Je t'aime, moi non plus (moment seule 7 - Mr X - Fin) - histoire érotique

Aujourd'hui, je me rendais chez Mr X.

Au-delà de toutes ces activités sexuelles et de ce nettoyage, nous étions vraiment devenus proches, nous discutions beaucoup, parfois même, il arrivait qu'il me téléphone les jours où l'on ne se voyait pas, la solitude d'un vieil homme sûrement.

Cela faisait tout de même des mois que nous entretenions cette relation.

Je passais donc la porte et me déshabillais comme à mon habitude, il vint vers moi, souriant, me saluait et déposait une grande boîte sur la table.

- Ma petite, aujourd'hui j'aimerais que tu te dépasses, voici une boîte avec des objets que tu connais et d'autres que j'ai trouvés en faisant les courses.

Je ne savais pas ce qu'il y avait dedans, mais j'étais certaine que ses courses, ce n'était pas au supermarché !

- Je vais aller arroser les plantes dans le jardin, sur ce temps-là, prépare-toi, montre-moi que tu es une gentille fille, que tu n'as pas honte, ni peur du ridicule, ni d'avoir mal... D'ailleurs, vu le nombre de fessées que je t'ai mises, je doute que tu aies peur d'avoir mal.

Il partit et j'ouvris la boîte, il y avait vraiment un tas d'objets, je vis un petit collier rose avec une clochette que je mis autour de mon cou, il y avait un vibromasseur à mettre sous une culotte... Mais je ne portais pas de culotte, il y avait des pinces, je les regardais un moment et je décidai de les accrocher à mes tétons.

L'une, puis l'autre, les larmes aux yeux et des picotements, je me dis que j'aurais peut-être dû réfléchir à deux fois, je sentais le froid de la petite chaînette qui venait caresser ma peau, ça me donnait des frissons.

Je vis un lubrifiant, je le sortis de la boîte, je pris un plug... Je vous laisse imaginer où tout cela a terminé ! Alors que je retournais la boîte, des godes, des menottes, des objets non identifiés, je vis... Une couche culotte, j'y réfléchis un instant, je regardais le vibromasseur que j'avais vu et je me dis "pourquoi pas?".

J'enfilais donc le lange et y plaçait le vibromasseur.

J'observais alors les menottes, j'en vis dont la chaîne était vraiment courte, je les attachais à mes chevilles et en attachais d'autres à mes poignets, je décidais de me mettre un des bâillons, celui-ci avait une tétine, ça collait bien au personnage ! Quitte à être ridicule...

Alors que je m'apprêtais à refermer la boîte, je vis une cravache, il voulait que je n'aie pas peur d'avoir mal... Je sortis la cravache, refermai la boîte et me tenais au milieu du salon en tenant la cravache de manière à ce qu'il voie que j'attendais qu'il la prenne.

J'espérais juste que personne ne rentrerait, de plus, je commençais déjà à baver.

Lorsqu'il revint, il me regardait, sourit et retournait dans la boîte, il prit un flacon, il en mit un peu sur ses doigts et passait sur mes tétons, il passait également sous ma langue pour en mettre sur mes lèvres. Très vite, je sentis la sensation de chaleur, je restais là, ne bougeais pas, lui présentant toujours la cravache.

Il l'a prit et la passait sur chaque partie de mon corps, me faisant frémir.

- Hum, je vois que tu t'es dépassée, tu sais que je vais mettre des coups de cravaches sur chaque partie de ton corps ?

Je fis oui de la tête.

- On va faire rougir ton corps, après, j'aimerais que tu nettoie toute la maison, qu'elle brille.

S'en suivi des premiers coups, sur mes cuisses, mes seins, m'arrachant des cris étouffés, le ventre et partout, j'avais les larmes aux yeux, voir des vrais larmes, mais j'étais de plus en plus excitées.

- Je vais m'arrêter là, je t'ai préparé tout ce dont tu as besoin pour nettoyer.

Il s'approchait de moi, me fis un bisou sur le front et me dit "merci ma petite".

Je montais à l'étage commençais par prendre les poussières, il me regardait, me dandiner, et semblait prendre du plaisir, j'eus plusieurs fois des arrêts, me laissant emporter par le vibro.

Lorsque j'eus fini, je m'occupais du rez-de-chaussée, il fit en sorte de passer par là où je n'avais pas nettoyé et me fit le suivre, dans la cave.

Il prit mes menottes et les accrochait à son plafond, qui était bas, vieille cave obligée, il me retirait le baillon, celui-ci était plein de bave et il le frottait sur mon visage.

- Comment te sens-tu ma jolie ?
- Je vais explosée, je suis épuisée et je me sens sale à transpirée...

Il passait sa main dans ma couche et retirait le vibromasseur, celui-ci était humide, collant et il me fit le lécher, puis le sucer.

Il prit ensuite une petite bouteille d'eau et m'aidait à boire, j'en fis couler, et il détachait les pinces, ce qui relançait les picotements, il caressait mes sens, jouait avec mes tétons, il était plus tactile qu'à son habitude.

- Que souhaiterais-tu que je fasse ?
- Je ne sais pas, je n'arrive pas à réflechir...
- Le lange ne te dérange pas ?
- Non...
- Tu peux t'en servir, il n'est pas là pour faire joli.
- Je compris qu'il voulait que je me pisse dessus, et je le fis, il le vit très vite à la ligne qui s'affichait.

Il me laissait ainsi un moment, me parlait de tout et de rien, passant la cravache sur mon corps, me faisant frémir.

- Tu aimes restée dans ta pisse ?
- J'ai un peu honte, dis-je.

IIl me retirait mon lange, le portait à hauteur de mon nez, j'eus peur qu'il me le mette dans le visage, l'odeur de mon urine mélangée à mon excitation était forte.

- Si je m'occupais de faire rougir ton corps.
- Oui.
- Oh, mais t'es mise le plug, il te vas bien, dommage que l'accès soit fermé.

Je fus choquée, car il n'avait jamais, même sous entendu de rentrer.

Les premiers coups arrivèrent sur mes fesses, réguliers, de plus en plus rapides, je ne sais comment, je remerciais même, il repassait devant moi et détachait mes chevilles, j'écartais les jambes et il fit de même sur ma chatte, je pleurais, il me demandait plusieurs fois si je voulais qu'il arrête, je répondais par la négative.

Lorsqu'il considérait que mon corps était assez martyrisé, il arrêtait, mes fesses, ma chatte me brulait, il repassait derrière-moi et détachait mes menottes du plafond tout en me disant :

- Si tu veux que je t'encule, couche-toi par terre, ta tête près de ton lange ou même dedans et relève tes fesses.

Je crus ne pas bien entendre, après tout ces mois, tout ce temps passé ensemble, pour la première fois il voulait me pénétrer, sans même réfléchir, je m'allongeais par terre, relevait les fesses, il se mit derrière moi, je le sentis retirer mon plug, il y allait avec douceur, il le portait à hauteur de mes lèvres, je sortis la langue pour le lécher, il le mettait à l'entrée de ma bouche pour que je le suce et finit par me le faire garder en bouche.

Je sentis très vite son sexe dur contre mon anus, je m'apprêtais à me le faire violenter, j'avais déjà vu la taille de son sexe, et je n'étais pas sûre d'être prête, il rentrait petit à petit, je mordais sur le plug, mais lorsqu'il fut bien rentré dedans et pas à fond, je lâchais une sorte de soupir, ses mains aggripèrent mes fesses et il commençait ses vas-et-vientet viens, allant toujours plus dans le fond.

Je finis par pousser des cris, des râles, je savais que même quand ça serait fini, je le sentirais encore passer en moi, je sentais mon anus écarté, mes fesses violentées par ses poignées, il me mit des claques et puis il finit par venir, après un très long moment, je le sentis me remplir, finir les vas-et-vient, je me sentais comme une voiture à laquelle on fait le plein, je reprenais mon souffle, je regardais le lange juste sous mes yeux, la honte augmentait mon excitation.

Je le sentis sortir de moi, il faisait doucement, il m'attrapait par le collier pour me redresser, alors que je sentais son sperme s'écouler de mes fesses, il s'essuyait sur mon visage, je retirais mon plug et lui nettoyais son sexe, celui-ci était en train de redescendre, il relâchait mon collier et je me remis en position, tout en restant en place, il se mit à m'uriner dessus, je ne bougeais pas, je laissais faire, je l'entendis, ou vis le mouvement qu'il secouait son sexe pour les dernières gouttes, et il remit son pantalon.

Il tournait autour de moi, regardant sûrement son oeuvre, "la femme de ménage pleine de pisse et au cul qui coule de sperme." J'aurais appelé cela.

Je n'avais plus de force, il prit un seau et fit couler l'eau sur moi, je la voyais s'évacuer par le sterput, un, deux, trois seaux.

Un gant de toilette savonné, il me lavait, puis un, deux seaux encore.

Il m'aidait à me relever, m'enroulait autour d'un long drap.

- Tu peux monter pour aller prendre une douche, je t'attendrai dans le salon.

Je pris une douche bien chaude, je m'essuyais, redescendais, nue, avec des pantoufles que j'avais trouvées pour ne pas faire de traces, il m'invitait à remettre mes vêtements et me proposait un café.

On était assis sur le divan, on discutait, il se levait et me donnait une boite qui ressemblait à un colis.

- Ne l'ouvre pas avant ta prochaine prestation, je vais devoir te laisser, j'ai préparé un tas d'affaires à aller jeter au parc à conteneurs.

Je partis, rentrai chez moi et m'endormis quelques heures. Finalement, je partis faire quelques courses, rentrer, manger, me re laver et je n'allais pas dormir très tard.

Le lendemain, après avoir fait tous mes petits rituels du matin (non sexuels!), Alors que je m'apprêtais à aller faire une séance shopping, j'ai reçu un coup de téléphone.

- Bonjour ?
- Bonjour, connaissez-vous Mr X ?
- Oui, nous sommes amis, que se passe-t-il ?
- Il nous a quitté cette nuit, votre numéro apparaissait sur un petit calepin à côté de lui avec la mention "personne à prévenir".

Je laissais un blanc, car je ne pouvais pas y croire, des larmes coulaient sur mon visage et j'entendais que la personne avec qui j'étais en communication pleurait aussi.

- Ce n'est pas possible, que lui est-il arrivé ?
- Vous n'étiez pas au courant ? Il était condamné... Foutu crabe, mais il sera rester plus longtemps que ce qui lui était prédit, je pense qu'il à du passer une belle journée hier...

Là, je fus tétanisé.

- ... Car il à prit le temps d'aller jeter des vieilles affaires de ce qu'on m'a dit.
- Je vois... Puis-je faire quelque chose ? Dis-je.
- Si vous le souhaitez, passer prendre un petit objet ou l'autre en souvenir, seul mon frère et moi seront ici, avec vous, nous sommes les trois seules personnes à prévenir.
- Je viendrais... Je vous recontacte.

J'arrêtais l'appel et me mis à pleurer à chaudes larmes pendant un long moment, puis je repensais au "colis" qu'il m'avait donné, je partis l'ouvrir.

Il y avait d'abord une lettre, c'était une lettre d'adieu très longue, il me remerciait pour ces mois passés, pour mon aide, etc... Il signifiait dedans qu'il était sûr que ça se passerait entre le dernier moment que l'on s'est vu et le prochain, d'où la boîte.

Egalement, qu'il brulerait toutes les photos et iraient jeter tout ce qui laissait supposer à quoi que ce soit.

Il terminera en me disant qu'il me laisse quelques petits cadeaux.

Il avait mis un gode en ventouse, une vibromasseur qui semblait extrêmement puissant, un plug... En dessous une enveloppe, je l'ouvris et vis ... Enormément d'argent et un petit mot :

"J'avais tout cet argent-là chez moi, tu aurais pu le trouver facilement, mais tu n'as jamais fouillé. Je tiens à ce qu'il te revienne, ce n'est pas grand-chose à côté de ce que mon neveu et ma nièce vont hériter, mais ça t'aidera, fais-en bon usage."

Je me remis à pleurer, remis tout dans la boite, la fermait, la rangeait et restait un long moment assise dans mon divan, pensive, il était en paix.