Je t'aime, moi non plus (moment seule - Renouveau 5) - histoire érotique

Je m'étais éloignée d'un peu de tout cela, j'étais sur les sites de rencontres, était-ce mieux ? Peut-être pas, mais c'est m'occupait !

Je parlais avec un homme depuis quelques semaines, il était adorable, en tout cas, j'appréciais recevoir un message de sa part et échanger avec lui. Nous parlions de tout, beaucoup de sexe et il savait une grande partie des expériences que j'avais eues.

Il savait également que je voulais découvrir de nouvelles choses...

- Comment s'est passée ta journée ? J'ai pensé à quelque chose ! Dit-il.
- Bien, et la tienne ? Ah bon ? À quoi ? Dis-moi tout !
- Je peux te faire tenter une nouvelle expérience.
- Explique-moi ?
- Tu me fais confiance ? Me demanda-t-il.

Je pris un moment de réflexion, avais-je confiance ? Pas vraiment, je ne le connaissais que virtuellement, mais il titillait ma curiosité.

- Oui, je t'écoute. Répondis-je.
- Je vais te faire une proposition, mais tu peux la refuser !
- Vas-y, je m'impatiente !
- Le bois dont nous avons parlé, qui se trouve presque à mi-chemin entre chez nous ?
- Oui ?
- Tu vas jusqu'à là, tu es déjà rentrée dedans ?
- Oui... Mais y a fort longtemps ! Répondis-je.
- Je réfléchis... Ok, donc, par l'entrée que toi tu arrives, tu suis le chemin un moment, puis y a un chemin, qui n'est pas vraiment un sur la gauche, ça se reconnaît facilement, quand tu le suis tu arrives au petit ruisseau, c'était un endroit où avant on pouvait aller car il y avait une table avec ses deux bancs.
- Comme ça, je ne vois pas, mais je devrais trouver, mais une fois là ?
- C'est ici que ça devient intéressant, une fois là-bas, tu retiras ta robe, je te laisse le choix d'avoir des sous-vêtements ou non, même des objets en toi, c'est toi qui vois, et tu banderas tes yeux, tu resteras là sur place.

J'imaginais la scène, cela me provoquait des frissons, à la fois envie et crainte.

- Et j'attache mes mains dans mon dos aussi ? Lol. Lui répondis-je.
- À toi de voir si t'es à l'aise avec ça.
- Et tu voudrais faire ça quand ?
- Je pourrais te dire "maintenant", mais c'est quand toi tu le sens, si tu le sens évidemment...
- Il est presque 20 heures... Ça se passerait dans une heure...
- Oui, mais il fait chaud, c'est l'été... C'est toi qui voit, vraiment, moi j'ai pensé à ça, mais c'est peut-être un peu trop fou...
- Ok, à 21heures, je serais là. Dis-je confiante.

Je rentrais vite dans la douche, en sortis aussi vite, je réfléchis quelques instants à ce que j'allais enfiler, j'avais déjà un plug... Je n'allais pas prendre de vibromasseur, je savais que j'allais être humide, je sentais déjà la chaleur dans mon bas-ventre, j'enfilais un string orange et une petite robe d'été noire, pas de soutien-gorge, je pris un bandeau et toujours des menottes même si je restais hésitante.

Je montais dans ma voiture et démarrais, en chemin, je me souvenais que je devais me garer dans une des rues du village pour atteindre ce petit bois, enfin "petit"... Je me garde, descends et marche vers l'entrée.

Je suis le chemin et semble trouver l'endroit par où il me dit de passer, effectivement, un peu plus loin, je me retrouve à l'endroit qu'il a indiqué, personne, le calme plat, c'est apaisant, mais dans mon cas un peu stressant.

Je regarde tout autour de moi, j'essaie vraiment de discerner quelqu'un au milieu de ces arbres et de leurs feuilles, je ne vois rien, je n'entends rien et pourtant il doit être là quelque part, je dépose mon sac, je lance un dernier regard un peu partout, mon coeur bat si fort dans ma poitrine.

Je fais lentement glisser une bride de ma robe, tentant d'être sensuel, l'autre, je tourne sur moi-même lentement, comme pour me montrer, je cache toujours mon corps, une fois le tour complètement fait, je fais tomber ma robe au sol, je m'accroupis, la ramasse, la plie et la dépose, j'ouvre mon sac, je prends le bandeau et me redresse, je le mets, exposant bien ma poitrine à qui passerait, s'il me regarde, je veux le chauffer.

Je place mes mains derrière la tête, je ne vois plus rien, et tourne une fois de plus sur moi-même, je sens le sac avec mon pied, je m'accroupis à nouveau, prends les menottes et menottes mes mains dans mon dos, je me redresse, reste droite, je sens mon coeur continuer à jouer du tambour dans ma poitrine, ma respiration est un peu plus forte, j'essaie d'écouter mais n'entend rien, je frissonne simplement sur le vent qui passe de temps en temps et caresse mon corps.

Le temps se fait long, mon stress ne redescend pas, mon excitation monte, qu'est-ce que je fais ? Me livrer ainsi à un "inconnu"...

Je finis par entendre du bruit, des craquements de bois, des pas, une main qui caresse mon bras droit, je ne dis rien, je n'ose pas parler et si ce n'était pas lui ? Les mains parcourent l'ensemble de mon corps, descendent dans mon string, je suis humide...

- Tu n'as donc vraiment peur de rien.
- Je suis vachement stressée là ! Dis-je.

Je le sentais bouger autour de moi, et puis je sentis qu'il relevait mon pied droit, il retirait ma chaussure, ma soquette, fit de même avec l'autre et fit glisser mon string, je n'osais rien dire, je le laissais faire.

- Ainsi, tu fais un avec la nature. Me dit-il.
- Oui...
- Donc tout ce que tu m'as dit était vrai ?
- A propos de quoi ?
- Tes pratiques.
- Oui, je n'ai menti sur rien du tout.

Il caressait ma fesse, puis la serrait et dit :

- Quand je vois ces petites fesses rebondies, j'ai très envie de les faire rougir, tout comme ton corps d'ailleurs.
- ...
- Tu n'as pas envie ? Me dit-il, caressant délicatement le clito
- Si... Dis-je en me penchant légèrement en avant sans trop me rendre compte.
- Jusqu'où puis-je aller ?
- Fais-moi mal ! Dis-je sans réfléchir.

Il retirait sa main, je l'entendis se reculer ou en tout cas s'éloigner, je l'entendais également aller dans un sac.

Les premiers coups sur mes fesses arrivèrent très vite, je me forçais à ne pas crier ou pousser de cris, mais j'en faisais quand même des petits étouffés, il semblait utiliser une cravache, il s'amusait ainsi sur tout mon corps, il s'arrêtait, relevait ma tête, me regardait.

- Ton corps est rouge, mais tu ne sembles pas pleurer.
- Pourtant, ça me picotte de partout.

Il se concentra sur mes seins et mon entre jambes, effectivement, j'eu des larmes.

Lorsqu'il s'arrêtait, il me prit par le bras et me fit marcher quelques pas, il me retournait et j'entendis qu'il détachait son pantalon, il me fit attraper sa queue et je sentis qu'il se mit à pisser, elle semblait bien bâtie.

Lorsque je sentis qu'il ne poussait plus, j'essayais de la secouer, même si la position n'était pas adéquate.

- Tu aurais voulu être l'arbre avoue !
- ...

Il m'emmenait avec lui, me fit m'asseoir sur le banc et plaçait mes jambes au-dessus de ses épaules, il se mit à me lécher tout en caressant mon corps, je me laissais très vite aller, je serais mes jambes autour de sa nuque, je me mis à gémir, bien que j'essayais de me contenir, après un long et bon moment, il finit par s'arrêter, il me fit redescendre et m'accroupis.

- Allais, pisse, j'imagine que tu as bien besoin.

Et il n'avait pas tort, accroupie, main attachée dans le dos, ne voyant pas la personne en face de moi, je me mis à uriner, et cela dura longtemps, je fis même des jets un peu plus fort esperant que ça se termine.

- Je peux prendre ton téléphone pour mettre un minuteur dessus ?
- Oui.

Il allait dans mon sac, prit mon téléphone et le dévérouillait avec mon emprunte, je restais là accroupie, sentant un peu d'urine contre mes pieds.

- Voilà, j'ai mis le minuteur sur 10 minutes, je remets le téléphone dans ton sac, tu restes sur place, tu peux te redresser mais tu joins tes pieds.

Je fis ce qu'il dit et je me retrouvais les pieds dans ma pisse, je le sentis passer derrière moi, détacher mes menottes et sûrement les mettre dans mon sac.

- Je vais m'en aller, tu ne retires ton bandeau que lorsque le minuteur sonnera, ne triche pas, peut-être que je serais plus loin pour voir si tu respectes bien ma consigne.

Il me fit une bise sur ma joue gauche et je l'entendis partir.

Je restais là, bras longs du corps, corps complètement exposé, yeux toujours bandés et la sonnerie finit par retentir, je retirais mon bandeau, le soleil s'était couché, j'étais nue au milieu du bois, marchant dans mon urine.

Il avait effectivement tout remis dans mon sac, j'enfilais mon string et ma robe, je frottais délicatement mes pieds sur le sol et m'assis sur le banc, je poussais un soupir, j'avais chaud, j'étais excitée, je regardais autour de moi, je voyais encore moins s'il pouvait être là.

Je fis glisser ma main le long de ma jambe et rentrai à l'avant de mon string, je me caressais à mon tour, faisant peu à peu pénétrer mes doigts, je me donnais du plaisir, je m'arrêtais quand je me sentais venir, je me redressais d'un coup, remis mes soquettes et mes chaussures et repartis pour sortir du bois et atteindre ma voiture.

Je n'étais pas sortie du bois que je recevais un message.

- J'espère que ça a été et que tu as aimé ? Finalement, je te crois et on pourra faire ma vraie idée.
- Et c'est quoi ?
- Je ne te dirai rien pour l'instant, juste que tu seras épuisée, tu vas pleurer et te sentir sale ! ah ah
- Ce n'est pas gentil !
- Ah oui, regarde tes photos !

J'allais dans mes photos, et il m'avait prise en photo avec mon téléphone lorsque je venais d'avoir fini d'uriner, au moment du minuteur, il venait de relancer les envies que j'essayais de freiner.

Je rentrais dans la voiture, rentrais chez moi, sautais dans ma douche et partis me coucher avec mes jouets, il était temps que je me termine.