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Je t'aime, moi non plus (moment seule 3)
Comme prévu, je passais la soirée chez mon amie.
On était dans sa piscine, chips et cocktail, nous avions également commandé des pizzas.
Nous étions toutes les deux appuyées sur le bord de la piscine et nous discutions, je sentis son pied monter le long de ma jambe et se mettre à caresser mon entre jambe.
- J'imagine que tu veux parler d'hier ?
- Oui, non, en fait je ne sais pas !
- Nous nous revoyons depuis un moment lui et moi, dis-toi que depuis que vous vous revoyez, on à couchés un nombre incalculable de fois, c'est ainsi qu'il arrive à ne pas te baiser.
- Ca explique tout...
- Tu sais que j'étais folle amoureuse de lui, alors quand par hasard on s'est croisés et qu'on à discuter, mon coeur s'est emballé d'un coup, mais je sais qu'il t'aimais bien aussi.
Elle étira le bas de mon maillot avec son doigt de pied pour caresser ma chatte par dessus le maillot.
- Oui, je sais tout ça... Mais c'est un plan monté entre vous ?
- Non, pas du tout, il à commencé je n'étais pas au courant, je lui ai posé des questions quand il venait de plus en plus souvent ici le soir.
- Et tu le prends comment ?
- Nous ne sommes pas en couple, il fait ce qu'il veut, maintenant, ça me permet de coucher très souvent avec lui, et quelques part, me "venger" de ce que tu as fait une fois fini entre lui et moi, même si je ne t'en tiens pas rigeur...
Elle poussait son doigt de pied dans ma chatte et commençait à me doigter avec.
- Ca te dérange ?
- De quoi ? Dis-je perdant un peu mes moyens.
- Ce que je fais avec mon pied.
- Non...
- Si tu veux, tu peux te foutre à poil.
- Entre le petit vieux d'à côté et la maison qu'on ne sait pas qui habite dedans, je préfère éviter !
- Je ne te forcerais pas. Dit-elle faisant glisser mon dessous de maillot me mettant le bas complètement nu.
La sonnette retenti et elle sortit de l'eau, s'épongea vite et fait, et mis le drap juste autour de sa taille, elle revint avec les pizzas, j'enfilais mon bas de maillot et on se mit sur la table de jardin, on mangeait tranquillement, parlait de tout et de rien mais plus de la veille ou de lui, je partis chercher deux cocktail et se remit à discuter, elle aperçut derrière moi son voisin, le plus âgé qui arrosait ses plantes.
- Dis, va lui parler, tu as les tétons qui pointe et on voit bien ta poitrine dans ce maillot. Me chuchotta-t-elle.
- Mais t'es folle ?
- Tu oses discuter ? Me dit-elle me narguant avec ironie.
- Profiteuse !
- Tais-toi, je suis sur que ça t'excite...
Et je partis vers lui, j'allais lui dire quoi ? Improvisation.
- Bonjour Monsieur, c'est un beau temps pour arroser les plantes.
Il se retournait et me regardait, oui, il me regardait bien, il y avait de l'étonnement mais surtout il y avait à ses yeux une jeune femme en petite tenue devant lui.
- Oh oui, vous savez, il faut les entretenir ! Mais je pourrais arroser une belle plante comme vous. Dit-il relevant son arrosoir.
C'était gênant, je ne sais pas si c'était un compliment ou une allusion sexuelle, je tournais la tête vers mon amie qui semblait s'amusée de la situation.
- Oh, vous me flattez, arrêtez ! Dis-je d'une voix niaise.
Il se rapprochait pour taper la discussion, et surement regarder de plus près ma poitrine.
- Vous savez, à votre âge, nous n'avions pas tout ce qu'il y a maintenant, c'est bien que vous pouvez profiter du soleil dans une belle petite piscine, nous, nous devions aller à la piscine publique, ça avait ses avantages et ses inconvénient.
Je me dis ; avantage plein de femmes en maillot.
- Je comprends, vous voulez venir avec nous ? Dis-je en rigolant.
- Mon coeur me lâcherais entre deux belles jeunes femmes comme vous !
Il était vraiment gentil, j'avais la sensation d'être méchante.
- Vous avez de la chance, tout à l'heure j'ai faillis faire topless dans la piscine avec cette chaleur.
- Top ? Svp ? Qu'est-ce que ce mot signifie ?
- Retirer le haut de mon maillot pour prendre le bronzage...
- Oh, je ne vous en aurait pas empêcher.
- Tu peux toujours le faire ! Cria mon amie.
- Effectivement, vous pouvez le faire. Enchéri le voisin.
Je tournais la tête vers mon amie et la dévisagea.
- Désolée, je suis une jeune fille pudique. Dis-je lui faisant un grand sourire.
- En tout cas, vous êtes une belle jeune femme, mais vous sembler avoir froid le bout de vos seins pointent.
Je me sentis devenir rouge et lui dit :
- Bonne fin de journée, n'oubliez aucune plante.
Lui dis-je grand sourire et retournant super gênée près de mon amie, qui elle lui faisait signe tranquillement.
- Viens, on va rentrer, tu vas t'asseoir sur ton jouet.
Mon cul allait encore prendre cher, on rentrait et elle prit le gode ventouse, je le collais sur sa table de salon et elle me fit non de son index, elle le prix et le collait contre sa porte de salon.
- A quatre pattes, c'est mieux.
Je retirais mon bas de maillot et me mit à 4 pates, elle me déposait le lubrifiant devant moi et je commençais à me lubrifier l'anus et le gode.
- Retire aussi ton dessus, que je vois bien tes grosses mamelles bouger pendant que tu vas t'enculer.
Lorsque j'étais prête et commençait à m'appuyer dessus, elle prit une chaise qu'elle mit juste devant moi et s'assis, me présentant son pied que j'embrassais et léchais.
- Je tiens en main une spatule en bois, je vais te punir car j'aurais voulu voir tes seins sortir, tu le chauffe en parlant de topless et puis rien ? Donc encule toi bien fort en baisant mes pieds, moi je m'occupe que tu sente ton cul chauffer.
Et elle n'hésitait pas sur le nombre de coup de spatule, ni la force qu'elle mettait, j'avais les larmes qui coulait mais je tenais le coup en m'embrochant, je la remerciais même ! Autant vous dire à quel point je m'étais soumise.
Elle finit par me stopper et m'aider à me relever, je savais plus trop où j'en étais, j'avais l'anus en feu et les fesses en feu.
- Tu fais dodo ici où tu rentres ?
- Je veux bien dormir ici.
- Dac, je vais aller préparer le lit, j'avais mis les drap à sécher dehors.
- Dis-moi ?
- Oui ?
- Comment vous vous êtes retrouvé lui et toi ?
- Hum, je t'expliquerais peut-être ce soir ! (voir Je t'aime , moi non plus (Lui et elle)
On était dans sa piscine, chips et cocktail, nous avions également commandé des pizzas.
Nous étions toutes les deux appuyées sur le bord de la piscine et nous discutions, je sentis son pied monter le long de ma jambe et se mettre à caresser mon entre jambe.
- J'imagine que tu veux parler d'hier ?
- Oui, non, en fait je ne sais pas !
- Nous nous revoyons depuis un moment lui et moi, dis-toi que depuis que vous vous revoyez, on à couchés un nombre incalculable de fois, c'est ainsi qu'il arrive à ne pas te baiser.
- Ca explique tout...
- Tu sais que j'étais folle amoureuse de lui, alors quand par hasard on s'est croisés et qu'on à discuter, mon coeur s'est emballé d'un coup, mais je sais qu'il t'aimais bien aussi.
Elle étira le bas de mon maillot avec son doigt de pied pour caresser ma chatte par dessus le maillot.
- Oui, je sais tout ça... Mais c'est un plan monté entre vous ?
- Non, pas du tout, il à commencé je n'étais pas au courant, je lui ai posé des questions quand il venait de plus en plus souvent ici le soir.
- Et tu le prends comment ?
- Nous ne sommes pas en couple, il fait ce qu'il veut, maintenant, ça me permet de coucher très souvent avec lui, et quelques part, me "venger" de ce que tu as fait une fois fini entre lui et moi, même si je ne t'en tiens pas rigeur...
Elle poussait son doigt de pied dans ma chatte et commençait à me doigter avec.
- Ca te dérange ?
- De quoi ? Dis-je perdant un peu mes moyens.
- Ce que je fais avec mon pied.
- Non...
- Si tu veux, tu peux te foutre à poil.
- Entre le petit vieux d'à côté et la maison qu'on ne sait pas qui habite dedans, je préfère éviter !
- Je ne te forcerais pas. Dit-elle faisant glisser mon dessous de maillot me mettant le bas complètement nu.
La sonnette retenti et elle sortit de l'eau, s'épongea vite et fait, et mis le drap juste autour de sa taille, elle revint avec les pizzas, j'enfilais mon bas de maillot et on se mit sur la table de jardin, on mangeait tranquillement, parlait de tout et de rien mais plus de la veille ou de lui, je partis chercher deux cocktail et se remit à discuter, elle aperçut derrière moi son voisin, le plus âgé qui arrosait ses plantes.
- Dis, va lui parler, tu as les tétons qui pointe et on voit bien ta poitrine dans ce maillot. Me chuchotta-t-elle.
- Mais t'es folle ?
- Tu oses discuter ? Me dit-elle me narguant avec ironie.
- Profiteuse !
- Tais-toi, je suis sur que ça t'excite...
Et je partis vers lui, j'allais lui dire quoi ? Improvisation.
- Bonjour Monsieur, c'est un beau temps pour arroser les plantes.
Il se retournait et me regardait, oui, il me regardait bien, il y avait de l'étonnement mais surtout il y avait à ses yeux une jeune femme en petite tenue devant lui.
- Oh oui, vous savez, il faut les entretenir ! Mais je pourrais arroser une belle plante comme vous. Dit-il relevant son arrosoir.
C'était gênant, je ne sais pas si c'était un compliment ou une allusion sexuelle, je tournais la tête vers mon amie qui semblait s'amusée de la situation.
- Oh, vous me flattez, arrêtez ! Dis-je d'une voix niaise.
Il se rapprochait pour taper la discussion, et surement regarder de plus près ma poitrine.
- Vous savez, à votre âge, nous n'avions pas tout ce qu'il y a maintenant, c'est bien que vous pouvez profiter du soleil dans une belle petite piscine, nous, nous devions aller à la piscine publique, ça avait ses avantages et ses inconvénient.
Je me dis ; avantage plein de femmes en maillot.
- Je comprends, vous voulez venir avec nous ? Dis-je en rigolant.
- Mon coeur me lâcherais entre deux belles jeunes femmes comme vous !
Il était vraiment gentil, j'avais la sensation d'être méchante.
- Vous avez de la chance, tout à l'heure j'ai faillis faire topless dans la piscine avec cette chaleur.
- Top ? Svp ? Qu'est-ce que ce mot signifie ?
- Retirer le haut de mon maillot pour prendre le bronzage...
- Oh, je ne vous en aurait pas empêcher.
- Tu peux toujours le faire ! Cria mon amie.
- Effectivement, vous pouvez le faire. Enchéri le voisin.
Je tournais la tête vers mon amie et la dévisagea.
- Désolée, je suis une jeune fille pudique. Dis-je lui faisant un grand sourire.
- En tout cas, vous êtes une belle jeune femme, mais vous sembler avoir froid le bout de vos seins pointent.
Je me sentis devenir rouge et lui dit :
- Bonne fin de journée, n'oubliez aucune plante.
Lui dis-je grand sourire et retournant super gênée près de mon amie, qui elle lui faisait signe tranquillement.
- Viens, on va rentrer, tu vas t'asseoir sur ton jouet.
Mon cul allait encore prendre cher, on rentrait et elle prit le gode ventouse, je le collais sur sa table de salon et elle me fit non de son index, elle le prix et le collait contre sa porte de salon.
- A quatre pattes, c'est mieux.
Je retirais mon bas de maillot et me mit à 4 pates, elle me déposait le lubrifiant devant moi et je commençais à me lubrifier l'anus et le gode.
- Retire aussi ton dessus, que je vois bien tes grosses mamelles bouger pendant que tu vas t'enculer.
Lorsque j'étais prête et commençait à m'appuyer dessus, elle prit une chaise qu'elle mit juste devant moi et s'assis, me présentant son pied que j'embrassais et léchais.
- Je tiens en main une spatule en bois, je vais te punir car j'aurais voulu voir tes seins sortir, tu le chauffe en parlant de topless et puis rien ? Donc encule toi bien fort en baisant mes pieds, moi je m'occupe que tu sente ton cul chauffer.
Et elle n'hésitait pas sur le nombre de coup de spatule, ni la force qu'elle mettait, j'avais les larmes qui coulait mais je tenais le coup en m'embrochant, je la remerciais même ! Autant vous dire à quel point je m'étais soumise.
Elle finit par me stopper et m'aider à me relever, je savais plus trop où j'en étais, j'avais l'anus en feu et les fesses en feu.
- Tu fais dodo ici où tu rentres ?
- Je veux bien dormir ici.
- Dac, je vais aller préparer le lit, j'avais mis les drap à sécher dehors.
- Dis-moi ?
- Oui ?
- Comment vous vous êtes retrouvé lui et toi ?
- Hum, je t'expliquerais peut-être ce soir ! (voir Je t'aime , moi non plus (Lui et elle)
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