Jeune adulte 10 Homme de plaisir
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-06-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Jeune adulte 10 Homme de plaisir
Jeune adulte 10
Homme de plaisir
Thomas avait sa chambre, au moins il était ordonné, il n'y avait pas de pagaille tout était rangé et la chambre nickel. Sur ce point il était pire que moi. Je me disais que ce serait un bon point qu'il faudra utiliser pour faire accepter l'idée de loger un ami à mon petit frère Yohan. Les jours passaient et je commençais à me demander comment j'allais présenter cette affaire à mon frère.
Pour ce qui est de nos parents on verrait plus tard. Je ne savais pas toujours ou était Thomas, ni ce qu'il faisait. Il ne rentrait pas dans les détails, il me disait juste qu'il travaillait. Mais à part ça, il se comportait comme un ami, comme un amant, comme … un rêve. Oui c'était un rêve ce garçon. Je comprenais parfaitement pourquoi certains hommes étaient prêts à payer pour pouvoir passer un moment avec lui.
Le plus souvent il dormait dans sa chambre mais si j'avais envie, besoin d'un câlin il ne me repoussait pas. Au contraire il savait toujours m'ouvrir les bras et il savait le refermer sur moi. C'était un plaisir incroyable qu'il me donnait.
Si c'est lui qui avait besoin d'un câlin, c'est vrai qu'il avait des besoins sexuels importants. Avec son boulot, enfin quand je dis boulot … Bref avec son boulot il faisait l'amour plusieurs fois par jours. Il avait la santé le bonhomme. Il faut dire qu'il était très viril, il était très sensuel, il était très … Bref tout ça pour dire que si c'était lui qui avait besoin d'un câlin, j'étais là et moi non plus je ne le repoussais pas .
Plus le temps passait plus il me plaisait, plus j'avais besoin de lui.
J'aimais tout particulièrement quand il se glissait dans ma chambre, doucement, sans prévenir, sans demander. Comme cette nuit ou je dormais, j'avais eu une dure journée, un examen important, je pensais m'en être bien sorti mais j'étais épuisé et je m'était endormi tôt.
Quand je suis rentré ce soir là, l'appartement était vide, Thomas est arrivé plus tard. Il était nu quand il se glissait dans ma chambre, il sortait de la douche. Il avait sans doute envie de faire l'amour. Un jour il m'avait dit que faire l'amour pour le plaisir c'est pas pareil que faire l'amour pour le boulot. Et là sa journée de boulot était terminée.
Il s'est glissé tout doucement dans mon lit, je ne l'ai pas senti s'approcher. J'ai senti sa main qui glissait sur mon torse, il me donnait un baiser sur mon téton au moment ou j'ai ouvert les yeux. Ça ne faisait pas très longtemps que je dormais, en réponse je glissait mon bras sur son dos.
Je sentait une érection, ma queue se réveillait elle aussi et n'était pas insensible à ces caresse, je sentais ma cage se redresser et ses doigts qui passaient par là comme pour s'assurer que tout était en ordre. Il me caressait les couilles et ma queue hurlait de désir. C'était très désagréable.
Je me retournais vers lui et on se prenait dans les bras. Nos baisers étaient chauds, autant que sa peau sur la mienne. Depuis que je connaissait Thomas je dormais nu, enfin presque nu, il y avait toujours ce petit truc en titane qui recouvrait et confinait fermement ma bite. Je ne m'était jamais posé de question, c'est vrai qu'on m'avait dit que plus de neuf hommes sur dix portaient ce genre de dispositif. On m'avait enseigné que c'était le seul moyen de vivre dignement, que les autres était des dégénérés, on les appelait les déviants. Et on nous apprenait à les mépriser et à mépriser surtout leur manière de vivre.
Et maintenant j'avais justement un de ces déviants dans mes bras. C'était un des pires, il n'était pas seulement jouisseur, mais il se faisait payer pour donner du plaisir, de la jouissance aux autres. Il aurait du me dégoûter, j'avais été conditionné pour le rejeter, surtout qu'un homme qui donne du plaisir à un autre homme … Deux hommes qui prennent du plaisir physique entre eux, qui en partagent, commettent une abomination …
C'est en tout cas ce qu'on m'avait enseigné. J'aurais du le rejeter, le repousser, ne même pas accepter de lui parler, il était …
Mais je préférais refermer mes bras autour de lui, je préférais l'embrasser et goûter sa peau, ses lèvres, sa langue. Je plongeais sous la couette et prenait son sexe dans la bouche, sa queue glissait dans ma bouche avec douceur, j'arrivais maintenant à l'avaler jusqu'au fond de ma gorge. J'avais fait des progrès rapide avec Thomas.
Ça s'était fait tout seul. Plus les jours passaient, plus j'avais envie de Thomas, et là j'étais rendu à un point ou je n'aurais pas voulu me passer de lui.
Je le suçais en relevant la tête et en la rabaissant. Sa queue sortait de ma bouche et revenait dans ma gorge. À chaque mouvement j'appuyais avec ma langue contre son gland, j'appuyais de toutes mes forces, avec ma langue je savais que je ne pouvais pas lui faire mal. Il gémissait par moment, il poussait de petits cris de plaisir.
Il me caressait les cheveux, il n'intervenait pas, il me laissait faire. Un moment j'ai cru qu'il s'était endormi. Remarquez ça ne m'aurais pas arrêté. C'est vrai qu'il devait être fatigué le pauvre, combien d'homme avait-il tenu dans ses bras ? Combien d'homme avait-il fait jouir aujourd'hui.
Je m'en moquais, s'il avait donné du plaisir il n'y avait aucune raison qu'il n'en reçoive pas à son tour. J'avais ce privilège, oui c'était un privilège que de pouvoir lui donner du plaisir. Mais il gémissait par moment, il aimait, il ne dormais pas, j’intensifiais mes caresses, je tournais mas langue autour de son gland avec encore plus de force mais c'est vrai que la langue n'est pas un muscle de force.
Il glissait ses bras sous les miens et me relevais contre lui. Nos visages se retrouvaient face à face, nous nous tenions toujours serrés l'un contre l'autre, et nos baisers étaient chauds. Je me disais un court instant qu'il était la seule personne que j'avais jamais tenu dans mes bras de cette manière.
Il se penchait sur moi, me couvrait de baisers, je rigolait et gigotais, c'est qu'il me chatouillait. Je décidait de le chatouiller aussi, et moi aussi je le couvrais de baisers. On roulait l'un sur l'autre, on glissait l'un sur l'autre, sa peau était tellement douce.
On arrivait à cette position, j'avais sa queue dans la bouche il suçait les couilles, il ne pouvait pas me sucer plus. Je l'aurais laissé faire vous savez, surtout que j'étais sûr qu'il devait faire ça à la perfection.
Il prenait la direction des opération et me retournait, puis il me retournait de nouveau. Il ne disait rien mais prenait position, dans mon dos, moi allongé sur le ventre, lui allongé sur moi, moi les jambes bien serrées. Il me l'avait déjà fait, dans cette position on est plus étroit, c'était pas ma position préférée mais lui il aimait. Et c'est lui qui décidait, c'était lui le maître, moi je subissais, moi j'étais passif, je n'avais pas d'autre choix mais, j'aimais.
Il glissait sa queue entre mes fesses, il avait placé des genoux à l’extérieur de mes cuisse et me maintenait en position. J'en menais pas large, je balisais un peu mais j'en voulais. Je voulais qu'il me défonce le cul, même s'il devait me faire un peu mal, surtout qu'il en avait une grosse.
En une semaine seulement j'avais changé, une semaine plus tôt j'étais ultra puceau. A ce moment j'avais entre ses bras, et surtout à ce moment, l'impression d'être une pute. Une pute qui avait la trouille de se faire défoncer le cul mais une pute qui ne demandait que ça.
Il me lubrifiais, mon cœur s'arrêtait, il allait …
Sans prévenir il enfonçait avec force sa queue dans mon cul.
Dans la position ou il me retenait j'étais étroit et je vous jure que je l'ai senti passer. J'ouvrais la bouche pour crier mais aucun son n'en sortait. Je sentais son visage penché par dessus mon épaule, il me regardait, je grimaçais, il s'enfonçait lentement mais avec force, je ne pouvais que subir.
Il m'écrasait de tout son poids, il me maintenant les cuisses bien fermées en refermant les jambes avec force et il poussait sa queue en moi. Il m'avait vraiment bien lubrifié et ça glissait. Je manquais d'air, il me faisait mal, il me faisait du bien, ce n'était pas la première fois mais ça restait nouveau pour moi et c'était violent. J'encaissais c'était surprenant, je ne comprenais pas comment je pouvais encaisser ce qu'il me faisait subir mais j'encaissais et malgré la douleur, j'y prenais beaucoup de plaisir.
Il faut du temps pour que ça ne fasse plus mal, au début ça fait toujours mal, mais avec le temps ce n'est plus que du plaisir, j'en étais pas encore là …
J'ai râlé de douleur quand il s'écrasait contre mes fesses, ça ne l'a pas arrêté. Il poussait son ventre contre mes fesses, il poussait fort. Puis il poussait moins fort et reprenait. Il me faisait un vrai massage avec son ventre contre mes fesses, avec sa queue dans mon cul, jusque que dans mes entrailles. C'était bon, mais pas que.
Ses mouvements étaient lents mais fermes et décidés. Je contractais tous mes muscles, je gémissait, il me faisait mal mais pas que, ho non pas que. Même s'il m'avait mal, que mal, je l'aurais laissé faire.
Le contact de son corps était tellement doux, lourd, et chaud. C'était une brûlure, je sentais une telle chaleur que c'était une brûlure, mais c'était une brûlure qui ne laisse pas de trace, pas de cloque. Dans mon ventre c'était un peu plus violent, dans mon ventre j'étais retourné.
C'était maintenant une sensation de plaisir intense qui se mêlait à la douleur qui devenait secondaire. Je sentais que j'allais jouir.
Il se retirait, me dégageait les jambes, je pouvais enfin écarter les cuisses, il me lubrifiait et ses genoux entre les miens maintenant, il me pénétrait d'un coup rapide. En une seconde il se retrouvait au plus profond dans mes entrailles, et là il commençait à me limer avec force et vigueur. Sa queue glissait en moi, elle entrait et allait s'écraser contre je ne sais quoi au milieu de mon ventre, elle ressortait complètement pour pouvoir mieux revenir avec violence.
Là je râlais, je gémissais en suivant le rythme. Là j'avais peur, j'aurais voulu qu'il s'arrête mais je ne voulais pas le lui demander, je me donnais à lui, je lui appartenait, entre ses mains je n'étais qu'un jouet, je n'étais là que pour son plaisir. Il pouvait m'utiliser comme il l'entendait.
Il s'est lâché pendant un long moment puis il gémissait fort, il râlait fort, il finissait par gueuler fort, très fort même et à ce moment il me serrait de toutes ses forces dans ses bras, je ne pouvais plus respirer mais j'ai pris un pied pas croyable au moment ou je l'ai senti vibrer, au moment ou j'ai deviné qu'il jouissait en moi.
C'est seulement au moment qu'il s'est retiré que j'ai juté. Je jutais, je n'éjaculais pas, un liquide blanc coulait lentement mais longuement de ma cage et là je ne sentais rien, absolument rien.
On s'est lavé, il m'a un peu chatouiller, on a rigolé, on s'est câliné et on est retourné se coucher … J'avais mal au cul jusqu'à la gorge !
Il était allongé à coté de moi quand je me suis réveillé, je l'ai admiré un moment, je n'osais pas le toucher, j'avais peur de le réveiller, il était tellement beau. Je n'avais plus mal au cul, il y avait du progrès, mais c'est dans mon ventre que je me sentais tout bizarre.
Je me levais me préparais et avant de partir, je jetais un dernier coup d’œil dans ma chambre, il dormait paisiblement, il avait bougé et prenait toute la place maintenant. J'avais une violente envie de lui sauté dessus mais il fallait vraiment que j'y aille, je ne devais pas être en retard.
Des nuits comme celle là, il y en a eu plusieurs, des nuits folles, des nuits de délire, des nuits qui me laissaient un souvenir douloureux au niveau de mon cul le lendemain quelquefois … Vous voyez ce que je veux dire ? … Quelquefois le lendemain matin, j'avais du mal à m'asseoir.
Mais la période de retraite que suivaient ma famille, mes parents et mon jeune frère allait prendre fin. Les derniers jours devenaient de véritables jours d'angoisse, je n'osais pas en parler à Thomas, j'avais peur que ça pose un problème, surtout que … Je savais depuis le début que ça poserait un problème …
Mon petit frère n'avait pas traîné quand il était arrivé, il s'est précipité rapidement à l'appartement, je n'y étais pas, j'étais à l'école. Thomas n'était pas là non plus … Heureusement !
À mon retour je me disais qu'il était temps de dire à mon frère qu'il y avait un autre locataire, en priant qu'il le prenne bien !
Je commençais en faisant remarquer à mon petit frère qu'il y avait une troisième chambre dans le l'appartement, qu'il était grand.
– Ah ça oui, il est grand. On a de la place … Me confirmait-il.
C'est à ce moment que Thomas arrivait, il entrait sans frapper.
A suivre
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Homme de plaisir
Thomas avait sa chambre, au moins il était ordonné, il n'y avait pas de pagaille tout était rangé et la chambre nickel. Sur ce point il était pire que moi. Je me disais que ce serait un bon point qu'il faudra utiliser pour faire accepter l'idée de loger un ami à mon petit frère Yohan. Les jours passaient et je commençais à me demander comment j'allais présenter cette affaire à mon frère.
Pour ce qui est de nos parents on verrait plus tard. Je ne savais pas toujours ou était Thomas, ni ce qu'il faisait. Il ne rentrait pas dans les détails, il me disait juste qu'il travaillait. Mais à part ça, il se comportait comme un ami, comme un amant, comme … un rêve. Oui c'était un rêve ce garçon. Je comprenais parfaitement pourquoi certains hommes étaient prêts à payer pour pouvoir passer un moment avec lui.
Le plus souvent il dormait dans sa chambre mais si j'avais envie, besoin d'un câlin il ne me repoussait pas. Au contraire il savait toujours m'ouvrir les bras et il savait le refermer sur moi. C'était un plaisir incroyable qu'il me donnait.
Si c'est lui qui avait besoin d'un câlin, c'est vrai qu'il avait des besoins sexuels importants. Avec son boulot, enfin quand je dis boulot … Bref avec son boulot il faisait l'amour plusieurs fois par jours. Il avait la santé le bonhomme. Il faut dire qu'il était très viril, il était très sensuel, il était très … Bref tout ça pour dire que si c'était lui qui avait besoin d'un câlin, j'étais là et moi non plus je ne le repoussais pas .
Plus le temps passait plus il me plaisait, plus j'avais besoin de lui.
J'aimais tout particulièrement quand il se glissait dans ma chambre, doucement, sans prévenir, sans demander. Comme cette nuit ou je dormais, j'avais eu une dure journée, un examen important, je pensais m'en être bien sorti mais j'étais épuisé et je m'était endormi tôt.
Quand je suis rentré ce soir là, l'appartement était vide, Thomas est arrivé plus tard. Il était nu quand il se glissait dans ma chambre, il sortait de la douche. Il avait sans doute envie de faire l'amour. Un jour il m'avait dit que faire l'amour pour le plaisir c'est pas pareil que faire l'amour pour le boulot. Et là sa journée de boulot était terminée.
Il s'est glissé tout doucement dans mon lit, je ne l'ai pas senti s'approcher. J'ai senti sa main qui glissait sur mon torse, il me donnait un baiser sur mon téton au moment ou j'ai ouvert les yeux. Ça ne faisait pas très longtemps que je dormais, en réponse je glissait mon bras sur son dos.
Je sentait une érection, ma queue se réveillait elle aussi et n'était pas insensible à ces caresse, je sentais ma cage se redresser et ses doigts qui passaient par là comme pour s'assurer que tout était en ordre. Il me caressait les couilles et ma queue hurlait de désir. C'était très désagréable.
Je me retournais vers lui et on se prenait dans les bras. Nos baisers étaient chauds, autant que sa peau sur la mienne. Depuis que je connaissait Thomas je dormais nu, enfin presque nu, il y avait toujours ce petit truc en titane qui recouvrait et confinait fermement ma bite. Je ne m'était jamais posé de question, c'est vrai qu'on m'avait dit que plus de neuf hommes sur dix portaient ce genre de dispositif. On m'avait enseigné que c'était le seul moyen de vivre dignement, que les autres était des dégénérés, on les appelait les déviants. Et on nous apprenait à les mépriser et à mépriser surtout leur manière de vivre.
Et maintenant j'avais justement un de ces déviants dans mes bras. C'était un des pires, il n'était pas seulement jouisseur, mais il se faisait payer pour donner du plaisir, de la jouissance aux autres. Il aurait du me dégoûter, j'avais été conditionné pour le rejeter, surtout qu'un homme qui donne du plaisir à un autre homme … Deux hommes qui prennent du plaisir physique entre eux, qui en partagent, commettent une abomination …
C'est en tout cas ce qu'on m'avait enseigné. J'aurais du le rejeter, le repousser, ne même pas accepter de lui parler, il était …
Mais je préférais refermer mes bras autour de lui, je préférais l'embrasser et goûter sa peau, ses lèvres, sa langue. Je plongeais sous la couette et prenait son sexe dans la bouche, sa queue glissait dans ma bouche avec douceur, j'arrivais maintenant à l'avaler jusqu'au fond de ma gorge. J'avais fait des progrès rapide avec Thomas.
Ça s'était fait tout seul. Plus les jours passaient, plus j'avais envie de Thomas, et là j'étais rendu à un point ou je n'aurais pas voulu me passer de lui.
Je le suçais en relevant la tête et en la rabaissant. Sa queue sortait de ma bouche et revenait dans ma gorge. À chaque mouvement j'appuyais avec ma langue contre son gland, j'appuyais de toutes mes forces, avec ma langue je savais que je ne pouvais pas lui faire mal. Il gémissait par moment, il poussait de petits cris de plaisir.
Il me caressait les cheveux, il n'intervenait pas, il me laissait faire. Un moment j'ai cru qu'il s'était endormi. Remarquez ça ne m'aurais pas arrêté. C'est vrai qu'il devait être fatigué le pauvre, combien d'homme avait-il tenu dans ses bras ? Combien d'homme avait-il fait jouir aujourd'hui.
Je m'en moquais, s'il avait donné du plaisir il n'y avait aucune raison qu'il n'en reçoive pas à son tour. J'avais ce privilège, oui c'était un privilège que de pouvoir lui donner du plaisir. Mais il gémissait par moment, il aimait, il ne dormais pas, j’intensifiais mes caresses, je tournais mas langue autour de son gland avec encore plus de force mais c'est vrai que la langue n'est pas un muscle de force.
Il glissait ses bras sous les miens et me relevais contre lui. Nos visages se retrouvaient face à face, nous nous tenions toujours serrés l'un contre l'autre, et nos baisers étaient chauds. Je me disais un court instant qu'il était la seule personne que j'avais jamais tenu dans mes bras de cette manière.
Il se penchait sur moi, me couvrait de baisers, je rigolait et gigotais, c'est qu'il me chatouillait. Je décidait de le chatouiller aussi, et moi aussi je le couvrais de baisers. On roulait l'un sur l'autre, on glissait l'un sur l'autre, sa peau était tellement douce.
On arrivait à cette position, j'avais sa queue dans la bouche il suçait les couilles, il ne pouvait pas me sucer plus. Je l'aurais laissé faire vous savez, surtout que j'étais sûr qu'il devait faire ça à la perfection.
Il prenait la direction des opération et me retournait, puis il me retournait de nouveau. Il ne disait rien mais prenait position, dans mon dos, moi allongé sur le ventre, lui allongé sur moi, moi les jambes bien serrées. Il me l'avait déjà fait, dans cette position on est plus étroit, c'était pas ma position préférée mais lui il aimait. Et c'est lui qui décidait, c'était lui le maître, moi je subissais, moi j'étais passif, je n'avais pas d'autre choix mais, j'aimais.
Il glissait sa queue entre mes fesses, il avait placé des genoux à l’extérieur de mes cuisse et me maintenait en position. J'en menais pas large, je balisais un peu mais j'en voulais. Je voulais qu'il me défonce le cul, même s'il devait me faire un peu mal, surtout qu'il en avait une grosse.
En une semaine seulement j'avais changé, une semaine plus tôt j'étais ultra puceau. A ce moment j'avais entre ses bras, et surtout à ce moment, l'impression d'être une pute. Une pute qui avait la trouille de se faire défoncer le cul mais une pute qui ne demandait que ça.
Il me lubrifiais, mon cœur s'arrêtait, il allait …
Sans prévenir il enfonçait avec force sa queue dans mon cul.
Dans la position ou il me retenait j'étais étroit et je vous jure que je l'ai senti passer. J'ouvrais la bouche pour crier mais aucun son n'en sortait. Je sentais son visage penché par dessus mon épaule, il me regardait, je grimaçais, il s'enfonçait lentement mais avec force, je ne pouvais que subir.
Il m'écrasait de tout son poids, il me maintenant les cuisses bien fermées en refermant les jambes avec force et il poussait sa queue en moi. Il m'avait vraiment bien lubrifié et ça glissait. Je manquais d'air, il me faisait mal, il me faisait du bien, ce n'était pas la première fois mais ça restait nouveau pour moi et c'était violent. J'encaissais c'était surprenant, je ne comprenais pas comment je pouvais encaisser ce qu'il me faisait subir mais j'encaissais et malgré la douleur, j'y prenais beaucoup de plaisir.
Il faut du temps pour que ça ne fasse plus mal, au début ça fait toujours mal, mais avec le temps ce n'est plus que du plaisir, j'en étais pas encore là …
J'ai râlé de douleur quand il s'écrasait contre mes fesses, ça ne l'a pas arrêté. Il poussait son ventre contre mes fesses, il poussait fort. Puis il poussait moins fort et reprenait. Il me faisait un vrai massage avec son ventre contre mes fesses, avec sa queue dans mon cul, jusque que dans mes entrailles. C'était bon, mais pas que.
Ses mouvements étaient lents mais fermes et décidés. Je contractais tous mes muscles, je gémissait, il me faisait mal mais pas que, ho non pas que. Même s'il m'avait mal, que mal, je l'aurais laissé faire.
Le contact de son corps était tellement doux, lourd, et chaud. C'était une brûlure, je sentais une telle chaleur que c'était une brûlure, mais c'était une brûlure qui ne laisse pas de trace, pas de cloque. Dans mon ventre c'était un peu plus violent, dans mon ventre j'étais retourné.
C'était maintenant une sensation de plaisir intense qui se mêlait à la douleur qui devenait secondaire. Je sentais que j'allais jouir.
Il se retirait, me dégageait les jambes, je pouvais enfin écarter les cuisses, il me lubrifiait et ses genoux entre les miens maintenant, il me pénétrait d'un coup rapide. En une seconde il se retrouvait au plus profond dans mes entrailles, et là il commençait à me limer avec force et vigueur. Sa queue glissait en moi, elle entrait et allait s'écraser contre je ne sais quoi au milieu de mon ventre, elle ressortait complètement pour pouvoir mieux revenir avec violence.
Là je râlais, je gémissais en suivant le rythme. Là j'avais peur, j'aurais voulu qu'il s'arrête mais je ne voulais pas le lui demander, je me donnais à lui, je lui appartenait, entre ses mains je n'étais qu'un jouet, je n'étais là que pour son plaisir. Il pouvait m'utiliser comme il l'entendait.
Il s'est lâché pendant un long moment puis il gémissait fort, il râlait fort, il finissait par gueuler fort, très fort même et à ce moment il me serrait de toutes ses forces dans ses bras, je ne pouvais plus respirer mais j'ai pris un pied pas croyable au moment ou je l'ai senti vibrer, au moment ou j'ai deviné qu'il jouissait en moi.
C'est seulement au moment qu'il s'est retiré que j'ai juté. Je jutais, je n'éjaculais pas, un liquide blanc coulait lentement mais longuement de ma cage et là je ne sentais rien, absolument rien.
On s'est lavé, il m'a un peu chatouiller, on a rigolé, on s'est câliné et on est retourné se coucher … J'avais mal au cul jusqu'à la gorge !
Il était allongé à coté de moi quand je me suis réveillé, je l'ai admiré un moment, je n'osais pas le toucher, j'avais peur de le réveiller, il était tellement beau. Je n'avais plus mal au cul, il y avait du progrès, mais c'est dans mon ventre que je me sentais tout bizarre.
Je me levais me préparais et avant de partir, je jetais un dernier coup d’œil dans ma chambre, il dormait paisiblement, il avait bougé et prenait toute la place maintenant. J'avais une violente envie de lui sauté dessus mais il fallait vraiment que j'y aille, je ne devais pas être en retard.
Des nuits comme celle là, il y en a eu plusieurs, des nuits folles, des nuits de délire, des nuits qui me laissaient un souvenir douloureux au niveau de mon cul le lendemain quelquefois … Vous voyez ce que je veux dire ? … Quelquefois le lendemain matin, j'avais du mal à m'asseoir.
Mais la période de retraite que suivaient ma famille, mes parents et mon jeune frère allait prendre fin. Les derniers jours devenaient de véritables jours d'angoisse, je n'osais pas en parler à Thomas, j'avais peur que ça pose un problème, surtout que … Je savais depuis le début que ça poserait un problème …
Mon petit frère n'avait pas traîné quand il était arrivé, il s'est précipité rapidement à l'appartement, je n'y étais pas, j'étais à l'école. Thomas n'était pas là non plus … Heureusement !
À mon retour je me disais qu'il était temps de dire à mon frère qu'il y avait un autre locataire, en priant qu'il le prenne bien !
Je commençais en faisant remarquer à mon petit frère qu'il y avait une troisième chambre dans le l'appartement, qu'il était grand.
– Ah ça oui, il est grand. On a de la place … Me confirmait-il.
C'est à ce moment que Thomas arrivait, il entrait sans frapper.
A suivre
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