Jeux pervers et monstre du Lochness

Récit érotique écrit par fredlahaute [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Jeux pervers et monstre du Lochness
Je rentre à la maison après avoir déposé les enfants à l'école. Quand je suis parti mon mari Alex dormait encore, c'était mon tour de m'occuper des enfants. J'arrête le moteur et avant de descendre, de la voiture, je pense aux taches urgentes à effectuer aujourd'hui. Pas grand chose! Avec Alex on va pouvoir se la jouer tranquille, ça fait du bien parce que avec les enfants ça n'arrive pas très souvent. En marchant vers la porte, je sors ma clé et je remarque qu'il y a un petit bout de laine rouge accroché à la poignée de la porte. Instinctivement je sais de quoi il s'agit. C'est une des jeux qu'Alex invente pour moi, pour nous quand il a envie de moi. C'est bon de se sentir désirer. Depuis mes deux grossesses consécutive, mon corps a changé, et cette transformation me fait me sentir moins femme, moins désirable. Alors ces petits jeux nous aident à se retrouver et moi à me ré-approprier mon corps. J'appuie sur le bouton de la télécommande du portail, pour le refermer. J'ouvre la porte de notre pavillon, j'entre et je referme derrière moi en laissant la clé dans la serrure. La maison est silencieuse et devant moi je voit le petit fil rouge serpenter partout dans la maison pour me faire visiter toutes les pièces. Sur le fil à des endroits stratégiques des petites pinces à linge tiennent des étiquettes. Je prend la plus proche, ce sont des instructions. "mets-toi pieds nus".
Le jeu commence tout de suite. Je retire mes chaussures dans l'entrée et j'y glisse mes chaussettes. De ma main je suis le fil d'ariane en direction du porte manteau où de nouvelles instructions m'attendent: "quitte ton bateau et pose ton sac". Le coeur battant je fais ce qu'on me demande trop contente de ne pas avoir besoin de réfléchir. Le fil me conduit maintenant dans la salle à manger: "enlève ton pull", puis dans le salon: "enlève ton pantalon". Ça devient de plus en plus excitant. Le fil rouge me conduit dans la cuisine, où je dois laisser ma chemise. Machinalement je regarde apeurée dans toutes les directions pour voir si les rideaux des fenêtres sont bien tirés, mais au final, je m'en fout. Les voisins n'ont qu'à se rincer l'oeil, je n'ai pas honte que mon mari et moi ayons une vie sexuelle débridée. L'instruction suivante je la trouve dans la salle de bain du bas:"enlève ton soutif" puis je me retrouve dans les WC: "enlève ta culotte et fais pipi". Décidément il a pensé à tous, car dans le feu de l'action j'avais presque oublier que ma vessie était pleine. Je rassemble tout mon courage avant de sortir des WC, car pour atteindre l'escalier qui mène à l'étage et ainsi à notre chambre je vais devoir traverser toute la maison et passer devant au moins trois fenêtres. Sans vraiment en avoir conscience, mon bras gauche se referme sur ma poitrine tandis que ma main droite traine devant mon entre-jambe. Je fais à peine un mètre quand une nouvelle carte m'arrête. "redresses-toi, les bras le long du corps, sois fière de ton corps, tu es belle". Merde, il me connait bien et ça me fait du bien d'entendre ça. Ses paroles, se mots font raisonner en moi sa voix apaisante, qui m'enlève toutes mes inhibitions. Je me redresse et sans me presser, je marche en suivant le fil, qui m'emmène à l'étage. Là encore il n'y a pas de bruit, et rien ne trahi la présence de mon amant. Le fil me guide vers une nouvelle étape dans la salle de bain. La laine disparait dans le tiroir du meuble où une nouvelle étiquette et un petit sac m'attendent: "tu sais où ça va?" Le petit sac contient mes boules de geisha. Je les porte à ma bouche pour les humecter, mais je sais que c'est superflu, car mon sexe est trempé. Je lève une jambe sur le rebord de la baignoire et les pousse délicatement l'une après l'autre à l'intérieur de mon vagin. Le froid du métal contraste un instant avec la chaleur de ma vulve, qui est de plus en plus excitée. Je tente de me calmer et main reprend à glisser sur le fil de laine. L'arrivée est proche, mais le fil m'éloigne de nouveau de la porte de ma chambre, il m'emmène vers le petit débarras où les valises, les draps et tout un tas de choses sont entreposés. J'ouvre la porte où une étiquette me demande d'enfiler mon peignoir. La ceinture a disparut m'obligeant à le laisser entre-ouvert. Ma poitrine déjà généreuse, gonflée par l'excitation, en écarte même les pends. Le fil semble repartir vers le bas. Je revient sur mes pas vers l'étiquette précédente mais je ne me suis pas trompée. Je descend l'escalier et traverse un nouvelle fois la maison vers le garage, et en marchant je comprends pourquoi. En effet, les boules de geisha se mettent à vibrer dans mon vagin lui procurant des sensations nouvelles mais agréables. Je suis à la fois pleine, et à la fois elles bougent en moi, si bien que je suis obligée de m'arrêter et de faire une pause. Le garage est glacial. Je sens mes tétons se durcir encore plus. L'excitation m'a fait oublier ma honte de me balader à poil dans la maison. L'ambiance du cellier est un peu plus lumineuse grâce au vasistas, qui donne aux éventuels voyeurs une vue imprenable sur mes seins. Heureusement on est en pleine journée et les voisins les plus directe sont au travail. Le fil disparait derrière une boite de petits-pois, où je trouve une nouvelle étiquette et un petit sac qui me semble lourds.: "ne me dit plus, que je ne t'offre jamais de bijoux". Je plonge ma main dans le petit sac qui contient un plug en metal blanc, terminé par un strass rouge, et une dosette de lubrifiant. Je pose le plug sur la machine à laver pour me libérer les mains et je déchire le coin de la dosette. Je prend une noisette de lubrifiant sur mon doigt et je l'étale sur ma rosette plissée, puis je fais disparaitre la première de mon index dans mon anus où je fait deux vas et viens. Je vide le reste du lubrifiant sur le plug et l'étaleriez sur le metal froid avant de le faire disparaitre dans mon fondement, qui en a vu d'autres. Je reprend ma quête mais je ne trouve plus d'étiquettes avant la porte de notre chambre: "dans la poche droite du peignoir il y a un bandeau, couvre tes yeux et quand tu es prête, frappe à la porte". Le coeur battant je noue le bandeau sur mes yeux, dernier pas vers le total abandon à mon amant. Je suis prête en effet, j'ai confiance en lui, et tout mon corps le réclame. Sereine, mais avec le feu qui brule en moi, je frappe à la porte. A peine ma main redescend-elle que des bras puissants m'attrapent par derrière. Alex a profité de ma descente vers le garage pour se cacher dans le débarras. Ses bras me serrent contre sa poitrine, sa main droite me malaxe la poitrine tandis que la gauche joue dans ma chatte avec la ficelle des boules de geisha. La surprise passée je m'abandonne totalement à ses caresses, je me sens protégée dans ses bras.
-Tu es belle.
Entre deux baisers dans mon cou il me susurre des mots doux, et il sais que cela m'excite des mot crus, à l'oreille.
-Tu es bonne.
Il Fais tomber mon peignoir sur le sol puis passe devant moi en prenant mes mains pour m'entrainer dans la chambre. Il me laisse un instant. Je le sens qui tourne autour de moi, pour me regarder sous toutes les coutures en faisant des commentaires.
-Quelle belle croupe. Je savait que ce "diamant" la mettrait en valeur!
Ses doigts attrapent et pincent mes tétons:
-J'adore tes seins et tes seins adorent mes doigts.
-Ho oui ils les adorent.
-Qui t'a autorisé à parler?
Je sais que ce n'est qu'un prétexte pour me punir J'entend des bruissements de tissus, et il me passe des rubans autour des poignets pour m'attacher à quatre pattes à la tête du lit.
- Je vais te donner cinq fessées, tu comptes à haute voix après chaque fessée.
Je n'ose plus parler alors je hoche la tête pour signifier que j'ai compris.
La première tape, tarde à venir, il aime me surprendre. Elle est cinglante surtout parce que mon cul n'est pas préparé. "Un"
La deuxième est plus forte, mais supportable "deux"
La troisième me fait serrer les dents mais je résiste "trois"
La quatrième monte encore d'un cran et un petit cri de douleur m'échappe? Mais je ne veux pas le décevoir en donnant notre mot de sécurité si vite. "quatre"
Il fait une nouvelle pause, en faisant des commentaires.
-Le rouge est vraiment ta couleur, tu devrais le porter plus souvent.
Il parle du plug bien sur, sur le ton de la discussion. Sa vois tente de cacher sa propre excitation.
Sa main s'abat une dernière fois. Je serre les dents et il me faut un certain temps pour récurer avant de dire:"cinq"
-Tu as été courageuse, c'est bien.
Il me caresse la croupe appuyant au passage sur le "diamant". Le passage de sa main apaise la douleur de mes fesses en feu. Ses mains parcourent toute la surface de mon corps, s'attardant sur mes seins qui pendent entre mes bras. Puis il monte à genoux à coté de ma tête et la guide vers sa bite tendue.
-suce moi.
Sans attendre je le prend en bouche et sans réserve je l'avale entièrement, pour l'astiquer jusqu'à la garde. Son odeur de Musk, et son gout épicé décuple mon ardeur. J'adore le sucer et il le sais.
-Tu es une bonne suceuse. Une bonne chienne. mais tu n'avaleras pas ma semence, pas aujourd'hui.
Il se retire et je l'entend s'éloigner prendre quelque chose et revenir pour se positionner derrière moi. Il tire sur la ficelle pour faire sortir les boules de geisha, qui sortent dans un clapotis mouille. Il passe sa langue sur mes lèvres et se délecte de mon intimité pendant de longues et agréables minutes. Je suis folle de désir. J'ai hâte qu'il me remplisse avec sa bite bien raide.
-Tu as bon gout petite chienne.
Il porte se mains au plug, dommage il va me le retirer. Cette fois je ne pourrait pas sentir sa bite frotter contre le plug séparés de la fine paroi de mon vagin. Son énorme gland joue un instant entre mes lèvres avides et quelque chose en même temps se pose sur ma rosette. C'est un nouveau jouet. Doucement il pousse sur ses hache pour s'enfoncer à la fois dans ma chatte et dans mon cul. La sensation est enivrante. La conversation d'il y a une semaine me revient en tête. Avec Alex nous parlons souvent de nos fantasmes et nous avons même chacun une liste qu'il nous arrive de comparer. Quand certains fantasmes sont communs aux deux listes nous savons que nous sommes prêts tous les deux pour les réaliser. Nous en discutons alors et quelque fois on se met d'accord pour les réaliser. Récemment j'ai enfin évoqué la possibilité d'un plan à trois. Je dis "enfin" car même si j'ai toujours eu envie de le faire, je n'avais pas encore eu le courage de l'écrie sur ma liste, de peur de choquer Alex. Ma liste a donc suscité une nouvelle discussion et Alex était très curieux et excité d'en savoir plus. Car lui en rêvait depuis longtemps. Mais lui, il rêvait plutôt d'un plan avec deux femmes. Un peu déçu, il m'a quand même questionné sur mes motivations et j'ai fini par lui avouer que j'avais envie d'une double pénétration. Mais Alex viens d'accélérer le mouvement et mon plaisir grandissant me tire de mes songes. En quelques secondes je me rapproche de l'orgasme. Alex les sent à ma respiration qui se bloque et à mes petits gémissements alors il me donne une claque sur la fesse qui heureusement est intacte. La douce douce douleur m'éloigne un instant, mais sous les coups de ses reins infatigables une vague de plaisir et de chaleur part de mon vagin et se propage dans tout mon corps. Alex ne s'arrête pas pour autant. Il accélère même encore, entretenant le plaisir dans mon vagin alors que les premiers signes de plaisir commencent à naitre dans mon cul. Je l'encourage:
-Continue, défonce moi.
Il ne faiblit pas.
-Tu aimes ma petite chienne!.
Ses mots et ses coups de reins vigoureux font monter d'un cran mon plaisir jusqu'à son paroxysme.
Je suis surprise par un orgasme que je n'avais jamais connu auparavant. Un plaisir plus intense plus diffus qui me bloque le diaphragme, me contracte tous les muscles de mon corps, dans un spasme douloureux. C'est fort c'est intense c'est un orgasme anal. De ces orgasmes dont on parle et qu'on ne connait jamais, si bien qu'ils font partie de ces mythes inatteignables et invisibles comme le monstre du Lochness. Je me suis effondrée sur le lit Alex toujours en moi se retire pour répandre sa semence sur mes reins.
Je suis heureuse et je l'aime.
Le jeu commence tout de suite. Je retire mes chaussures dans l'entrée et j'y glisse mes chaussettes. De ma main je suis le fil d'ariane en direction du porte manteau où de nouvelles instructions m'attendent: "quitte ton bateau et pose ton sac". Le coeur battant je fais ce qu'on me demande trop contente de ne pas avoir besoin de réfléchir. Le fil me conduit maintenant dans la salle à manger: "enlève ton pull", puis dans le salon: "enlève ton pantalon". Ça devient de plus en plus excitant. Le fil rouge me conduit dans la cuisine, où je dois laisser ma chemise. Machinalement je regarde apeurée dans toutes les directions pour voir si les rideaux des fenêtres sont bien tirés, mais au final, je m'en fout. Les voisins n'ont qu'à se rincer l'oeil, je n'ai pas honte que mon mari et moi ayons une vie sexuelle débridée. L'instruction suivante je la trouve dans la salle de bain du bas:"enlève ton soutif" puis je me retrouve dans les WC: "enlève ta culotte et fais pipi". Décidément il a pensé à tous, car dans le feu de l'action j'avais presque oublier que ma vessie était pleine. Je rassemble tout mon courage avant de sortir des WC, car pour atteindre l'escalier qui mène à l'étage et ainsi à notre chambre je vais devoir traverser toute la maison et passer devant au moins trois fenêtres. Sans vraiment en avoir conscience, mon bras gauche se referme sur ma poitrine tandis que ma main droite traine devant mon entre-jambe. Je fais à peine un mètre quand une nouvelle carte m'arrête. "redresses-toi, les bras le long du corps, sois fière de ton corps, tu es belle". Merde, il me connait bien et ça me fait du bien d'entendre ça. Ses paroles, se mots font raisonner en moi sa voix apaisante, qui m'enlève toutes mes inhibitions. Je me redresse et sans me presser, je marche en suivant le fil, qui m'emmène à l'étage. Là encore il n'y a pas de bruit, et rien ne trahi la présence de mon amant. Le fil me guide vers une nouvelle étape dans la salle de bain. La laine disparait dans le tiroir du meuble où une nouvelle étiquette et un petit sac m'attendent: "tu sais où ça va?" Le petit sac contient mes boules de geisha. Je les porte à ma bouche pour les humecter, mais je sais que c'est superflu, car mon sexe est trempé. Je lève une jambe sur le rebord de la baignoire et les pousse délicatement l'une après l'autre à l'intérieur de mon vagin. Le froid du métal contraste un instant avec la chaleur de ma vulve, qui est de plus en plus excitée. Je tente de me calmer et main reprend à glisser sur le fil de laine. L'arrivée est proche, mais le fil m'éloigne de nouveau de la porte de ma chambre, il m'emmène vers le petit débarras où les valises, les draps et tout un tas de choses sont entreposés. J'ouvre la porte où une étiquette me demande d'enfiler mon peignoir. La ceinture a disparut m'obligeant à le laisser entre-ouvert. Ma poitrine déjà généreuse, gonflée par l'excitation, en écarte même les pends. Le fil semble repartir vers le bas. Je revient sur mes pas vers l'étiquette précédente mais je ne me suis pas trompée. Je descend l'escalier et traverse un nouvelle fois la maison vers le garage, et en marchant je comprends pourquoi. En effet, les boules de geisha se mettent à vibrer dans mon vagin lui procurant des sensations nouvelles mais agréables. Je suis à la fois pleine, et à la fois elles bougent en moi, si bien que je suis obligée de m'arrêter et de faire une pause. Le garage est glacial. Je sens mes tétons se durcir encore plus. L'excitation m'a fait oublier ma honte de me balader à poil dans la maison. L'ambiance du cellier est un peu plus lumineuse grâce au vasistas, qui donne aux éventuels voyeurs une vue imprenable sur mes seins. Heureusement on est en pleine journée et les voisins les plus directe sont au travail. Le fil disparait derrière une boite de petits-pois, où je trouve une nouvelle étiquette et un petit sac qui me semble lourds.: "ne me dit plus, que je ne t'offre jamais de bijoux". Je plonge ma main dans le petit sac qui contient un plug en metal blanc, terminé par un strass rouge, et une dosette de lubrifiant. Je pose le plug sur la machine à laver pour me libérer les mains et je déchire le coin de la dosette. Je prend une noisette de lubrifiant sur mon doigt et je l'étale sur ma rosette plissée, puis je fais disparaitre la première de mon index dans mon anus où je fait deux vas et viens. Je vide le reste du lubrifiant sur le plug et l'étaleriez sur le metal froid avant de le faire disparaitre dans mon fondement, qui en a vu d'autres. Je reprend ma quête mais je ne trouve plus d'étiquettes avant la porte de notre chambre: "dans la poche droite du peignoir il y a un bandeau, couvre tes yeux et quand tu es prête, frappe à la porte". Le coeur battant je noue le bandeau sur mes yeux, dernier pas vers le total abandon à mon amant. Je suis prête en effet, j'ai confiance en lui, et tout mon corps le réclame. Sereine, mais avec le feu qui brule en moi, je frappe à la porte. A peine ma main redescend-elle que des bras puissants m'attrapent par derrière. Alex a profité de ma descente vers le garage pour se cacher dans le débarras. Ses bras me serrent contre sa poitrine, sa main droite me malaxe la poitrine tandis que la gauche joue dans ma chatte avec la ficelle des boules de geisha. La surprise passée je m'abandonne totalement à ses caresses, je me sens protégée dans ses bras.
-Tu es belle.
Entre deux baisers dans mon cou il me susurre des mots doux, et il sais que cela m'excite des mot crus, à l'oreille.
-Tu es bonne.
Il Fais tomber mon peignoir sur le sol puis passe devant moi en prenant mes mains pour m'entrainer dans la chambre. Il me laisse un instant. Je le sens qui tourne autour de moi, pour me regarder sous toutes les coutures en faisant des commentaires.
-Quelle belle croupe. Je savait que ce "diamant" la mettrait en valeur!
Ses doigts attrapent et pincent mes tétons:
-J'adore tes seins et tes seins adorent mes doigts.
-Ho oui ils les adorent.
-Qui t'a autorisé à parler?
Je sais que ce n'est qu'un prétexte pour me punir J'entend des bruissements de tissus, et il me passe des rubans autour des poignets pour m'attacher à quatre pattes à la tête du lit.
- Je vais te donner cinq fessées, tu comptes à haute voix après chaque fessée.
Je n'ose plus parler alors je hoche la tête pour signifier que j'ai compris.
La première tape, tarde à venir, il aime me surprendre. Elle est cinglante surtout parce que mon cul n'est pas préparé. "Un"
La deuxième est plus forte, mais supportable "deux"
La troisième me fait serrer les dents mais je résiste "trois"
La quatrième monte encore d'un cran et un petit cri de douleur m'échappe? Mais je ne veux pas le décevoir en donnant notre mot de sécurité si vite. "quatre"
Il fait une nouvelle pause, en faisant des commentaires.
-Le rouge est vraiment ta couleur, tu devrais le porter plus souvent.
Il parle du plug bien sur, sur le ton de la discussion. Sa vois tente de cacher sa propre excitation.
Sa main s'abat une dernière fois. Je serre les dents et il me faut un certain temps pour récurer avant de dire:"cinq"
-Tu as été courageuse, c'est bien.
Il me caresse la croupe appuyant au passage sur le "diamant". Le passage de sa main apaise la douleur de mes fesses en feu. Ses mains parcourent toute la surface de mon corps, s'attardant sur mes seins qui pendent entre mes bras. Puis il monte à genoux à coté de ma tête et la guide vers sa bite tendue.
-suce moi.
Sans attendre je le prend en bouche et sans réserve je l'avale entièrement, pour l'astiquer jusqu'à la garde. Son odeur de Musk, et son gout épicé décuple mon ardeur. J'adore le sucer et il le sais.
-Tu es une bonne suceuse. Une bonne chienne. mais tu n'avaleras pas ma semence, pas aujourd'hui.
Il se retire et je l'entend s'éloigner prendre quelque chose et revenir pour se positionner derrière moi. Il tire sur la ficelle pour faire sortir les boules de geisha, qui sortent dans un clapotis mouille. Il passe sa langue sur mes lèvres et se délecte de mon intimité pendant de longues et agréables minutes. Je suis folle de désir. J'ai hâte qu'il me remplisse avec sa bite bien raide.
-Tu as bon gout petite chienne.
Il porte se mains au plug, dommage il va me le retirer. Cette fois je ne pourrait pas sentir sa bite frotter contre le plug séparés de la fine paroi de mon vagin. Son énorme gland joue un instant entre mes lèvres avides et quelque chose en même temps se pose sur ma rosette. C'est un nouveau jouet. Doucement il pousse sur ses hache pour s'enfoncer à la fois dans ma chatte et dans mon cul. La sensation est enivrante. La conversation d'il y a une semaine me revient en tête. Avec Alex nous parlons souvent de nos fantasmes et nous avons même chacun une liste qu'il nous arrive de comparer. Quand certains fantasmes sont communs aux deux listes nous savons que nous sommes prêts tous les deux pour les réaliser. Nous en discutons alors et quelque fois on se met d'accord pour les réaliser. Récemment j'ai enfin évoqué la possibilité d'un plan à trois. Je dis "enfin" car même si j'ai toujours eu envie de le faire, je n'avais pas encore eu le courage de l'écrie sur ma liste, de peur de choquer Alex. Ma liste a donc suscité une nouvelle discussion et Alex était très curieux et excité d'en savoir plus. Car lui en rêvait depuis longtemps. Mais lui, il rêvait plutôt d'un plan avec deux femmes. Un peu déçu, il m'a quand même questionné sur mes motivations et j'ai fini par lui avouer que j'avais envie d'une double pénétration. Mais Alex viens d'accélérer le mouvement et mon plaisir grandissant me tire de mes songes. En quelques secondes je me rapproche de l'orgasme. Alex les sent à ma respiration qui se bloque et à mes petits gémissements alors il me donne une claque sur la fesse qui heureusement est intacte. La douce douce douleur m'éloigne un instant, mais sous les coups de ses reins infatigables une vague de plaisir et de chaleur part de mon vagin et se propage dans tout mon corps. Alex ne s'arrête pas pour autant. Il accélère même encore, entretenant le plaisir dans mon vagin alors que les premiers signes de plaisir commencent à naitre dans mon cul. Je l'encourage:
-Continue, défonce moi.
Il ne faiblit pas.
-Tu aimes ma petite chienne!.
Ses mots et ses coups de reins vigoureux font monter d'un cran mon plaisir jusqu'à son paroxysme.
Je suis surprise par un orgasme que je n'avais jamais connu auparavant. Un plaisir plus intense plus diffus qui me bloque le diaphragme, me contracte tous les muscles de mon corps, dans un spasme douloureux. C'est fort c'est intense c'est un orgasme anal. De ces orgasmes dont on parle et qu'on ne connait jamais, si bien qu'ils font partie de ces mythes inatteignables et invisibles comme le monstre du Lochness. Je me suis effondrée sur le lit Alex toujours en moi se retire pour répandre sa semence sur mes reins.
Je suis heureuse et je l'aime.
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Les avis des lecteurs
Trop difficile à lire, pense au lecteur, merci.

