Je t'aime, moi non plus 8 (Sport sport et encore)
Récit érotique écrit par Pael [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-08-2024 dans la catégorie Dominants et dominés
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Je t'aime, moi non plus 8 (Sport sport et encore)
On avait passé le premier mois et je me donnais à fond pour continuer à atteindre mon objectif.
Je me sentais mieux avec mon corps, mieux dans ma peau, je commençais à me connaitre et à me reconnaitre.
Avant que je ne vous raconte aujourd'hui, hier soir, nous avons mangés chez lui, j'avais mis une petite robe noir et des talons, pas de soutien gorge et une petite culotte blanche, je m'étais habituée à m'habiller un peu plus sexy lorsque je le voyais.
Alors que le repas était terminé, nous avons discutés et bu deux verres à table, deux amis, c'était agréable.
- Tu dois être surexcité ? Me demanda-t-il.
- Tu n'imagines même pas... J'ai l'impression que je vais exploser !
- Très bien, mets toi à genou devant moi et caresse toi, met toi des doigts à travers ton string jusqu'à temps que tu viennes, je t'autorise à venir.
Je me mis à genou devant lui, il restait assis sur sa chaise, son verre à la main, il avait une bonne vue sur mon décolleté et je commençais à m'appliquer, je ne sais pas combien de temps il me fallut pour venir, mais assez pour que j'ai besoin d'aide pour me relever ! J'avais finis par me laisser aller, il avait du me rattraper au moment où je suis venue, j'avais trempé mon string, le dessous de ma robe et mes jambes tellement j'avais gardé ça longtemps, j'avais même cru m'être urinée dessus, ça m'avais fais du bien, j'étais à la fois soulagée, mais je voulais à nouveau ressentir cela.
Aujourd'hui, je vais chez lui, on va s'entrainer chez lui, j'aime carrément faire du sport, je n'aurais jamais cru cela ! Je monte dans la pièce et m'applique sur le tapis de course, à poil, comme d'habitude.
J'entends que l'on sonne chez lui, il n'est pas encore monté et je l'entend parler, je m'applique pour écouter, mais je n'entends pas bien et puis je l'entends monter, mais j'entends plusieurs pas, je panique mais je n'ose pas m'arrêter, lorsque la porte s'ouvre, je n'ose pas me retourner.
- Hey bien, j'aurais jamais cru te voir faire du sport !
C'était mon amie, son ex, elle savait tout, mais lui comment savait-il qu'elle le savait ? Elle l'avait contacté ? J'osais pas demander, elle vint se placer à côté de moi et me dit :
- Comment tu t'appelles encore ?
- Peggy...
- Alors cours Peggy, plus vite, fait bouger tes mamelons !
- Elle est joie ma petite vache, non ? Dit-il.
- C'est plutôt une truie !
Ils me laissèrent courir, lorsque ce fut fini, il me tendit de l'eau, je bu, et elle tendit son pied, je la regardais et puis le regardais lui et il acquiesçait de la tête, je me mis à genou et lui embrassait les pieds.
- Fais comme d'habitude Peggy, fais pas ta truie, lèche, tu aimes ça.
Et je m'exécutais.
- Tu sais qu'elle aime les fessées ? Lui dit-il.
- Ah non, elle ne m'en avais pas parlée !
- Peggy, fait des squats.
Je me mis en position et il me fessait à chaque squat, je comptais et remerciait, je fis 3 séries de 10, ce qui n'était à présent plus difficile pour moi.
- J'aurais aimée te fessée ! Mon amie dit alors.
- Tu peux la fessée, plusieurs fois elle m'a demandée de continuer au point de pleurer...
- Sérieux ?
- Oui, je m'en suis voulu les premières fois, mais ça l'excite.
- C'est vrai Peggy ? Me demanda mon amie.
- Oui... Ca m'excite à mort...
- Oh, viens sur mes genoux ! Va chercher un drap, je veux pas de ta transe et de ta mouille sur moi.
J'allais chercher tout cela et je me positionnait sur ses genoux.
- Donne moi ton téléphone, je vais te sonner. Dit-il à mon amie.
Elle lui tendit son téléphone, lui sonnait en vidéo et le plaçait sous mes yeux, je me voyais à genoux sur mon amie et elle commençait à claquer mes fesses, plus je me regardais, plus j'avais honte, plus ça m'excitait, plus j'en voulais.
Elle finit par s'arrêter, surement la couleur rougeâtre de mes fesses devait l'impressionner ou une douleur à sa main qui devait arriver, ni une ni deux il allait dans un de ses tiroirs et sortait une petite spatule que je n'avais jamais vue.
- Tiens, tu auras moins mal à la main.
- Mais elle ?
- Peggy, tu veux qu'elle arrête ?
- Non, continue stp, je mérite d'être punie.
- Fais la pleurer, elle ose pas te le demander ! dit-il.
Et elle se remit, mais elle y allait plus fort et ... A cœur joie ? Et très vite, les larmes finirent par couler, je la remerciait, mon cul était martyrisé.
- Fais des pompes Peggy, 3 séries de 10.
Je me mis en position et il plaçait la chaise de mon amie devant moi, faisant s'asseoir mon amie, pour que ses pieds soit à hauteur de mon visage.
- Baise lui les pieds, quand t'as fini, tu la remercierais d'avoir prit soin de ton gros cul.
En descendant à chaque pompe, je lui baisais les pieds, lorsque j'eu fini, je senti l'autre pied de mon amie appuyer sur mon dos pour me laisser coucher et je léchais son autre pied ma tête à même le sol.
Il finit par me faire faire de la corde à sauter, et il m'emmena dans sa chambre, me fis m'asseoir sur une chaise et ..
Lui et mon amie partirent dans le lit, commencèrent à se faire des câlins et se déshabiller, j'étais à la fois dégoutée mais excitée à l'idée de la voir se faire prendre, et très vite il l'a prit, je pense qu'elle devait être bien humide depuis un moment et lui était bien dur !
Elle semblait avoir bon, j'aurais aimée être à sa place, il finit après un bon moment à venir en elle, je m'étais surprise plusieurs fois à vouloir me caresser, il était au-dessus d'elle, la tenait par ses fesses et faisait des derniers mouvement pour faire sortir tout ce qui devait sortir.
Il se relevait, j'avais sa bite sous mes yeux et il s'essuyait sur mon épaule, j'avais senti la chaleur de son sexe, il était bouillant, et il partit vers la salle de bain.
Mon amie était toujours couchée, j'avais sa chatte grande offerte sous les yeux et elle me vit la regarder et me dit :
- Tu peux venir nettoyer si tu veux.
Une heure plus tard, on mangeait tous ensembles un plat commandés en rigolant.
Je les regardais tous les deux, je me sentais soulagée bizarrement, excitée également, mais frustrée surtout, j'aurais aimée être celle qui se faisait prendre.
Mais je ne comprenais, mon amie qui était si discrète s'était laissée prendre devant moi ? S'était laissée prendre par un mec qui n'était pas (plus) son mec... et depuis longtemps.
Demain, elle doit venir chez moi, on en discutera, il parait qu'on va avoir pas loin des 30 degrés, piscine, transat, cocktail et tout ce qu'elle voudra que je fasse alors !
Je me sentais mieux avec mon corps, mieux dans ma peau, je commençais à me connaitre et à me reconnaitre.
Avant que je ne vous raconte aujourd'hui, hier soir, nous avons mangés chez lui, j'avais mis une petite robe noir et des talons, pas de soutien gorge et une petite culotte blanche, je m'étais habituée à m'habiller un peu plus sexy lorsque je le voyais.
Alors que le repas était terminé, nous avons discutés et bu deux verres à table, deux amis, c'était agréable.
- Tu dois être surexcité ? Me demanda-t-il.
- Tu n'imagines même pas... J'ai l'impression que je vais exploser !
- Très bien, mets toi à genou devant moi et caresse toi, met toi des doigts à travers ton string jusqu'à temps que tu viennes, je t'autorise à venir.
Je me mis à genou devant lui, il restait assis sur sa chaise, son verre à la main, il avait une bonne vue sur mon décolleté et je commençais à m'appliquer, je ne sais pas combien de temps il me fallut pour venir, mais assez pour que j'ai besoin d'aide pour me relever ! J'avais finis par me laisser aller, il avait du me rattraper au moment où je suis venue, j'avais trempé mon string, le dessous de ma robe et mes jambes tellement j'avais gardé ça longtemps, j'avais même cru m'être urinée dessus, ça m'avais fais du bien, j'étais à la fois soulagée, mais je voulais à nouveau ressentir cela.
Aujourd'hui, je vais chez lui, on va s'entrainer chez lui, j'aime carrément faire du sport, je n'aurais jamais cru cela ! Je monte dans la pièce et m'applique sur le tapis de course, à poil, comme d'habitude.
J'entends que l'on sonne chez lui, il n'est pas encore monté et je l'entend parler, je m'applique pour écouter, mais je n'entends pas bien et puis je l'entends monter, mais j'entends plusieurs pas, je panique mais je n'ose pas m'arrêter, lorsque la porte s'ouvre, je n'ose pas me retourner.
- Hey bien, j'aurais jamais cru te voir faire du sport !
C'était mon amie, son ex, elle savait tout, mais lui comment savait-il qu'elle le savait ? Elle l'avait contacté ? J'osais pas demander, elle vint se placer à côté de moi et me dit :
- Comment tu t'appelles encore ?
- Peggy...
- Alors cours Peggy, plus vite, fait bouger tes mamelons !
- Elle est joie ma petite vache, non ? Dit-il.
- C'est plutôt une truie !
Ils me laissèrent courir, lorsque ce fut fini, il me tendit de l'eau, je bu, et elle tendit son pied, je la regardais et puis le regardais lui et il acquiesçait de la tête, je me mis à genou et lui embrassait les pieds.
- Fais comme d'habitude Peggy, fais pas ta truie, lèche, tu aimes ça.
Et je m'exécutais.
- Tu sais qu'elle aime les fessées ? Lui dit-il.
- Ah non, elle ne m'en avais pas parlée !
- Peggy, fait des squats.
Je me mis en position et il me fessait à chaque squat, je comptais et remerciait, je fis 3 séries de 10, ce qui n'était à présent plus difficile pour moi.
- J'aurais aimée te fessée ! Mon amie dit alors.
- Tu peux la fessée, plusieurs fois elle m'a demandée de continuer au point de pleurer...
- Sérieux ?
- Oui, je m'en suis voulu les premières fois, mais ça l'excite.
- C'est vrai Peggy ? Me demanda mon amie.
- Oui... Ca m'excite à mort...
- Oh, viens sur mes genoux ! Va chercher un drap, je veux pas de ta transe et de ta mouille sur moi.
J'allais chercher tout cela et je me positionnait sur ses genoux.
- Donne moi ton téléphone, je vais te sonner. Dit-il à mon amie.
Elle lui tendit son téléphone, lui sonnait en vidéo et le plaçait sous mes yeux, je me voyais à genoux sur mon amie et elle commençait à claquer mes fesses, plus je me regardais, plus j'avais honte, plus ça m'excitait, plus j'en voulais.
Elle finit par s'arrêter, surement la couleur rougeâtre de mes fesses devait l'impressionner ou une douleur à sa main qui devait arriver, ni une ni deux il allait dans un de ses tiroirs et sortait une petite spatule que je n'avais jamais vue.
- Tiens, tu auras moins mal à la main.
- Mais elle ?
- Peggy, tu veux qu'elle arrête ?
- Non, continue stp, je mérite d'être punie.
- Fais la pleurer, elle ose pas te le demander ! dit-il.
Et elle se remit, mais elle y allait plus fort et ... A cœur joie ? Et très vite, les larmes finirent par couler, je la remerciait, mon cul était martyrisé.
- Fais des pompes Peggy, 3 séries de 10.
Je me mis en position et il plaçait la chaise de mon amie devant moi, faisant s'asseoir mon amie, pour que ses pieds soit à hauteur de mon visage.
- Baise lui les pieds, quand t'as fini, tu la remercierais d'avoir prit soin de ton gros cul.
En descendant à chaque pompe, je lui baisais les pieds, lorsque j'eu fini, je senti l'autre pied de mon amie appuyer sur mon dos pour me laisser coucher et je léchais son autre pied ma tête à même le sol.
Il finit par me faire faire de la corde à sauter, et il m'emmena dans sa chambre, me fis m'asseoir sur une chaise et ..
Lui et mon amie partirent dans le lit, commencèrent à se faire des câlins et se déshabiller, j'étais à la fois dégoutée mais excitée à l'idée de la voir se faire prendre, et très vite il l'a prit, je pense qu'elle devait être bien humide depuis un moment et lui était bien dur !
Elle semblait avoir bon, j'aurais aimée être à sa place, il finit après un bon moment à venir en elle, je m'étais surprise plusieurs fois à vouloir me caresser, il était au-dessus d'elle, la tenait par ses fesses et faisait des derniers mouvement pour faire sortir tout ce qui devait sortir.
Il se relevait, j'avais sa bite sous mes yeux et il s'essuyait sur mon épaule, j'avais senti la chaleur de son sexe, il était bouillant, et il partit vers la salle de bain.
Mon amie était toujours couchée, j'avais sa chatte grande offerte sous les yeux et elle me vit la regarder et me dit :
- Tu peux venir nettoyer si tu veux.
Une heure plus tard, on mangeait tous ensembles un plat commandés en rigolant.
Je les regardais tous les deux, je me sentais soulagée bizarrement, excitée également, mais frustrée surtout, j'aurais aimée être celle qui se faisait prendre.
Mais je ne comprenais, mon amie qui était si discrète s'était laissée prendre devant moi ? S'était laissée prendre par un mec qui n'était pas (plus) son mec... et depuis longtemps.
Demain, elle doit venir chez moi, on en discutera, il parait qu'on va avoir pas loin des 30 degrés, piscine, transat, cocktail et tout ce qu'elle voudra que je fasse alors !
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