Le remplaçant

- Par l'auteur HDS fredlahaute -
Auteur couple.
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Récit libertin : Le remplaçant Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-09-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le remplaçant
Le remplaçant.

Je suis commercial dans une entreprise qui vend des boites et des sachets pour les boulangeries. Mon bureau est en région Lyonnaise alors que mon secteur de résidence et de clientèle est « la Savoie ». Je suis marié depuis peu et avec Claudine nous attendons un heureux événement pour octobre. Avec cette nouvelle bouche à nourrir, cet été je me suis porté volontaire pour remplacer les collègues sur leur secteur pendant leurs vacances. C’est comme ça qu’aujourd’hui et durant les deux jours suivants, je me trouve à arpenter les les routes des Dombes, à quelques kilomètres de Lyon. Je suis loin de la maison et le remplacement m’oblige à dormir sur place, comme le fait habituellement mon collègue. Heureusement, il a tout un réseau de restaurants et d’hôtels, qui se font un plaisir de m’accueillir, moi aussi, pendant ces trois jours.
Ma tournée se passe bien, la plupart des commerces sont fermés pour les vacances, mais ceux qui sont encore ouverts, m’accueillent les bras ouverts. Le soir, j’arrive enfin à l’hôtel dans la banlieue de Villars les Dombes: « le relais du Chateau. »
Je dis enfin, car la journée à été épuisante, entre la route depuis Chambéry, mes visites et la chaleur de la canicule qui s’annonce.
Je me gare sur un parking de gravier, devant une vielle bâtisse qui ressemble effectivement à un Chateau, car le corps du bâtiment se termine à chaque extrémité par une tour. L’ensemble est majestueux et je découvre un intérieur plus moderne et bien rénové.
A l’accueille, il y a un homme qui me reçoit. Je donne le nom de ma société et il me tend une clé, reliée à un énorme médaillon de bois en forme de blason, avec au centre le numéro six. Nous entamons une rapide discussion durant laquelle il m’avoue être le patron, qu’en été, la clientèle se faisant plus rare, il fonctionne avec moins d’employés, en dehors de sa femme et de lui, et qu’il s’en excuse par avance.
-Puis-je vous demander un service?
-Bien sur.
-La journée a été longue et j’aimerais manger tôt ce soir.
-Pas de problème. Nous commençons le service à dix-neuf heure. C’est assez tôt?
-Ce sera parfait.
Sur ce, il m’indique ma chambre et je le vois repartir vers l’accueille.
La chambre est très belle et spacieuse. Je dépose ma valise sur le lit et j’en sors une tenue plus confortable, ma trousse de toilette et mon caleçon pour dormir. Je rentre dans la douche, je me rase et je me rhabille pour le diner. Il n’est que dix-huit heure trente. Je me mets alors sur mon ordinateur et je m’installe un instant sur le bureau de la chambre, pour classer mes ventes de la journée. Un peu avant dix-neuf heure je vais manger, et sans trainer comme prévu je reviens dans ma chambre. J’appelle Claudine pour lui raconter ma journée et qu’elle me raconte la sienne, puis sans trainer, je me couche. A peine la tête sur l’oreiller, épuisé, je m’endors.
Je me réveille et regarde ma montre, il est à peine vingt-deux heures. Est-ce dans mon rêve, mais il me semble qu’on a frappé à la porte. Je n’arrive pas à y croire et je repose ma tête sur mon oreiller, quand on frappe à nouveau. Je me lève et pour ne pas risquer de me réveiller totalement, je n’allume pas la lumière. A peine je tourne le clé que la porte me repousse en arrière et se referme. Une voix de femme se fait entendre.
-Chut Paul est à la reception.
Les mains de la femme me cherchent dans le noir, et se referment sur mes hanches m’attirant à elle pour m’embrasser à pleine bouche. Puis sans préambule, elle s’accroupi devant moi, en baissant mon caleçon sur mes chevilles.
-Mais que..
-Chuut je te dis! On a pas beaucoup de temps.
Ses mains trouvent ma bite et elle me prend dans sa bouche, jouant sur mon gland avec sa langue. Il n’en faut pas beaucoup plus à mon sexe pour qu’il se redresse. Elle s’active sur ma verge un long moment en faisant varier la vitesse. Je n’ose plus rien dire tant la situation est excitante et la caresse agréable. J’ai très peur qu’elle puisse se rendre compte de sa méprise, alors je décide en attendant d’en profiter. Enfin sans lâcher ma bite de la main, dans un seul mouvement, elle se redresse , se retourne, relève sa robe au-dessus de ses fesses nues, se penche en avant, tire sur ma bite pour m’approcher de son cul et quand, je la pénètre elle me lâche pour s’accouder au bureau. Je m’enfonce en elle sans aucun mal. Son vagin est chaud, humide et étonnamment serré. Mes mains se risquent sur ses fesses. Elles sont douces, et mes doigts se crispent sur ses hanches. Je commence à aller et venir en elle. Ses soupirs sonores m’indiquent qu’elle aime, alors j’accélère un peu.
-J’ai vu ta voiture sur le parking.
Pour ne pas risquer de me faire démasquer, car ma voix pourrait me trahir, je me tais et lui donne trois coups de reins plus violents qui lui arrachent des petits cris étouffés de douleur.
-Tu ne devais pas être en vacance?
Pris de panique pendant une seconde, je porte mon doigt à mes lèvres:
-Chuut.
J’accélère encore, lui arrachant de nouveaux soupirs. Ma main droite glisse sur sa toison entre ses lèvres pour jouer sur son clitoris. Sa respiration se bloque de plus en plus souvent m’assurant qu’elle se rapproche de l’orgasme. Elle ne parle plus, les sons qui sortent de sa bouche son étouffés, pas ses dents serrées. Et puis elle explose, ses reins se cambrent, ses muscles se tendent, son vagin se contracte rapidement sur ma bite.
Moi je ne suis plus très loin, ses gémissements et sa peau douce sous mes mains, déclenchent une vague de chaleur dans tout mon corps. Je me retire rapidement et je pose ma queue sur ses fesses juste au moment où mes couilles poussent mon sperme en saccade sur ses reins. De sa main elle vient caresser ma queue et ses doigts jouent un instant dans mon sperme. Enfin, quand elle reprend ses esprits, elle se redresse, s’essuie les fesses avec sa robe et ouvre la porte pour passer la tête dans le couloir. Puis sans se retourner elle me dit:
-Demain soir, laisses la porte ouverte. On aura plus de temps, il y a un groupe et Paul doit s’occuper du bar.
J’eus à peine le temps de voir sa robe légère, sa nuque et ses épaules, dans le couloir à peine éclairé, quand elle quitta ma chambre.
Ce soir là j’eus du mal à m’endormir, plus parce que je m’interrogeais sur l’identité de ma maitresse, que par culpabilité d’avoir trompé ma femme. En effet, depuis le début, quand les choses étaient devenues « sérieuses », nous avions instauré des règles précises. Claudine en fut l’instigatrice et ce fut même la condition sinequanon pour qu’elle daigne venir vivre chez moi. Donc, notre relation ne devait pas être exclusive, et on ne devait rien cacher à l’autre de nos aventures. Si l’occasion se présentait, nous avions l’un et l’autre, l’autorisation de se laisser entrainer dans une passion charnelle, tout en tenant au courant l’autre. Après cette mise au point, Claudine avait même consommé juste après son emménagement, sans doute pour s’assurer que je le vivais bien et qu’on pouvait encore faire machine arrière tous les deux. Depuis cette « incartade », ni elle ni moi n’avions plus eu besoin, ou eu l’occasion, d’aller voir ailleurs. Notre vie sexuelle épanouie et débridée ne nous en offrant pas l’occasion. Claudine s’en inquiétait souvent, surtout pendant le premier trimestre de sa grossesse. Mais tout était rapidement rentré dans l’ordre avec la fin des nausées. C’est pourquoi, je suis serein et dés demain je lui en parlerai.
Au petit déjeuner, mes yeux furètent de tout cotés, pour tenter de reconnaitre le fantôme de la veille. Je tente de détecter parmi les gens que je croise un visage gêné ou particulièrement en colère, mais rien. Il y a la petite serveuse, du restaurant, la femme de ménage que je croise dans le couloir avant de partir et la patronne qui me demande mon numéro de chambre, sans tiquer, en m’apportant du café. Je me met même à détailler les autres clientes. Evidemment, la robe à fleur souillée de mon sperme, est sans doute dans un panier à linge ou au fond d’une valise maintenant. Je ne peux donc me fier qu’à mes autres sens pour l’identification. Je n’ai entendu sa voix que chuchoter et dans l’ambiance feutrée de ma chambre, alors que la salle de restaurant est bruyante. Il ne me reste plus qu’à comparer les fesses des candidates à la taille de mes mains là encore, c’est impossible. Evidemment, le peu de paroles échangées hier me font pencher vers, la patronne pendant un instant: (Chuut, Paul est à l’accueil) mais rapidement, je me rend-compte que tous les employés appellent leur patron par son prénom.
Toute la journée durant, j’avance le pour et le contre et mon esprit lutte pour tenter d’imaginer quelle est la meilleur candidate, si tant est que j’ai bien croisé toutes les candidates ce matin.
Le soir je revient à l’hôtel et je vais directement dans ma chambre. Mon cerveau est en ébullition, et je ne veux pas risquer de croiser ma maitresse de la veille car je ne supporterais pas un esclandre au milieu de la réception. Ce midi, j’ai tout raconté à Claudine que la situation a beaucoup fait rire. Depuis elle m’envoie dés qu’elle peut des SMS, pour me charrier. Plus sérieusement, je me suis assuré qu’il n’ya avait pas de malaises entre nous et j’ai cru comprendre que ma petite histoire l’a beaucoup excitée. Le soir au restaurant, je suis encore un peu sur la défensive et je cherche une réaction hostile sur le visage des autres femmes que je croise. L’une d’elle ne peut absolument pas faire l’affaire car son fessier, quoique appétissant, est bien plus large que mes mains. En revanche, une nouvelle serveuse très mignonne, et une réceptionniste, ont fait leur entrée, dans le harem. Je décide de m’arrêter là, car aucune ne semble se méfier de moi. On me sert rapidement, car un groupe d’une quinzaine de personnes est sur le point de passer à table. Avant que leur entrées ne soient servies, j’ai déjà mon dessert. Las, je ne m’attarde pas et rejoint ma chambre. Je me déshabille et refait mes bagages pour le lendemain, car je rentre, à Chambéry. Je m’allonge enfin sur mon lit et j’appelle longuement Claudine, qui a fini de se moquer de moi. Elle est plus tendre et me raconte comment elle va n’accueillir le lendemain soir.
-Tu penses qu’elle va revenir ce soir?
-Non, elle a dû se rendre-compte de son erreur et doit être en train de se cacher de honte.
-Ou elle va revenir, car elle a trouvé en toi une bête de sexe.
-Arrêtes un peu ou je raccroche.
-Non sans rire, mon amour, si elle revient profites……Promets-moi?
-Elle ne viendra pas.
-Mais si elle vient….Je veux juste que tu t’éclates un peu, avant que les choses s’accélèrent avec le bébé.
En raccrochant, je n’arrive toujours pas y croire. Je me lave les dents et en repassant devant la porte de ma chambre, j’en déverrouille la porte, avant de me coucher. Je ne sais même pas pourquoi je fais ça, ni pourquoi je me couche entièrement nu, mais au fond de mois j’espère qu’elle va revenir.
Une minute plus tard je suis au lit. J’allume la télé et au bout de vingt minutes, je dors. Ce sont les publicités qui me réveillent. Je regarde ma montre, il est vingt-deux heures. J’éteints et je me retrouve dans le noir. Soudain la porte de ma chambre s’ouvre, et s’éclaire sur une silhouette, pendant quelques secondes. On se déplace sur la moquette, dans ma direction, puis les pas s’arrêtent et j’entend le froissement d’une robe qui tombe sur le sol. Le drap s’ouvre à coté de mois et le corps chaud d’une femme vient se lover contre moi. Elle est entièrement nue elle aussi. Ses jambes fines et se frottent contre les miennes tandis que ses mains glissent sur ma poitrine jusqu’à mon sexe. Je sens sa poitrine s’écraser contre la mienne. Mon esprit, revient encore aux candidates, pour enlever la petite serveuse sexy, dont la poitrine ne peut pas rivaliser avec celle que j’ai dans les mains. Mais ma maitresse me tire de mes calculs, car elle vient de m’enjamber pour me sucer. Son entre-jambe est au niveau de mon visage et me suggère un soixante-neuf. Sans me faire prier je goute son intimité avec délectation alors que sa bouche va et viens le long de ma hampe. Encouragée par ma caresse, elle s’essaye même à la gorge profonde. Mes mains courent sur peau, et mes doigts fouillent en même temps sa chatte et son cul. La diablesse mugit et ondule pour frotter son cogito sur ma langue et engloutir un peu plus mon doigt dans son cul. Au bord de la jouissance, elle descend le long de mon corps en embrassant chaque centimètre carré de ma peau. Quand ma bitte rencontre sa chatte elle se redresse, guide ma bite entre ses lèvres et s’empale sur moi, dans un bruit de léger clapotement. Son bassin reprend sa danse au-dessus de moi, d’abord lentement, puis il accélère. Je suis prêt à mon tour d’exploser et j’ai besoin de temps pour me reprendre. Je la fais basculer sur le coté, et me retrouve en position dominante après une courte lutte qu’elle ne peut pas gagner. Sans craindre, qu’elle s’aperçoive que je ne suis pas celui qu’elle attendait je lui parle.
-Tu es bonne, et je suis un imposteur.
-Tu me prends pour une idiote? Je sais très bien que tu n’est pas pierre.
-je suis désolé…
-Ne le sois pas, tu me fais des trucs différents de lui. Et puis tu es son remplaçant, non?
-Oui.
-Alors vas-y. Fais-moi jouir.
Plus serein, je m’allonge sur elle, pour lui bouffer littéralement les seins, tandis que mes mains parcourent son corps. Ma bouche remonte jusqu’à son oreille.
-Qu’est-ce qu’il ne fait pas Pierre?
Sans hésiter elle répond,
-Les cunis et le missionnaire. Il dit que sa femme ne baise que comme ça alors il veut changer.
Ma bouche redescend langoureusement jusqu’à sa chatte que j’aspire sous ma langue. Elle se tortille de plaisir appuyant sur ma tête pour accentuer la caresse. A chaque fois que je respire, je sens encore sa mouille tremper mon visage. Au bord de l’orgasme, elle me repousse et crie, « Pas comme ç, pas comme ça.
D’un bond de cabris je me redresse entre ses cuisses. Je prends mon temps à installer , mes cuisses sous ses fesses, ses jambes sur mes épaules. Je joue avec mon gland entre ses lèvres, et je la pénètre lentement. Rapidement elle me supplie d’aller plus vite.
-Dis-moi ce que tu veux je suis à tes ordres.
Elle me prend au mot et me demande d’accélérer, de ralentir puis de nouveau accélérer. A ce petit jeux, mon excitation dépasse bientôt la sienne.
-Je vais venir, où tu veux que je….
Elle ne me laisse pas finir.
-En moi.
Je me répand en saccades douloureuses en elle, qui continue de m’encourager pour que je ne m’arrête pas. Trente secondes plus tard elle se tait et son corps se tend comme un arc sous le mien. Epuisé, en sueur, je m’affale à coté d’elle, pour reprendre ma respiration. Sa main caresse délicatement mon épaule et je m’endors en quelques minutes. Au matin quand je me réveille, elle a disparu. Aucune trace de mot ni de merci. Plus tard en quittant, l’hôtel, je ne sais toujours pas qui elle était mais c’est beaucoup mieux comme ça.
En retrouvant Claudine le soir, elle m’avoue que l’un de ses fantasmes est de faire l’amour avec un inconnu. Toute excitée, elle m’ordonne de lui donner un orgasme de plus qu’à cette inconnue, qu’elle justifie comme ça.
-Je suis ta femme après tout!

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Scénario amusant.
Que se serait il passé si cela avait un ou une homo face à un une hétéro ? 🤣🤣🤣
Nico



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